Un cousin un peu spécialChapitre 1 : Une après-midi d’étéJe ne l’avais pas vu depuis plusieurs années. La dernière fois que je l’avais vu, nous n’étions encore que de jeunes ados découvrant notre corps. Cet été-là, c’était différent. Nous sommes tous réunis dans la maison familiale pour fêter l’anniversaire de mon oncle. Tous assis dehors, à profiter du soleil. Je le vois du coin de l’œil arriver. Il est habillé tout en noir. Sa chemise laisse deviner la taille de ses muscles. Ces muscles dont j’avais tant rêvé étant plus jeune. Il est tellement beau. Son regard se plante dans le mien. Puis glisse sur mon corps, marquant une pause un niveau de ma poitrine, j’avais bien choisi ma robe. Mon décolleté laisse bien apparaitre mon 95E. Son regard sur moi m’embrase. Je sens déjà l’humidité envahir ma culotte.Il passe devant moi, et viens me dire bonjour. Il se baisse pour me faire la bise. Puis s’éloigne pour dire bonjour aux autres. Il me laisse ainsi plongée dans mes pensées. C’est dingue l’effet qu’il me fait. Je le regarde. Il s’est assis avec les autres et à l’air plongé dans une conversation plutôt animée. Je le fixe, et finis par croiser son regard. Je rougis et tourne la tête. Quelques minutes plus tard je sens mon téléphone vibrer. Je le sors de ma poche. Un message : « T’es à bander ». Je souris. Je range mon téléphone et le regarde malicieusement. Il évite mon regard. Je me lève, prétextant aller dans la cuisine me laver les mains. Je vois qu’il me suit du regard.Une fois dans la cuisine, seule, je passe mes mains sous l’eau chaude. Je sens des mains m’agripper par les hanches. Je sursaute. Il glisse sa bouche dans mon cou et me mord. Il se serre contre moi, et je sens son érection frotter contre mes fesses. « Je peux savoir ce que tu fais ? » lui dis-je.Il me retourne et me regarde enfin dans les yeux. — Suce-moi. Je me retiens de glousser. Il m’intimide. Le sucer ? Ici ? Dans la cuisine ? Avec les allers-retours de tout le monde ? Il voit mon hésitation et rigole. — Pas ici bécasse. Dans la salle de bain à l’étage. Elle ferme à clé. Je t’attends. Tu as 20 minutes. Il me lâche et s’en va. Sans oublier de me gratifier d’une main au cul au passage.Je repars m’asseoir dehors. L’air me parait irrespirable. 20 minutes. Je me demande ce qu’il va se passer. Et si on nous voyait ? Ou qu’il me trouvait nulle ? Mon cœur bat la chamade. Mais putain, qu’est-ce que t’es en train de faire ? Je regarde ma montre. Plus que 5 minutes. Tant pis, je me lève et j’y vais. Un peu d’avance n’a jamais tué personne. Je monte à l’étage. La porte de la salle de bain est fermée, et la lumière éteinte. Je me dirige vers la porte. J’ai les mains moites. Au moment de poser ma main sur la poignée, j’hésite. Ce n’est peut-être pas une si bonne idée après tout. Je recule, et fais demi-tour. J’entends la porte s’ouvrir et une main m’attraper par le bras. « Viens ici » me chuchote-t-il. Il me fait rentrer dans la minuscule salle de bain, et ferme à clé derrière lui. La lumière est toujours éteinte, mais le jour sous la porte suffit à le distinguer dans la pénombre. Je sens une boule dans mon ventre. Je devine qu’il me fixe. Je ne vois pas ses yeux. Je sens une certaine tension dans l’air. — Je veux ta bouche. Je sens mon ventre se contracter. Il se penche vers moi, et il m’embrasse. Avec fougue. Il glisse sa main dans mes cheveux et me serre contre lui. Il fourre sa langue dans ma bouche. Il me dévore. Je sens la chaleur monter en moi. Il prend ma main et la pose sur son entrejambe. « Vas-y » susurre-t-il contre ma bouche. Je prends mon courage à deux mains, et abaisse sa braguette. Je passe ma main sur son caleçon. Je sens son érection, toute dure contre ma main. Je lui adresse un dernier baiser, puis me mets à genoux devant lui. Je glisse mes cheveux derrière mes oreilles. Puis je baisse entièrement son jean, son caleçon ne tardant pas à suivre le même chemin.
Son érection se tient fièrement devant mon visage. De toute sa longueur. Je sens son odeur. Je ne suis pas habituée à ce genre de choses. Je me demande comment cela pourrait bien rentrer dans ma bouche. — Et bien ! Vas-y ! Suce-la ! Je m’exécute. Je la prends timidement dans ma main. Je la sens se durcir à mon contact. Je titille le bout de son gland avec ma langue. Il tressaille. Je la prends dans ma bouche, et j’en suçote doucement l’extrémité. Je l’entends soupirer. — Plus profond, ouvre plus grand. Elle est bien trop grosse pour moi. Ma mâchoire se fait déjà sentir. Il met sa main dans mes cheveux et plaque ma tête contre son pubis. Je la sens au fond de ma bouche. Je retiens un haut-le-cœur. Il me tient fermement par les cheveux, et fait bouger ma tête au rythme qui lui convient. J’ai du mal à respirer. Je sens son sexe frotter ma langue au rythme de ses allers-retours. Il n’a vraiment aucune pitié. Il me baise la bouche pendant de longues minutes. Ma mâchoire me fait mal. — Je vais jouir, tu veux avaler ? Je lui fais signe que oui. Quelques secondes plus tard, je sens son sexe se contracter dans ma bouche et un liquide chaud couler au fond de ma gorge. Il a bon goût.Je me relève. Je m’essuie la bouche, défroisse ma robe et m’apprête à partir. Au moment où je pose ma main sur la poignée de la porte. Il m’attrape par le bras. — Tu comptes partir comme ça ? Je le regarde, gênée. Il se rapproche de moi, glisse ses mains sous mes fesses et me soulève. Il m’assoit sur le lavabo. Il relève ma robe, et me caresse par-dessus ma culotte — Putain, mais t’es trempée ! Je rougis. Il se baisse et se met à genoux. Il embrasse et mordille mes cuisses et remonte doucement vers mon entrejambe. Il me retire ma culotte. Je sens le contact froid du lavabo contre mes fesses. Il glisse un doigt en moi. Je pose mes mains sur ses épaules. Il m’écarte les cuisses et vient poser sa bouche sur mon clitoris tout gonflé. Je frisonne, un vrai délice. Il entame des vas et vient avec son doigt qui m’arrachent des râles de plaisir. Sa langue joue avec mon clitoris. Il sait y faire. Il insère un deuxième doigt en moi. Et bouge de plus en plus profond au fond de moi. Mes ongles se plantent dans son dos. Je sens une chaleur bien particulière monter dans mon bas-ventre. Je me contracte autour de ses doigts et me retiens de crier. Il accélère le mouvement de sa main, et aspire mon clitoris entre ses lèvres. J’explose. Je sens l’orgasme déferler dans tout mon corps. Il plaque une main sur ma bouche pour m’empêcher de crier. Il rit. Il me colle un baiser sur la joue, ouvre la porte et s’en va. Sans rajouter un mot. Me laissant toute tremblante. Dans le noir, à me demander ce qu’il venait de se passer. Je reste là, de longues minutes à attendre que mon corps se calme.Après mettre remise de mes émotions. Je descends du lavabo. J’allume la lumière et croise mon regard dans le miroir. Les cheveux tout ébouriffés, le maquillage qui a coulé. J’essaie comme je peux de me recoiffer. Je me lave les mains, me rince la bouche et passe de l’eau sur mon visage. J’entreprends enfin de partir à la recherche de ma culotte. Impossible de la trouver. Elle a disparu. Quel fumier ! Il l’a prise avec lui. Je vais devoir passer le reste de la journée les fesses à l’air. Et en robe en plus ! Il va me le payer !À suivre…
