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Ma cousine est somnambule

Chapitre 1

Inceste
Trois ou quatre fois par an, nous sommes invités chez mon oncle et ma tante qui habitent à 300km. La distance à parcourir justifie qu’ils nous gardent pour la nuit. Leur maison étant très grande, ma cousine Julie qui a 17 ans comme moi n’a pas besoin de me partager sa chambre. Ça arrange nos parents, mais qu’est-ce qu’ils croient ? Elle est jolie Julie, mais sérieusement, c’est ma cousine ! Etant petits on a fait les 400 coups, on partageait tout ensemble, même les bains (jusqu’à un âge où il est raisonnable d’arrêter, je vous rassure). Mais jamais, ô grand jamais, nous n’avons eu de comportement inapproprié pour des cousins.
Cette fois-là, avec Julie, nous regardons un film avant de nous coucher. Rien d’exceptionnel.Mais cette nuit, alors que j’étais profondément endormi, je suis brusquement réveillé, parce qu’on me retire l’oreiller que j’avais sous la tête. C’est Julie qui a fait le coup. Elle est là, à côté de moi, tenant mon oreiller. Je lui dis de me le rendre, mais elle ne me répond pas. A la place, elle pose l’oreiller sur le lit. Je lui demande ce qu’elle fait, mais toujours pas de réponse. Je lui demande :« Tu dors Julie ? »Evidemment, pas de réponse. En la regardant, je vois qu’elle semble ailleurs. Elle est somnambule. Comme on dit qu’il ne faut pas les réveiller, je regarde ce qu’elle fait.
Elle monte sur le lit, dans lequel je suis toujours. Elle est à genoux, face au mur. Très maladroitement, elle vient se placer à califourchon sur l’oreiller, et entame de lents mouvements de bassin. Cela me rend très mal à l’aise. C’est la première fois que je la vois comme ça, dans une situation à connotation sexuelle. Enfin, moi je vois ça comme ça, mais je me rappelle qu’elle fait de l’équitation. Elle doit surement rêver qu’elle est sur son cheval. C’est même plutôt plausible, étant donné qu’elle m’a parlé des courses hippiques qu’elle faisait.
Tout est-il que ses ondulations du bassin sont plutôt ambigües... Curieux, je me rapproche un peu d’elle. Je me rends compte qu’elle ne fait pas que chevaucher l’oreiller, mais elle s’y frotte carrément ! Là, nul doute qu’elle ne doit pas rêver de chevaux, mais plutôt d’étalons !
Je me demande si ce qu’elle fait l’excite... Moi oui en tout cas ! Je me rapproche encore pour voir. Je la regarde de face, pour tenter de voir sa culotte. Parce que oui, je ne l’avais pas précisé, mais ma cousine est arrivée vêtu d’une culotte et d’un t-shirt large. Il ne m’avait pas paru important de le dire jusqu’ici, étant donné que j’ai l’habitude. C’est ce qu’elle met tout le temps pour dormir. Il arrive même qu’elle m’emprunte un de mes t-shirt.
Enfin bref, sa culotte, j’ai du mal à l’apercevoir, à cause de l’oreiller. Mais lors d’un mouvement un peu plus long que les autres, je la vois. Et bien plus que ça culotte, je vois surtout qu’elle mouille ! Pour la première fois, ma cousine me fait bander ! J’admire chaque partie de son corps, avec beaucoup d’appétit. Le t-shirt large qu’elle porte suit les ondulations de son bassin et me laissent deviner les formes de sa poitrine. Je distingue même par moments ses tétons qui, à n’en pas douter pointent très fort.
Une pensée perverse me traverse l’esprit. Comme elle n’est pas consciente, je pourrais en profiter pour soulever son t-shirt et offrir à mes yeux la vue de ses seins. Et avant de pouvoir prendre une décision, je me surprends à avoir déjà avancé mes mains vers elle. Je me dis que cette occasion ne se présentera probablement plus jamais... Je saisis donc délicatement le bas de son t-shirt, que je remonte doucement. Hors de question de me précipiter, il ne faut pas qu’elle se réveille. Je peux voir son ventre plat que j’ai déjà souvent vu, mais jamais dans ces conditions. Tant de beauté me pousse à continuer. Me voilà arrivé juste en dessous de ses seins. Après un court moment d’hésitation, je termine de relever le t-shirt.
Me voilà maintenant face à la jolie petite poitrine de Julie. Ses seins ne sont très gros, mais ils sont fermes. Afin de me confirmer cette impression, je pose mes mains dessus. A ce contact, je la sens parcourue d’un frisson. J’ai peur qu’elle se réveille, mais pas du tout. En revanche elle accélère sa chevauchée de mon oreiller, qu’elle accompagne maintenant d’une respiration forte et plus rapide.
Je bande de plus en plus fort ! Il faut que je me branle... J’ai une idée dont l’excitation m’empêche d’en voir le côté immoral : et si je me servais de sa main pour le faire ? C’est ainsi que ma main droite quitte le merveilleux sein de ma cousine pour baisser mon caleçon, libérant ainsi ma bite dure. J’attrape la main de Julie que je pose sur mon sexe. Quelle sensation agréable ! Sa main est douce et très chaude. Imperturbable, Julie continue de se frotter à l’oreiller.
Confiant, je guide sa main à faire des va-et-viens. Elle est en train de me masturber, inconsciente de le faire. Sa main me fait tellement de bien, que d’autres idées me traversent l’esprit. J’aimerais lui caresser le clitoris, lui faire un cunnilingus, mettre ma bite dans sa bouche, la baiser ! Mais évidemment, ça, ce n’est pas envisageable. Je garde donc ma main gauche sur sa poitrine, la droite guidant la sienne pour me branler.
Je me risque malgré tout à approcher mon visage du sien. Je sens son souffle chaud, ce qui m’excite encore plus. Je m’approche encore, jusqu’à poser mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse, tout doucement. Ses lèvres ont un goût sucré qui m’incite à continuer. Et tandis que je l’embrasse, le plaisir monte en moi, et je sens que je vais jouir. J’accélère les mouvements de sa main sur ma bite. Elle accélère elle aussi ses mouvements de bassin.
Je ne tarde pas à éjaculer. Je fais mon possible pour ne pas tâcher les draps, mais Julie en a plein la main. Je me lève pour aller chercher de quoi nettoyer sa main. Quant à elle, elle continuer de se frotter. Je reviens vers elle, lorsqu’elle s’interrompt brusquement. Je m’arrête, pour voir ce qu’elle va faire. Elle se lève, et va droit vers la porte, et quitte ma chambre. J’ai juste eu le temps de voir sa culotte complètement trempée. Je vais voir l’état de l’oreiller, qui lui aussi est recouvert de sa cyprine. Me dire que je vais passer le reste de la nuit dans la mouille de ma cousine m’excite à nouveau. Avant de m’endormir, je me branle une deuxième fois.
Le lendemain matin, Julie ne semble pas se souvenir de ce qui s’est passé. Et heureusement, elle ne semble pas avoir remarqué qu’elle avait mon sperme que je n’avais pas eu le temps d’enlever sur sa main.
« Dis-moi Julie, tu ne serais pas somnambule ?_ Oui ça m’arrive... Comment tu le sais ?_ Je t’ai entendu cette nuit dans le couloir, je sais pas trop ce que tu faisais... »
Jusqu’au moment du départ, rien ne laisse supposer qu’elle sait. Moi en revanche, je ne la regarde plus uniquement comme ma jolie cousine, mais comme une jolie fille. J’espère juste que ça arrivera de nouveau la prochaine fois que je viendrai !
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