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Ma cousine ou ma soeur

Chapitre 2

Inceste
4e jour :
Encore une journée qui démarrait mal, cette fichue pluie s’abattrait sur nous pour toute la journée, d’après la météo. Moi je m’en fichais un peu car j’étais avec ma princesse dans mon lit, enfin, j’étais plutôt tout seul...
Car Émilie était partie déjeuner plus tôt que prévu, mais je savais qu’elle était passée par mon caleçon, car celui-ci était trempé de bave - et pas une trace de sperme à l’horizon. Je me suis levé et suis descendu, accueilli par toute la famille. Tout le monde me regarda et, plus particulièrement, Émilie, leurs regards étaient insistants.J’espérais franchement que cette journée serait merveilleuse malgré le mauvais temps, mais je sentais déjà un certain mécontentement chez les parents d’Émilie. Je ne savais pas quoi dire ou faire, alors j’ai juste dit bonjour et me suis assis à côté de ma mère pour prendre un bol de chocolat bien frais. Émilie était assez distante de moi, d’ailleurs c’est elle qui est partie en première pour aller dans ma chambre.
Et, à ce moment, tout le monde m’a rappelé que c’était l’anniversaire de ma petite cousine : j’étais terrifié par cette annonce ! Je n’avais pas prévu de cadeau, alors j’ai juste demandé de faire semblant que j’irais chez le boulanger pour chercher à manger, vu qu’on avait prévu de faire un casse-croute, en ce dimanche 25 juillet, où aucun supermarché n’avait été ouvert.
Je me suis dépêché de prendre des vêtements très classes - jeans avec chemise blanche et un gilet en cuir, un peu motard, mais pas trop Je me dirigeai vers la porte quand ma tante vint me signaler quelque chose :
« Nous t’avons entendu hier soir, et je voudrais te signaler qu’il se pourrait que Émilie en souhaite d’avantage, si tu vois ce que je veux dire... ! Me fit-elle, avec un clin d’œil.– Quoi ?! Mais comment cela se fait-il ? Rétorquai-je.– Quand notre fille a une envie, elle est prête à tout pour qu’elle soit réalisée. Surtout avec toi, elle t’adore. C’est certain que vous ferez un beau couple ! »
Je lui souris et je regagnai la rue, alors quand même temps, j’entendis ma déesse qui demandait où j’allais. Je me pressai assez et partis faire des courses...
Après 10 minutes de marche pour acheter un cadeau à Émilie, j’ai trouvé une pièce de 1 euro par terre et, devinez devant quoi ? Une machine à préservatifs ! Sûrement un signe du destin, du coup, je me suis empressé de prendre mes précautions, surtout après les conseils que ma tante m’avait donnés, tout à l’heure.
Une fois l’achat fait, je me dirigeai vers la boulangerie. Comme je m’y attendais, une énorme file me bloqua le passage pour accéder au comptoir du magasin. Je suis resté à glander pendant un petit moment et puis, j’ai remarqué un nouveau magasin, juste en face. Un genre de magasin qui tombait à pic :
Un magasin de fleurs ! Alors que j’allai y jeter un coup d’œil, je me suis rendu compte que j’étais enfin devant la caissière. Je lui ai commandé quelques trucs à grignoter pour la journée, histoire de ne pas faire attendre les autres non plus...Je sortis du magasin et je traversai la rue, avec ma commande sous la main et mon paquet de préservatif dans la poche. Je rentrai et vis un magnifique bouquet de fleurs, le prix était cependant un peu cher pour mon budget, du coup j’ai demandé à la marchande un petit rabais d’ami.
« Bon, vu que tu es mon premier client, je veux bien te faire un prix, mais n’en profite pas trop un ! »
Elle articulait avec un petit accent du Sud qui me fit sourire, j’aimais bien le soleil et la tranquillité dans une région où il pleuvait assez, mais pas comme en Bretagne...
J’ai emprunté le chemin inverse pour aller à la maison, j’ai couru pour éviter la tempête qui allait déferler sur moi d’ici quelques minutes. Et j’ai traversé la porte...Une ravissante demoiselle était devant moi, avec une robe pourpre assez courte qui m’a fait un certain effet. À tel point qu’on me fit remarquer que j’étais resté bouche-bée un petit moment. Elle remarqua le bouquet et me sourit. Je le lui rendis et lui offris la composition avec un petit bisou, avant d’aller donner les courses aux parents.
On a décidé de faire quelque jeux en attendant l’heure du repas, mes parents avaient envie de montrer le célèbre casse-croûte que nous savions faire. Personnellement, je préférais faire un sandwich pour amoureux rien que pour moi et Émilie. Cette dernière me fit signe de monter, avec un sourire de coquine. J’ai accouru vers ma cousine qui m’attendait sur mon lit, assise et me regardant du haut en bas.Je me suis assis à côté d’elle et j’ai commencé à faire un "Action ou Vérité", un jeu qui aura été marquant pour ma vie d’adolescent :
« Commence d’abord, ma princesse ! Lui ai-je conseillé.– Action ou vérité, mon chéri ?– Vérité !– T’as déjà couché avec quelqu’un ? »
J’hésitai un peu, je la regardais et j’étais assez surpris qu’elle fût aussi directe.
« Non, à toi, action ou vérité ?– Vérité aussi !– Tu adores quoi, chez moi ? »
Je la regardais et j’ai soudainement su qu’elle aurait voulu que mes questions soit plus perverses, mais cette question l’a, quand-même, tracassée pendant une bonne minute.
« Ton magnifique paquet ! » Dit-elle, en mettant une main sur mon jeans.
Alors qu’elle remonta vers ma bosse qui s’érigeait subitement, elle sentit mes préservatifs. Au lieu de vouloir que je la saute tout de suite, elle continua notre petit jeu.
« Action ou vérité ? Sa voix était de plus en plus sexy, douce.– Action pour une fois ! »
J’allais tenter le danger, surtout avec cette tigresse qui se positionnait désormais pour mettre en valeur sa poitrine.
« Alors pour le moment..., tu vas te déshabiller... !– Quoi là, maintenant ? »
Elle hocha la tête et me força à me lever. J’ai enlevé ma chemise, puis mon jeans. Je me suis arrêté pour la faire râler un peu, comme ça cela fait durer le suspense. Enfin j’ai enlevé mon boxer et mes chaussettes et elle fut ravie de voir ma verge en pleine forme. Alors qu’elle allait tenter de le toucher, je l’arrêtai et je la forçai, à son tour, à continuer le jeu :
« Action ou vérité ? Tentai-je de l’imiter.– Action... ! »
Elle savait déjà le défi qui l’attendait et elle se mit directement en soutifs, puis ce fut à mon tour de râler pour qu’elle puisse enlever le reste. Nous étions finalement nus, l’un en face de l’autre. Alors que j’allais me retourner pour mettre un peu de musique, elle alla fouiller dans mon pantalon les fameux préservatifs qu’elle avait sentis. Elle me le présenta et elle me supplia de la prendre, je ne savais quoi faire.
Mais je me suis laissé aller et elle attrapa ma bite et commença une pipe des plus divines qu’on puisse connaître. On voit qu’elle s’est entrainée sur des bananes - je la voyais souvent avec ce fruit à chaque dessert Pendant ce temps, je la retournai pour qu’on se mette en 69, je lui fis un cunnilingus des plus incroyables : je plongeai ma langue dedans, cela lui provoqua quelques gémissements, je continuai à descendre vers son anus sur lequel je déposai un peu de salive, je remontai en écartant ses lèvres avec mes doigts pour lécher plus profondément puis je titillai son bouton d’amour.
Je sentais la jouissance arriver, mais qu’importe pour elle, ma chérie aspirait de toute ses forces, tout en m’inondant de cyprine. Puis, nous jouîmes ensemble, à quelques secondes d’intervalles. J’étais trop excité, désormais, pour m’arrêter, j’en voulais plus. Je l’ai mise à 4 pattes sur le lit, sa croupe relevée afin de me faciliter la tâche. Après avoir enfilé le préservatif, j’ai présenté mon gland devant son chaud fourreau.Elle mouillait abondamment et c’est elle qui recula d’un coup, lâchant un cri de douleur, je l’atténuai en y mettant mon doigt. Je fis de légers va-et-vient dans ce con très chaleureux, ses gémissements devinrent un peu trop bruyants, je le lui rappelai et, c’est ensemble, que nous tentâmes d’être le plus discret possible.
« Plus fort et plus vite, je t’en supplie... ! »
J’accélérai le rythme, mais cela ne lui suffisait plus, alors j’ai commencé à enfoncer une première phalange dans son cul, puis 2, puis 3, tout en lui faisant découvrir le 7e ciel. J’ai changé ensuite de trou et j’ai commencé à l’enculer. La différence s’est vite fait sentir, c’était nettement plus serré. Elle se rapprochait de moi à chaque va-et-vient, comme si elle anticipait tout.je l’ai prise pendant 15 minutes dans toutes les positions que nous connaissions, puis j’ai éjaculé dans le préservatif, alors qu’elle souhaitait avaler le contenu, je le lui interdit en lui disant :
« Tu en auras plus tard, celui-ci est déjà utilisé pour le préservatif ! »
Elle reprit sa respiration, difficilement, vu ce qu’elle avait subi, précédemment. Elle ne pouvait même plus me demander quoi que ce soit, car j’étais aussi fatigué qu’elle. On s’est reposés sur mon lit, jusqu’à ce que ce soit nos parents qui nous appelèrent.
On descendit doucement, le second réveil de la journée m’avait redonné toute ma force pour pouvoir manger le sandwich, spécialement préparé pour moi et ma cousine. Une belle de scène d’un célèbre film nous était passé à la tête, chacun un côté du sandwich pour finir au milieu. Du coup, j’en ai profité pour lui proposer de regarder un film. Un très beau film d’horreur d’ailleurs. Elle allait protester lorsque je lui rappelai qu’il y a 2 jours, c’était elle qui avait choisi :
« Et puis, surtout, tu auras une bonne raison de te coller à moi ! »
Lui dis-je, avec un sourire assez moqueur, mais dont Émilie avait compris le sens, elle se vengea bien en m’arrachant le sandwich des mains. Elle le finit assez vite vu qu’il avait été bien entamé, je suis monté avant elle pour préparer le film.
J’avais décidé de prendre un film d’horreur, donc l’ambiance devait y être. Bon, c’était fastoche, vu que le temps aidait bien à mettre une ambiance de fantastique, mais j’ai quand-même mis ma chambre dans le noir total. Cela allait pimenter la situation d’un cran et très vite, j’entendis ma magnifique princesse s’approcher
Pas besoin de permission pour rentrer, elle voulait me prendre par surprise. J’ai joué la carte du surpris pendant 5 secondes, après cela, je l’ai mise sur mon lit et ai commencé les chatouilles. Elle n’en pouvait plus, elle en pleurait de rire, tellement elle détestait les chatouilles. Ouf, une arme pour la calmer ! Enfin... !
Après s’être calmés, je lance le film sur ma télé située en face de mon lit qui fait aussi office de canapé. Émilie s’est blottie contre moi, je l’ai enlacée, mais pas trop, histoire que ce soit elle qui vienne à moi. Je voulais à tout prix qu’elle ait peur. Au bout de 15 minutes, elle avait la chair de poule. Elle me supplia d’arrêter le film, mais tant bien que mal, je n’ai pas cédé.
Ma petite cousine, très décidée à m’en dissuader, enleva son T-shirt, me montrant, une nouvelle fois, sa forte poitrine, une érection commença à naître. Nous sommes des fous du Sexe, mais c’est elle qui en est fan. Elle dépose une main sur ma cuisse, je fais de même. Légèrement, ma main droite qui tenait son épaule descend peu à peu pour aller vers ses seins. Le film devenait de moins en moins intéressant, à tel point que, finalement, je dus l’arrêter pour être tranquille.
Elle avait réussi son coup et elle m’embrassa langoureusement pour me féliciter, je continuai de la peloter. Elle alla dans mon boxer pour chercher ma verge droite, je me débarrassai alors de mon jeans et de mon boxer. Elle se mit à genoux, en face de ma bite et embrassa mon gland, puis le mit en bouche. Elle me fit une pipe très dynamique cette fois-ci, elle voulait mon sperme et le fait de ne pas lui avoir laissé celui dans le préservatif, l’avait rendue deux fois plus performante.
À tel point que je n’ai pas pu résister suffisamment longtemps et elle put obtenir ma semence qu’elle avala sans rechigner. Elle s’assit sur mes cuisses, en mettant mon sexe entre ses fesses et alluma la télé. On faisait un genre de rodéo horizontal, mais je voulais faire une pause. Alors je l’ai mise sur le dos et j’ai léché son cou, puis je suis descendu vers ses seins fermes et ronds. Je faisais mon petit manège et m’amusais avec ses tétons, elle me caressa les cheveux et remua le bassin.
Je continuai ma descente pour arriver à son mont de vénus, déjà mouillé par l’excitation que je lui provoquais. Je lui administrai un magnifique cunnilingus dont je prenais un malin plaisir à passer, la plupart du temps, à lui lécher et doigter l’anus, ce trou n’ayant pas été visité.
« Lucas, viens me sodomiser... ! Tenta-t-elle de souffler, entre 2 gémissements.– D’accord, je vais chercher une capote !– Non, je veux sentir ta chair, cette fois ci ! »
Cette réponse m’excita d’avantage, je ne pouvais plus rien lui refuser. J’ai vite préparé son cul en y mettant quelques doigts, puis j’ai exercé une pression avec mon gland sur cette petite rondelle, elle commença à avoir mal. Je m’arrêtai net.
« Si tu veux qu’on arrête, tu me le dis, ok ?– Ça va aller, continue, chéri..., tu me fais trop du bien ! » Souffla-t-elle de nouveau.
Elle était en chaleur et aimait particulièrement les va-et-vient que je lui donnais par son cul.Que c’était serré et chaud à l’intérieur, ses cris de douleurs devenaient des cris de jouissances, je ne sais pas combien de fois elle avait joui, mais je peux dire qu’elle en avait pris plus d’une dizaine.Moi, j’ai enfin eu ma jouissance extrême et j’ai accéléré de plus belle.
« Han..., vas-y Lucas... ! Han..., je veux tout sentir en moi... ! »
Ces mots m’ont achevé, j’ai tout lâché, ma semence bien au fond de son cul. Elle se retourna et m’embrassa, ne nous laissant même pas le temps de respirer. Elle me faisait des bisous partout, comme si je l’avais libérée d’un immense poids. On s’est enlacés et j’ai reçu un message de mes parents disant : « On va au resto, vous voulez venir ? ». Malheureusement, j’ai dû refuser car nous étions tous les deux épuisés. Il était 18h30, j’entendis la porte d’entrée qui se refermait. Je me levai pour prendre un bain, Émilie me demanda, tant bien que mal, si elle pouvait m’accompagner.
J’ai accepté, après tout, on n’allait rien faire, vu que l’on était lessivé de la journée de pervers que nous avions passée. J’ai laissé couler l’eau chaude et j’ai allumé quelques bougies. Pour avoir une ambiance charmante, en cette soirée qui se termina sous une pluie aussi apaisante qu’effrayante.J’allai chercher quelques parfums et à peine retourné, je vis Émilie, toute nue dans la baignoire. Je la rejoignis et on s’enlaça, on décida de se laver mutuellement. Pendant que je la lavais, nous avons eu une discussion :
« Tu sais, tout à l’heure, tu avais l’air si soulagée après qu’on est fait l’amour, tu es sûre que tu vas bien ? »
Elle rougissait un peu et en se retournant, elle m’expliqua :
« Je voulais à tout prix que tu prennes par tous les trous en mon jour d’anniversaire et comme j’étais pressée, je voulais que tu me prennes immédiatement ! »
Pour certains, vous auriez pensés que j’allais avoir un début d’érection et qu’Émilie allait me faire une gâterie. Mais pas du tout, car nous étions fatigués et que même le sexe ne pouvait rien y faire. Elle me lava de même :
« Émilie... ? »
Elle s’arrêta, on s’est regardé, ensemble, les yeux dans les yeux, mon dieu, ses yeux étaient magnifiques, je ne pouvais pas résister.
« Tu es la seule avec qui j’éprouve de vrais sentiments, je ne veux plus qu’on se quitte ! »
Je vis une larme tomber dans l’eau, elle pleura. De petits sanglots à grandes larmes.
« Excuse-moi, Lucas !– T’excuser de quoi, ma chérie ? »
Je m’inquiétais d’avantage sur le fait qu’elle s’excusait sur un sujet dont nous étions tous d’accord.
« Il faut que je t’avoue quelque chose, voilà, il y a 2 ans, un mec de ma classe et deux de ses potes sont venus me harceler pour que je couche avec eux, alors comme j’ai protesté, ils ont essayé de me violer... ! »
Elle pleurait d’avantage, je l’ai réconfortée et je l’ai enlacée de plus belle. J’ai pris ses mains et je l’ai regardée :
« Continue, princesse... !– Ils ont arrachés ma jupe et ont failli me prendre ma virginité... ! Finalement, un pion est arrivé et ils se sont fait exclure du collège, moi j’ai juré de ne plus me laisser approcher par un mec que je n’aimais pas ! Je me suis aussi promis de me faire déflorer par l’homme de ma vie... !– Nous sommes réunis, désormais, ma chérie, tu ne risques plus rien avec moi... ! »
C’est sur ces dernières paroles que l’on sortit du bain, qu’on se sécha et qu’on se coucha... Elle se blottit contre moi, je l’ai serrée encore plus, elle était rassurée et c’était tout ce qui comptait : son bonheur... !
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