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Crier avec un noir

Chapitre 1

Elle découvre le plaisir d'un pénis noir

Avec plusieurs hommes
                 Ma femme avait longtemps été une petite vierge - elle ne se masturbait même pas. Après avoir épousé un gars qui se révéla impuissant après avoir (quand même) réussi à lui déchirer l’hymen, elle mit plusieurs années à comprendre qu’il lui faudrait tout simplement d’autres mâles et d’autres queues pour se faire baiser. Elle a donc pris l’habitude, bien avant qu’on soit ensemble, de coucher avec des hommes différents, français, anglais, canadiens, beurs - elle n’avait jamais, cependant, été baisée par un noir (cela ne s’était jamais présenté, mais elle n’était pas spécialement intéressée) ni par un Arabe "pur sang", si on peut dire.                    Quand nous avons commencé à sortir ensemble, elle mit un moment à se réorganiser suite à son mariage plutôt difficile à vivre puisqu’elle était mariée à un homme mais était obligée pour être satisfaite d’offrir son vagin et parfois son cul à d’autres. Je dis bien les deux parce que je ne l’ai connue vierge d’aucun trou. Le vagin était dûment - quoique difficilement - passé à la casserole pour la première fois peu avant son mariage, un dépucelage d’ailleurs surveillé de près par sa mère qui se réjouissait que sa fille soit enfin une femme, le trou du cul fut dépucelé vigoureusement par un jardinier breton après une soirée en boîte - un dépucelage de cul soigneusement organisé avec le gars par sa grande copine qui l’avait déjà eu comme amant et coulait que sa copine se fasse bien enculer comme elle l’avait été elle aussi.                          Nous avions une vie sexuelle correcte et même souvent excitante, mais je ne suis pas un baiseur de vagins compulsifs - je préfère le trou de dérrière, d’une part, et d’autre part je suis plus volontiers dans les caresses, les tripotages, les manipulations, les morsures, les léchages...alors qu’elle avait clairement pris conscience que son vagin avait des besoins, et que ces besoins incluaient des queues qui n’avaient pas besoin d’être nécessairement les plus grosses mais devaient impérativement pouvoir tirer plusieurs coups de suite. Comme en plus elle adorait se faire lécher mais que le goût et l’apparence du clito et des deux pendouilleries ne m’ont jamais tellement excité, et que par contre elle ne suçait pas, elle a très vite pris l’habitude, sans me le dire, de se faire baiser la chatte par d’autres mecs. Elle ne faisait que continuer ce qu’elle avait déjà découvert, à savoir que son vagin avait besoin de queues et de semence (elle détestait les condoms) et que si elle voulait absolument être fécondée par moi, par contre elle s’arrangeait pour coucher tant qu’elle pouvait avec d’autres quand elle se savait inféconde.                      je n’en avais pas vraiment pris conscience, sinon pour quelques petits moments un peu étranges qui semblaient prouver que son amitié avec des copains était peut-être autant question d’entrecuisse que de pure amitié intellectuelle, jusqu’à ce qu’elle fasse un voyage dans un pays d’Afrique du Nord. Elle se fit baiser par un Arabe bien membré et en partie d’origine africaine, qui lui tourna la tête à tel point qu’elle décida de retourner le voir l’année d’après - finalement nous décidâmes d’y aller ensemble. Ce fut une année difficile et fort conflictuelle mais finalement nous retrouvâmes son amant arabe, qui rêvait sans doute - entre autres - d’un visa autant que de son cul. Elle tint à passer une semaine avec lui d’abord dans l’appartement que nous avions loué, avant que je ne les rejoigne. Quand je l’ai retrouvée, elle avait l’anus douloureux - il l’avait non seulement prise tous les jours et plusieurs fois par jour dans toutes les pièces de l’appart, mais il l’enculait vigoureusement à sec tous les jours, avec juste un peu de salive - son anus rose l’excitait tout particulièrement. Nous prîmes l’habitude de coucher à trois - il la baisait, partait manger du raisin pour rebander, pendant ce temps je la sautais, il revenait et ainsi de suite. Insatiable cependant, elle insistait pour être seule avec lui réguilièrement, et passait à la casserole partout, y compris dans les toilettes et dans la salle de bains. Elle avait découvert à quelle point une grosse queue colorée est un plaisir, surtout quand elle tire à répétition. Elle finit sans doute par comprendre qu’il avait aussi d’autres intérêts, mais incontestablement elle avait besoin de son amant arabe. Comme en plus tous les Arabes sont circoncis et qu’elle préfère les queues coupées (comme la mienne) elle passa un été intense. Elle n’allait pas s’arrêter là....              J’avais compris, avec cette histoire, que les femmes à un certain âge sont susceptibles de vouloir tomber à nouveau en amour avec l’amant qui les baise. Le mari, lui...fait un peu partie du décor. Je ne voulais pas que cela recommence. J’ai donc décidé de prendre les devants et de lui proposer d’avoir une relation plus ouverte, en commençant pas l’échangisme entre couples - cela ne marchait pas vraiment. L’échangisme n’est intéressant que si les deux partenaires se trouvent un partenaire intéressant dans l’autre couple, autrement cela ne fonctionne pas. Par contre, lorsque je mentionnai l’idée que je pourrais accepter qu’elle soit baisée par d’autres hommes à condition que je sois au courant et qu’elle se soumette à chaque fois à un petit rituel spécifique, elle hésita un peu puis finit par accepter - nous choisirions les hommes ensemble avant qu’ils ne s’accouplent avec elle, ou alors elle me préviendrait qu’elle testait un nouvel amant; dans tous les cas, le rituel s’appliquerait.             Le rituel était simple.           D’abord, en échange d’avoir droit à toutes les queues propres qu’elle souhaitait, et aux mecs qui allaient avec, Madame accepterait l’épilation définitive de son sexe - elles avait les aisselles faites depuis notre mariage mais même rasés les poils pubiens me dérangeaient.           Ensuite, lorsqu’elle avait couché avec un autre homme, elle devait me revenir sans avoir rincé son vagin ou les lèvres de son sexe - et je devais pouvoir y glisser le doigt, et regarder dans la culotte les traces de sperme et de mouille vaginale. Elle n’était pas forcée de m’en raconter plus si elle ne voulait pas, mais par contre elle devait me donner la preuve qu’un homme avait bien éjaculé en elle.             Le rituel était simple lorsque nous choisissions un homme ensemble. Une fois l’homme choisi, elle s’arrangeait pour le rencontrer en privé, et se faire baiser. A la deuxième ou troisième fois, elle lui confiait que son mari était content qu’elle s’offre à d’autres mâles, et qu’elle serait heureuse qu’il puisse rencontrer le mec, que tout soit clair - et peut-être deviendraient-ils grands amis, puisqu’après tout leurs glands jouissaaient au même endroit.             Lorsque la rencontre avait eu lieu, je la déshabillais devant l’autre gars, ne lui laissant que son soutien-gorge qui fermait par devant. Un beau soutien-gorge noir pour sa poitrine bien ronde. Les tétons inversés ajoutaient à son érotisme - mais généralement le gars devenait à la fois excité et un peu gêné de se la voir proposer totalement nue ainsi, jusqu’à ce qu’elle s’approche et l’embrasse, et qu’il prenne les fesses puis les seins dans ses mains, sur quoi elle l’emmenait se doucher avec elle avant qu’ils ne partent baiser dans la chambre d’amis. La douche était essentielle pour elle - elle n’aimait pas l’odeur de sueur, et si l’homme n’était pas circoncis elle tenait à nettoyer le bout elle-même pour être sûre qu’il soit propre.              Et malgré tout...elle avait chevillée au corps le désir d’un jardin secret. grâce à l’internet, elle a rencontré un noir, qui se faisait appeler Malcolm X comme pseudo. C’était un enseignant et un politicien, un député local, et elle le rencontra dans son bureau de circonscription, ou devrait-on dire bureau de circoncision? En tous cas sa verge noire la fit crier comme elle n’avait jamais crié avec aucun homme. C,est en lisant son courriel un jour par hasard que je découvris l’affaire et compris pourquoi elle se vantait régulièrement - il était devenu ministre entretemps - d’avoir une relation spéciale avec quelqu’un de haut placé. Elle confiait dans ses messages que la manière dont il la baisait et l’enculait était exceptionnelle, et qu’en plus elle lui faisait ce qu’elle n’avait jamais accordé à son mari - elle lui suçait goulûment la queue et le laissait jouir dans sa bouche. Quelque chose dans le jus de ses couilles noires lui plaisait.               Malheureusement, il finit par la laisser tomber - elle en fut terriblement déprimée, d’autant qu’elle ne savait pas que je savais. Elle vieillit et décida que le sexe pour le sexe avait ses limites et qu’elle en avait fait le tour. Disons plutôt qu’un grand nombre de mecs avaient fait le tour de ses orifices.               A moi, il reste quelques enregistrements discrets, réalisés par un strategème simple dans la chambre d’amis, ou je peux l’entendre gémir et crier, et ses amants souffler et pousser leur cri alors que leur gland gonflé déverse dans son ventre ou ses fesses le jus de leurs couilles. Il reste aussi des photos qu’elle m’a envoyé de certains, tout nus, pour que je vois à quoi ils ressemblaient. Mais ce n’était pas les gars qui m’intéressaient: c’était le plaisir, et le désir, qu’ils suscitaient en elle!                
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