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La croisière

Chapitre 2

Erotique
Bonsoir
Voilà la suite de mon histoire.
Merci encore Lioubov pour sa relecture, ses corrections, et ses commentaires.

Chapitre 4 : 1er et 2ème jours de navigation

— Bonjour, Marc ; désolée pour ce retard. Je te présente ma fille, Raphaëlle.— Bonjour, Raphaëlle ; content de faire ta connaissance.— Bonjour, Marc.
Après cette brève présentation, Isabelle est montée sur le bateau. Il faut dire que le retard de leur avion les oblige à partir très vite. Elle s’adresse à sa fille :
— Raph, on pose simplement nos sacs. On fera le rangement plus tard.— D’accord, maman.
Rapidement, les deux femmes posent leurs affaires et Isabelle vérifie les rangements que Marc a effectués. Voyant que tout est en ordre, elle remonte sur le pont pour prendre la barre et lancer le départ du voilier. Raphaëlle et Marc prennent chacun un poste pour participer aux manœuvres, et le bateau sort lentement au moteur du port.
Les deux premières heures sont occupées par les manœuvres. Isabelle multiplie les changements d’allure, à la fois pour régler le bateau et pour mesurer les qualités de marin de Marc, puis elle lui laisse la barre et descend avec sa fille pour vérifier la route. C’est le premier moment de détente.
— Tu sais, maman, il a l’air sympa je trouve.— Oui, tu as raison mon bébé, et c’est un bon marin : il barre très bien.
— Il a l’air gentil. Je suis sûre qu’on va passer une super croisière.— Moi aussi, ma chérie. Tu veux bien lui demander s’il veut boire quelque chose ?
Raphaëlle remonte sur le pont.
— Vous voulez boire quelque chose ? Ou manger un gâteau ?— Je veux bien un thé et un gâteau. Et dis moi, Raphaëlle, on pourrait se tutoyer si cela ne te dérange pas.— Oui, bien sûr.
Avec un grand sourire, Raphaëlle redescend. Elle ne ressemble pas à sa maman. Pourtant, dans les attitudes, la manière de parler, l’élégance naturelle, on retrouve la filiation entre les deux femmes. Raphaëlle est rousse, la peau claire, de grands yeux verts. Son corps porte encore les traces de l’adolescence, avec une silhouette juvénile. Elle porte un short sage et confortable, un petit pull et une paire de tennis. Elle fait partie de ces femmes qui ne paraissent pas faire attention à leurs tenues, mais qui peuvent tout porter.
Marc passe une partie de l’après-midi à tenir la barre pendant que les deux femmes finissent de s’installer. Isabelle et Raphaëlle partagent la cabine avant, la plus grande. Marc avait déjà rangé ses affaires dans la cabine arrière. Il est content de barrer, de ressentir le mouvement du bateau, la puissance du vent dans les voiles. Il entend la mère et la fille discuter et rire dans le carré. Il se sent bien, à son aise et à sa place.
En fin d’après-midi, ils arrivent dans le port où ils ont prévu de passer la nuit. Amarrage, repas, la journée a été bien remplie et les deux femmes vont se coucher. Marc sort marcher, puis il va prendre un verre dans un bar en espérant y faire éventuellement une rencontre rapide. Mais déçu, il rentre se coucher assez vite.
La vie sur un bateau ne laisse pas beaucoup de place à l’intimité. Les cloisons sont fines, et s’il y a des séparations physiques, il faut accepter le sentiment de proximité permanent qui existe sur un bateau.
Le matin, Marc, levé le premier, passe au bloc sanitaires pour prendre sa douche, puis il se rend à une boulangerie pour prendre du pain et des croissants. Quand il retourne au bateau, Isabelle revient de la douche et Raphaëlle sort de la cabine, les yeux encore ensommeillés. Elle a les cheveux en bataille et porte sa tenue de nuit, un tee-shirt et un short flottant. Comme elle n’a pas mis de soutien-gorge, Marc décèle les mouvements de sa poitrine sous le tissu. Elle a des seins plus lourds que ceux de sa maman, et Marc éprouve un trouble délicieux. Isabelle doit le ressentir car elle dit à sa fille :
— Tu veux aller te doucher avant le petit déjeuner, ma puce ?— Non, j’ai faim, j’irai après.
Et elle s’assied. Naturellement – Marc l’avait déjà remarqué la veille – elle aime s’installer en repliant une jambe sous elle. Elle ne se rend pas compte que, dans cette position, son short assez lâche bâille, dévoilant une partie de son sexe bombé. Mais Marc, après un regard, évite de laisser traîner ses yeux dans cette direction.
Puis la navigation reprend ses droits. La mer est plus agitée, et toute la journée ils doivent tous les trois passer du temps à faire des manœuvres. Isabelle et Marc ont trouvé très vite une complémentarité qui évolue en complicité. Ils n’ont pas besoin de beaucoup se parler pour se comprendre. Plusieurs fois ils se frôlent ; Marc s’excuse à chaque fois, mais Isabelle lui répond que c’est difficile à éviter avec une telle mer.Raphaëlle les regarde avec un drôle de sourire.
Tout au long de cette journée, Marc découvre, dans la fille d’Isabelle, une personnalité intéressante. C’est une fille très intelligente qui compense une grande timidité par beaucoup d’humour, humour qui n’épargne ni sa maman, ni Marc. À la fin de la journée, ils sont contents de trouver un petit port espagnol pour s’abriter et pouvoir, sous la douche, se débarrasser du sel.
Après le repas, Isabelle et Raphaëlle sont dans leur cabine. Isabelle porte une chemise de nuit, classique, boutonnée ; Raphaëlle, la même tenue que la veille. Elle regarde sa maman qui est en train de brosser ses cheveux. Leur cabine comporte un petit cabinet de toilette-douche.
— Maman…— Oui, mon bébé ?— Tu sais, euh, si tu veux rejoindre Marc, ça ne me gênerait pas.
Isabelle arrête son mouvement et se tourne vers sa fille.
— Mais enfin, ma chérie, pourquoi dis-tu cela ? Je ne comprends pas.— Oh, maman, j’ai plus de 18 ans, je peux comprendre. Tu ne vois personne depuis la mort de papa, et Marc est bel homme. J’ai bien remarqué comme il te regardait.
Isabelle est énervée. En particulier parce que ce que lui dit sa fille tombe juste. Elle essaie de prendre un air sévère, mais cela fait longtemps que cela n’impressionne plus sa fille.
— Et comment me regarde-t-il ?— Ben, comme un homme regarde une femme. Enfin, maman, on voit bien qu’il te trouve attirante.— Très bien, on arrête là. Ce n’est pas une conversation entre une fille et sa maman.— Je te disais juste que, si tu veux y aller, je suis assez grande pour comprendre que tu ailles dans sa cabine pour passer un moment agréable.
Isabelle ne sait plus comment réagir. Faire taire sa fille ne servira à rien. Elle a depuis longtemps pris son parti qu’elle devait accepter l’intelligence très vive de Raphaëlle.
— Je, euh… je vais m’expliquer avec Marc immédiatement.
En quelques pas elle est devant la porte de la cabine de Marc. Elle frappe et, Marc l’ayant invitée à entrer, elle ouvre la porte. Marc est couché ; il lisait sur sa tablette. Il a rapidement tiré le drap sur lui car, comme toujours, il dort nu.
— Marc, je dois te parler.— Oui, bien sûr. Il y a un problème ?— Je, euh, je crains que Raphaëlle ait mal interprété certaines de tes attitudes.— Mes attitudes ? Je ne comprends pas.— Eh bien, Raphaëlle a cru…
Marc regarde Isabelle. Elle est debout, dans sa chemise de nuit strictement fermée. Elle parle, explique. Mais Marc perçoit autre chose. Il voit son trouble, ses joues empourprées, sa poitrine qui se soulève trop vite.
— … Tu m’as entendu, Marc ?— Oui, bien sûr.— Et alors, qu’en penses-tu ?
Marc se redresse sur ses genoux. Le drap glisse. Il prend la main d’Isabelle et l’attire contre lui et, avant qu’elle ne dise quoi que ce soit, il ferme ses lèvres d’un long baiser. Isabelle reste raide contre Marc qui est nu contre elle. Pourtant elle ne refuse pas sa bouche. Marc caresse ses cheveux et doucement, sans violence, sa langue écarte les lèvres d’Isabelle. Elle cède et lui rend son baiser, et quand Marc l’attire sur le lit elle se laisse aller contre lui.Marc a compris qu’Isabelle avait besoin de temps. Il caresse son visage, plonge sa face dans ses cheveux. Il embrasse ses joues, ses yeux, sa bouche. Isabelle se laisse faire et passe sa main dans les cheveux de Marc.
Sa vie sexuelle n’a jamais été très intense. Elle a épousé son mari très jeune alors qu’elle était étudiante et qu’il était déjà un médecin installé. Raphaëlle est venue très vite. Son mari était assez casanier. Elle a eu quelques aventures, puis la maladie de son mari a plongé la famille dans la gravité puis la douleur. Et là, sous les caresses de Marc, elle ressent un désir, une faim qu’elle n’a jamais ressentis. Elle veut oublier ses principes, sa fille présente à quelques mètres, et assouvir cette faim.
Elle ouvre la bouche pour s’offrir pleinement au baiser de Marc, et c’est sa langue qui veut fouiller la bouche de son amant. Elle sent contre sa hanche la queue dure. Elle glisse une main et l’effleure. Marc déboutonne la chemise de nuit, dévoilant deux seins fermes avec de longs tétons durcis par le désir.
Leurs gestes deviennent plus fébriles. Marc retire la chemise de nuit. Isabelle est nue. Marc l’embrasse dans le cou, il aspire les seins, lèche la peau fine, descend sur son ventre. Mais Isabelle écarte ses cuisses et l’attire. Elle tire sur ses bras pour qu’il vienne sur elle. Marc la couvre alors et enfonce sa queue dure dans le ventre trempé d’Isabelle. Elle étouffe un cri. Elle a les yeux brillants de désir et de larmes. Elle prend le drap pour le mordre et étouffer ses cris et elle se donne. Elle se cambre. Elle vient au devant des coups de queue de Marc. Et, au bout de quelques va-et-vient, elle jouit avec une violence qu’elle ne connaissait pas.
Marc la regarde. Il est touché par cet abandon. Il sait intuitivement que pour cette femme, cette attitude est rare.
Après cette première passe, Marc se positionne pour pouvoir prendre Isabelle. S’ouvrant encore plus, elle remonte les cuisses pour entourer les hanches de son amant. Ils recommencent à faire l’amour. Le plaisir monte plus lentement pour Isabelle. Elle ressent avec beaucoup d’intensité la queue qui occupe son ventre. Elle caresse le visage et les cheveux de Marc. Et quand elle sent que la jouissance va la submerger, elle se colle à lui, étouffant dans un baiser ses cris de plaisir. Et Marc continue. Relevant une des cuisses de son amante, il la pilonne plus fort ; ne cherchant pas à retenir ses gémissements de plaisir, il la baise une troisième fois, et là ils atteignent ensemble le plaisir.
Marc roule sur le côté pour ne pas étouffer Isabelle. Elle le regarde, rêveuse.Elle se penche et l’embrasse puis, sans un mot, elle remet sa chemise de nuit et retourne dans sa cabine. Elle se couche.
Raphaëlle paraît dormir. Comme souvent, quand elles dorment ensemble, sa fille vient se pelotonner contre elle. Isabelle se sent gênée. Elle sait qu’elle sent le plaisir ; elle a honte de son comportement, et en même temps elle sent son corps alangui par le plaisir.


Chapitre 5 : 3ème jour

Raphaëlle se réveille avant Isabelle. Elle regarde sa maman dormir. Elle sourit en repensant à ce qui s’est passé la veille : son énervement, son départ pour la cabine de Marc, et les bruits suggestifs qui s’en sont suivis. Elle a été très troublée et s’est caressée en imaginant ce qui se passait.
Raphaëlle n’est plus vierge, mais elle n’a jamais ressenti ce grand mouvement du cœur dont parlent ses copines ni les orgasmes dévastateurs dont certaines de ses amies paraissent se régaler.
Elle a un an d’avance. Elle est déjà en préparation pour une grande école. Elle n’a jamais trop aimé les soirées arrosées où le seul objectif est de trouver celui contre qui elle devra se frotter. Elle a bien sûr joué le jeu ; elle a pris du plaisir. Mais finalement, c’est dans les livres érotiques qu’elle a trouvé un exutoire à ses fantasmes. Elle imagine des situations érotiques complexes où le corps ne trouve pas son plaisir simplement dans les mouvements mécaniques de la sexualité, mais par des situations raffinées ou obscènes.
Elle a entendu Marc. Elle se lève et le rejoint dans le carré.
— Bonjour, Raphaëlle. Bien dormi ?— Pff, un mal fou à m’endormir : mes voisins ont fait du bruit !
Marc s’arrête un instant dans la préparation du petit déjeuner. Puis, restant dans le ton qu’a posé Raphaëlle :
— Ah bon ? C’est insupportable ! Tu t’es plainte à la propriétaire ?— Non, mais je vais lui en parler dès qu’elle sera levée.— Et c’était si désagréable, ces bruits ?
Raphaëlle rougit. L’arrivée de sa maman la dispense de toute réponse.
Isabelle entre dans le carré. Elle se sent mal à l’aise : se retrouver ainsi devant son amant d’une nuit et devant sa fille n’est pas une situation qui lui convient. Elle a passé un tee-shirt blanc et un jean bleu sur ses sous-vêtements. Elle aurait pu prendre une douche, mais elle a envie de garder sur elle le parfum de sa nuit de plaisir. Quand elle entre dans le carré, elle n’ose regarder Marc, et quand elle croise le regard de sa fille, Isabelle rougit.
Le petit déjeuner est silencieux au départ, puis peu à peu la situation redevient plus légère. Ils reprennent leur croisière avec un vent soutenu de face qui fait giter le bateau. Plusieurs fois, Isabelle et Marc ont été seuls. Au « Ça va ? », Isabelle a juste répondu par un « Oui, oui. »
Raphaëlle les observe. Elle voit bien la gêne de sa maman et elle se doute qu’une partie de cette gêne vient du fait de la présence de sa fille. Elle trouve sa maman très belle, moins rigide que d’habitude. Elle voudrait aider Isabelle mais, la connaissant, elle se doute que ce sera en pure perte. Elle trouve la situation excitante : sa maman, son amant et elle sur un même bateau. Elle doit s’avouer un désir pour Marc. Elle n’a jamais eu d’amants mûrs et elle se sent attirée par son aspect solide et rassurant. Elle sourit des détours de son imaginaire, sachant parfaitement que tout rapprochement serait impossible.
Isabelle se sent un peu perdue. Si elle s’écoutait, elle se jetterait dans les bras de Marc pour l’embrasser, pour sentir à nouveau le corps de cet homme contre le sien. Elle sent son sexe gonflé se presser contre le tissu de son jean. Elle se doute qu’elle doit être humide. Elle veut rejeter cette envie, ce désir. Jamais elle ne s’est sentie dans cette posture de femelle pleine d’envie. Et puis il y a sa fille… Elle ne veut pas, devant elle, tenir le rôle d’une femme en chaleur. Elle s’est souvent demandé si son attitude assez stricte n’influençait pas Raphaëlle. Si elle l’a très tôt informée sur la sexualité, elle s’est bornée à un discours médical. Elle n’a jamais trouvé – ou voulu trouver – les mots pour parler du plaisir et de la sensualité qui accompagnent l’acte sexuel. Elle voudrait changer cette attitude de maman stricte, mais elle s’en sent incapable.
Marc observe les deux femmes. Raphaëlle est à la barre. Elle est debout, bien calée sur ses jambes. Son regard passe des voiles à l’horizon, puis sur les différents repères qui lui permettent de tenir son cap. Elle a beaucoup d’assurance, comme dans tout ce qu’elle fait. Elle réfléchit vite, donne son avis avec vivacité. Elle a l’assurance d’une femme adulte, mais la fragilité d’une jeune femme. Isabelle, en train de ranger des cordages, paraît mal à l’aise. Elle ne cesse de jeter des regards sur sa fille. Elle se mordille les lèvres. Son jean moule parfaitement ses formes, et Marc retrouve lorsqu’elle se penche la cambrure des reins ou la rondeur des fesses qu’il a caressées cette nuit. Il a très envie d’elle et la prendrait bien pour aller faire l’amour dans la cabine, laissant à Raphaëlle le soin de tenir la barre. Il essaie de s’occuper pour évacuer ses idées, mais sa queue est dure d’envie.
Le soleil est très piquant, et vers 13 heures Raphaëlle demande s’il est possible de s’arrêter pour piquer une tête dans la mer. Isabelle et Marc enroulent les voiles et jettent l’ancre. Raphaëlle se précipite dans sa cabine pour passer un maillot. Elle en a pris deux : un maillot une pièce qu’elle utilise pour faire des longueurs dans la piscine, et un joli bikini beaucoup plus sexy qu’elle n’a encore jamais porté. Après un instant d’hésitation, elle passe le bikini et, sortant en courant de la cabine, elle rejoint le cockpit et plonge dans l’eau. Marc est allé se changer, et ayant passé un short de bain, il rejoint la jeune fille. Isabelle hésite, mais sa fille lui crie de venir ; alors elle finit par céder dans un maillot une pièce plus fonctionnel qu’esthétique.
Ils passent un moment dans l’eau tous les trois, et Raphaëlle ressort la première pour aller s’allonger à l’avant du bateau. Marc s’approche d’Isabelle et l’entoure. Jetant un coup d’œil pour s’assurer que sa fille ne peut la voir, elle répond à ce geste et embrasse Marc avec tout le désir retenu depuis le début de la journée. Leur baiser est passionné et leurs corps se cherchent. Ils se tiennent à l’échelle de descente. Isabelle a entouré les cuisses de son amant et sent la queue raide qui se presse contre son pubis. Marc fait glisser une bretelle du maillot et tète le bout d’un sein salé par l’eau de mer. Isabelle est horriblement gênée et ne cesse de jeter des coups d’œil pour s’assurer que sa fille ne va pas les découvrir ainsi. Pourtant elle ne résiste pas. Quand elle sent la main de Marc se glisser pour caresser sa fente, elle a un sursaut et chuchote :
— Non, non, je t’en prie…— Ça ne te plaît pas ? Tu en as pourtant envie, toi aussi.— Non ; enfin, oui, j’ai envie, mais Raphaëlle est là tout près.— Cette nuit aussi elle était tout près…— Arrête-toi, sinon je ne vais pas résister et après je m en voudrai.
Marc hoche la tête à cet aveu et cesse sa caresse. Il reste plaqué contre elle, l’embrassant dans le cou.
— Euh, tu me laisses, s’il te plaît ?— Pourquoi ? On est bien, on est sage.— Oui… Écoute, j’ai envie de faire pipi.
Marc sourit. Mais il ne bouge pas.
— Eh bien, fais pipi.— Mais tu es contre moi…— Humm, oui, je sais.
Isabelle fait les gros yeux, essaie un peu de se dégager puis, comprenant que Marc ne changera pas d’avis, elle se laisse aller.Au début, très gênée, elle ne fait que lâcher des jets courts dans son maillot de bain. Puis peu à peu, avec un plaisir qui la surprend elle-même, elle se laisse aller, les yeux fermés, à uriner dans l’eau contre son amant. Marc sent la chaleur de l’urine au travers de leurs maillots. Il prend la bouche d’Isabelle, et celle-ci l’embrasse avec passion. Et elle retient un petit cri quand elle sent aussi la chaleur provenant de Marc. Lui aussi urine contre elle.
— Hou-hou, les amoureux… Ça va ? J’ai faim, moi !
Isabelle sursaute.
— Oui, ma chérie, on va manger.
Très gênée, elle sort de l’eau, se rendant compte alors qu’elle est sur le pont face à sa fille qu’elle n’a pas remonté sa bretelle et que son sein est nu. Face à Raphaëlle, elle se rajuste en lui disant :
— Aucun commentaire, s’il te plaît.
Marc sort de l’eau peu de temps après. L’eau qui plaque le tissu du short de bain épouse très étroitement la forme de sa queue dure. Raphaëlle cille un peu en devinant ainsi la taille du sexe de Marc. Elle lui tend une serviette que Marc prend avec un sourire dénué de la moindre trace de gêne.
Ils prennent tous les trois le déjeuner à l’ancre. Raphaëlle et Marc sont restés en maillot alors qu’Isabelle est allée se changer, passant un short et un tee-shirt. À plusieurs reprises le regard de Raphaëlle s’est attardé sur le short humide de Marc où le sexe reste gonflé.
Après le repas, ils remettent le voilier en marche. Au bout de quelques instants, Marc demande à Raphaëlle :
— Ça te dérange si on va faire une sieste, ta maman et moi ?— Non, je vais juste mettre mes écouteurs pour que la musique couvre mes chastes oreilles de vos…— Raphaëlle !— Euh, pardon, maman. Bien sûr, vous pouvez aller… dormir.
Marc prend la main d’Isabelle et descend dans sa cabine. Comme souvent, les cabines arrière sont éclairées par des hublots plus ou moins grands ; et sur ce voilier, les hublots sont de bonne taille. En entrant dans la cabine, le couple ne ferme pas le rideau occultant. Pressé par le désir, ou oubli volontaire ?
En quelques instants ils sont nus. Marc approche sa queue dure du visage d’Isabelle qui s’en empare, passant la langue sur la queue salée avant de la prendre en bouche. Elle suce avec une grande douceur, une grande onctuosité, enroulant sa langue autour du gland. Ses doigts massent doucement les couilles lourdes de Marc. Pour la première fois elle se rend compte que sa queue et ses couilles sont lisses. Elle gémit quand elle sent les doigts de Marc qui écartent sa fente et font rouler son clitoris. Il prend son temps, effleurant, faisant des gestes rapides, appuyant plus fort pour apprendre les gestes qui donnent du plaisir à Isabelle. Elle suce la queue, continuant ses caresses tendres et douces pour ensuite pomper la queue dure, l’enfonçant le plus loin possible. Marc gémit en levant les yeux. À ce moment-là, il voit le visage de Raphaëlle au-delà du hublot. Il la fixe, lui sourit avant de fermer les yeux pour se concentrer sur le plaisir de la fellation.
Pivotant sans sortir sa queue de la bouche d’Isabelle, il plonge son visage entre les cuisses de la femme. Elle est trempée. Il commence à la lécher, caressant son intimité, sa chatte, l’intérieur de ses cuisses, faisant glisser ses doigts dans la raie. À chaque caresse, Isabelle répond par des gémissements de plus en plus bruyants, et elle râle dans un long orgasme qui mouille le visage de Marc. Elle reste ainsi, la queue de Marc plantée dans sa gorge. Elle ne le pompe plus, cherchant à reprendre son souffle.
À quatre pattes au-dessus d’elle, Marc aussi reprend son souffle. S’il n’a pas joui, ces moments ont été intenses, son visage plongé dans la moule parfumée de son amante… Il se retourne et l’observe, nue, offerte, les cuisses écartées, les tétons dressés. Elle ouvre les yeux. Elle s’écarte encore plus, relève les cuisses et bascule le bassin dans un geste d’invite, s’abandonnant totalement. Marc vient sur elle et la pénètre d’un sel coup de reins. Il commence ses va-et-vient, son regard fixé sur le visage d’Isabelle. Il sent qu’il peut la prendre brutalement, que son bassin va au devant de sa queue. Rapidement elle râle puis elle crie, essayant d’étouffer ses cris mais ne pouvant résister quand elle part pour un nouvel orgasme. Marc accélère pour la rejoindre, la remplissant de son sperme.
Les deux amants restent enlacés, enfouis l’un contre l’autre.
Raphaëlle aussi a joui. Une main dans son maillot de bain, elle a joui à plusieurs reprises en regardant ce couple faire l’amour à quelques centimètres d’elle, en regardant sa maman faire tous ces gestes si crus, la trouvant si belle…
Plus tard, Marc et Isabelle remontent ensemble sur le pont. Raphaëlle remarque aussitôt que sa maman n’a pas remis son soutien-gorge. La mère et la fille échangent un sourire complice.
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