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La croisière

Chapitre 3

Erotique
Chapitre 6 : 3ème jour de navigation – soirée

Peu de temps après, un coup de vent oblige les trois marins à s’employer sur le pont du bateau. Raphaëlle a juste eu le temps de passer un pantalon et un petit pull. Et pendant trois heures ils sont tous absorbés par le plaisir de la voile, par le vent qui tire sur les haubans, par la houle qui claque contre les francs-bords. Trois heures à se relayer à la barre et aux manœuvres. Au soir, ils trouvent une place dans un petit port.
Isabelle sort faire quelques courses, puis ils partent tous les trois pour se doucher. Il n’y a qu’une cabine de disponible dans les douches pour femmes. Raphaëlle entre avec sa maman ; elle remarque son air contrarié.
— Ça ne va pas ? — Si, si, bébé.— Mais non, tu as l’air fâché. Oh, tu préfères prendre ta douche toute seule ?
Raphaëlle est surprise, car si sa mère est pudique, elles ont souvent pris des bains et des douches ensemble.
— Non, ce n’est pas ça. Enfin, si.— Maman, ce serait plus simple si tu t’expliquais.
Isabelle rougit comme une collégienne.
— Je, euh… je pensais raser mon pubis.— Te raser ? Ah, d’accord.
Raphaëlle ne peut s’empêcher de sourire, puis elle entoure sa maman de ses bras.
— Je comprends, maman. Je comprends que tu aies envie de plaire à Marc.— Tu dois me trouver idiote, alors que ça ne fait que quelques jours que nous nous connaissons…
— Non, maman, pas du tout.
Les deux femmes débutent leur douche puis, avec un peu de gêne, Isabelle commence par couper les poils de sa toison avec des ciseaux. Afin que sa maman ne soit pas gênée, Raphaëlle parle de leur après-midi de bateau, de la traversée, puis elle lui dit :
— Laisse-moi faire, maman.
Agenouillée, elle finit d’utiliser les ciseaux, puis elle étale la crème que sa maman a achetée.
— Je retire tout ou tu veux en garder une partie ? Un ticket de métro ?— Ben, je ne sais pas trop… Non, enlève tout.
Raphaëlle s’applique. Elle se sent très troublée de faire cela à sa maman. Peu à peu, elle rase les poils en s’appliquant. La toison disparaît, laissant place à un sexe glabre. Elle voit bien que les lèvres intimes de sa maman sont gonflées ; cela doit être troublant d’avoir un tel soin prodigué par sa propre fille.
Quand elle a fini, elle se lave les mains pendant qu’Isabelle retourne sous la douche.En se rhabillant, Raphaëlle voit sa maman enduire sa fente d’une huile parfumée.
— Arrête de me regarder, ma puce…— Maman, on est entre nous. C’est bon, pas la peine d’être gênée. Tu te fais belle pour ton amant ? C’est plutôt… beau.— N’empêche que j’ai honte, tu sais, de me comporter comme cela : me livrer à Marc, me préparer devant toi sans aucune pudeur…— Maman, je t’aime, et je suis heureuse de ce qui t’arrive.
Isabelle se rhabille. Elles retournent ensemble au bateau, Isabelle troublée de sentir sa fente ainsi préparée.
Un délicieux fumet les accueille. Marc a pris le temps de préparer un repas rapide mais qui embaume dans le carré. Une bouteille de vin blanc est posée sur la table. Il a coupé du saucisson et des olives en guise d’apéritif. Ils trinquent tous les trois. Raphaëlle sourit de voir sa maman et Marc rester à une distance raisonnable alors que manifestement ils n’ont qu’une envie : se coller l’un à l autre.Puis ils s’assoient. Marc et Isabelle d’un côté, et Raphaëlle en face.
Le repas se déroule dans une ambiance joyeuse. Raphaëlle pose des questions à Marc qui lui apprend qu’il a une fille et deux petits-enfants. Elle est amusée de découvrir en Marc un grand-père ; elle lui pose beaucoup de questions. Isabelle intervient assez peu mais écoute, avec attention, faisant ainsi mieux connaissance avec son amant.
Discrètement – mais pas assez pour que cela échappe à Raphaëlle – Marc a posé sa main sur la cuisse d’Isabelle, qui d’abord se raidit sur son siège, mais elle ne cherche pas à retirer la main qui, avec légèreté, caresse la peau douce de ses cuisses. Et lorsque la main remonte doucement, elle écarte les jambes pour laisser la voie libre à son amant.
— Et tu t’entends bien avec ton gendre ?— Je n’ai pas de gendre. Comment dire cela… ma fille a décidé d’élever seule ses enfants.— Ah bon ? Elle a fait une fécondation in vitro ?— Pas vraiment. La fécondation in vitro n’est pas autorisée pour une femme seule. Non, elle a fait l’amour pour pouvoir avoir ses deux enfants.
Raphaëlle reste un instant silencieuse. Elle comprend que la fille de Marc est une jeune femme très libre. La main de Marc caresse doucement l’intérieur des cuisses d’Isabelle. Elle laisse Marc la toucher selon son envie, acceptant cette caresse indécente presque sous le regard de sa fille.
— Je crois que j’aimerais bien rencontrer Lucie. Elle a l’air d’être très intéressante.
Marc hoche la tête. Il effleure la petite culotte d’Isabelle. Le tissu fin moule la fente gonflée de son amante. Il sent la chaleur et la moiteur de ce sexe prêt à s’offrir à ses caresses.
Le repas se termine.
— Tu viens ?— Je vais dans ma cabine pour me changer et je te rejoins. Je fais vite.
Les deux femmes se retrouvent dans la cabine. Isabelle cherche sa chemise de nuit.
— Maman, tu ne vas pas porter ça quand même ?— Mais que veux-tu que je mette ? Je n’ai pas emporté de nuisette ; je ne pensais pas du tout que cela se passerait comme cela, tu sais.— Arrête de te justifier.— J’ai du mal ; j’ai tellement honte de faire tout cela presque devant toi… Et en même temps, je crois n’avoir jamais été aussi heureuse.— Même avec papa ?— Si, si, bien sûr ; j’ai été heureuse avec ton papa.— Mais pas comme tu l’es maintenant avec Marc.
Isabelle hésite avant de répondre. Elle ne veut pas heurter les sentiments de Raphaëlle envers son père, mais elle ne veut pas lui mentir.
— Je vis quelque chose de différent ; c’est tellement intense… Peut-être à cause de la situation, d’être là sur le bateau ; ou mon âge qui me fait vivre cette relation avec tant de plaisir. J’ai été heureuse avec ton papa, mais ce que je vis aujourd’hui est d’une autre nature ; et, même si cela ne dure que le temps de cette traversée, j’ai envie de le vivre pleinement.— Maman, sois heureuse ; arrête de chercher des excuses, des justifications. Tu es belle, et tu plais à Marc. Et demain, tu verras bien ce qu’il se passe.— On dirait que c’est toi l’adulte et moi l’enfant, mon bébé.
Raphaëlle sourit. Dans les affaires de sa maman, elle a pris une tunique blanche assez longue.
— Tiens, mets-la.
Isabelle retire sa chemise de nuit et passe la tunique. Raphaëlle sourit en la voyant attacher sagement tous les boutons. S’approchant de sa mère, elle défait les derniers boutons pour bien dégager ses cuisses et son sexe récemment épilé, puis elle les déboutonne en haut jusqu’à ce que ses seins soient bien offerts au regard.
— Voilà, Marc gagnera du temps.— Raphaëlle !
Mais c’est un sourire complice qui unit les deux femmes.Isabelle sort de la chambre. Elle va rejoindre Marc pour faire l’amour avec lui. Comme la porte de sa cabine est déjà ouverte, elle aperçoit Marc étendu, nu, sur le lit. Son cœur bat très fort ; elle a tellement envie…Marc s’est redressé à genoux sur le lit. Sa queue dure pointe déjà.
— Tu es magnifique, Isabelle !
Il prend le temps de la déguster du regard. Elle se mordille les lèvres, gênée et fière de son ventre parfaitement lisse ; dans le regard de son amant, elle voit qu’il apprécie. Marc fait glisser la tunique sur les épaules pour dévoiler les seins. Il se penche pour s’en emparer, l’un après l’autre. D’abord un baiser sur chacun, puis une succion plus longue, et enfin sa langue qui tourne sur le téton dardé. Il tire Isabelle pour l’entraîner sur le lit. Elle est étendue, parfaitement abandonnée. Marc est toujours à genoux.
Il prend la jambe droite de son amante, masse doucement son pied et y passe sa langue. Doucement il tête, l’un après l’autre, les orteils de sa maîtresse qui gémit sous cette caresse. Les gestes, la langue qui se glisse, les filets de salive sur son pied, tout est terriblement sensuel. Elle pose son autre pied sur la queue dure de son amant et la presse. Elle aime le sentir raide, dur, plein d’envie. Marc lèche le tendon d’Achille, le mordille, puis remonte le long du mollet et au creux du genou avec des coups de langue baveux. Isabelle se tortille, s’ouvre, offrant sa chatte trempée comme jamais elle ne l’a fait.
— Mais viens, viens ! Baise-moi, je n’en peux plus…
Mais Marc prend son temps et joue sur la peau fine. Il remonte sur l’intérieur de la cuisse à la limite de la vulve, puis recommence avec l’autre jambe.
— Salaud… tu me rends folle d’envie ! Je coule… Et toi, cochon, ça te plaît !
Marc continue de prendre son temps. Les gémissements d’Isabelle emplissent la cabine, et par la porte mal fermée dans la précipitation de retrouver son amant, ces bruits sont écoutés avec attention et trouble par Raphaëlle. Elle s’est installée, nue dans le carré, pour écouter les deux amants faire l’amour.
Marc est venu entre les cuisses d’Isabelle. D’elle-même, sa maîtresse a relevé très haut ses cuisses, les nouant derrière le bassin de son amant qui la pénètre d’un seul coup de reins. Il se penche pour échanger avec Isabelle un long baiser, faisant glisser sa salive sur la langue de son amante. Puis il la pilonne, ne bougeant que le bassin, le reste du corps immobile ; son sexe va et vient dans la chatte ouverte d’Isabelle. Celle-ci, cambrée, pousse de cris de plus en plus forts avant d’être entraînée dans une jouissance infinie.
Elle attire Marc pour qu’il jouisse dans son ventre, mais lui – au contraire – se retire et se glisse, le visage entre les cuisses d’Isabelle. Il commence à lécher la fente humide de sa récente jouissance puis, faisant basculer le bassin en arrière, sa langue descend pour lécher le périnée puis jouer avec la rondelle. Isabelle est gênée.
— Non, non, Marc ! Pas là, je ne l’ai jamais fait.— Laisse-moi faire ; essaie simplement et, promis, si tu n aimes pas, j’arrête. D’accord ?— Mais, euh… c’est sale, non ?— Non, tu as pris une douche ce soir ; laisse-toi faire…
Et le bout de la langue de Marc commence à lécher l’anus d’Isabelle ; pointe de la langue, plat de la langue, puis la bouche collée contre l’anus pour la manger. Au début, Marc sent de la tension chez Isabelle, mais peu à peu elle se laisse aller, venant au devant de cette langue qui lui fait découvrir un plaisir jusque-là ignoré. Puis la langue de Marc fait des va-et-vient du haut de sa fente jusqu’à son anus. Elle s’offre, se donne. Marc se relève et, la positionnant en levrette, il s’enfonce dans son vagin et commence à la baiser. Il est trop tôt pour l’enculer, mais son pouce continue de masser sa rondelle, et les cris sans retenue d’Isabelle montrent tout le plaisir qu’elle y prend.
Plus tard, ils sont couchés, enlacés. Elle a posé sa joue au creux de son épaule.
— Tu es heureuse, Isabelle ?— Oui. Je crois. Tu me proposes quelque chose de différents de ma relation avec mon mari ou les quelques amants que j’ai pu avoir.— En quoi est-ce si différent ?— C’est comme si tout était possible. Comme ce matin dans l’eau, quand on a fait pipi l’un contre l’autre. J’ai bien vu que cela t’excitait.— Oui, je le reconnais, j’adore les jeux de pipi. Je trouve cela doux sensuel. En anglais, on appelle ça golden shower, douche dorée. Je trouve que cela porte très bien son nom.— Mais tu ne te mets aucun interdit, aucune limite ?— J’ai des limites.— Ah bon ? Lesquelles ?— J’ai deux limites. Tout d’abord, ne rien faire en l’imposant. C’est une première limite.— Oui, mais tout à l’heure, quand tu as léché mon… ma…— Ton anus, ton petit trou, si tu veux rester convenable. Ta rondelle, ton trou du cul, si tu veux être plus crue.— Idiot, va ! Oui, quand tu m’as léchée là, je ne voulais pas.— Mais j’aurais arrêté à ta demande. Et je crois que tu as plutôt aimé.— Humm… oui, beaucoup. Je ne suis pas encore super à l’aise, mais c’est vrai que c’est très excitant. Et quelle est ton autre limite ?— La pédophilie ; les relations entre des mineurs et des adultes. Utiliser le pouvoir d’un adulte sur un enfant pour prendre du plaisir, je trouve cela insupportable. En quand en plus ce sont des parents qui utilisent leur pouvoir d’adultes et leur pouvoir moral, c’est encore pire.— Oui, je comprends ; l’inceste, c’est un tabou pour toi.— Non, ce n’est pas ce que j’ai dit : je trouve insupportable la relation entre parents et enfants mineurs ; mais entre adultes consentants, cela ne regarde qu’eux.
Il y a un long silence après ces propos. Isabelle voudrait poser d’autres questions, mais elle n’ose pas ; elle a peur des réponses qu’elle pourrait avoir.
— Tu sais ce qui m’empêche d’être tout à fait heureuse ? C’est de faire tout cela avec ma fille si près. — Pourquoi es-tu si mal à l’aise ? Raphaëlle semble plutôt amusée par notre relation. Et je pense qu’elle en profite elle aussi.— Qu’elle en profite ? Comment cela ?— Eh bien, cet après midi, je peux te dire qu’elle nous a regardés quand on a fait notre sieste cochonne.— Quoi ? Mais tu aurais du me le dire ! C’est encore pire !— Si elle nous a regardés, c’est que ça lui plaisait.— Mais tu te rends compte ? Je suis sa mère !— Oui, je crois qu’elle est au courant. Et je suis sûr qu’elle doit se caresser en nous écoutant baiser.— Arrête ! Je ne veux plus t’entendre…
Marc sourit de cette pudeur tardive alors qu’il y a quelques minutes elle jouissait avec de longs cris de plaisir qui emplissaient tout le bateau.
— Dis, Marc, tu t’es beaucoup occupé de moi. J’aimerais aussi te caresser d’une manière qui te donne beaucoup de plaisir.
Marc la regarde. La lumière du quai éclaire la cabine d’une lueur tamisée. Elle est abandonnée, et Marc sent son corps nu et chaud pressé contre le sien. Il se demande ce que cette aventure va devenir.
— Ce que j’aimerais ? Que tu me fasses la même caresse que je t’ai faite tout à l’heure. Que tu me lèches l’anus.— Mais, tu aimes cela aussi ?— Je ne sais pas s’il y a beaucoup de différences physiologiques entre l’anus d un homme et celui d’une femme. C’est plus une différence culturelle. Pour un homme, avouer qu’il aime qu’on caresse, qu’on lèche ou qu’on pénètre son anus, c’est passer pour un pédé. Alors que chez une femme, on dit juste qu’elle aime se faire enculer. Alors oui, j’aime cela aussi.
Isabelle a un court instant d’hésitation, puis elle roule sur son amant et l’embrasse.
— Je vais lécher ton… je vais lécher ton petit trou, mon amour. Tu veux te mettre comment ?— Je vais rester sur le dos : comme cela, je pourrai voir ton visage.
Isabelle embrasse le torse de son amant et descend doucement. Elle sent que Marc écarte les cuisses. Elle embrasse et lèche sa queue qui recommence à bander lentement, puis elle l’avale et joue avec sa langue et sa salive car elle a compris que Marc aime cela. Il a remonté les genoux. Elle se glisse encore. Marc bascule en arrière dans une position parfaitement obscène ; mais c’est cette obscénité même qui libère Isabelle. Jamais elle n’a eu un amant qui s’offrait ainsi à ses caresses. Elle se sent en parfaite osmose avec lui.
Tout en branlant la queue devenue dure, elle lèche les couilles et les gobe. Elle fixe le regard de son amant. Lui ne la lâche pas du regard. Il a la bouche ouverte et laisse filer des gémissements. Elle embouche ses couilles jusqu’à ce qu’elles soient enduites de salive. Alors la pointe de sa langue découvre le passage qui, de la base des couilles, mène à la rondelle anale. Marc a basculé complètement en arrière, les fesses dressées pour offrir son anus à la caresse d’Isabelle qui agit lentement pour savourer chaque instant de cette caresse. Elle qui pensait devoir dépasser un léger dégoût, elle apprécie au contraire de lécher son cul car maintenant, dans sa tête, c’est bien ce qu’elle se dit. Elle va et vient, passant sa langue saliveuse sur toute la largeur de la raie culière de son amant, puis elle joue avec la rondelle, tournant, cherchant à pointer, à forcer la large rondelle.
— C’est bon… Putain, que c’est bon ! Tu me lèches super bien… Continue, salope, tu es trop bonne.
Isabelle relève la tête et enfonce son pouce dans l’anus de Marc, qui répond par un gémissement. Son autre main branle de plus en plus vite la queue raide de son amant. Marc halète, tenant ses jambes vers lui pour bien s’exhiber son anus.
— Ça te plaît, salaud, ça te plaît que je te caresse le cul ?— Ouiiiii… Je vais gicler, je vais jouir. Tu es trop bonne…— Vas-y, mon salaud, vas-y, vide tes couilles !
Et Marc, dans un grognement, explose de plaisir, enduisant les doigts de sa maîtresse de son foutre épais, des filets de sperme arrivant jusqu’à son ventre et son torse. Il laisse retomber ses pieds de part et d’autre d’Isabelle.Le plaisir a été tellement fort qu’il a du mal à reprendre son souffle. Isabelle sort son pouce enfoncé dans son anus et, après un instant d’hésitation, elle le lèche en fixant Marc dans les yeux. Puis elle se couche sur lui et l’embrasse dans un long baiser amoureux.
Isabelle s’est relevée pour aller rejoindre sa fille. Elle se glisse, nue et humide, dans les draps. Sa fille vient se pelotonner contre elle, et Isabelle est émue de sentir la joue de sa fille contre son sein nu qui porte encore les traces de ses moments d’amour avec Marc.
Dans son sommeil, Raphaëlle a posé une main sur l’épaule de sa maman. Isabelle prend cette main en faisant attention de ne pas la réveiller et respire les doigts de sa fille ; elle trouve le parfum intime de la jouissance sur les doigts fins de son bébé.
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