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La croisière

Chapitre 7

Hétéro
Dernier volet de cette histoire. Très romancée, très écrite, elle mélange des situations réelles et des fantasmes. J’ai pris beaucoup de plaisir à l’écrire. J’ai été encouragé , appuyé et conseillé par Serguei Lioubov, mais aussi par des commentaires chaleureux de certains lecteurs.
Merci
Chapitre 10

Il est 15 heures en ce bel après-midi de la fin juin. Une maison parisienne avec un petit jardin. Le salon meublé de manière moderne est largement éclairé par de grandes portes vitrées qui donnent sur une terrasse. Isabelle est assise dans un profond fauteuil de cuir. Elle repense à tout ce qui s’est passé depuis plus d’un an, depuis qu’elle est revenue de cette croisière avec Marc.
Le retour à Paris avait été difficile. Marc et elle avaient décidé de se donner un mois pour prendre un peu de recul par rapport à tout ce qu’ils avaient vécu en si peu de jours.
Les premiers temps à Paris, Raphaëlle dormait chaque soir dans son lit, et elles s’endormaient très tard, découvrant de multiples manières pour se donner du plaisir. Mais rapidement Isabelle a imposé des règles, à la fois pour que sa fille puisse poursuivre les études exigeantes qu’elle a entreprises, et pour ne pas l’enfermer dans cette relation incestueuse. Depuis un an – sauf pour de très rares exceptions – Raphaëlle ne dort pas avec elle la semaine, mais les week-ends et les vacances sont tendres, érotiques, et souvent beaucoup plus.
Le manque de Marc s’est très vite fait sentir. Elle a été heureuse de découvrir que Marc, lui aussi, paraissait mal vivre leur éloignement. Rapidement ils ont passé des heures en SMS, échange de mails, Skype. Au bout de trois semaines, Isabelle a pris l’avion pour rejoindre Marc dans son appartement de Montpellier où ils ont fait l’amour sans sortir une seule fois.
Le week-end suivant ils se sont retrouvés et ont pris le temps de parler de leur avenir. Marc a accepté de venir vivre à Paris. Ils ont trouvé et acheté ensemble cette maison où ils ont emménagé peu après la fin de l’été. Une nouvelle vie a commencé.
Isabelle n’a pas l impression d’avoir dû choisir le mode de vie de Marc ; elle n’a pas le sentiment d’avoir dû faire des compromis, pour l’un comme pour l’autre. Elle aime cette vie où le sexe fait partie intégrante de son quotidien. Elle a découvert que bien des envies – qu’elle rangeait au rang des fantasmes – n’attendaient que sa seule volonté pour se réaliser. Elle a appris à apprécier des situations qu’elle aurait qualifiées de malsaines, de perverses. Elle s’est découvert un goût pour la soumission.
Elle a changé beaucoup de choses dans sa vie. Elle a réduit ses activités professionnelles et a revendu une partie de son cabinet médical à une jeune doctoresse, intelligente et ambitieuse... et qui s’est en plus révélée très vite délicieusement coquine. Isabelle ne travaille que les mardis, mercredis et jeudis, réservant ainsi de grands week-ends pour les passer avec Marc, Raphaëlle, et Lucie.
Cette nouvelle vie a été connue rapidement par ses amis. « On » dit qu’elle est tombée sous la coupe d’un homme pervers, qu’ensemble ils fréquentent les lieux libertins, qu’elle s’affiche dans des tenues indécentes ; certains ont parlé de relations troubles avec sa fille. Beaucoup de ses amis ont rompu avec elle. Finalement, elle s’est rendu compte que c’étaient des gens qui comptaient peu pour elle, qui étaient plus des connaissances que des amis.
Pour elle, le plus difficile a été d’en parler avec ses quatre plus anciennes amies, des amies qu’elle ne voulait pas perdre. Elle les a réunies pour leur expliquer ce nouveau bonheur, cette chance d’avoir trouvé cet amour qu’elle n’attendait plus. Sans fausse pudeur, elle a parlé de sa vie ouverte sur une sexualité très libre.
L’une d’elles – sa plus ancienne amie –, choquée, est partie. Les trois autres, gênées, ont posé des questions. Elles ont accepté cette nouvelle Isabelle, et deux d’entre elles font maintenant parties de leur cercle d’amis intimes. Et le temps passant, sa plus ancienne amie a repris contact ; si elle désapprouve son mode de vie, elles se revoient régulièrement pour manger ensemble.
Isabelle cherche une meilleure position sur son fauteuil. À plus de 7 mois de grossesse, son ventre rond commence à peser et elle a fréquemment mal au dos. Une petite main attire son attention. Elle sourit à la jolie bouille ronde aux lèvres enduites de chocolat qui la regarde. C’est Lola, la plus jeune fille de Lucie ; à deux ans, Lola est très éveillée, faisant mille petites bêtises que tout le monde lui pardonne à cause de son sourire irrésistible. Charlotte, sa grande sœur, a 6 ans. Plus sage, plus posée, elle prend très à cœur son rôle de grande sœur. Les deux fillettes sont adorables, et Isabelle profite de ces deux petits bouts de femmes qui vivent avec leur maman chez eux.
Lucie a été une merveilleuse découverte. C’est une femme avec une énergie incroyable qui, en plus d’un travail important dans une entreprise internationale de consulting, a monté des petites start-up pour développer plusieurs projets, dont l’un paraît très prometteur. Elle fait beaucoup de sport. C’est une amoureuse inventive, sans limites, et elle adore son papa qui le lui rend bien. Lucie a adopté Isabelle, et les deux femmes s’entendent très bien. Et surtout, Lucie et Raphaëlle se sont trouvées. Lucie, très fêtarde, a appris à Raphaëlle, trop sérieuse, à lâcher prise, à faire des soirées sans contrôle, et les deux filles sont devenues extrêmement proches, sœurs/amantes.
Hier soir, elles sont sorties pour fêter la réussite de Raphaëlle, et Isabelle les a entendu rentrer vers 6 heures du matin, visiblement ivres. Elle a entendu leurs gémissements. Elles dorment encore, et Isabelle a eu du mal pour empêcher Lola d’entrer dans la chambre des deux amantes.
Isabelle se lève à la fois pour détendre un peu son dos et pour aller nettoyer le visage de Lola. Sa grand-mère doit passer les chercher pour 15 jours dans le Sud-Ouest.
Elle entraîne Lola dans la salle de bain du bas. Le rez-de-chaussée de la maison est composé d’une salle à manger, d’un très grand séjour, d’une cuisine et de sanitaires. À l’étage, les chambres. Quand les petites ne sont pas là, les portes restent ouvertes. Le sous-sol a été aménagé pour certaines pratiques plus particulières.
Quand elle revient, elle voit qu’Isabelle est levée. Elle s’est douchée et porte un petit short avec un léger haut à bretelles sans soutien-gorge. Elle écoute Charlotte lui raconter quelque chose. Isabelle admire cette capacité qu’a Lucie de créer une bulle avec ses filles, les écoutant avec attention, leur accordant une attention extrême. En voyant sa maman, Lola se précipite, écarte sa sœur et se pelotonne contre elle. Lucie l’embrasse, mais sans détourner son attention de Charlotte. Lola fait glisser l’épaulette du haut de sa maman et commence à téter son sein. Lucie laisse sa fille venir téter à la demande sans jamais le lui refuser. Isabelle la regarde, se disant que l’éducation de sa fille, dans son ventre, sera très différente de l’éducation très réglée qu’a eue Raphaëlle.
À ce moment-là sa fille arrive, les cheveux en bataille, en tee-shirt et petite culotte ; elle n’a pas encore pris sa douche. Elle tient un verre où fond un comprimé d’aspirine. Elle se couche sur le canapé où Isabelle est assise et pose sa tête sur les cuisses de sa maman, collant sa joue contre le ventre rond.
— Ça va, bébé ?— Mal de tête…— Vous vous êtes bien amusées ?
Raphaëlle montre les deux fillettes. Isabelle sourit en passant ses doigts sur des traces de sperme séché qui sont restées sur la peau de sa fille.
— Il faut que tu te douches, bébé !— Oui, je sais. J’avale mon aspirine et j’y vais.
À ce moment la porte s’ouvre : c’est Marc qui revient d’un rendez-vous d’affaires. Il se penche pour embrasser ses petites-filles et donne un rapide baiser sur la bouche de Lucie.
— Le taxi est arrivé avec votre grand-mère ; elle m’a dit qu’elle ne descendait pas car elle a peur d’être en retard pour l’avion.
Lucie remet son haut et va chercher les sacs de ses filles. Les deux petites viennent faire des bisous à tout le monde et sortent rejoindre leur grand-mère dans son taxi.
Isabelle sourit à Marc qui est venu s’agenouiller face à elle et caresse son ventre rond. Il se penche pour embrasser Raphaëlle puis donne un long baiser humide sur la bouche d’Isabelle.
— Tu es prête pour ce soir, mon amour ?— Il faut encore recevoir les traiteurs, mais tout sera prêt.
22 h 30 ; Isabelle est nue devant la porte de leur maison. La moitié des invités est déjà arrivée ; elle les a accueillis ainsi, nue, avec son gros ventre et ses seins lourds. Elle a coiffé ses cheveux en queue de cheval tirée, n’en laissant pas échapper un seul. Elle est pieds nus, à la fois très belle et si fragile dans sa nudité… Les autres invités sont encore habillés.
Elle voit Marc en train de discuter avec Sylvie (l’une de ses amies) et Pascal, son mari. Ils boivent un verre en dégustant des petits fours comme dans toute soirée. La sonnette retentit. Isabelle ouvre, laissant entrer le dernier couple. Après un sourire, elle subit le regard de l’homme qui la détaille et qui caresse son ventre rond. Elle se cambre écartant légèrement les jambes.
23 h 30 ; Isabelle est pressée par deux hommes qui se frottent contre elle, attirés par sa grossesse. Personne ne peut la pénétrer car sa gynéco lui a demandé d’espacer les rapports sexuels, mais tout le monde peut l’utiliser autrement. Les hommes ont sorti leur queue et se frottent contre ses fesses ou contre son ventre. Ils la tètent. Elle aime cette sensation d’être utilisée. Elle voit sa fille, son bébé, portant une très jolie guêpière. Elle revient avec un homme de la salle à manger ; son chignon est défait. Elle a entendu ses cris de jouissance peu de temps avant.
00 h 30 ; Isabelle est assise sur le canapé en cuir. Cuisses ouvertes, elle porte des traces de sperme ; sous ses yeux, trois hommes prennent Lucie. La jeune fille s’offre à ses trois baiseurs sans aucune retenue. Au sous-sol, elle vient de voir Raphaëlle jouer avec le corps attaché d’un homme, les poignets liés à des anneaux fixés au mur ; sa fille, son bébé, se livre avec délices à des jeux de domination pour son plaisir et celui de cet homme.
01 h 30 ; Isabelle est couchée sur le canapé, le dos contre le dossier. Elle embrasse le visage de Marc qui est à quatre pattes près d’elle. La bouche des deux amants est soudée et la main d’Isabelle branle sa queue très dure. Il gémit contre sa bouche ; il gémit chaque fois que Pascal s’enfonce plus profondément dans son anus.
02 h 30 ; les couples, les trios, les groupes se font et se défont ; c’est l’heure où tout le monde se lâche, où se réalisent les envies les plus folles. La maison est remplie de gémissements, de cris, de mots crus.
03 h 30 ; les premiers couples s’en vont. Ceux qui restent partagent des moments plus intimes. Raphaëlle est venue lécher la fente de sa maman. Dans ce cercle d’intimes, tout le monde connaît les relations incestueuses qui unissent Raphaëlle et sa maman, Lucie et son papa.
04 h 30 ; la maison est presque vide. Isabelle somnole sur le canapé ; près d’elle, sa fille lui caresse doucement le ventre. Pascal, Sylvie, Lucie et Marc se lèchent, se caressent, se touchent. Leurs corps épuisés ne peuvent les conduire à un nouvel orgasme mais ils profitent encore, après une nuit de sexe, de la chaleur de leurs corps.
05 h 00 ; Lucie, Isabelle, Raphaëlle et Marc sont sous la douche. Lucie et Isabelle s’embrassent avec douceur tandis que Marc et Raphaëlle, à genoux, boivent l’urine des deux femmes.
Dans leur grand lit les quatre amants sont couchés. Isabelle, une main sur son ventre, sent son bébé qui bouge. Elle sent contre elle la chaleur de ses amours. Elle sourit, heureuse.
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