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La croisière partouze

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Quand Lucas m’a plaquée à Bonifacio je me suis retrouvée toute seule comme une conne et sans un rond. Nos vacances avaient bien commencées, plage, soleil, farniente, mais une fois de plus il a dérapé ; trop d’alcool, trop de tentations, la bagarre dans la boite, notre dispute et il m’a plantée là. Il m’a jeté mon sac à dos et est reparti sur sa moto, je pensais qu’il m’appellerait le lendemain matin après avoir dessaoulé mais non, du coup je luis ai laissé un, puis deux messages sur son portable avant de me rendre à l’évidence, je m’étais fait larguer pour de bon et j’allais devoir me débrouiller pour rentrer sur le continent.
Je n’avais quasiment pas un sous en poche, juste de quoi me payer quelques sandwichs, mais sûrement pas un billet de retour. Évidement une jolie fille seule sous le soleil de Corse je n’arrêtais pas de me faire draguer, mais je n’avais pas vraiment de me faire sauter juste pour du fric, ma morale pourtant bien débridée m’interdisait de faire la pute, j’ai donc cherché un petit boulot plus conventionnel en commençant par faire le tour des bars en quête d’un poste de serveuse. Comme j’étais mignonne, que mon décolleté et mes mini shorts étaient plutôt sexy, je n’ai pas eu trop de mal à trouver un patron de bar qui me prenne à l’essai. Tony était sympa, il m’avait bien reluqué au début mais comme il bossait avec sa femme, une brune aux yeux verts magnifique, je pensais pouvoir être tranquille de son coté c’est pour ça que j’avais accepté d’être hébergée dans le petit studio au dessus de son établissement. Mais ça ne me menait pas bien loin, je n’avais pas de contrat, la saison allait se terminer et il fallait que je rentre à Paris ; Tony connaissait mas situation mais n’avait pas vraiment intérêt à ce que je quitte mon job, pourtant il m’a présenté à un de ses amis, Marco, un skipper qui faisait des croisières en voilier entre la Corse et le continent. Marco cherchait une fille pour lui donner un coup de main sur une traversée, faire la cuisine, le ménage, un job de bonniche quoi, mais ça m’allait de faire le chemin du retour comme ça, en plus s’était bien payé.
J’ai donc embarqué un matin, Marco m’a expliqué le bateau, ce qu’il attendait de moi, m’a montré ma cabine, minuscule, et m’a emmené avec lui faire les courses pour les 8 jours que dureraient la croisière. En plus de nous deux, il y aurait deux couples d’amis qui seraient du voyages, des financiers ou des banquiers je ne sais plus très bien et leurs femmes. Mine de rien, 8 jours pour 6 personnes ça fait un paquet de repas, et d’apéro… ! Mais Marco avait l’habitude et savais précisément de quoi il avait besoin, on a donc acheté une tonne de bouffe et des litres d’alcool qu’il a fallu caser dans la soute et dans la cuisine à peine plus grande que ma cabine. Ensuite il m’a donné la liste des menus pour les 8 jours et je devais me débrouiller toute seule, heureusement ce n’étais pas de la grande cuisine, j’allais bien m’en sortir.
Quand les clients sont arrivés j’ai tout de suite flairé un truc bizarre, les deux types avaient la cinquantaine, bedonnant, cheveux grisonnants, mais bien habillés on sentait qu’ils avaient les moyens, à leur bras il y avait deux jeunettes de mon âge, une brune et une blonde, une vingtaine d’année à tout casser, qui n’avaient vraiment rien d’épouses d’hommes d’affaires. Habillées trop sexy, trop maquillées, parlant trop fort, riant à tout bout de champs, des putes… jolies mais un peu vulgaires quand même, les deux vieux chnoques s’étaient payés une semaine en bateau avec des putes. Ça n’a pas eu l’air d’étonner Marco, il avait du en voir d’autres, moi j’ai fait celle qui ne remarquai rien et assuré l’apéro d’accueil à bord de manière très professionnelle. Marco a fait un petit speech pour expliquer la traversée, les quelques consignes de sécurité et fait visiter le bateau aux clients, ensuite j’ai servi des cocktails sur le pont arrière et nous avons appareillé, c’était la fin de la matinée et il a tout de suite fallu que je me mette aux fourneaux pour préparer et servir le premier déjeuner.
Ces messieurs et leurs accompagnatrices avaient une sacré descente, après les cocktails, il se sont tapés 2 bouteilles de vin et une de champagne, je comprenais mieux pourquoi nous avions embarqué tant de provisions… Mais tout l’alcool absorbé n’a pas calmé l’ardeur de ces messieurs, alors que je débarrassais les restes du déjeuner, les deux minettes tombaient le maillot et s’apprêtaient manifestement à servir de dessert sur le pont arrière. Elles ont commencé par se caresser sous le regard grivois des deux autres, la brune à genoux devant la blonde lui écartait les cuisses et commençait à lui lécher la chatte, l’autre se caressait les seins ; de fort beaux seins d’ailleurs, elle devait faire au moins du 90C, en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Les deux filles étaient installées de manière à ce que les deux hommes ne perdent pas une miette du spectacle, quand à moi je dois bien dire que j’étais un peu gênée, je ne pouvais plus faire celle qui ne se doutait de rien et je n’avais pas fini de desservir le déjeuner.
— Dis Marco, c’est chaud sur le pont arrière, y’a les deux filles qui sont en train de se brouter le minou sous le regard des deux types.— Ah déjà ? Ben c’est pas grave, laisse les faire.— Mais je n’ai pas fini de débarrasser… — Tant pis, avec la chaleur et l’alcool ils vont tirer un coup et s’endormir, tu finiras après.— D’accord… Dis Marco, les deux filles ce sont…— Des putes ? Oui, c’est moi qui les fourni, c’est compris dans le prix du billet. Je le regardais interloquée ce qui le fis rire. Je ne t’ai rien dit pour ne pas t’effaroucher, ça ne te pose pas de problème ?— Non, non, je suis juste un peu surprise… tu aurais pu m’en parler, je ne suis pas une sainte nitouche.— Ah ben tant mieux parce qu’ils vont baiser pendant toute la traversée et que tu ne peux pas descendre avant Marseille.
Je laissais Marco à la barre et retournais à l’arrière discrètement pour voir ou en étaient l’orgie. Les deux types étaient toujours assis confortablement mais ils avaient le short sur les chevilles et se faisaient pomper chacun par une fille. Pour leur âge ils n’avaient pas l’air d’avoir de problème d’érection, il faut dire qu’elles y mettaient du cœur, je n’avais jamais vu des bites entrer si profondément dans une bouche, à part dans un film x peut être… et les deux types souriaient manifestement comblés par la fellation experte qui leur était administrée. Je décidais de laisser se dérouler la scène et de ne pas les interrompre, je finirais mon travail plus tard comme me l’avais dit Marco, mais sans savoir pourquoi je restais comme hypnotisée par le spectacle. J’avais déjà maté des pornos avec des copains sans vraiment trouver ça très excitant, mais là c’était différent, sous mes yeux les deux nanas et les deux hommes étaient en train de baiser, à quelques mètres, et j’avais chaud tout à coup, des gouttes de sueur perlaient sur mes tempes, je sentais les pointes de mes seins durcir sous le coup de l’excitation et entre mes cuisses la moiteur s’installait… Les deux filles s’étaient relevées pour mieux se rasseoir sur les queues bandées des deux types, eux ne bougeaient pas trop, elles en revanche s’empalaient joyeusement sur leurs bites, montaient et descendaient en cadence dans un rythme de plus en plus soutenu. Les deux mecs affalés sur la banquette, tenaient les filles l’un par les hanches l’autre lui pelotait les seins, on sentait que ça n’allait pas durer longtemps, et en effet le premier rugit littéralement en lâchant son sperme dans la blonde ce qui entraîna aussi sec l’orgasme du second plus discret mais non moins violent. Les deux filles se levèrent à l’unisson pour reprendre en bouche les deux bites en train de ramollir à vue d’œil, je ne sais pas si elle comptaient vraiment les ranimer ou si c’était juste pas conscience professionnelle, mais rien n’y fit, les deux vieux étaient en train de sombrer dans un sommeil post coïtal accentué par l’alcool ingurgité dont rien ne pourrait les tirer avant un bon moment. La brune et la blonde se levèrent alors et me virent en train de les observer.
— Salut, moi c’est Ana, me dit la blonde, et voici Eva— En fait je m’appelle Sandrine et voici Nathalie, répondit la brune. Mais chuut !— Tu viens te baigner avec nous ? — Il faut que je finisse de débarrasser d’abord.— Attends on va t’aider, me dit Eva / Nathalie et joignant le geste à la parole elles se saisirent de tout ce qui traînait encore sur la table pour le porter à la cuisine. En 5 minutes c’était fait, les deux filles toujours nues interpellèrent Marco pour qu’il arrête le bateau le temps de la baignade. Et nous voilà toutes les trois à poils dans l’eau bleu de la méditerranée, nous avons nagé un moment autour du bateau puis Marco nous a rejoint en plongeant depuis la passerelle, il était nu également. — Alors les filles, ça se passe bien avec nos deux banquiers ?— Oui tu as vu ça comment on les a expédiés, ils dorment. Tu ne nous avais pas dit qu’il y aurait une nouvelle à bord ? Elle est mignonne…
En disant cela, Ana / Sandrine s’approcha de moi et déposa un baiser chaste sur mes lèvres. Je fus troublée, déjà quand j’avais vu les deux filles se caresser tout à l’heure j’avais ressenti une sensation curieuse un mélange d’excitation et d’interdit. Là dans l’eau, nos corps en presque apesanteur, je me sentais bizarrement légère et, encore sous le coup de l’excitation ressentie tout à l’heure, d’humeur coquine. Je m’approchais de la blonde pour lui rendre son baiser, mais de manière bien moins chaste et bien plus profonde, je fermais les yeux et nos deux langues se trouvèrent, et ne se lâchèrent plus pendant un long moment pendant lequel je sentais des mains explorer mon corps, caresser mes seins, mes fesses, mes cuisses, ma chatte. Je me laissais faire, imaginant Marco et les deux filles tous rassemblés autour de moi pour me caresser dans l’eau tiède et salée. Quand j’ouvris les yeux ils étaient là en effet, et Marco n’était pas le dernier à en profiter, à travers l’eau je vis sa bite dressée qui me paru énorme mais c’était sans doute un effet d’optique, quoi qu’il en soit à ce moment là je l’ai voulu en moi, je me suis détachée de la fille pour m’approcher de lui et l’enlacer, il me saisit par les hanches et me guida vers la chaîne de l’ancre qui descendait du voilier jusque dans les profondeurs de la mer. Je m’accrochais à la chaîne et relevant le bassin vers lui il me pénétra lentement, c’était délicieux, mon corps flottait à moitié comme dans un rêve, sa bite entrait au fond de moi et allait et venait doucement, elle était grosse, ce n’était pas qu’une illusion, si grosse que j’avais la sensation d’être remplie totalement par son membre. Ana et Eva, à coté de moi me caressaient et m’embrassaient, mes jambes emprisonnaient Marco et l’incitaient à accélérer la cadence en l’attirant vers moi, il était beau, il me baisait bien, j’étais caressée par les quatre mains agiles des deux filles, et tous étaient concentrés sur mon plaisir. Soudain je sentis la poigne de Marco se faire plus ferme dans la chair élastique de mes hanches et son mouvement s’accélérer jusqu’à devenir violent et encore plus profond en moi, le plaisir montait et je le refoulait pour ne pas me laisser submerger mais il montait, plus haut, plus vite ; j’allais jouir, oui, oui, encore, viens…., que c’étais bon, la vague déferlante de l’orgasme m’a débordée, ravageant mes sens sur son passage et ne laissant derrière elle qu’un sentiment diffus de calme et de bien être. Marco a joui en même temps que moi, excité sans doute par mon cri de plaisir, il me lâche et sort sa queue qui laisse un grand vide dans mon ventre,
— C’était bon mon capitaine, merci, lui dis-je en souriant. — De rien matelot, c’était très bon pour moi aussi, me répond-il. Nous regagnons tous les trois la passerelle du voilier et remontons à bord, personne à l’horizon rien que la mer, le bruit des vagues sur la coque et le léger souffle du vent font une musique douce pour les oreilles que vient à peine troubler les ronflements des deux vieux qui roupillent toujours. Huit jours de croisière, ça allait passer bien vite…
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