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Croisière Scolaire

Chapitre 6

Gay
Il y avait une soirée costumée ce soir-là, mais je n’avais pas envie de m’y rendre, pas envie de soutenir le regard de mes camarades niçois, qui me demandaient souvent pourquoi je n’étais pas avec eux le soir, à jouer aux cartes, au flipper ou bien au billard….Je ne pouvais pas leur dire qu’effectivement, je jouais au billard tous les soirs, mais pas avec les mêmes boules et pas avec les mêmes queues. Je répondais par de vagues excuses, leur disant souvent que j’adorais le bateau et la mer, que j’aimais m’y balader, un peu partout.On devait quitter Syracuse ce soir-là, pour rejoindre Naples dans la matinée, en passant par le détroit de Messine, mais surtout, nous devions longer l’ile du Stromboli, avec son volcan toujours en activité.Même crevé, épuisé par tant d’accouplements, pour rien au monde je ne voulais manquer ça, et j’espérais bien assister à une éruption en direct. Je me suis rendu sur le Pont supérieur, en haut de la passerelle, normalement interdite au public, mais que Saïd m’avait montrée. Je savais que je ne risquais rien si j’étais surpris… les mâles me connaissaient… Non ?Accoudé à la balustrade, j’ai vu apparaitre l’ile sous mes yeux, avec une rougeur à son sommet. Quelle chance… Il me semblait qu’une éruption était sur le point de se produire… Cette lave, ce feu, cette explosion prête à surgir me faisaient penser à tant d’autres éruptions… !!!
Tout absorbé devant le spectacle sublime qui se déroulait devant mes yeux, j’ai d’un coup ressenti une présence derrière moi et une main se poser sur mon épaule… Patrick…
— Je savais que tu étais là, que tu n’allais certes pas manquer ça…
Il m’a serré contre lui, m’a embrassé d’un baiser violent… le premier aussi fort… et m’a retourné vers cette magie, cette merveille de la nature qu’est un volcan, qui explose, avec des jets qui fusent très haut, pour tomber et retomber sur les pentes de cette montagne, en coulées épaisses, d’un rouge si brillant… Quelle Féerie… !!! J’en étais subjugué…. Sa main était posée sur mes fesses, les malaxant, les triturant, ses doigts s’avançant vers ce puits qui avait déjà donné tant de plaisir. Il s’est positionné derrière moi, descendant mon bermuda, et d’une formidable poussée, son membre m’a possédé, d’un coup, en entier… 23cm et d’une largeur hors du commun (ça, j’ai pu le mesurer plus tard, ce qui était son problème d’ailleurs, sa largeur …) ont pris possession de moi, me fouillant, cherchant à s’enfoncer au plus profond de moi, pendant que Patrick me tenait la tête pour que je contemple le Stromboli en totale éruption…Et cette éruption était devant mes yeux et en moi aussi... Quand la dernière coulée de lave est sortie du cratère, l’autre coulée de lave s’est déversée en moi… Jamais Patrick n’avait joui autant, d’un sperme chaud, aussi bouillant que ce magma qui sortait du Stromboli… Nous sommes restés encore une bonne heure à contempler la fin de l’éruption… c’était si beau… Je me sentais si bien à savourer cette merveille de la nature, devant mes yeux et dans moi, blotti dans les bras de mon mec, de mon homme, mais aussi, de mon Mac… Je savais ce qu’il attendait de moi…
Il m’a repris encore une fois…son appétit semblait insatiable et il m’a raccompagné jusqu’à ma cabine…
- Tu es à moi maintenant… Je te veux ma femelle soumise, j’ai de gros besoins, et tu le sais... Mais je veux aussi que tu donnes du plaisir à mes potes… Un Max…. Les Arabes de Las Planas ont trop besoin d’une bonne salope comme toi, ils ont trop peur d’engrosser une nana… Avec la chatte que tu as maintenant, ce serait dommage de ne pas leur en faire profiter, non ?
Il devait être plus de 2 heures du matin quand j’ai enfin rejoint ma cabine, après un autre baiser fougueux, en espérant fort que mes colocs dormiraient à poings fermés. J’étais tellement épuisé que je n’ai jeté qu’un regard vers la porte de la salle de douche… Je puais le foutre, le mâle, l’odeur de Patrick collait à ma peau, mais je n’avais pas le courage de me passer sous l’eau… De toute façon, la cabine était emplie de ce « subtil arôme » de fauve que dégagent 4 ados aux hormones en ébullition, le jus de couilles n’en étant pas exclus…. Loin de là…. J’étais devenu expert maintenant pour le reconnaitre…J’occupais une des deux couchettes du bas, et je me suis affalé sur mon lit, sans prendre la peine de me déshabiller et savourant ce repos, la chatte bien endolorie après tout ce qu’elle avait subi, mes rétines imprégnées du spectacle du Stromboli, et mes narines emplies des effluves de mon homme… Dieu qu’il sentait fort le mâle, ses phéromones s’accrochaient à ma peau quand ses poils se frottaient partout sur moi, Dieu qu’il était velu... !!!Je commençais à sombrer dans un demi-sommeil bien mérité quand en tournant la tête, j’ai vu Sylvain, allongé sur la couchette en face de moi qui branlait sa bite, de fort bonne taille, en me regardant droit dans les yeux… Je le connaissais un peu, il était en Maths, mais il avait conservé l’Option Anglais Renforcé, et nous étions en cours ensemble 2 heures par semaine.Nous n’étions pas particulièrement amis, mais j’appréciais quand même de le reluquer de temps en temps, discrètement, beau métis né de père antillais et de mère métro, et habitant dans notre quartier, pas très loin de chez Patrick, il me semblait.L’espace entre nous étant plus que restreint, et tout en continuant à branler sa queue, moins grosse que celle de Patrick, mais de fort beau calibre quand même, il s’est approché de moi pour me parler à voix basse…
— Tu pues le foutre Michel, tu pues le mâle… Je suis persuadé que tu t’es fait défoncer à mort sur ce bateau…. Et je suis sûr que tu en crevais d’envie depuis longtemps… c’est ça non ?
J’étais désemparé, je venais de me faire griller par Sylvain, que j’aimais bien mais dont je ne pouvais absolument pas savoir quelle réaction il pouvait avoir. C’est vrai que je puais le foutre et l’homme, il m’était impossible de le renier… J’attendais passivement sa réaction…Elle fut très simple… sa bite s’est approchée de ma bouche…« Suce et après, je vais t’embrocher… !!! Une de plus ou de moins, ça ne te pose pas de problème, je pense ? » Avec un sourire bien ironique et un regard aux yeux noirs, perçants.Je devais plus baiser gratis, Patrick l’avait exigé, mais là, je ne voulais pas que Sylvain nous cause des ennuis, je lui expliquerai ça. Pas question que Sylvain puisse se douter que je lui appartenais… Malgré ma fatigue et tous ces accouplements, j’étais devenu une femelle soumise, j’ai obéi… Heureusement les 2 autres dormaient quand il m’a retourné, mise à 4 pattes sur mon lit, pour enfoncer son membre brulant dans moi, ma chatte bien lubrifiée l’a accueilli sans problème… à 2 reprises…
Je comprenais, maintenant, ce que, être une putain voulait dire… Écarter les cuisses sur demande, appartenir à son Homme, et satisfaire à ses désirsNous allions rentrer à Nice dans 2 jours, les vacances commençaient et j’étais libre pour me donner totalement à mon Mâle, mes parents bossant, j’avais une relative liberté, mais qui s’arrêtait à la nuit….J’étais sure que Patrick me trouverait une solution pour être disponible le plus possible pour lui et pour les autres hommes…
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