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Le cul d'Anaîs

Chapitre 1

Erotique
Anaïs était la fille de la fac que tous les mecs voulaient se taper. Mais, à 19 ans, on ne lui connaissait aucun copain et son comportement ne suggérait aucun coup de cœur. Personne ne semblait lui faire d’effet. Personne sauf moi. Moi, Marc, étudiant en langues dans la même promo qu’elle. Etudiant quelconque mais sympathique.
Anaïs appartenait à la classe très particulière et excitante des beautés froides. Des beautés froides et rousses. Elle était assez petite (1m60 environ), toute en collines et en vallées, en rondeurs bien distribuées. Par exemple, son bassin large et ses fesses pleines contrastaient avec sa taille fine. Sa paire de seins (à vue de nez du 85 C ou D) lourds et ronds contrastait avec sa nuque fine et ses menus avant-bras. Ses cuisses moelleuses se prolongeaient par de minces mollets et des petits pieds. Son visage - pâle et généralement impassible – était fin et gourmand, orné de grands yeux bleus de biche aux longs cils hypnotiques.
Sa démarche calme faisait onduler ses fesses et ses seins sans qu’elle fasse aucun effort pour ça. Les reliefs de son corps semblaient ignorer les lois de la gravité. Tout en elle était pulpe et douceur. Aucun homme ne pouvait s’empêcher d’imaginer quel effet cela pouvait faire de lui secouer le cul.
Bref, Anaïs et moi étions en fac d’anglais. Nous nous étions mis en binôme pour réaliser un exposé. Nous essayions de travailler à la bibliothèque mais cela était difficile car nous ne pouvions pas parler fort. Je n’osais pas lui proposer de venir travailler chez moi. Je préférais l’apprivoiser en douceur. Le contact passait bien entre nous. Elle m’avait déjà touché le bras et la main à plusieurs reprises, ce que je prenais pour des marques d’encouragement.
Au milieu d’un après-midi de printemps chaud et ensoleillé qui donnait envie de copuler dans l’herbe du campus, elle me proposa d’aller travailler chez elle plutôt qu’à la bibliothèque.
« J’habite à deux pas, on sera plus à l’aise », me dit-elle.
J’acquiesçai, me demandant s’il s’agissait d’une tactique pour me grimper dessus en toute tranquillité. Cette idée fit se réchauffer et se raidir ma queue.
Nous marchâmes donc quelques centaines de mètres durant lesquelles je la contemplai. Elle portait un débardeur noir, une jupe grise, des collants (ou des bas ?) et des talons. Sa crinière rousse flottait derrière elle. Ses fesses roulaient l’une contre l’autre, épanouies dans sa jupe serrée. Ses seins rebondissaient à chaque marche descendue. Tous les mecs qui la croisaient la mataient, en pensant probablement à la même chose que moi : la baiser sauvagement, lui fourrer la chatte autant que possible.
Son appartement était petit mais chaud et moelleux, un peu à son image. Elle se débarrassa de son sac et poussa un long soupir de satisfaction. J’étais captivé par les ondulations de son corps. Elle dut le remarquer car elle esquissa un sourire espiègle et s’avança vers moi.
Sans prévenir, elle m’attrapa par la taille, se colla contre moi, se frotta langoureusement contre moi torse et mon ventre et entama une descente coquine en me fixant droit dans les yeux. Elle effleura ma braguette tendue de sa bouche entrouverte et frotta son visage contre mon entre-jambe. J’étais toujours debout dans l’entrée. Elle n’avait pas perdu de temps pour me sauter dessus la coquine. Elle cachait bien son jeu d’allumeuse.
Elle ouvrit ma braguette de ses petits doigts de poupée et en fit jaillir ma queue déroulée. Elle la malaxa ainsi quelques secondes, lui permettant de s’étirer majestueusement sous son nez. Elle me décalotta avec la bouche et fit couler sa salive chaude le long de mon membre maintenant dur comme une matraque. Je lui caressai les lèvres et attrapai ses cheveux. Je maintins sa tête et pénétrai sa petite bouche de sainte nitouche de plus en plus fort et profondément. Cette pipe était royale. Sa bouche était douce, chaude et étroite. J’imaginai que sa chatte était semblable. J’avais envie de la pénétrer sur le champ. Ou plutôt sur le canapé qui se trouvait juste à côté.
N’y tenant plus, je lui retirai ma bite de la bouche. Elle se releva, le regard lubrique. Je plongeai mon nez entre ses seins brûlants et pointus. Elle poussa un râle de plaisir et me chuchota à l’oreille :
« J’ai envie que tu me prennes, là, maintenant »

Je ne me le fis pas dire deux fois. Je l’attrapai par la taille et la poussai à quatre pattes sur le canapé. Je lui fessai son gros cul à travers sa jupe qui remontait et laissait entrevoir son entrejambe et le haut de ses bas. Je lui plaquai ma main sur la chatte. Je pensais toucher du tissu mais je tombai directement sur sa vulve humide. Elle ne portait ni culotte, ni string ! Juste une jupe courte et des bas noirs.
Je soulevai totalement sa jupe, appuyai mon gros gland sur sa vulve épilée et juteuse puis le lui glissai entre les lèvres. L’entrée de sa chatte était plus serrée que sa bouche, plus chaude et encore plus humide. Je lui enfonçai la totalité de ma queue dans sa petite chatte, sans ménagements. Elle gémit haut et fort.
« Oh oui, vas-y, défonce-moi la chatte, ça fait plus d’un an que j’ai pas baisé »
Je ne me retins donc pas de la tringler comme une chaudasse en manque. Je lui envoyai ma queue au fond à toute allure, faisant claquer mon ventre contre le moelleux de son cul qui rebondissait à contrecoup comme une flanc qu’on secoue. Un de ses gros seins sortit de son débardeur. Elle criait et haletait comme une vraie cochonne. Sa chatte étroite me comprimait le gland comme c’était pas permis. Son minou lisse et épilé laissait s’échapper des flots de cyprine qui lui mouillaient l’intérieur des cuisses. A chaque mouvement de pénétration, sa chatte gorgée de sécrétions faisait ce bruit caractéristique : « flac, flac, flac ».
Je me couchai sur elle, lui attrapai les seins et les malaxai. Les poils de mon ventre lui chatouillaient la raie et elle se cambrait au maximum pour les sentir. Elle se prenait la défonce de sa vie. Je l’attrapai par la taille puis par la jupe puis par les hanches. Je lui secouais tellement la chatte et les fesses qu’elles étaient rouges.
Depuis le début je lorgnais sur son anus qui s’ouvrait et se fermait au rythme des va-et-vient. Je visai et y laissai tomber de ma bouche un filet de salive. Elle tourna la tête, et, toute excitée me dit :
« N’hésite pas à me prendre le cul… J’adore ça… »
Je posai mon index sur son anus et attendis qu’elle bouge pour se le rentrer. Elle ne tarda pas à remuer le bassin pour venir s’empaler dessus. Son petit trou était brûlant et étroit. Je lui claquai mon gland sur l’anus, éclaboussant au passage ses fesses de quelques gouttes de mouille bien méritées. Je lui enfonçai mon gland au bord de l’explosion puis chaque centimètre de ma queue. Je lui ramonai le cul et ses gémissements redoublèrent d’intensité. Effectivement, elle aimait ça…
Mes assauts sauvages la faisaient rebondir sur le canapé. Ses seins ballottaient d’avant en arrière et de gauche à droite. Elle peinait pour maintenir sur le bord du canapé ses jambes au bout desquelles pendaient ses escarpins noirs de chaudasse.
Tandis que je lui labourais littéralement la raie, je lui introduisis deux doigts dans la chatte. Elle eut un sursaut et jouit d’un coup. Après avoir laissé échapper un long râle de cochonne comblée, elle souffla :
« Oh oui, continue de me baiser comme ça… J’adore sentir ta grosse queue dans mon cul ! »
J’avais envie de retourner dans sa chatte brûlante. Me fichant à ce moment-là de lui coller une cystite, je sortis ma queue plus gonflée que jamais de son cul et la lui fourrai dans la chatte. Je lui attrapai les mains et les posai sur ses fesses pour qu’elle sente à quel point je lui défonçais son gros cul rond. Elle se retrouva pliée en deux, le visage entre deux coussins, la bouche aussi ouverte que sa chatte que je démontais à grands coups bruyants de trique. Son cul vibrait, sa jupe volait, ses bas glissaient.
Sentant l’excitation monter à son paroxysme, je lui empoignai les seins. Ses tétons étaient durs comme des pointes de crayons. Je lui assenai trois grands coups de bite qui durent lui remonter l’utérus puis sortis ma queue luisante. Elle se retourna et titilla le bout de mon gland alors que je me branlais énergiquement au-dessus de son visage. Une première giclée sous pression lui arrosa la bouche. Une seconde giclée passa au-dessus de sa tête. Une troisième giclée atterrit dans ses cheveux. Une quatrième giclée tomba lourdement sur sa joue et le reste lui coula entre les seins, sur son débardeur et entre les cuisses.
Elle se passa la langue autour des lèvres puis me lécha tendrement la queue, la nettoyant minutieusement.
« Anaïs, j’ai adoré te baiser comme une petite chienne en chaleur… Faudra qu’on remette ça… »
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