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Dame Erika

Chapitre 7

Orgie / Partouze
Chapitre 7 : Les préparatifs

LIOUBOV

Foncer ? Pas besoin de le dire deux fois, surtout que les servantes s’y mettent aussi ! Elles s’approchent, laissent tomber leur robe au sol et, impudiques, elles offrent leur corps. Elles paraissent assez jeunes – une vingtaine d’années sans doute – et leurs seins ronds comme des pamplemousses aux tétons fiers et pointus donnent envie de les lécher. Bien qu’assez petites, elles possèdent un corps élancé agréable à regarder, et leurs petites fesses bien rondes attirent le regard et invitent les mains à une palpation des plus sensuelles. Par contre, leur mont de Vénus ressemble plus à une forêt qu’à la dune du Pilat.
Ayant retenu les travaux pratiques prodigués par Élise et Tina sur leur maîtresse, brutalement délurées elles se lancent dans des caresses qu’elles appliquent sur le corps des filles, un pelotage un peu hasardeux des fesses et des seins, sans oublier tout le reste du corps des deux filles courbées en deux, les mains en appui sur le bord de l’énorme baignoire remplie d’eau fumante. Leurs reins cambrés offre une vulve ouverte et ruisselante de cyprine, prête à accueillir les dards tendus et tant attendus des garçons.
Sans autre forme de procès, ils empalent les deux vagins en même temps. Les filles râlent de plaisir ; leur souffle devient rapide, il y a urgence. Massées, sucées, tripotées, caressées par les servantes et limées comme des forcenées par les garçons, elles sont rapidement submergées par un violent orgasme. Elles crient, râlent, halètent, jurent et geignent des « Ouiii ! Aah… Ouiii, je jouis ! Encore… Plus fort ! Putain, que c’est bien… que c’est bon ! Ouiii ! »Le sourire satisfait des servantes ravies et persuadées d’avoir participé à une action hautement salutaire prouve qu’elles ont apprécié au plus haut point ce cours pratique.
Le boucan fait par les six acteurs de cette scène pornographique a alerté Dame Erika, remise des ses émotions. Curieuse, elle passe le bout de son nez par l’entrebâillement de la porte et découvre le spectacle des filles penchées en avant, besognées par les garçons et traites par les servantes. Elle fait son entrée. À sa vue, les servantes se relèvent le rouge aux joues, tentant de cacher maladroitement leur intimité.
Dame Erika s’approche d’elles ; une sorte de grand foulard jeté sur ses épaules cache difficilement sa nudité. Elle observe avec intérêt, le regard coquin et le sourire complice, puis elle pince légèrement la joue de ses servantes en accompagnant ce geste d’une tape sur leur fesse nues. D’un regard, elle leur ordonne de retourner continuer leur labeur. Dame Erika a dit « Au boulot ! »
Une fois comblées, les filles se relèvent. Dame Erika regarde alternativement et avec insistance son pubis celui des filles et des servantes.
— Comment se fait-il que vous soyez comme ça ? demande-t-elle en désignant le pubis d’Élise et Sara.— On les coupe avec des ciseaux et un rasoir, ou on les épile à la mousse ou à la cire ; c’est logique, non ? répond Élise.
Cette logique évidente et implacable ne l’est pas pour Dame Erika : nous sommes au moyen-âge ; toilette intime, épilation et autres soins corporels ne sont pas encore entrés dans les mœurs. Voyant le désarroi de Dame Erika, Tina prend l’initiative et mime une aux ciseaux et le rasage au rasoir coupant les poils disgracieux au pubis mais aussi sous les aisselles, sans oublier la mousse à raser appliquée à l’aide d’un blaireau. Dame Erika a visiblement compris et demande à Sara, l’une des deux servantes (l’autre s’appelle Ode) :
— Sara, va quérir des ciseaux et un coupe-choux chez le barbier !

Sitôt dit, sitôt fait : la servante se presse vers la porte.
— Sara !
Dame Erika la hèle en tendant la robe de la belle servante encore toute retournée par ce qu’elle vient de vivre. Sans la vigilance de sa maîtresse, elle serait sortie chercher le matériel demandé entièrement nue, certes pour le plus grand plaisir des occupants du château et du barbier mais sans doute pas pour elle, risquant de mauvaises rencontres qui pourraient l’emmener directement au cachot.
Ils sont tout propres ou presque ; rien ne vaut une bonne douche, mais le plombier n’a pas encore fait les travaux ! Les voici parfumés avec des huiles enivrantes aux extraits de fleurs et de plantes. Sara étant de retour avec le matériel demandé, Dame Erika demande aux filles de jouer les esthéticiennes, en commençant par les deux servantes. Leur pubis et les aisselles sont rasés de près, puis enduits d’une huile parfumée pour adoucir le feu du rasoir.
Dame Erika inspecte, caresse les pubis et aussi les sexes dans leur totalité, vierges de tout poil. Visiblement satisfaite du résultat, elle se débarrasse de son foulard et demande à subir le même sort, certaine que cette tenue ne pourra que plaire à son époux. Après maintes grimaces et gémissements, la voici fin prête. Un passage devant la psyché ; Dame Erika admire le résultat, se tourne et retourne devant le miroir, observe ses bras, ses fesses, son pubis et le reste ; elle se touche l’entrejambe qui est ainsi vérifié, contrôlé. Satisfaite, elle annonce avec un grand sourire :
— Je ressemble à une gamine ; mon chevalier de mari va apprécier. En vérité, je ne sais si je vais aller voir le magicien ; j’ai énormément aimé ce que vous m’avez fait tout à l’heure, jolies damoiselles, aussi je pense vous garder.— Merci, Dame Erika, nous vous devons bien cela : vous nous avez sauvé la vie, reconnaît Élise.— C’est vrai : vous avez bien failli trépasser. Mais bon, nous verrons cela plus tard. Il vous faut vous préparer.
Le sourire et le regard malicieux de Dame Erika la trahit ; ils comprennent le côté humoristique de sa répartie. Élise enchaîne :
— Si vous voulez, nous allons vous montrer comment faire. Mais pitié, Dame Erika ! Allons voir ce magicien… implore Élise qui, à genoux et les mains jointes, la supplie du regard.— Vous êtes bonne comédienne, damoiselle Élise ; j’espère que votre spectacle sera royal.— N’ayez d’inquiétude ; nous avons tout prévu, nous ferons le spectacle. Mais il nous faudrait des ménestrels afin de mettre un peu de musique. Vous, vous aurez tout loisir pour vous occuper de la lance de votre chevalier, répond Élise.— Bien. Nous allons nous vêtir car nous ne sommes pas très présentables, ne croyez vous pas, bien que dans cette tenue vous me plaisez beaucoup !

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ÉLISE

Nous voici dans une pièce remplie de vêtements de tous styles et de tous genres ; un dressing, quoi.
— Tina, il faut qu’on trouve de quoi s’habiller pour ce soir.— T’as raison, c’est pas de la marque, ces frusques !— Écoute, ne fais pas la fine gueule ; cherche et trouve, ou alors t’y vas à poil direct. Comme tu veux !
On cherche ; déjà, il n’y a ni culotte, ni string, ni soutif, ni collants, ni bas. Comme ça, on n’est pas dans la merde…
À force de chercher, d’essayer une multitude de robes, coiffes, foulards et autres accessoires, nous finissons par composer une tenue pour chacune. Un grand foulard autour de la taille servira de cache-sexe ou de minijupe, un autre de soutif, une longue chemise servira de dessous sexy car assez courte. Une lourde robe très longue (elle touche presque le sol) et une coiffe terminent la tenue. Nous nous regardons dans le miroir.
— Hé, dis donc, on n’est pas mal. Hé, les mecs, vous en pensez quoi ? demandé-je.— Pas mal, les filles : vous êtes d’époque !— C’est ça, fous-toi de notre tronche… Et vous, qu’est-ce que vous avez trouvé ?
Pat est habillé en chevalier, et Tom en valet ; les voilà vêtus (ou déguisés, comme on veut).
— Il n’y plus qu’à former les couples. Comme je suis habillée comme Dame Erika, je prends le chevalier. Hum, mon beau chevalier, tu me referas ce que tu viens de me faire.— Oh, doucement Élise ! Et nous alors, on est quoi dans l’histoire ? reprend Tina, irritée.— Ne t’inquiète pas : c’est toi que j’aime. Les mecs, c’est pour le cul. Je crois que tu as aimé aussi, je ne me trompe pas ?— Non, c’est vrai. Tom, tu as été super ! Tu as raison : nous on s’aime, et les mecs c’est pour le cul. C’est vrai que c’est vachement mieux qu’un gode… Euh, pardon les gars.— T’inquiète… Pas de soucis, les filles : si on peut rendre service, c’est avec plaisir. Hein, Tom, t’es OK ?— Moi, à cent pour cent. En plus, elles sont bien gaulées, ces gonzesses ! C’est comme ça que tu dis à Marseille ? Ah non, c’est « Oh putain con ! Qu’est-ce qu’elles sont bonnnnes ! » Tu as vu ? J’ai pris l’accent !— Bon, assez déconné, les mecs ! On s’y recolle ; il faut qu’on soit au point si on ne veut pas finir dans la salle en bas, parce que moi, perso, non merci. Je vous préviens, les mecs : moi, je suis prête à faire n’importe quoi, mais je ne veux pas y retourner, dans leur salle à la con. Bon, il nous reste quoi ? Tom et Tina, vous faites les serviteurs.
Nous sortons de la pièce afin de nous présenter à Dame Erika qui s’était absentée afin de donner les directives pour l’installation de la scène et des accessoires, les ménestrels et tout ce dont nous avons besoin.
— Vous êtes parfaits dans ces tenues ! Bien, je vous ai fait porter quelques victuailles ; vous devez avoir faim. Je suppose que vous mangez aussi, là d’où vous venez.— C’est très aimable à vous, Dame Erika, merci infiniment.
Nous nous installons à la table où, dans un immense plat, des victuailles sont disposées. Il y a de tout : du jambon qui sent terriblement bon, de la charcuterie, une sorte de pâté, des fruits en abondance. Nous goûtons : tout est extraordinairement bon ; ce que j’ai pris pour du pâté est en réalité du foie gras. Du pain ; il est foncé et dense, mais son goût est juste sublime. Il y a du vin aussi ; il est excellent. Dame Erika nous indique que ce vin est appelé « claret » ; en réalité c’est de l’hypocras, un mélange de vin, de miel et d’épices. Nous goûtons : rien à envier à celui que j’ai pu consommer dans notre monde.
Dame Erika s’est jointe à nous et grignote ; elle nous confie que toutes ces activités lui ont ouvert l’appétit. Le vin aidant, nous rions, nous trinquons à cette complicité qui vient de naître ; les servantes aussi participent avec joie et entrain. Dame Erika nous met tous en garde et nous demande de ne jamais parler de ce que nous avons fait tous ensemble : cela doit rester notre secret car les conséquences nous seraient fatales. Nous scellons ce pacte tous les sept, main dans la main en répétant une phrase dont je n’ai rien compris et en buvant une bonne rasade de claret.

[à suivre]
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