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Dame Erika

Chapitre 11

Avec plusieurs hommes
Chapitre 11 : Fin de soirée

LIOUBOV

Cette longue soirée hors du commun s’est terminée dans la liesse générale et, comme l’avait prédit Élise, par une orgie monumentale en refaisant une partie du spectacle. Les maîtres des lieux sont largement remerciés pour l’organisation de ce dîner royalement bon ; ils sont aussi admiratifs devant le culot de l’animation : nul besoin de dire que les hommes ont apprécié le spectacle. Pour les femmes, c’est moins évident à voir, mais leur démarche indique assez clairement qu’elles ont l’entrejambe quelque peu dégoulinant.
Pour l’équipe d’acteurs, Dame Erika a fait préparer deux chambres aménagées à l’identique de la sienne. La fatigue – et un peu de claret – ont eu raison des acteurs. Élise demande l’autorisation de se retirer à Dame Erika qui appelle ses deux servantes pour les accompagner.

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PAT

Nous avons passé une soirée terrible, épuisante, mais nous allons nous retaper rapidement une bonne nuit là-dessus, dans un vrai lit confortable, enfoncés dans un matelas moelleux. Une bonne nouvelle, dans tout cela : ils ne vont pas nous estourbir ou mortir, comme ils disent.
Sara nous accompagne à nos chambres. Il y en a deux ; entre elles, une sorte de salle de bain, comme celle de Dame Erika. L’immense baquet rempli d’eau trône au milieu de la pièce ; il nous attend. Je plonge ma main dans l’eau pour évaluer sa température : elle est juste parfaite, un peu fraîche. C’est magnifique : nous allons pouvoir nous laver pour ôter cette sueur et ces dégoulinures de foutre et de flux de ces damoiselles. Dommage qu’il n’y ait pas de douche ; mais à deux avec un broc, cela fera l’affaire.
J’ai le sentiment que, depuis la fin du spectacle, il y un malaise entre les deux filles ; elles se sont à peine regardées et parlé. C’est peut-être la fatigue ? Car ce genre de spectacle, c’est plutôt sportif, un vrai marathon. Il a fallu se donner à fond pour les satisfaire, tous ces braves gens !
Et moi qui suis en train de tomber amoureux des cette jolie blonde d’Élise… Elle a un cul ! Et de ces nichons… Oh, sans déconner, aïe aïe aïe ! Je suis un peu dérouté, moi, le Marseillais, la grande gueule, le mec qui a baisé la moitié des filles de la Terre entière : voilà que je tombe amoureux de cette belle blonde, moi qui n’arrête pas de raconter des conneries sur les blondes… Oh, putain, je n’ai pas l’air un peu con, maintenant !
Élise vient me voir ; elle semble inquiète, elle n’est pas dans son assiette.
— Pat, je vais me laver avec Tina.— Ça va ? Tu n’as pas l’air bien.
Son regard me transperce ; je frissonne.
— Si, si, ça va. Je reviens.
Elle part, prend Tina par la main puis disparaît dans la salle de bain, tirant la porte derrière elles. J’ai le cœur qui cogne dans ma poitrine : il n’y a pas que son cul qui me fait vibrer ; je suis gaga quand je la regarde. Les dieux de l’amour m’ont frappé.
Sara, restée avec nous, nous propose de prendre un verre de vin et nous présente un plateau chargé de victuailles : du jambon, des fruits, des gâteaux. Nous acceptons, Tom et moi, et nous installons chacun confortablement dans un fauteuil que je qualifierai de royal, toujours à poil sous notre cape qui fait un peu ce quelle veut ; elle s’ouvre, se referme, ce qui fait que nous nous retrouvons régulièrement la bite à l’air ; mais après tout, on s’en fout. La jolie Sara et la non moins jolie Ode y ont déjà goûté ; alors, les complexes… Laisse tomber, il n’y en a plus depuis longtemps. Ces deux-là, comme elles sont bonnes !
Un verre à la main – ou plutôt une coupe majestueuse – Tom et moi discutons de nos exploits.Sara s’occupe un peu comme elle peut, tourne en rond, vire, vient nous demander si nous avons besoin de quelque chose. Au bout d’un moment, j’ai le sentiment que c’est plutôt elle qui a besoin de quelque chose.
Elle me rappelle ma petite sœur qui, toute petite, se tournait et se tordait les doigts dans tous les sens lorsqu’elle voulait demander une faveur ou exprimer une envie de quelque chose, comme une bonne et monstrueuse glace italienne quand nous étions en vacances avec nos parents. Mais je ne pense que ce n’est pas d’une glace qu’elle a envie, mais plutôt d’un organe masculin bien vigoureux ; la preuve : son chemisier un peu – voire beaucoup – dégrafé expose une bonne partie de sa poitrine. Plantée devant nous, son regard passe alternativement de nos yeux à notre sexe. Pas besoin d’être sorcier ou devin pour comprendre que c’est de notre queue qu’elle a envie !
— Sara, tu veux quelque chose ? je lui demande.
Pas de réponse. Elle rosit, baisse les yeux, se broie les doigts avec énergie ; elle va finir par se les casser ! Je me relève, et d’un doigt je lui soulève le menton pour la regarder droit dans les yeux tandis que de l’autre main je lui caresse le pubis.
— C’est ça que tu veux ?
Elle me répond d’un hochement de tête.
— Tom, viens. Elle a un souci, la petite. Mets-toi derrière elle : elle a une envie urgente et vitale, il faut y remédier tout de suite. Allez, bouge-toi !
Son regard s’illumine tandis que sa robe s’ouvre et tombe sur le sol ; ce genre de tenue est très pratique pour les urgences ! Je n’ai pas le temps de faire ni de dire quoi que ce soit qu’elle m’a déjà attrapé le sexe et me masturbe. À genoux, elle avale ma queue en la tenant fermement d’une main ; de l’autre, elle masturbe Tom, puis change, suce Tom et me masturbe, et rechange encore et encore. Oh, qu’est-ce qu’elle suce bien !
Tom la relève alors qu’elle est en train de me faire une fellation du feu de dieu. Tom se place derrière elle, lui masse le dos de la nuque aux fesses ; elle ondule, gémit doucement des « Hum… » doux et tendres qui nous encouragent. Et quand il passe sa main sur la vulve juvénile, ses gémissements changent ; ils sont plus marqués, plus appuyés. Plus forts aussi.
Moi, je m’occupe de son visage, lui touche les yeux, les lui ferme. Quand je descends sur ses lèvres, elle rouvre ses yeux d’un bleu électrique à faire bander une armée entière. En parlant de bander, j’en fais partie, de l’armée, et c’est moi le chef ! Elle a la peau douce et blanche, d’un blanc presque comme de la neige. Et ses seins, oh la là ! Je les prends les deux, un dans chaque main ; ils sont juste à la bonne taille, celle de mes mains. Et son pubis fraîchement rasé, que du bonheur !
Elle se colle à moi, passe ses bras autour de mon cou, fait rouler mon sexe contre son ventre. Tom s’occupe de l’arrière, moi du devant, à quatre mains. Le rythme de sa respiration montre son état d’excitation. Tom a placé son sexe contre ses fesses ; elle le sent, c’est obligé : il est bien monté, ce con !
Je prends la tête de la belle pour lui rouler une pelle de fou, puis je l’accompagne jusqu’à ma bite. Elle se courbe en deux, offrant à Tom sa vulve prête à l’accueillir. Sans autre forme de procès, Tom lui enfourne sa queue dans le vagin, et moi dans sa bouche. Il la besogne doucement, puis augmente progressivement le rythme. Le mouvement est fort, régulier ; son ventre claque contre ses fesses. Elle gémit à chaque coup de boutoir de Tom tandis que ma bite tape au fond de sa gorge ; on entend à peine ses cris étouffés. En peu de temps, Tom lui éjacule dans le fourreau et moi dans la bouche, ce qui lui provoque une quantité incroyable de spasmes puissants qui font vibrer tout son corps.
Nous la relevons et la prenons en sandwich entre nous deux pour qu’elle sente bien contre elle nos membres encore bandés. Nous nous regardons ; je lèche avec tendresse la petite larme de bonheur qui coule le long de sa joue. À peine la larme essuyée, elle me prend par les joues et m’enfourne sa langue dans la bouche. « Hum… Putain, elle est dégueu : elle a du sperme dans la bouche, c’est infect ! » j’enrage ; je me suis fait avoir. Elle se retourne et roule une galoche de fada à Tom.C’est à ce moment-là que les filles font leur apparition, nues. Elles nous regardent de leurs yeux rougis : j’ai la certitude qu’elles ont pleuré.
— Que se passe-t-il ici ? Ah, vous ne perdez pas votre temps ! Dès qu’on tourne le cul, vous en trouvez une autre ; c’est bien les mecs, ça ! hurle presque Élise.— Non ! Non ! C’est moi, damoiselle Élise, c’est moi qui ai demandé. Pardon, je…— Ah, c’est du cul que tu veux, ma belle ? Viens, en va t’en donner ! Tina, amène-toi, on va lui faire sa fête à celle-là !
Le son de sa voix est faussement agressif. Les deux filles attrapent Sara chacune par une main et l’entraînent avec une telle force qu’elle touche à peine le sol ; elle crie de peur, ou de surprise. Elles la jettent littéralement sur le lit et lui bondissent dessus. Eh bé… Je ne sais pas ce qui leur prend, mais elles mettent le paquet.
Tom et moi nous calons dans les doux fauteuils. La coupe d’hypocras à la main, nous savourons le vin et le spectacle ; pas besoin de télé, ici, c’est cool.
Les deux filles sont déchaînées. Je ne sais pourquoi elles sont comme ça, mais elles y mettent du cœur (Élise me dira plus tard qu’elles ont voulu lui faire éprouver un orgasme rapide et violent, d’où cet excès de fausse violence).
Tina prend la tête de Sara et lui roule une pelle goulue, effrénée, tandis qu’Élise lui engloutit le clito. Puis, alors que Tina lui fait subir des morsures sur les tétons, elles la basculent sur le côté. En un éclair, la tête de Sara se trouve bloquée entre les cuisses de Tina qui a la tête dans celles d’Élise alors que la sienne est entre les jambes de Sara ; en gros, elles se lancent dans un 69 à trois ; un 696 ou un 969, je ne sais pas trop.
Et nous, tranquilles… Nous regardons les trois filles en train de se gouiner, de se bouffer la chatte ; et ça miaule, et ça couine, putain con ! Elles me font bander ; je vais être obligé de me branler, tout à l’heure. Et les filles qui gesticulent dans tous les sens… Élise fourre trois doigts dans le vagin de Sara ; l’autre main lui attrape un sein, puis un téton. Sara gémit, imite Élise. Tina gémit aussi, et c’est Élise qui gémit à son tour : la boucle est bouclée. La main de l’une dans la chatte de l’autre, elles se secouent le clito, se lèchent la moule, s’aspirent la vulve. Un cri, un ordre :
— Tina, fous-lui tes doigts dans le cul !
Élise, déchaînée comme jamais, entame un fist vaginal sur les deux filles pendant qu’elles se roulent une galoche endiablée.
— Tom, tu as vu les gonzesses quand elles se déchaînent ? Et nous, même pas une pour nous branler ou nous sucer ! Oh, t’imagines…— Au point où on en est, je te branle si tu veux… propose Tom, sauf que le ton n’y est pas et, sur le coup, je ne fais pas gaffe.— Putain ! Oh, t’es pédé ou quoi ? T’es un grand malade !— Je plaisante, mec. Si tu as besoin, tu te démerdes tout seul ; je ne te touche pas.— Hé, Tom ! Et si Dame Erika nous le demande, on fait quoi ? — Eh bien, on sera dans la merde ! J’espère qu’elle n’aura pas une idée aussi con, ni les filles non plus. Je ne sais pas de quoi est capable Élise, mais à la voir en ce moment, je crains le pire…— Écoute, Tom, on gérera le moment venu.
Les filles sont plus déchaînées que jamais ; elles sont en train de se masturber avec une force qu’elles vont s’en bousiller la chatte, et maintenant elles se mettent à gueuler comme des folles, secouées comme des poupées de chiffon. Qu’est-ce qu’elles se sont mis !
À la vue de ce spectacle, pas besoin de branlette : à notre grande surprise, nous avons éjaculé – le jet a bien failli atterrir dans ma coupe – sans même nous toucher, et presque en même temps. Je n’aurais jamais cru cela possible.
Les filles se sont calmées, ébouriffées comme si elles avaient pris un coup de mistral, puis elles se lèvent. Sara, le visage radieux, frétille, saute. Les filles nous regardent et éclatent de rire. Élise est pliée en deux.
— Hé, les filles, vous avez vu les mecs, l’effet qu’on leur a fait ? Dites, vous vous êtes branlés ?— Nous, on n’a rien fait. Pourquoi ?— À cause de ce qui vous dégouline sur le bide. Ce que vous êtes mignons comme tout, les deux, la queue en l’air, la coupe à la main… Un peu plus, vous auriez eu du claret à la liqueur d’hommes à nous offrir !— Chiche !
Je ne leur laisse pas le temps de réagir ; à l’aide du bord de la coupe, je récupère le précieux nectar sur moi et Tom, puis je touille le mélange avec mon sexe.
— Pat, tu fais quoi, là ?
Je tends la coupe aux filles en annonçant :
— Ces dames sont servies !
Sara me regarde, surprise, mais prend la coupe et goûte le breuvage. Un « Humm… » de satisfaction, un léchage gourmand de ses lèvres et un regard coquin plus tard, elle passe la coupe aux filles avec insistance.
— Je ne vais pas boire ça : t’es un grand malade ! rouspète Élise.— Elle a aimé ? Peut-être qu’elle croit que c’est un rite, chez nous ; alors vas-y, sinon elle sera déçue.
Après un haussement d’épaules et un regard, elle boit une gorgée (plus tard, elle m’avouera quelle a fait semblant), exprime sa satisfaction comme Sara vient de le faire, puis passe la coupe à Tania, qui elle semble aussi apprécier.« Oh, putain, j’espère qu’elles ont tout vidé et que… »
— Allez, les gars, il en reste !
Oh, putain, les salopes ! On n’est pas dans la merde ! Bon, bah…La porte de la chambre s’ouvre. Ouf ! Je ne sais pas qui c’est, mais celui-là, on peut dire qu’il tombe à pic !
Dame Erika et son chevalier de mari entrent, l’air radieux, ils nous découvrent tous nus comme des vers, le verre à la main. Vite, je repose le mien. Dame Erika nous interpelle :
— Eh bien dites donc, vous avez une sacré forme ! Vous mangez quoi, chez vous, pour tenir un tel rythme ? Ne me dites pas que vous avez remis ça… Et avec Sara, en plus !— Dame Erika, c’est nous, tenté-je de me justifier.— Oui, Dame Erika, c’est nous. Elle… elle était triste de nous avoir vus faire le spectacle et de ne rien avoir eu ; il faut la comprendre, Dame Erika. Et puis elle n’a pas de petit ami (quelle menteuse je suis : je n’en sais rien, mais bon), et avec nous tout nus… On lui a fait comme vous pour la consoler ; ne la châtiez pas… reprend Élise avec des arguments irréfutables.
Dame Erika coupe court : Élise a bien failli faire la gaffe du siècle ; heureusement que son mari était trop occupé à nous regarder. Enfin, surtout les filles…
— Bon, admettons. Et… elle a aimé ? Pas de petit ami ? Mais elle n’a pas à en avoir ! Voilà quatre ans qu’elles sont à mon service. Mon père les a sauvées de la misère ; elles avaient seize ans. Elle et Ode doivent s’occuper de moi, en échange ; c’est comme ça !
Dame Erika est visiblement quelque peu contrariée. Sara tente de se justifier :
— Oh, Dame Erika, je n’ai jamais eu un tel plaisir… C’est la première fois que je fais cela ; et, vous le savez, ils sont très gentils ces gens là : ils savent bien s’occuper des femmes. Je vais vous laisser.
Sara, heureuse, vient nous embrasser tous. Nous l’encerclons ; chacun amplifie le baiser pendant que les autres la caressent : quatre paires de mains, quatre bouches s’occupent d’elle. Encore une fois elle est caressée sur tout le corps, mais partout à la fois. Les deux filles – qui se sont réservé le bas – lui font un doigté vaginal mais aussi anal. Elles la caressent avec une douceur que seules ces deux femmes savent faire. Sara gémit une fois de plus, et tous les quatre nous l’emmenons vers un nouvel orgasme qui, au dire des filles, est encore plus puissant que le précédent.

[à suivre]
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