Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 5 Commentaires

Dame Erika

Chapitre 16

Orgie / Partouze
Chapitre 16 : La répétition

ÉLISE

Tous les huit, nous avons préparé un scénario ; un projet semble prendre forme, mais sans être très convainquant. Quelques idées par-ci par-là, sans plus. Après quelques minutes de discussions, j’ai l’impression de tourner en rond : ils n’arrivent pas à imaginer quelque chose de réellement concret. Sara s’énerve un peu :
— Je crois qu’on ne va jamais y arriver… J’ai une idée ! Et si vous nous montriez des choses ? Ou peut-être que nous vous montrions ce que l’on sait faire. — Après tout, pourquoi pas ? Belle idée. Essayons, alors, réponds-je.
Les deux servantes nous prennent par la main, Tina et moi, et nous emmènent sur le lit. Suivies de leurs petits copains, nous nous retrouvons toutes les deux allongées sur le dos. Une jeune langue masculine me fouille la chatte tandis que deux mains me caressent le bas du ventre ; c’est doux, c’est bon. Une petite langue toute douce me lèche, vient chercher la mienne et m’emporte dans un roulage de galoche assez impressionnant pendant que des mains me tripote allègrement les seins. Maintenant, mes tétons sont léchés et malaxés les uns après les autres. La langue dans mon vagin est en train de me mettre le feu. Avec Tina, nous nous tenons la main. Nous devons être mignonnes, comme ça : main dans la main, la chatte bouffée et les miches malaxées par, peut-être, nos ancêtres ; la situation est plutôt cocasse.
Changement de stratégie : Sara s’assoit sur moi à califourchon, sa vulve contre mon ventre. Je viens d’avoir un demi-orgasme ; Sara a dû le sentir car elle se frotte les lèvres contre moi, ce qui m’excite encore plus. Elle me malaxe les seins avec vigueur tandis que son compagnon est toujours en train de me bouffer la moule. Je sens que s’ils continuent ainsi, je vais avoir un orgasme de folie. Je respire de plus en plus fort, signe de l’arrivée imminente de quelque chose qui va me faire hurler de bonheur. Elle le sait, la petite coquine qui se masse le clito sur moi ! Elle vient de me pincer et de faire tourner mes tétons avec une de ces forces ! Je couine, gémis.
Oh, putain, que c’est bon ! Aah… Ah oui ! Oui ! Je crie ; Tina aussi. Je me cabre, décolle les fesses du lit ; arcboutée, je glousse, je gémis, je couine, je miaule. Sara est à cheval sur moi, sa vulve contre mon ventre, agrippée à mes tétons. Putain, elle me fait mal, la vache ! Elle est aussi secouée que moi par ses spasmes ; sa moule humidifiée par sa mouille glisse sur moi. Que c’est bon !
— Ouh ! Oh là là… Oui ! Que c’est bon…— Oh oui ! Oui… Ouiiii ! Je jouiiis…
Elle m’achève avec une galoche ; son Étienne boit mon jus. Personne ne m’a jamais fait un truc pareil ; putain, mais qu’est-ce que c’est bon ! Nous reprenons notre esprit un instant ; les garçons n’ont pour le moment pas vraiment eu de plaisir. Idée ! J’interroge :
— Nous allons mettre au point une nouvelle scène. D’accord ?
Mes quatre apprentis répondent par un « oui, oui ! » enthousiaste.

— Bon, les filles ; ça fait un peu mal au début.— Pas grave, reprend Sara. On va faire quoi ?— Eh bien… comme dit Pat, Étienne et Renaud vont vous enculer, hé con ! (avec l’accent).— Et c’est quoi, nous « enculer, hé con ! » ?
Je plonge les index de mes deux mains dans de l’huile qui sent extrêmement bon : c’est de l’huile d’olive. Et celle-là, si le trou du derrière des filles ne l’est plus pour longtemps – vierge – l’huile l’est. Et bio, de surcroît !— Tournez-vous et montrez-nous votre derrière ; penchez-vous en avant. Allez, encore plus. Voilà : comme ça, c’est bien.
Et hop ! Un doigt dans le cul à chacune. Après un petit « Oups ! », elles se relèvent.
— Étienne, tu veux bien aller chercher un morceau de boyau de porc ou de bœuf et de la ficelle, s’il te plaît ?
À cette demande, ils ouvrent tous de grands yeux interrogateurs.
— Élise, que vas-tu faire avec du boyau ? me demande Tina.— Vous n’avez pas une idée ? Le mot « capote », ça vous parle ? reprend Pat. J’ai vu cela en Histoire qu’à une époque ils utilisaient du boyau en guise de capote, mais je ne crois pas que c’était au moyen-âge, mais bon… Élise, c’est quoi ton plan ?— Toi, Pat, sur le dos. Tu bandes ; enfin, mieux que ça ! Bon, la petite te taille une pipe, histoire de remonter le moral des troupes. Ensuite tu mets la capote, et après… Bon, je vous explique au fur et à mesure.— En gros, tu veux leur en mettre plein les fesses, à ces petites ! Ta capote, je ne suis pas sûr que c’est efficace… Mais au pire, je préfère ça que d’attraper je ne sais quoi. Et t’imagines, tu as vu ma taille ? Je vais la défoncer, la pauvre ! reprend Pat.— T’es bien un Marseillais ; tu vois tout en grand. Elle n’est pas si grosse que ça, ta queue !
Il est vrai que je préfère l’avoir dans la bouche que dans le cul ; quoi que, si je me force un peu, je pourrais bien !
— Mais qu’est-ce que l’on va faire ? demande Sara, un peu intriguée.— Eh bien, ça (index levé), que tu as pris dans ton adorable petit cul, c’est ça (montrant la queue de Pat) que tu va prendre, et tu vas A-D-O-R-E-R ! — Ce n’est pas un peu gros ? s’inquiète Sara.— Ne vous inquiétez pas, ça va aller tout seul.
Étienne fait son apparition, le boyau enroulé autour de la main et tenant la ficelle.
— J’en ai du tout frais et tout propre : ils allaient préparer le cassoulet. Vous connaissez ?
Je récupère tout, en coupe deux morceaux, fais un nœud à une extrémité de chacun et les retourne.
— Et voilà : ces messieurs sont servis ! j’annonce en tendant les préservatifs improvisés.

**************************************************************************

LIOUBOV

La répétition va pouvoir reprendre ; les derniers accessoires sont arrivés, les préservatifs fabriqués (inventés par les Romains dans les années 100 à 200, ils étaient fabriqués à partir de vessies ou de boyaux d’animaux. Tombés en désuétude peu de temps après, ils réapparaîtront au XVIe siècle). Élise, impliquée dans son rôle de metteur en scène, dirige les acteurs.
Elle place Pat et Tom couchés sur le lit. Sara et Ode ont pour mission de provoquer l’érection des deux mâles par une fellation douce et minutieuse. Les deux servantes gourmandes sucent, aspirent et engloutissent le membre de Tom et de Pat avec une telle application que les phallus se dressent maintenant aussi fièrement que la colonne Vendôme.
L’encapuchonnement de l’édifice se fait dans la douceur : un peu d’huile d’olive – toujours vierge – permet de faire glisser facilement les étuis en boyau de porc sur les membres virils. Les deux jeunes femmes, toujours sous la direction d’Élise, après avoir enduit la capote artisanale de lubrifiant végétal, s’introduisent un doigt – voire même deux – dans le conduit rectal et enduisent son entrée de façon à ce que le gode mi-animal, mi-humain puisse pénétrer aussi facilement que possible.
Ce geste préparatoire indispensable à cette opération de dépucelage du derrière des damoiselles accompli, elles se mettent en position. À genoux sur le lit, de dos au-dessus de leur porte-phallus, l’anneau rectal bien placé, elles commencent une descente prudente sur le gland. Le début se passe bien ; il semble même que les bougresses y prennent un certain plaisir.
La résistance des muscles rectaux provoque quelques grimaces de douleur. Élise guide les prétendants pour qu’ils participent activement à cette opération : ils couvrent de caresses et de baisers les seins et palpent les vagins dégoulinants de mouille, ce qui fait monter en elles un désir, une excitation grandissante de sentir entrer en elles l’engin qui les pénètre doucement.
Les visages grimacent ; de petites larmes de douleur perlent au coin des yeux ; les mains tirent sur les fesses pour écarter au maximum l’entrée du boyau que le gland distend en y pénétrant ; des « Aah… » de douleur se font entendre. Un coup à quatre pattes, un coup assises, elles ondulent du bassin pour faciliter la pénétration qui progresse doucement. Elles entament un va-et-vient. Leurs mains vont de leur sexe à leur tête en passant par leur poitrine ; elles semblent vouloir se broyer les seins, s’arracher les cheveux dans des « Ah… Ah, oui ! » de plaisir jusqu’à ce que le phallus entre en entier dans le rectum.
Élise les fait se coucher sur le torse de Pat et de Tom et accompagne Renaud et Étienne d’une pénétration vaginale douce au début, puis intense. Les deux filles doublement empalées donnent la cadence, les mains sur les fesses des garçons. Elles gloussent, miaulent, crient aussi. Pour faire taire ces chattes en chaleur, Élise et Tina placent leur chatte sur la bouche des demoiselles pour profiter d’un cunnilingus endiablé : chacun a son propre plaisir, bien différent les uns des autres.
Ode et Sara arrivent à un orgasme si puissant que des larmes coulent le long de leurs joues, rapidement séchées par les empaleurs auxquels l’orgasme se communique.
Cet acte, mis en scène selon les goûts de la dirigeante et approuvé par tous, sera intégré à la pièce. D’autres actions plus légères, nécessaires pour assurer une bonne récupération entre les actes, sont mises en place ; comme elles sont simples, elles ne nécessitent pas de répétitions.
À présent, la mise en scène du spectacle est terminée.

[à suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live