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Dame Erika

Chapitre 18

Voyeur / Exhibition
Chapitre 18 : La générale

ÉLISE

Après cette journée de folie où nous avons donné du plaisir à Dame Erika, perso, j’aurais bien aimé être à sa place, vu ce qu’on lui a mis. Au bout d’un moment, elle devient un peu casse-pieds, avec ses « Je veux ci ! Je veux ça ! Je vous emmène voir le magicien, je ne vous emmène plus, si vous faites ci et faites ça ! » Ça devient pénible à la fin, et peut-être que son histoire de magicien, c’est du pipeau. Maintenant, je dois avouer que rester à poil quasiment toute la journée, se faire tripoter, sucer, baiser, comme on le fait, j’adore. Donc, si on restait ?
Une bonne nuit ; je suis en pleine forme. Un bon petit déjeuner, un bon bain avec Tina : le pied ! Ce bain, nous l’avons pris ensemble. La foufoune, elle est nickel propre : léchée, sucée et tout et tout, après l’avoir rasée de près. Il est bien évident que nous ne pouvons pas commencer la journée sans nous faire de petites gâteries. Comme nous avons à notre disposition de l’eau et du savon doux et parfumé, nous nous sommes lancées dans un exercice – un peu douloureux au début – mais qui au bout d’un moment d’adaptation et d’entraînement intensif s’est avéré très, très agréable, et même orgasmique : j’ai nommé le fist vaginal !
Oh, comme cela était bien ! Oh, comme c’était bon ! Quel orgasme !
C’est Tina qui en a eu l’idée c’est donc elle qui a servi de cobaye. Je lui ai tout d’abord rasé la minette de près, sans la couper, car se raser avec un coupe-chou, il ne faut pas se louper ! Je me suis savonné la main avec soin, et maintenant je commence à lui introduire un… deux… trois… quatre doigts. Elle gémit, la pauvre petite ; elle me fait des « Hum… », des « Oh, la vache ! » Un cinquième doigt, et là « Ouille-ouille-ouille ! » Je savonne avec douceur ma main à demi enfoncée – avec moi, c’est toujours avec douceur – puis je force, un peu, et encore un peu. Elle respire fort, gémit aussi.
— Tina… Ça ne rentre pas !— Vas-y, je te dis ça va rentrer ; je suis certaine que si. Force un peu, bordel !
OK. Je force, mais je pense que ça doit faire mal. Comme ma main refuse de rentrer, aux grands maux les grands remèdes ! Je lui passe mon bras sur le haut de ses cuisses, agrippe le tout, mes miches contre ses fesses, m’arcboute et force. Pas longtemps, en fait : ça rentre tout seul. Elle crie. La vache, j’ai ma main entière à l’intérieur de son con, oh con ! comme dirait Pat. Je caresse cet intérieur doux et délicat – tu m’étonnes que les mecs prennent leur pied quand ils ont leur bite là-dedans ! – je tourne mes doigts. Où est donc ce fameux point G ? Ah oui, mais j’ai la main à l’envers. Demi-tour. Elle couine toujours, ma choupinette de Tina ! Je cherche. Comment il est foutu, ce point G ? Je ne le trouve pas. C’est fait comment ? On parle toujours de bouton, mais il n’y a pas de bouton là-dedans ! Je cherche, quand tout à coup son vagin se contracte et la voilà toute secouée ; et pourtant je n’ai touché à rien. Les dents serrées, elle crie. C’est chouette, j’ai envie d’essayer.
— Tina, à mon tour, maintenant. Je veux moi aussi que tu me le fasses, pas de jalouses !
J’enlève ma main de son écrin et me positionne debout dans la baignoire, courbée en deux, les jambes bien écartées, le cul en l’air, les mains en appui sur le rebord du baquet, et en avant !Tina commence. Je mouille tellement qu’un, deux, trois doigts : facile ! Et de quatre ! Et de …cin…q. Ouf ! Pour le moment, c’est bon ; je crois que je mouille encore plus. Tina force un peu, mais ça n’entre pas.
— Tina, force ! Putain, force je te dis !

Comme je lui ai fait, elle passe sa main sous mon bas-ventre et me titille le clito au passage. Hum, c’est bon… Elle m’agrippe, me serre le bassin contre sa poitrine.
— Prête ?
Même pas le temps d’ouvrir la bouche pour dire oui ; elle force sans s’arrêter. Je ne sais pas si ça fait aussi mal qu’un accouchement, mais tu le sens passer. « Allez, ma fille, sois courageuse et cramponne-toi ! Serre les dents et écarte les fesses ! » Tina pousse. Sa main rentre de plus en plus, je suis au bord de l’orgasme. Humm… Ça fait mal, mais c’est bon ! Elle est entière dans mon vagin ! Je vais venir dans… pas tout de suite. La main de Tina me fouille ; je ne sais pas ce quelle cherche. Ah si : elle vient de le trouver, mon point G ! J’explose intérieurement. Je lui serre la main – pas comme quand tu serres la paluche à quelqu’un – avec mon vagin. Elle est prisonnière de moi ; j’adore ! C’est fini. Toutes les deux, les mains gluantes de mouille, on se caresse, on se roule une pelle à tout péter. Bon, nous sommes bonnes pour nous relaver.
— Tina, on essaye le cul ?— Ce soir, s’ils aiment ce qu’on vient de faire, oui, on le fera avec de l’huile et une capote de ton invention.
Notre bain est terminé, maintenant nous nous activons tous pour tout préparer.Il nous faut :
— fabriquer les dessous : foulard transparents en guise de soutifs (quatre) ;— idem pour les minijupes : foulard noué sur le côté, ouvert pour voir la fesse : c’est vachement érotique (quatre aussi) ;— des strings : il faut aussi les fabriquer. De la dentelle et du biais récupérés chez le tailleur, et hop !— une chemise en guise de mini-robe (une chacune) ;— aux pieds : rien ;— une robe longue ; il y a du choix. Toutes la même tenue : en servante ;— des capes pour tous (huit) ;— les garçons se débrouillent pour les vêtements : en domestiques ;— ils s’occupent de la mise en place de la salle de banquet ;— nous avons besoin d’accessoires : de l’huile au cas où – très important – et du boyau ; propre, c’est mieux (s’il n’est pas propre, ça pue !) ;— des bandeaux pour les yeux et des loups. Ils ont cela, des loups ? Sinon on s’en passera ;— les ménestrels : il faut leur faire répéter la chanson de Joe Cocker ;— aussi d’autres artistes : jongleurs, magiciens, marionnettistes, danseurs. Il ne faut pas les délaisser, et c’est normal : chacun son art. Nous avons juste un peu modifié leurs costumes pour qu’ils soient un peu plus sexe, surtout pour les jongleurs : torse nu, huilés, ils sont beaux.
J’ai rencontré un magicien. Et s’il s’agissait du soi-disant magicien qui doit nous ramener chez nous ? À force de clins d’yeux prometteurs, de postures à la Betty Boop, il a fini par me dire qu’il en a entendu parler mais qu’il ne sait pas vraiment où il se trouve.
Cette confidence me donne un coup de fouet ; enfin, façon de parler… Reboostée à bloc, j’annonce la bonne nouvelle aux copains. Tout est prêt, mais une question turlupine Sara :
— Dis-moi, Élise, si on n’arrive pas à jouer parce qu’on est fatigués ou je ne sais pas quoi, on va avoir des ennuis ?— Tu simules, tu fais semblant. Regarde, je vais vous montrer.
Je laisse tomber mon unique chemise et commence à me caresser en miaulant, couinant, gémissant. J’appelle Pat :
— Pat, viens, on va leur montrer comment simuler, parce qu’à force de faire l’amour et de baiser à longueur de temps, ils ne vont plus y arriver, et nous non plus. Enfin, moi si, mais pour les mecs, ça va être plus compliqué. Allez, à poil, Pat !
Pat se déshabille pour le cours de simulation. Il se place derrière moi en levrette, et c’est parti. Je couine, miaule fort ; Pat râle. Au moment de l’orgasme, je crie, et Pat jure. Toute seule, je me caresse. Idem : je gémis, et ainsi de suite.
— Tu as compris ? Et tu as vu, il ne bande pas. Fais-le avec Étienne.
Ils le font. Parfait, le doute est levé.
L’heure du festin est arrivée ; nous sommes prêts. Un peu de vin de claret pour enlever le stress, et le spectacle commence. C’est parti !
La salle de banquet est pleine à craquer ; la musique démarre, les convives se taisent. Nous faisons une entrée magistrale au rythme de la musique, par couples, et montons sur scène ; Dame Erika aussi. Elle présente la pièce.
— Pour l’anniversaire de mon époux, voici une nouvelle pièce de théâtre jouée par la troupe du château. Messieurs, préparez vos arbalètes… Musique !
Le service commence.
Premier plat : la tenue est normale ; les artistes s’exhibent, chacun dans son art. À la fin de chaque plat – et il y en a une quantité incroyable – nous montons sur scène pour exécuter un léger striptease partiel : un seul vêtement suffit. Les artistes continuent leur prestation.
Nous sommes au plat principal. Les filles en minijupe et soutif transparent, les garçons en string sumo. À partir de ce moment, les esprits s’échauffent, les corps aussi ; les braies gonflent.
Les filles, un foulard noué entre les seins en guise de top et un autre à la taille en guise de minijupe, le tout transparent. Nous faisons le service, et les mains baladeuses se posent sur nos fesses et sur tout le reste du corps. Ode et Sara, stressées au début du service, sont maintenant parfaitement à l’aise ; Sara m’a même confié apprécier énormément sa situation et montre un empressement certain pour la suite.
Les serveurs en string de sumo sont congratulés par les caresses de ces dames, ce qui n’est pas pour leur déplaire. Les plats défilent les uns après les autres. Les carafes de vin se vident, les braies se remplissent d’organes masculins visiblement intéressés par la situation.
Les foulards-soutien-gorge volent au vent au-dessus de nos têtes en faisant le tour de la salle en courant. Au service suivant, c’est topless que nous présentons les plats face aux convives, pour que chacun puisse se servir tout en se rinçant l’œil.
Une valse endiablée nous fait perdre notre minijupe, si c’est le terme. Sara hurle presque « Vous aimez nous toucher ? Moi j’aime ! Alors touchez-nous ! »
Dame Erika est surprise par le minuscule triangle qui couvre à peine notre intimité. Ses mains précèdent toutes celles qui vont tester la qualité du tissu qui, arrivé en fin de service a complètement disparu. Comme le string des garçons, d’ailleurs.
Sur scène, les artistes n’ont guère de succès ; nos fesses et nos pubis, si ! Les plats défilent toujours, et les mains se font de plus en plus curieuses. Un des convives me doigte au moment où je le sers ; j’ai bien failli lui retourner le plat une la tête : il m’a fait mal, ce con !
Dessert ; le clou du spectacle. Tous les huit, nous avons revêtu notre cape sans rien dessous. Sur scène, une danse : une valse effrénée. Trois tournoiements, et les capes s’ouvrent et se referment, les filles à l’intérieur.
J’ai abandonné ma cape ; je suis nue, collée à Pat. J’ai mis mes pieds sur les siens ; nous glissons. Je ne vois rien, mais je sens son odeur, son sexe entre nous deux. D’une main je le touche ; lui me tient, et la cape aussi. Il s’arrête. Les ménestrels jouent la musique de Joe Cocker ; ils la jouent vachement bien maintenant ! La cape s’ouvre : je suis à genoux, en pleine fellation. Les convives applaudissent, nous encouragent comme s’il s’agissait d’une compétition.
Après un service à table digne des plus grands cabarets du monde – en réalité, c’est le seul – le spectacle est sur scène. Mis à part la musique, aucun son ; pas même celui des couverts. Les convives sont suspendus à notre jeu d’acteurs, même si certains on vu la première version (la saison 1, dirait-on de nos jours).
Le feu d’artifice arrive : chaque couple joue une position du Kâma-Sûtra différente. Nous, les filles, on glousse, gémit fort, simule, crie des « Ouiii… Encore ! Je jouiiis… » Les garçons aussi ; eux, ce sont des « Han ! » de mâles puissants.
Nous sommes tous déchaînés ; nous crions tous en même temps pour simuler un orgasme commun.
Moi, je suis en train de prendre mon pied. Pat ne m’a pas prévenue. Il m’a prise en levrette ; il vient tout bonnement de m’enculer comme un fou, et je hurle de bonheur. Du coup, les autres font pareil. Dans la salle, des « Waouh ! », des cris, des applaudissements.
Les garçons descendent en salle pour aller peloter quelques paires de miches et motiver ces dames pour qu’elles s’occupent de leur cavalier.
Comme prévu, Tina et moi sommes chacune allongées sur une table, la vulve bien en vue, pattes écartées. Sara commence à me fister la chatte ; à la surprise générale, personne ne connait – sauf Dame Erika – ce truc de fou. La main huilée de Sara pénètre en moi. Je gémis, glousse, m’attrape les cheveux, me tords, gesticule en tout sens, crie pour de vrai. La petite m’a empalée, me provoquant un terrible orgasme. Peu de temps après, c’est Tina qui me suit. Je souffle à Sara « Reste en moi… » Je me lève, debout sur la table, avec une main en moi qui bouge en permanence (la petite salope, elle se joue de moi !) Je gémis pour de vrai et me tripote comme une folle tandis qu’elle me masturbe. Sa main entre et sort ; elle m’écartèle, je mouille comme une fontaine. Pas de jalouses : « À tout tour, ma cocote ! »
Je la regarde ; elle est radieuse. On se congratule à pleine bouche, une main sur la chatte, l’autre autour du cou. Je lui souffle :
— Je vais te faire pareil ; tu vas voir, petite salope !— Oh oui…
Elle vibre déjà ; elle aime ça. Elle s’allonge ; je lui enfile deux doigts, puis trois, puis quatre ; elle est tellement mouillée que ça rentre tout seul. Elle gémit aussi, mais impossible d’aller plus loin : elle est trop serrée. Elle lève la tête, les yeux désespérés.
— Ça ne rentre pas, Élise. Force ! J’ai envie…— Tu es folle ! Je vais te faire mal. T’es trop serrée, simule fort !
Elle simule bien. J’agite mes doigts en elle ; elle gesticule, couine, miaule, se caresse avec force. J’ai l’impression qu’elle va s’arracher les seins.
— Debout !
Elle se lève. Je la masturbe, touche son point G. Et vlan ! Orgasme. Étienne saute sur la table, la saisit, la soulève, la retourne et l’empale. Elle hurle de bonheur comme une folle.
Les deux jeunes couples offrent le même spectacle et continuent leur show en illustrant d’autres positions. Nous sommes dans la salle ; les garçons motivent quelques jeunes damoiselles – largement en âge de trouver un mari – avec des caresses bien ciblées. Tina et moi, nous sommes le cadeau d’anniversaire du seigneur : moi sous la table à lui tailler une pipe mémorable dont le goût amer me restera longtemps en bouche, et Tina à lui lécher ses virils tétons.
Puis il nous saute toutes les deux. Dame Erika a calculé son coup : il ne peut plus rien dire s’il apprend ce qu’elle a fait avec nous. Maintenant il est en faute car il la trompe, et devant elle en plus !
Le spectacle est terminé. Tous se lèvent, applaudissent, crient leur bonheur. L’excitation les tient tous. Pour preuve, les taches sur les braies et les mains engluées des femmes.
Le bal débute ; les braie collent – les bouches également – les langues se cherchent, se trouvent. Les couples se tripotent, les robes se soulèvent, les fesses apparaissent, les queues sortent des braies, les fellations débutent, le sperme coule dans les gosiers de ces dames.
Nous laissons les convives à leurs jeux. Installés à table, nous mangeons tout en admirent le spectacle, et surtout l’entrain de nos jeunes poulains qui sont restés sur scène pour améliorer leur jeux. Dame Erika vient nous féliciter, puis nous allons nous reposer.
Si tout va bien, nous partirons demain matin à l’aube ; la route sera longue.La fête est finie.

[à suivre]
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