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Dans l'abri pendant la tempête

Chapitre 1

Erotique
Il y a quelques années, j’avais rencontré un ami de longue date, Pierre, qui avait à l’époque 35 ans, qui revenait d’une randonnée dans une région montagneuse. Il m’avait raconté la fin de sa ballade, peut-être avait-il un peu enjolivé l’histoire, mais peut-être pas.Aujourd’hui, un certain temps après, il est sans doute possible de raconter cette aventure sans nuire à qui que ce soit.
« C’est le 15 août que je suis redescendu, j’étais parti pour deux semaines, mais après dix jours de randonnée la météo était brusquement devenu alarmiste annonçant de gros orages, la tempête en certains endroits, et au début  la nuit j’avais eu un peu de neige. Du coup je suis descendu par le chemin le plus rapide, sans perdre de temps, réveillé de bonne heure, le sac fait à la hâte, heureusement il n’avait pas plu et ma tente était sèche le matin.« Je suis descendu à toute allure, aussi vite que je le pouvais, passablement inquiet. En fin de journée j’arrive le long d’une route, passablement fatigué. Le ciel est noir, le vent se lève, et quelques coups de tonnerre se font entendre, et c’est alors que j’ai vu une gare désaffectée, fermée, qui proposait un abri extérieur dans lequel je me suis arrêté, en espérant qu’une voiture passerait que je pourrais arrêter pour me faire conduire en ville. Mais le temps s’est gâté au point que j’ai préféré casser une vitre et entrer dans la gare par effraction ! La peur fait faire bien des choses… !« Je me fais à manger et je me prépare à passer la nuit, je déplace deux banquettes qui se trouvent là : côte à côte elles feront un bon lit. Je m’installe dessus et je commence à dormir, jusqu’au moment où l’orage se déchaîne. Une violence que je ne connaissais pas, un vent extrême, j’entends des craquements, un bruit de chute assez effrayant : un arbre pas loin a dû tomber… je me lève, je regarde la route, et je vois soudain une voiture dont les phares trouent la nuit, se reflètent sur la pluie qui tombe comme je n’avais jamais vu, je me dis que c’est de la folie de prendre la route. Mais une minute plus tard les phares reviennent, s’éteignent, et une femme sort juste au moment où un éclair strie la nuit accompagné presque aussitôt par un brutal grondement sec, elle se protège de la pluie comme elle peut, mais c’est mission impossible, j’ouvre la porte, elle entre. Pendant deux minutes elle parle sans arrêter, énervée, effrayée…
« "- Que j’ai eu peur, il y a un arbre qui coupe la route, j’ai cru que je ne m’arrêterais jamais à temps, ma voiture glissait sur la route et le vent la poussait…. Dieu merci il y a cette gare…. Je suis trempée".
« Elle a retiré le châle qu’elle avait sur la tête, sa veste était effectivement trempée, et je lui ai proposé une polaire qui était dans mon sac, et une veste, elle a accepté avec gratitude : "Mais tournez-vous pendant que je me change". Il fait nuit, mais j’obtempère, et à ce moment un nouvel éclair, je résiste à la tentation, … pourtant elle a l’air si gracieuse, j’ai beaucoup de mérite. Je lui propose un peu de nourriture… mais elle n’aura pas le temps de manger : nouvel éclair, et soudain un bruit de train, qui augmente, monstrueux, elle s’approche de la fenêtre pour regarder, un énorme craquement, le plafond s’ouvre près de la fenêtre, j’ai juste le temps de la tirer en arrière, une branche surgit exactement là où elle se tenait, de la pluie entre, je la tiens contre moi, elle se tient blottie contre moi… je l’entraine dans le coin opposé, les éclairs et le tonnerre continuent de déchirer la nuit… je ne suis pas tellement plus rassuré qu’elle depuis que le toit a cédé…. Et puis ça finit par se calmer, elle me regarde enfin : "Merci, vous m’avez évité le pire…". Je suis ébloui par ce qu’un éclair me fait entrevoir, elle est si belle avec ses cheveux mouillés…. Elle tremble, et je m’aperçois que moi aussi… je la désire, soudain, maintenant que le plus fort semble passé… je cherche à l’embrasser… elle se détourne… puis hésite, me laisse poser mes lèvres sur les siennes, se détourne… j’ai l’impression que tout son corps hésite, résiste… puis elle cède, m’offre sa bouche, laisse mes lèvres écraser les siennes… et elle a fondu, elle s’est abandonnée comme on lit dans certains romans, elle cède, me cède, se donne, je m’assois doucement sur le semblant de lit que j’avais installé, je l’allonge, elle se laisse aller en arrière, j’ouvre les vêtements que je lui ai donné, elle a un moment de résistance… me laisse faire … j’ai un mal fou à défaire son soutien gorge, je renonce, je relève sa jupe, je lui arrache sa culotte, et je sens sa main qui tente de s’y opposer, puis elle renonce, s’abandonne une nouvelle fois… j’écrase sa bouche avec la mienne… j’ouvre mon pantalon, ma queue glisse sur son pubis… elle tremble, elle est tendue, je la pénètre, et comme je la possède, comme je m’enfonce en elle, je sens la résistance de son corps, mais elle me tire vers elle, elle se crispe et comme je force le passage elle crie dans un éclair qui nous illumine à ce moment-là… elle est - était vierge, ça me traverse l’esprit d’un coup… et je suis pris d’une espèce de tendresse qui envahit toute la suite de la nuit… je commençais à la baiser et je lui fait l’amour… comme on fait l’amour à une femme que l’on a attendue longtemps, que l’on va aimer longtemps… elle se laisse faire, mais son corps peu à peu s’éveille au plaisir… je lui dis de mettre ses jambes autour de mes reins, elle hésite, comme si une voix la retenait de se donner complètement… et puis je sens ses cuisses qui se lèvent, son bassin qui bascule, ses chevilles qui se rejoignent derrière mes reins… et elle a commencé à gémir… à me donner sa bouche, à accepter ma langue… quand elle a commencé à jouir je me suis laissé aller, j’ai commencé à la pilonner jusqu’à ce que je l’entende crier, et nos cris se sont mêlés dans les éclairs et le tonnerre….
« Je me suis laissé aller sur elle, l’écrasant de tout mon poids, j’embrassais sa bouche, ses yeux, elle ne disait rien, me donnait sa bouche, ses lèvres, dans la lueur d’un éclair je l’ai vue enfin, son visage, ses yeux, ses lèvres… j’ai été ébloui par sa grâce… elle a mis son doigt sur mes lèvres, j’ai essayé de nous protéger du froid et nous nous sommes endormis…. »
Entendre Pierre qui n’était pas connu pour être un grand sentimental était pour le moins surprenant, presque risible… tiens lui ? Et il a continué….
« Est-ce le froid qui nous a réveillés ? Ou elle qui m’a embrassé ? Ou les deux…. Je lui ai rendu son baiser, je l’ai caressée, j’ai cherché à retirer son étrange soutien gorge et elle m’a aidé, libérant ses seins pour mes caresses, mes baisers, mes dents, là encore elle résiste parfois… mais se donne, presse ma tête sur sa poitrine, offre la pointe de ses seins à mes lèvres et les laisse entre mes dents qui agacent ses tétons… je regarde son ventre et sa toison, et je sens sa main qui cherche mon ventre, mon membre, je me tourne pour m’allonger sur elle, elle guide ma queue pour que je la reprenne, ses jambes sont aussitôt derrière mes reins, elle lance son pubis vers moi : "Aimez-moi encore…" Nous faisons l’amour tous les deux, elle se donne sans retenue, elle gémit bruyamment, c’est bref, brutal, animal par moment… on jouit tous les deux ensemble, je décharge et à chaque jet elle crie…. Et nous retombons dans la somnolence, réveillés de temps en temps par le froid….
« Nous avons vaguement dormi, jusqu’au moment où le tonnerre nous a de nouveau réveillés…. Le jour commençait à peine à poindre, il n’y a encore que les éclairs pour apporter de la lumière… et elle m’embrasse, et me dis très près de l’oreille, d’une voix très faible mais en même temps décidée… : "Faites-moi tout ce que vous faites à vos maitresses… faites-moi tout". Je l’embrasse, je la regarde, je lui retire tout ce qui peut lui rester de vêtements… je couvre sa toison de ma main, et mes doigts commencent à jouer avec les lèvres de son con… je veux lui donner tout le plaisir qu’une femme peut éprouver et elle ferme les yeux, que de temps en temps elle ouvre pour m’offrir son regard. Je veux la faire jouir jusqu’à ce qu’elle demande merci….
« Après mes doigts ce sont mes lèvres qui s’emparent des lèvres de son con, ma bouche qui embrasse sa vulve qui contient encore du sperme que j’y ai laissé dans la nuit… je la lèche, je suce son clitoris, je le mordille légèrement, elle presse ma tête entre ses cuisses jusqu’au moment où elle se tend et où je sens ses cuisses qui me serrent le crâne comme pour le briser, elle crie encore… je la laisse se calmer… je l’embrasse avec mes lèvres qui portent le goût du cocktail lapé entre ses cuisses… elle prend ma bouche, ma langue, mon corps rampe sur le sien, pour lui faire sentir ma queue sur son ventre sur son estomac… elle me laisse faire jusqu’u moment où mes mains prennent ses seins pour en faire un fourreau pour ma queue… elle comprend ce qui va se passer, hésite, me retient, mais regarde le membre qui glisse dans sa poitrine, la pointe de ma queue, le méat… qui s’approche de ses lèvres… elle me regarde… et quand il le faut ouvre la bouche et suce le bout de ma queue comme elle aurait goûté une glace… puis la relâche… et la reprend… ouvre la bouche et me laisse la pénétrer… elle suce… aspire, tête, j’hésite… je joue à baiser sa bouche doucement et elle tête, pompe… je regarde ses yeux… elle les ouvre parfois pour les mettre dans les miens, elle ouvre la bouche… aspire… tête avec insistance et je commence à sentir le plaisir qui monte… je crois voir dans ses yeux quelque chose qui me dit de céder au plaisir dans sa bouche… j’enfonce ma queue et je la retire doucement… je lui dit que je vais jouir… elle ouvre la bouche soulève sa tête pour reprendre ma queue… je me laisse aller… elle pompe, je baise sa bouche, elle se laisse faire, en prend de plus en plus, pompe jusqu’au moment où je ne tiens plus, je décharge, je ne comprends pas d’où peut venir tout ce sperme qui monte dans ma queue et explose dans sa bouche… et elle ne laisse rien sortir de sa bouche, elle tête et avale au fur et à mesure que les jets arrivent dans gorge…. Quand il n’y a plus rien elle me regarde, suce et relâche ma queue…. "C’était pour vous rendre le plaisir que vous m’avez donné…."
« Au lever du jour une nouvelle tempête a éclaté. Le toit de notre abri n’a pas résisté, la pluie tombe a seau… nous sommes trempés, nos vêtements ne nous protègent plus, abrités sous la toile de ma tente, serrés l’un contre l’autre, échangeant un baiser de temps en temps, nous attendons les secours, mon téléphone n’a plus de batterie…. Enfin nous entendons une voiture de pompiers, nous somme gelés, au bord de l’hypothermie quand ils nous prennent en charge et nous conduisent à un poste de secours relativement proche. Un médecin, une femme, a ouvert sa maison, nous sommes installés dans une grande salle de séjour, ma compagne d’une nuit est emmenée dans une chambre. Puis une puissante voiture est venue la chercher, elle est passée devant la fenêtre son regard a croisé le mien, et elle est partie.
« La docteure est venue me voir, me conduire dans une autre chambre, la sienne. "Vous avez déclenché un séisme… Il se trouve que je connais la femme, la religieuse, avec laquelle vous avez passé la nuit… c’est une amie d’enfance, nous avons fait nos études ensemble au collège et au lycée… elle m’a raconté… je ne sais que penser… elle dit que vous lui avez sauvé la vie par votre réaction quand un arbre est tombé sur la gare… qu’elle a perdu la tête et que vous n’avez pas abusé de la situation, qu’elle était consentante… et même qu’elle a aimé et provoqué certaines étreintes… je comprends comment ceci a pu arriver… vous avez de la chance, car en cas de doute la tempête qui se serait abattue sur vous aurait été bien plus puissante que celle que vous avez traversée… tout restera entre nous, je lui ai donné une pilule du lendemain… elle verra avec un prêtre et sa supérieure comment elle continuera… après cette… tempête….« Elle m’a regardé : "Tout ceci m’a émoustillée, est-ce qu’il vous resterait quelque chose pour moi ?" m’a-t-elle dit avant d’aller fermer la porte de sa chambre »
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