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Dans le Métro

Chapitre 1

Divers
— Dans le Métro —
Isa avait de belles hanches bien larges, une taille fine et de longues jambes qui finissaient dans une paire de converse. Dès que je la vis dans le métro, station Corentin-Celton, je l’imaginai nue, sous ses cheveux blonds au carré. Je devinais dans son cou un tattoo... un oiseau, on aurait dit. Je ne savais pas encore. J’avais la queue qui grossissait dans mes jeans et je n’arrivais presque plus à me tenir droit à la barre. Station suivante, plus de monde entra. Nous devions nous plaquer les uns aux autres. Je choisis je me rapprocher d’elle, et une grosse matrone me bouscula carrément de ses deux énormes seins, et je fus plaqué sur Isa. C’est là que je sus son prénom. Une excuse générique, l’évidence de la présence de la grosse, et puis mon sexe bandé collé contre les fesses de la jolie blonde devant moi. La rame se remit en route, et ses mouvements me donnèrent le choix : fesse gauche, fesse droite... je préférai ne pas choisir, et me plaquai entre les deux. «Moi, c’est Seb», lui soufflai-je.
Je haletais déjà, et elle ferma un instant les yeux. son haleine était fraîche. Apparemment. Je crachai mon chewing-gum par terre, et il roula sous les pieds du vieux type au béret assis sur le strapontin. De bas en haut. De bas en haut, à chaque soubresaut du métro. Ma queue bien raide glissait contre nos tissus tendus. Son cul était assez petit, mais ferme. Je la saisis aux hanches, comme un jouet, et elle me foudroya un instant du regard. Pas longtemps. Elle se cambra, alors que je glissais encore et encore dans la raie de son cul. Sa petite robe imprimée se fripait, et je l’imaginais déjà se tacher de mon sperme.
Elle bascula la tête en arrière : «Attention, Seb. Elle est neuve, je ne veux pas que tu la taches de ton sperme».
Je plaquai ma main ouverte sur sa gorge déployée, qui marmonnait et gémissait. Je sentis son cou. Je dégrafais mon jean, et le vieux au béret protesta : «De mon temps, on ne faisait pas ça dans le métro, jeunes gens !— Ouais, je me faisais sauter contre les clôtures des pavillons de banlieue, moi ! répliqua la grosse.— C’est toujours mieux que dans le métro ! Et maintenant, je bande. Des années que ça ne m’était pas arrivé, et moi, pas question que je rate ça. Bande de voyous. C’est une honte. J’ai pas envie de mourir d’un infractus !— InfARCtus. On dit pas inFRACtus, c’est pas français.— J’vais t’en donner, moi, du français, et du bon la grosse, tu vas voir. Amène donc moi un pti peu ton gros cul par ici que j’y mettes ma belle saucisse de morteaux, profites-en, elle a un regain de jeunesse ! clama le vieux en chevrottant avec triomphe.— Chiche.
La grosse écartait son décolleté sur ses majestueux nibards. La blondinette les reluqua une fraction de seconde et rougit, plaça ses mains pour cacher sa poitrine menue. Moi, j’avais le jean en accordéon aux chevilles, mon boxer tendu comme un trampoline. Je pris ses mains, et les plaçais dans son dos, je voulais voir ses seins tressauter quand j’allais la baiser, ici.— Cambre toi, Isa.Elle siffla un oui étranglé et ses reins se creusèrent dans un craquement de sa colonne. Je fis descendre son string. La ficelle en resta un moment emprisonnée au bas de sa raie, mais je n’attendis pas pour y glisser ma grosse queue. Oui, car ma queue est très grosse (au moins 25 centimètres, tous les copains refusaient de se doucher à poil avec moi la première fois qu’ils la virent). Je l’enfournai dans sa chatte glissante, et je ne sentis qu’une petite touffe de poils au dessous, lorsque je m’y étais frotté le temps de deux va-et-vient entre ses cuisses. Elle était chaude et trempée, et je commençais immédiatement à la limer comme une machine à baiser. Elle se tint à la barre d’inox, et je déchirai ses vêtements. Mes couilles grosses comme deux bons kiwis de chez Fruit&Veg battaient contre son clitoris saillant. Oh oui, qu’il était bon, ce clitoris ! Il grossissait à vue d’oeil, et devenait de la taille d’un bout de son petit pouce. Cela n’échappa pas à un jeune gars à la coupe de cheveux typée caniche, assez à la mode, mais effacé dans un coin de la cabine. Il la matait en rougissant depuis le début, des larmes aux yeux.«Isa, je peux te lécher, cette fois ?— Fais ce que tu veux, je m’en fous ! lâcha t-elle, la voix bousculée par mes coups de boutoir.— Je t’aime Isa, je veux te faire l’amour une dernière fois, je t’embêterai plus jamais après.— Vous êtes son petit ami, jeune homme ? demanda le vieux,— Je l’aime, on devait se fiancer ce week-end, mais j’ai mes partiels d’histologie végétale.— T’es juste trop con Charles, si tu crois que je te largue juste pour ça, mais trop pas ! Tu baises comme un méchoui, il faut te mettre une broche dans le cul pour que tu fasses du jus !
Charlie se précipita sous mes couilles qui se baladaient maintenant dans ses frisettes, alors qu’il suçait l’énorme clito d’Isa. Je le sentais pointer, tant que je me demandais s’i elle n’était pas entre les deux sexes. Une autre répondit à cette question si on la lui avait posée, ce fut la grosse. Malgré son impressionnante paire de roberts, et sa chevelure sur-abondante, elle baissa sa jupe et sa gaine panthère pour révéler un braquemard violacé encore plus long que le mien, et encula sans préavis Charles qui suçait la cramouille d’Isa.Il protesta alors que la grosse l’empâlait sur son vit monstrueux, et le vieux se plaça derrière elle, et l’encula aussi ardemment que son noeud survolté par les événements le lui permettait. Elle râla avec délectation «Ohhh oui ! Fourre moi ta grosse baïonnette jusqu’à la garde, mon poilu !— J’ai pas fait l 1ère moi, juste indochine !— Haaan mais j’aime trop indochine, bourre moi plus fort, mamie ! Je veux chanter comme Nicolas Sirkis ! glapit le caniche.
J’avais la barre qui palpitait au fond du con d’Isa, je commençais à dégouliner en elle comme un robinet ouvert, et Charlie lapait goulûment le sperme et la mouille qui débordaient du minou brûlant de sa copine. J’entendis le vieux gueuler pour qu’une pauvre mère de famille timide lui apporte le clairon qu’il avait dans son sac, «et que ça saute» car il ne voulait pas laisser le moindre répit à la rondelle du gros travesti. Il avait une détente fulgurante, et était possiblement sur le point de jouir, car sous ses coups de boutoir, la grosse et le caniche étaient ébranlés, et je finis par empoigner les deux petits nénés de la belle Isa. J’avais une envie impérieuse de lui truffer le cul. Je me retirai de sa chouchoute et mon noeud mouillé glissa dans les cheveux déjà collés du caniche qui glapissait maintenant une de ses chansons préférées. Je collai mon gland turgescent contre la rondelle d’Isa, et la mère de famille s’approcha à genoux, tout en tendant d’une main désintéressée le clairon au vétéran. Elle enleva son alliance, et une fois sous Isa, aux côtés de Charlie-le-caniche, elle commença à enfiler sa main, doigts groupés, dans la foufoune chaude et ultra-glissante d’Isa encore pleine de demi-foutre. Elle fut aussitôt sortie par son mari qui bondit depuis deux rangées plus loin en hurlant : «KEUNASSE !!! Je l’ai toujours su, hein ! Pi tu sais même pas y faire, j’vais te montrer comment, moi ! Regarde bien, et suce-moi !»
Il bouscula sa femme, fit ressortir sa main toute mouillée de la chatte d’Isa qui râlait de gros "RhÖÖÖ" profonds, et y enfonça son poing après avoir demandé à la pauvre dame de le lécher. Il disparut entre les jambes d’Isa dans un PLOP et je le sentis immédiatement compresser ma queue tenue dans le petit cul cambré de la blonde. Elle meugla comme une vache, et je sus que je n’étais plus trop loin. Je la bourrais comme si je devais mourir demain, sans aucun respect, et prenais plaisir à lui arracher chaque plainte, chaque couinement. Sous ma queue, le poing du dernier bonhomme fouillait la petite chatte bombée, faisant ressortir son clitoris hypertrophié que son petit ami suçait avidement alors qu’il se faisait enculer par le plus monumental des travelos que j’avais croisé. Il chantait l’air des bijoux de Faust alors que l’ancien soldat mugit : «J’vais jouir ! Oh ma grosse salope, j’vais jouiiiir !» et il administra de bonnes claques sur le gros cul qu’il ramonait, et emboucha son clairon au moment même où il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. Il se déchainait dans le fion de la truie géante qui éjacula dans le cul du caniche qui en perdit ses lunettes. La mère de famille se saisit de son petit dard et le massa d’une main experte qui fut instantanément engluée de sperme juvénile mais étonnament abondant que le caniche laissa échapper dans une vocalise qui ressembla tout à coup à une série d’éructations.
«Toi, ta gueule !» jeta le mari de la femme qui sorti un moment sa queue de la bouche de sa femme pour boucher complètement celle du caniche qui restait agrippé au clitoris d’Isa qu’il tenait entre le pouce et l’index. Il commença à pomper le gland du monsieur qui gémit : «Oh meeeerde !» et qui s’arracha de la bouche du jeune bouffon pour tenter de se précipiter de nouveau dans celle de sa femme qu’il rata. Il éjacula et la première salve de son sperme baveux atterrit sur la chevelure de la maman qui courba le dos comme si un effondrement allait l’ensevelir. Ce fut Isa qui se pencha brutalement en avant pour l’engloutir et se mit à avaler l’éjaculation du type qui - à en entendre les exclamations sourdes d’Isa - pompait comme une lance à incendie de quoi la rassasier pour une semaine.
Son cul se crispa comme un étau sur ma gaule chaude, et là je lui vidais mon foutre dans les entrailles en une longue série de giclées râpeuses et acides. Je reconnus le début d’un air militaire connu entonné par le clairon du vieux qui se baladait maintenant la pine à l’air en la faisant lêcher à tour de rôle par la mère de famille, la grosse truie mâle, et Charlie le caniche. Il distribuait oralement des médailles à chacun d’eux, et le mari continuait d’alimenter Isa comme une station service qui commençait à avoir des haut-le-coeur. À chacun d’eux, sa rondelle se relâchait complètement et repoussait ma brinqueballe avant de la rengloutir dans la seconde et se clipser sur ma base comme pour me tenir pour l’éternité. J’avais toujours la main sur sa gorge et la sentais avaler sans fin. Elle avait dû en boire l’équivalent de deux verres, je n’y croyais pas, et quand l’homme-geyser retira sa longue pine de sa bouche, elle se retourna vers moi essoufflée et hagarde. De la semence lui était sortie des narines et lui barbouillait la lèvre supérieure et le menton.
«Pas mal, hein ?» lui demanda l’homme-pompe. Mais personne ne le regardait. Nous ne nous étions pas aperçus que la rame s’était vidée de tous ses passagers. Terminus. Contre la porte du poste de conduite, le conducteur se branlait et finissait d’asperger la feuille de verre securit. Les contrôleurs quant à eux, attendaient que nous sortions, qui son noeud à la main, qui son falzard déjà tire-bouchonné aux chevilles. Isa piqua un rouge-à-lèvres dans le sac à main ouvert de la mère de famille, et inscrivit son numéro de téléphone sur ma bite encore dure et chaude d’être tout juste sortie de son coffre arrière. Merde. Il allait falloir que je reste à poil et bandé jusqu’à ce que je puisse le noter ailleurs. Ils se jetèrent tous à mes pieds pour lire la suite de chiffre écrite sur ma queue, mais avant qu’ils aient pu réagir, le caniche avait déjà englouti ma bite pour la sucer.
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