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Dans mon bureau...

Chapitre 1

Hétéro
Je suis jeune professeur d’université et il m’arrive parfois d’avoir des étudiants dans mon bureau pour un oral ou pour leur rendre un devoir. La dernière en date était... entreprenante. Une jeune fille assez canon, sans être provocante d’habitude, brune, les yeux bleus, était venue récupérer une copie plutôt désastreuse, et je vis son visage se décomposer en voyant sa note. Du regard, elle me supplia de faire quelque chose, mais je ne suis pas du genre à modifier les résultats aussi facilement. Elle s’aperçut cependant que mes yeux étaient insensiblement attirés par son petit cul et comprit aussitôt qu’elle avait une solution. Elle se retourna un instant et ferma la porte de mon bureau à clef. Devant mon air interdit, elle me dit d’une voix basse de me laisser faire, enleva son pantalon d’un seul geste et se jeta à genoux pour dégrafer le mien. Inutile de dire que lorsqu’elle parvint à son but, ma queue était déjà raide et brûlante devant elle... et elle la prit en bouche alors que je gémissais de plaisir ; je n’en croyais pas mes yeux.
La petite salope était à genoux devant moi, ses yeux bleus fixés sur ma queue qu’elle pompait consciencieusement. C’était une merveille de voir ses lèvres fines aller et venir sur mon dard dressé, l’engloutissant presque entièrement et laissant sur leur passage une pellicule moite, qu’elle venait aspirer à nouveau l’instant d’après. Par moment elle s’arrêtait pour reprendre haleine, et en profitait alors pour laisser courir sa langue agile sur mon gland, en souriant d’un air provocant. Je n’arrivais toujours pas à croire qu’elle était en train de me sucer, ni qu’elle pouvait être si experte alors qu’elle n’avait que dix-huit ans à peine, un corps d’adolescente encore avec de petits seins que j’avais senti fermes sous son débardeur. Elle ne portait en tout et pour tout qu’un haut presque transparent et une culotte minuscule qui laissait déjà entrevoir une trace humide entre ses cuisses fines. Elle était déjà prête, la salope, et n’attendait qu’un signe de moi pour se faire défoncer la chatte avec plaisir !
Finalement elle se redressa, et fit descendre d’un mouvement souple sa culotte ; je vis alors qu’elle était entièrement épilée, et que son sexe féminin s’offrait à moi dans toute sa nudité. Je pouvais presque sentir son odeur acide et sa chaleur moite. Elle guida ma main vers sa chatte, et alors que j’enfonçai un doigt dans son intimité je sentis une chaude humidité me répondre aussitôt, alors que la jeunette gémissait, d’une voix qui me faisait bander encore davantage. Elle se débarrassa de son débardeur, révélant deux seins parfaits aux tétons avidement dressés que je m’empressai de sucer, tout en laissant mon autre main lui peloter le cul vigoureusement. Elle, de son côté, ne se faisait pas prier et, tout en gémissant comme une salope en manque, me branlait à deux mains. Lorsque je la sentis à deux doigts de jouir sous mes caresses, je la jetai presque à terre et approchait mon membre de sa petite chatte en chaleur. Je laissai quelques instants mon gland frotter contre son clitoris bourgeonnant, mais il était clair qu’elle voulait plus que ça. Je l’entendis murmurer « Mettez-la moi... défoncez-moi, j’en crève d’envie ! » et alors je m’enfonçai dans ses chaudes profondeurs. Sans aucune résistance, je pénétrai son con moite et avide, serré comme un cul de par sa jeunesse, et je sentais la paroi de sa vulve frotter toute la surface de mon sexe en glissant, comme une huile chaude et parfumée. La gamine était chaude elle aussi, elle en demandait encore et tortillait du cul comme pas possible, alors je cédai à ses désirs et lui assénai de véritables coups de boutoirs, mon énorme bite cognant du gland au fond de son vagin à chaque mouvement de bassin. Je pressai fort ses nichons de vierge, lui arrachant un cri où se mêlaient douleur et plaisir, lorsque tout à coup elle retira mon sexe.
Ce n’était que pour se donner encore plus à moi. Incrédule, je la vis se mettre à califourchon sur moi et guider d’une main ma queue vers son petit trou serré, son petit cul rose. Grimaçant une seconde lorsque mon gland pénétra son anus, elle cria de plaisir la seconde d’après et s’enfila elle-même deux doigts dans la chatte, pour faire bonne mesure. En la sodomisant, je sentais ses doigts de l’autre côté de la fine paroi, et je savais qu’elle aussi sentait mon sexe et qu’elle en jouissait énormément. Haletante, elle s’empalait en rythme sur mon membre et criait de plaisir. Elle était menue et je n’avais aucun mal à la soulever d’un mouvement du bassin, ma bite disparaissant alors entièrement entre ses fesses fermes comme des pommes. Je voyais qu’elle prenait un plaisir énorme, sa chatte dégoulinait littéralement sur mon bas-ventre. Finalement, je vis ses yeux se brouiller alors qu’elle me saisissait les couilles, et l’instant d’après elle hurlait en jouissant du cul, sa chatte s’agitant par spasmes frénétiques, et j’en profitai pour décharger dans son petit cul défoncé mon sperme brûlant.
Je me retirai, et me rhabillai rapidement, encore sous le choc. Elle se releva, encore rouge et essoufflée, mais souriait ouvertement et ne paraissait pas avoir trouvé l’expérience déplaisante. Bien entendu, elle quitta mon bureau avec une excellente note sur sa copie. Je ne suis pas borné à ce point...
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