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dans le train de nuit

Chapitre 3

Gay
Un dimanche soir de juillet, j’arrive comme d’habitude avec 1/2 heure d’avance pour m’installer dans mon compartiment. Là, je tombe sur le contrôleur des T2 qui me connait. Il me dit.— Désolé monsieur, mais nous avons eu un problème avec votre wagon et nous n’avons plus de T2, il nous reste une place dans un compartiment T3. Acceptez vous de voyager dans ce Wagon?Un peu gêné et contrarié, je répond que oui. Le contrôleur m’amène au compartiment en se confondant en excuses. J’entre et je trouve déjà deux noirs qui posent leurs valises dans le porte bagage. L’un est très grand, l’autre un peu plus petit, athlétiques et très foncés, ce doit être des sénégalais. Ils discutent dans une langue que je ne connais pas. Je commence à fantasmer sur les queues des noirs.— Messieurs, je vous laisses, je serais votre contrôleur pour ce voyage.— Bonjour messieurs.— Bonjour monsieur.— Vous avez quels lits?— Pour l’instant aucun, prenez celui qui vous plait.— Merci.Je choisi celui du milieu, c’est une position stratégique. Je sort mon livre traditionnel de cul que je pose sur le lit sans cacher le titre très évocateur. Je sort une petite pochette qui contient tout mon matériel, la met dans un petit filet prévu à cet effet. J’espère qu’il va servir. Je vais pour mettre ma valise dans le porte bagage quand le grand me prend la valise des mains.— Vous permettez?Il la soulève comme un fétu de paille et la range en haut d’un mouvement ample. Elle doit pourtant faire dans les 30 kg car elle contient des vêtements mais aussi pas mal de documents papier.— Merci beaucoup.Il fait très chaud, il n’y a pas de clim et je leur demande.— Je peux ouvrir la fenêtre?— Bien sur.J’ouvre le fenêtre et je me penche pour voir si il y a du monde sur les quais. Le compartiment est côté quai, ce qui est bien pour les croisements, le couloir amoindri les bruits.Ignorant leur présence, et le fait que la fenêtre soit ouverte, je me déshabille entièrement et, nu, je rentre dans mes draps. J’allume la petite lampe de lecture et je commence à lire mon livre.Ils continuent à discuter dans leur dialecte en rigolant et en jetant un coup d’oeil de temps en temps vers moi. Le train démarre, ils ne se couchent toujours pas.
Au bout d’un moment le plus grand sort et l’autre commence à se déshabiller. Il se déshabille entièrement et se retrouve lui aussi nu. Il se couche dans le lit du bas. J’ai pu voir son sexe, il est normal, rien à voir avec la réputation des sexes de noirs. Le deuxième homme arrive, lui aussi se déshabille entièrement mais contrairement à l’autre, il s’assoie sur la banquette, prend un journal posé à côté et commence à le lire. Son sexe à lui, par contre, est conforme à la réputation des sexes de noirs. Personne ne parle pendant tout le trajet jusqu’à Montauban. Le train redémarre de Montauban et soudain tout s’anime.
Le plus petit qui s’était couché se lève, il va s’asseoir à côté de son ami et commence à lui toucher le sexe. Celui-ci réagit, il se redresse doucement. Je vois ce braquemart devenir de plus en plus gros sous l’effet des caresses de cette main experte. Une bouche vient se poser dessus et commence une fellation d’enfer. La tête monte et descend dans un rythme lent mais régulier. Je commence à bander comme un cerf en me caressant la bite d’une main. Le suceur à l’air d’aimer ce qu’il fait car son sexe gonfle et se redresse. Il se tourne vers moi, constate que je regarde et me fait un clin d’oeil avec un petit mouvement de la tête vers la gauche. Je comprend qu’il m’invite. Je descend de mon lit, la bite à la verticale et je m’approche du couple. Je me penche sur le suceur, gobe son sexe et le suce. Son sexe palpite dans ma bouche, des spasmes le secoue et un puissant jet de foutre m’envahie la bouche. J’avale, me redresse un peu déçu de cette rapidité au moment ou l’autre éjacule. Je reste le seul encore raide comme un passe lacet. Le plus grand dit.— Alors on aime les bites noires?— Les noires, les jaunes, les grises, les rouges, les blanches, pourvu qu’elles soient raides et qu’elles me transperce le cul, je les aime toutes.
Ils éclatent d’un rire sonore.— Je vois que tu es resté sur ta faim. me dit le grand.— Oui, mais j’aimerais me faire remplir le fion.— Ok mais par les temps qui courent, il faut du matos que nous n’avons pas ici car nous sommes ensemble depuis 3 ans et nous baisons sans capote.— Pas de problème j’ai tout ce qu’il faut.Je sort ma pochette et je leur fait voir mes préservatifs et mon gel.— Ok dit le grand à son ami, prépare moi.Le plus petit se jette sur la verge de son pote et en un tour de main l’engin est raide et bien droit. Je me lubrifie le cul et j’encapuchonne cette belle bite. Je me retourne et me positionne sur son gland. Comme d’habitude, le contact d’une bite sur mon auréole me fait une décharge électrique. Une fois bien positionné, je me laisse descendre sur ce sexe dur comme du bois et inflexible. Je monte et je descend sur cette hampe, lentement, régulièrement pour ne pas accélérer ma jouissance et celle de mon partenaire. Je sent le plaisir monter doucement ainsi que les spasmes de la bite qui m’empale. Le plus petit s’occupe de ma propre bite avec sa bouche et sa langue. Je monte et je descend toujours sur cette bite quand un doigt lubrifié vient s’ajouter au mandrin qui m’encule. Je ne peux plus tenir et je largue tout dans la bouche de mon suceur. Je continue les va et vient bien après avoir joui. Il est très résistant mais j’en viens à bout. Il explose dans mon cul. Sa bite frétille et se vide complètement. Il pose ses main sous mes fesses et me soulève pour se dégager. Le petit enlève la capote et le nettoie.— Ca fait du bien dit le grand.— Oui répondis je.— Tu as un bon cul, il est souple mais on le sent bien.— Je l’entraîne avec des godes.— Tu en as beaucoup?— j’en utilise 5 ou 6 de différentes taille, de 3 cm de diamètre à 9 ou 10 avec un gode gonflable.— Tu es arrivé à combien?— 9 cm mais j’aimerais arriver à 13 car j’ai un gode de 13 cm de diamètre et 28 cm de long que j’aimerais me mettre un jour.— Combien fait une main.— La tienne devrait faire entre 8 et 9 cm de diamètre si tu met tes doigts en pointe.— Et la sienne?— Elle est un peu plus petite, disons 8 cm.— J’aimerais bien voir une main dans un cul, je ne l’ai jamais fait ni vu.— On peut essayer mais d’abord avec ton copain.— Ok.— Commence par deux ou trois doigts et ensuite tu en met de plus en plus jusqu’à la main complète dis je au plus petit. Si tu veux tu peux mettre un préservatif sur ta main avant la pénétration totale.— Ne t’en fait pas.Je me lubrifie bien le fion, en insistant à l’intérieur et je met penche sur le lit du bas en écartant les jambes pour bien présenter mon cul en position haute et libérer le plus de place possible pour la main. Je sent 2 doigts qui me pénètrent, tournent sur eux même avec un petit va et vient. Un troisième les rejoint, suivi par le quatrième et le pouce. La main commence à s’enfoncer dans mon cul. Je sent mon sphincter s’élargir de plus en plus. La pénétration est lente, très lente mais inexorable. Arrivé presque à fond, la main s’enfonce et ressort pendant un petit instant comme pour faire durer le plaisir et tout à coup, mon sphincter se resserre sur le poigné. Elle est rentré sans que je sente la moindre douleur. C’est la première fois que ça se passe comme ça.— Bravo tu est un champion du fiste.— Merci.La main avance toujours jusqu’au milieu de l’avant bras. Je sent la main au fond de mon être, elle tourne, avance, recule, le poing se resserre, s’ouvre, me touche les parois intestinales, c’est une sensation bizarre mais très excitante. Une main lubrifiée me prend le sexe et le masturbe sans excès, doucement en glissant dessus comme si c’était une vulve. Je sent mes plantes de pieds s’électriser, c’est le signal. Mon ventre se crispe, mes jambes mollissent, ma tête explose et mon sexe expulse mon foutre à grand coup de jets violents. Je m’écroule sur le lit. La main reste dans mon cul et je ne fait rien pour l’enlever. Je vois un flash suivi de plusieurs autres. Je suis pris en photo. En fait c’est la main dans mon cul qui intéresse le grand. Je le laisse faire, j’ai la tête cachée et ça ne me dérange pas que mon cul empalé d’une main fasse le tour du monde sur internet. La main sort doucement et, paradoxalement, c’est le moment le plus douloureux, toutefois sans excès.— J’ai pris des photos, mais si tu ne veux pas je les efface.— Non ça ne me gêne pas du tout, montre les moi.Il a fait 5 photos ou l’on voit sous différents angle une main noire dans un cul de blanc bien bronzé. Aucun moyen de savoir à qui appartiennent la main et le cul.— C’est pas tout ça mais j’ai envie de pisser.— Moi aussi disent ensemble les deux hommesJ’ouvre la porte du compartiment, le contrôleur est endormi et je sort à poil. Ils me suivent dans la même tenue. Il n’y a que deux chiottes, ils pissent les premiers, l’un d’eux sort mais le bruit de la chasse a réveillé le contrôleur qui dormait à côté. Il nous voit nus mais fait comme si de rien n’était et repose la tête sur son traversin. Je rejoint le compartiment pour voir les deux hommes s’embrasser. Le grand s’assoie de nouveau sur la banquette et l’autre se couche dans son lit. Je rejoins mon lit et éteins ma petite lumière.Au bout de 10 minutes, le grand se lève, il bande encore et vient me présenter sa bite sous le nez. Je redresse la tête et l’avale. Je le pompe jusqu’à ce qu’il éclate dans ma bouche. J’avale tout et le nettoie bien. Il me sourit et monte dans son lit.Comme d’habitude je m’exhibe en arrivant à Paris imité par mes deux compagnons. Les banlieusards en ont pour leur argent surtout que le grand bande comme un âne et que son copain lui taille une pipe devant la vitre, bien de profil pour que tout le monde puisse en profiter.Les deux hommes quittent le compartiment avant que le train ne s’immobilise. Je ne descend jamais dans les premiers pour éviter la cohue. Le contrôleur vient vers moi pour me rendre mon billet, ils récupèrent le billet à la montée dans le train, ezt me dit.— Vous avez passé une bonne nuit.— Oui très bonne.— Depuis le temps que je vous vois, j’ai remarqué que vous ne dormiez pas tout le temps. Il vous arrive souvent des aventures dans ce train.— Je pense que le train est la moyen de transport le plus érotique, les vibrations doivent réveiller en nous notre libido et nous faisons des choses que nous ne pensons pas pouvoir faire un jour.— Si vous saviez comme vous avez raison. Je ne peux par tout dire mais il s’en passe de drôle dans nos wagons de nuit.— J’en doute pas.— Vous savez à partir d’une heure du matin vous pouvez sortir de votre compartiment dans la tenue que vous voulez, il n’y a jamais personne.— Je sais mais je préfère contrôler.— En tout cas, si c’est moi le contrôleur vous pouvez faire ce que vous voulez à condition de ne pas faire de bruit.Là dessus je descend du train et dis au revoir au contrôleur.J’ai revu plusieurs fois ce contrôleur qui m’a fait connaitre d’autre beaux voyage.
Mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
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