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dans le train de nuit

Chapitre 5

Gay
Un vendredi soir, je rentre de Paris par le train de nuit. Il fait un froid sibérien, (-14 au bout du quai), et le train n’est pas formé. Un contrôleur m’explique qu’avec le froid ils n’ont pas pu mettre le train à quai dans les temps. Je me demande comment ils font dans le grand nord Suédois ou en Sibérie. Nous patientons une heure en salle d’attente bondée et surchauffée pour pouvoir accéder au train. Une fois le train à quai, j’entre dans mon compartiment en même temps qu’un jeune homme de 25 ans environ. Il est assez grand, filiforme et très bronzé. Il fait extrêmement chaud dans ce compartiment.-Bonjour.-Bonjour.Je pose ma valise sur la banquette du compartiment. Le contrôleur frappe à la porte, j’ouvre, c’est un contrôleur que je connais bien depuis le temps que je fais ces allers-retours toutes les semaines.-Bonjour messieurs, vous allez bien malgré ce froid ?-Très bien merci mais dites, il fait très chaud ici.-Oui, les compartiments ont été chauffé avant la mise en place, c’est pour ça qu’il fait chaud. Malheureusement, il est impossible de régler la température. Je vous prie de bien vouloir nous excuser.-Ce n’est pas grave, nous aurons qu’à dormir nus sur nos lits.Le contrôleur qui m’a déjà vu à poil me sourit en regardant l’autre homme.-Parfaitement monsieur, puis-je avoir vos billets s’il vous plait, avec ce froid, je n’ai pas pu vous contrôler dehors comme d’habitude.Nous lui tendons nos billets qu’il garde comme d’habitude.-A demain, nous devrions être à destination avec très peu de retard, l’arrêt à Limoges nous permettra de gagner une heure.Le contrôleur nous quitte et je commence à me déshabiller.-Je peux sortir si ma présence vous gêne.-Pas du tout, j’ai l’habitude.L’homme s’assoie sur la banquette à côté de ma valise. Je me déshabille entièrement et, nu, j’ouvre ma valise pour en sortir mon livre porno et mon sac d’accessoires. Je mets le tout dans le filet, pose ma valise sur le porte bagage et monte dans mon lit. Je reste sur le drap et commence ma lecture. Je remarque que l’homme n’a pas bougé, il a un air songeur. Il doit se demander quelle attitude prendre. Il se lève et commence à se déshabiller mais lorsque qu’il lève une jambe pour se libérer de son pantalon, le train démarre, ce qui le déséquilibre et le fait tomber. La chute est assez violente et je me précipite en bas pour l’aider à se relever. Je l’assoie sur la banquette.-Ça va ?-Oui, ne vous en faites pas. J’ai l’air con comme ça.-Pas du tout, je pense que dans les mêmes circonstances, j’aurais fait la même chose.Il me sourit, j’attends une ou deux minutes et constatant qu’il se redresse, je me retourne pour monter dans mon lit en prenant l’échelle. Je reprends ma lecture en me caressant doucement de manière à ce qu’il voit bien ce que je fais. Il semble complètement indifférent, se déshabille en gardant son slip et monte se coucher. Il éteint la lumière. Je distingue à peine ses formes sur le lit. Il n’est pas rentré dans ses draps. Je reste à lire encore une bonne heure en me maintenant bandant, la légère lumière de ma lampe de tête suffit à éclairer mon corps et ma main sur ma bite raide. Il ne réagit pas, mais je sens qu’il ne dort pas. Il doit me regarder, mais je ne peux pas en être sûre car le porte bagage gène ma vue vers la tête de lit. Je distingue quand même quelque chose au niveau de son slip, peut être sa main mais je ne peux en être sûre. Je fini par éteindre et m’endormir.Le matin, je me réveille, il est 8 heures, nous devrions être arrivé à destination depuis une heure. L’homme est assis sur la banquette en slip, il regarde dehors. -Bonjour, que ce passe-t-il ?-Nous somme arrêtés sur un immense pont depuis plus de deux heures.Je descends de mon lit, viens vers la fenêtre pour constater que nous sommes immobilisés sur le viaduc de Cahors, à plus d’une heure de notre destination. L’homme aperçoit un « Amiral » de la SNCF, descend la vitre pour demander ce qui ce passe. L’ « Amiral » lui répond que la motrice à cassée un axe de roue à cause du froid et que nous attendons une autre motrice qui doit venir nous ramener à Cahors pour ensuite finir le voyage. D’après lui, cela va prendre cinq ou six heures. L’homme remonte prestement la vitre, le compartiment s’est légèrement refroidi.-Ça tombe mal, ma compagne doit m’attendre sur le quai, je devais faire une conférence de deux heures à neuf heures et partir tout de suite après pour faire du ski dans les Pyrénées.
L’homme est assez énervé. Je m’assois à côté de lui.-Vous donnez des conférences, vous me semblez bien jeune.-Quel âge me donnez-vous ? -Dans les vingt-cinq ans.-C’est exactement mon âge, je suis docteur en physique et j’enseigne depuis deux ans en faculté.-A quel âge avez-vous eu votre bac.-A quinze ans. Puis-je vous poser une question ?-Bien sûre.-Cela ne vous gêne pas d’être nu devant moi ?-Pas du tout, je suis toujours à mon aise quand je suis nu, je n’aime pas beaucoup les vêtements. De plus je suis peut-être un peu exhibitionniste. Si je vous gêne, je peux mettre mon pantalon.-Pas du tout, je suis un peu étonné de votre aisance. Je vois que vous être intégralement bronzé, vous êtes naturiste ?-Oui, je vais tous les ans passer cinq semaines au Cap d’Agde.Il se penche sur le côté pour regarder dehors, en basculant son buste, sa jambe droite bouge un peu vers l’extérieur et vient au contact de ma jambe gauche. Je ne bouge pas, lui non plus. J’ai même l’impression que la pression augmente. Ce contact, que j’espérais depuis hier, me fait réagir. Ma bite se redresse doucement. Il reste presque une minute dans la même position. Quand il reprend sa position initiale, ma bite est droite comme un I. Il le remarque mais n’a aucune réaction. N’y tenant plus, je pose ma main sur sa cuisse droite. Il a un petit sursaut mais ne bouge pas. Ma main remonte doucement le long de sa cuisse, arrive au slip, se glisse dessous pour constater que sa bite n’est pas restée inactive. Il commence à bander. Je retire ma main, me lève, descends le rideau de la vitre. Le compartiment n’est plus aussi violement éclairé, la lumière qui filtre au travers du rideau donne une ambiance intime. Je le prends par les épaules pour le faire se lever. Je pose mes mains de chaque côté de son slip, attrape l’élastique pour le faire descendre doucement en m’accroupissant. Il se laisse faire sans bouger, l’air pétrifié. Une superbe bite apparait en se redressant. Le slip par terre, mes mains remontent le long de ses jambes pour arriver sur son sexe. Il est raide et pointe orgueilleusement vers le ciel. Je le masturbe un peu, il se laisse toujours faire. Il est dépassé par ce qu’il vit et se laisse aller sans savoir ce qu’il doit faire. Je ne veux pas parler de peur de le faire revenir à la réalité. Je me penche pour gober sa bite. Je l’aspire, la lèche, la pompe. Tout à coup, ses mains se posent sur ma tête. Là, je me déchaine, j’agrippe ses fesses et accélère mes va et vient. Je le sens se raidir petit à petit, sa bite palpite, il se redresse sur la pointe des pieds, plaque ma tête sur son pubis et se vide d’un seul coup dans ma bouche. -MMMMMJ’avale tout, je le garde en bouche jusqu’à ce que sa verge se ramollisse. Je le libère et me redresse. Il me regarde droit dans les yeux.-Jamais je n’aurais imaginé faire ça et surtout en tirer un tel plaisir. Je ne sais comment je dois réagir, est-ce que je vous gifle ou est-ce que je vous embrasse ?-Ni l’un ni l’autre, je préfèrerais un grand coup dans le fion.-Le quoi ?-Le fion, l’anus, le cul, le trou de bale, la rondelle quoi. Au fait je m’appelle Jean, et toi.-Marc.-Bon, Marc, maintenant qu’on se connait, on peut être plus détendus, surtout qu’on en a pour au moins cinq à six heures avant d’être arrivés.-Oui, mais la situation est nouvelle pour moi. J’ai éprouvé un énorme plaisir mais je ne suis pas homosexuel.-Personne ne parle d’homosexualité, moi-même, j’adore les femmes, mais j’aime aussi avoir des rapports sexuels avec des hommes, juste pour le plaisir physique, il n’y a aucune traces d’amour, ou d’exclusivité. J’ai une compagne, nous avons une relation très intense, mais nous pouvons aussi voir dans l’autre sexe ce qu’il y a de bon. Ma compagne a de temps en temps des rapports sexuels avec d’autres femmes, elle aime ça, mais ce n’est comme moi, qu’une soupape de sécurité. -Oui, mais tu es plus vieux que moi, tu as une expérience que je n’ai pas. Je suis en couple avec une femme et je culpabilise un max après ce qui s’est passé.-Ok, je te laisse un petit peu, je vais aux toilettes.J’enfile mon pantalon et ma chemise et je sors. Le contrôleur est dans sa cahute, en me voyant il me sourit.-La nuit a été bonne ?-Pas la nuit, mais les choses deviennent intéressantes, avec un peu de chance nous ne devrions pas trop nous ennuyer surtout que je crois que nous avons le temps.-Aux dernières nouvelles, la motrice est là dans une heure et demie, bonne chance.-Merci.Aux toilettes, je me vide au maximum et me nettoie le fion à fond. Quand je reviens au compartiment, Marc est toujours à poil, assit sur la banquette. Son sexe est droit comme un I. J’enlève immédiatement mes fringues, prends mon sac d’accessoires, m’assoie à côté de lui et pose ma main sur sa cuisse. Il me regarde avec un air complètement pommé.-Je pense que, comme beaucoup de gens, tu as besoin de contact avec une personne de ton sexe, tout le monde le ressent, mais peu de gens l’accepte.Ma main remonte vers le haut de sa cuisse et se saisi de son sexe. Il avance sa main vers mon sexe et s’en saisi. Nous nous masturbons lentement. Je le vois hésiter, il regarde ma bite sans se décider. Je pose ma main derrière sa tête et appuie doucement pour amener sa bouche vers mon sexe. Il se laisse faire et lorsqu’il est pratiquement dessus, je le libère et le laisse faire ce qu’il veut. Sa tête descend encore et je sens sa bouche chaude et humide envelopper ma bite. Il monte et descend pendant que je continu de la masturber. Sa bite est bien raide, juste à point pour défoncer un cul. Je me lève. Il libère ma bite un peu étonné. Je sors le gel du sac et me lubrifie le cul. Il comprend ce que j’attends de lui.-Tu crois que je peux le faire ?-Bien sûre que tu peux le faire. -Oui mais ça ne sert pas qu’à ça.-Ne t’en fait pas, je me suis préparé dans les toilettes. J’ai le cul libre de tout encombrement. Si tu veux, je peux te mettre une capote, ça protègera ta bite.-Ok, je préfère.Je sors une capote du sac et encapuchonne sa bite. Il sourit et me fait un signe de tête, je peux y aller. Je me retourne, me saisit de sa bite et descend vers ce vit qui n’attend que ça. Au contact de ma rondelle, je sens Marc se raidir un peu. Je m’arrête mais il pose ses mains sur mes hanches et appui vers le bas. Son sexe me pénètre d’une seule traite. Je me baise sur sa bite, ses mains sur mes hanches accompagne mes va et vient. J’accélère le mouvement quand je sens que sa bite commence à palpiter. Ses mains se crispent sur mes hanches et soudain elles m’immobilisent sur son sexe. Je sens sa queue palpiter dans mon cul, il jouit. -MMMMMMMIl jouit en silence comme tout à l’heure. Au bout d’un petit moment, je m’immobilise, sa main vient taquiner ma bite.-Tu n’as pas encore jouis ?-Non.-Je peux essayer de te faire jouir ?-Bien sûre.-Allonges toi sur la banquette.Je m’allonge sur la banquette, il se saisi de ma bite et me masturbe lentement. Sa bouche vient remplacer sa main. Il essaie de faire ce que je lui ai fait tout à l’heure et y arrive assez bien. Il se redresse, se saisie du sac, sort le gel. -Tu veux que je t’encule ?-Tant qu’à faire, autant aller jusqu’au bout. Je n’ai jamais essayé, seulement, je voudrais rester maître du jeu, si ça ne va pas, j’arrête. -Pas de problème mais tu dois te préparer.-C’est-à-dire.-Tu dois te vider le cul et te nettoyer, n’oublie pas que nous sommes le matin.-Ok, je vais aux toilettes.Il enfile son pantalon sans son slip, sa chemise et sort rapidement. On frappe à la porte. J’entrouvre, c’est le contrôleur. Je le laisse entrer la bite en l’air.-Ça se passe bien à ce que je vois, vous désirez un petit déjeuner ?-Bien sûre, 2 petits dèj mais amenez les deux ou trois minutes après que mon compagnon de voyage soit de retour.-Ok.Le contrôleur me quitte avec un petit sourire. Marc revient, se déshabille aussitôt. Je sens qu’il est pressé de faire cette expérience. Je suis toujours tendu comme un arc et Marc n’est pas en reste, il bande de plus belle. Il s’enduit le cul de gel quand on frappe à la porte.-Laisses je m’en occupe.J’ouvre la porte et laisse entrer le contrôleur. Marc est livide, il est à poil, la queue raide, devant le contrôleur. Le contrôleur passe devant lui et pose le plateau sur une petite étagère. Il ressort.-Bon appétit messieurs.Je referme derrière lui. Marc me regarde avec un regard mi haineux, mi amusé.-Ne t’en fais pas, il en a vue d’autre.-Même deux mecs dans un compartiment avec la queue en l’air.-Oui, et j’en suis d’autant plus sûre qu’il m’a déjà vu entrain de bander avec d’autres hommes et ne serait-ce que tout à l’heure, quand il est venu demander si nous voulions un petit déjeuner.-Putain, jamais je n’aurais pu imaginer vivre ça. Bon, ce n’est pas tout, mais on a un petit boulot à faire. En position.Je m’assoie sur la banquette, il se saisi de ma bite, l’enduit de gel. Il se retourne et descend sur ma bite. Lorsque sa rondelle touche mon vit, il s’arrête un instant, je ne bouge pas. Après quelques secondes, je sens son sphincter appuyer sur ma bite. Il s’ouvre doucement. Marc prend toutes les précautions pour ne pas avoir mal. Ma queue entre doucement dans cette antre chaude. Le gel facilite la progression jusqu’à mes couilles. Quand Marc sent mes couilles sous ses fesses, il se détend et reste un moment immobile.-Putain quelle sensation, se faire pénétrer, je comprends les femmes qui aiment se faire baiser, ce corps étranger dans ton corps, c’est génial.Marc commence à monter et descendre sur ma bite, ses mouvement s’accélère de plus en plus, il a maintenant un rythme infernal et j’ai de plus en plus de mal à résister.-Je vais jouir, attention.-Vas-y, rempli moi le fion comme tu dis.N’y tenant plus, je me vide dans son cul.-Oh lala, cette giclée, quelle pied, continu, jouis, jouis.Il se calme doucement, et fini par s’immobiliser sur ma bite, sa tête en arrière.-Quel pied, je n’ai pas joui, mais c’était super, surtout quand tu as jouis, sentir cette giclée de foutre dans le cul. Quand je pense que je t’ai privé de cette sensation parce que j’appréhendais, je m’en veux.-Tu n’as pas joui, si tu veux tu peux encore le faire dans mon cul.-Ok.Marc se lève, il bande toujours comme un cerf. Je me lève, prends le gel et me badigeonne le cul. Je me plaque contre le rideau de la fenêtre. Marc a un petit moment d’hésitation mais il s’approche de moi et me plante sa bite dans le cul sans ménagement juste au moment où le train s’ébranle.-Ola mec, je vois que tu prends de l’assurance.-A qui la faute.Il me pistonne vigoureusement mais pas trop rapidement, il veut faire durer le plaisir. Petit à petit, je sens mon plaisir comme le sien monter doucement. Ses coups de buttoir sont de plus en plus rapides lorsque le train s’arrête. Le mouvement de balancier généré par ce brusque arrêt déclenche sa jouissance, il me remplit de son foutre par de violente giclées. Cette sensation, que je n’avais pas connue depuis longtemps, me fait jouir à mon tour. J’arrose le rideau de la vitre. Une fois calmés, je me dégage du rideau pour m’apercevoir qu’il n’est pas descendu jusqu’en bas et qu’un espace de quelques centimètres permet à l’extérieur nous voir au niveau du bas ventre. Le quai est rempli de monde et je baisse rapidement le rideau pour ne pas gêner Marc.-Quelle journée, putain quelle journée. Je ne regrette pas cet incident ni ma conférence.-Ce sont les miracles du train de nuit. Tu le prends souvent ?-C’est la première fois de nuit, d’habitude je prends l’avion, mais la faculté veut faire des économies.-Tu parle d’économies, ça revient pratiquement aussi cher que l’avion, l’avantage c’est que tu arrives centre-ville.-En tout cas, je ne regrette pas ce petit voyage et je pense que dorénavant je vais privilégier ce moyen de transport.-Ok, mais notre petit déjeuner est servi et il refroidi.Nous dégustons notre petit déjeuner quand le train repart vers sa destination finale. Je nettoie le rideau maculé de sperme pendant que Marc, assied sur la banquette, s’amuse avec sa bite. Quand elle est raide, je viens vers lui, me retourne et m’assoie dessus. Je m’empale d’un seul coup. Je monte et descends sur cette belle bite, mon cul est lubrifié par le reste de gel et son sperme. J’accélère le mouvement et Marc joui une nouvelle fois dans mon fion. Je n’ai pas joui, avec mon âge, j’ai plus de mal que lui à récupérer, mais je commence à bander. Marc me soulève, se dégage, me fait mettre sur le dos sur la banquette et avale ma bite goulûment. -Il me reste plus qu’à boire ton sperme comme tu m’as fait.-Attention, c’est assez délicat, tu peux ne pas aimer.-Comment veux-tu que je sache si je ne goute pas ?-A ta guise, je ne demande qu’à te servir de cobaye.Marc me pompe avec énergie, il aspire ma bite, la mordille doucement, la lèche, le tout en m’introduisant deux doigts dans le fion qui dégouline de sperme. Je ne peux plus résister et je me vide dans sa bouche. A ma grande surprise, Marc avale tout sans sourcilier. Il faut dire que la quantité n’est pas très importante mais tout de même c’est la première fois qu’il fait ça.-Dis donc, c’est un peu salé mais ce n’est pas mauvais du tout, c’est crémeux, je pense que j’y reviendrais.-Je vois que ce voyage t’a appris quelque chose.-Oui, le fait que le sexe n’est pas l’amour et surtout que mon cul aime les bites. Il faudra donc que j’en tienne compte. Avant, je ne savais pas, mais maintenant, après y avoir gouté, je ne vois pas comment je vais m’en passer. -Comme moi, je suis bi et je l’assume.Nous finissons quand même par nous laver, et nous nous asseyons sur la banquette pour jouir du fait d’être nu jusqu’à l’arrivée. Marc est constamment en érection, je me penche sur lui pour lui faire une petite fellation quand on frappe à la porte. Je vais ouvrir, c’est le contrôleur qui me voyant nu monte dans le compartiment et ferme la porte.-Vos billets messieurs.Marc se lève, le sexe pointé vers le ciel et vient prendre son billet. Décidément, il a bien évolué. Nous réglons notre petit déjeuner.-Il ne vous reste plus que dix minutes avant l’arrivée messieurs. Profitez-en au maximum.Le contrôleur sort et je me précipite sur la bite de Marc qui s’est allongé sur la banquette. Je le pompe en usant au maximum de mon expérience pour l’amener doucement à la jouissance. Le train freine dans un bruit strident quand Marc me remplit la bouche de son sperme.-MMMMMMUne nouvelle fois, il jouit en silence.-Cette fois, c’est fini, dommage.-Dis donc, pour un débutant, tu es insatiable.-Quand on aime, on aime.Nous nous habillons, j’attends comme toujours que le train s’immobilise complètement et que les passagers soient presque tous descendus pour sortir du compartiment. Sur le quai, j’ai la surprise de voir ma compagne qui, connaissant le retard, est venue me chercher.-Carole, je te présente Marc. -Bonjour.-Bonjour.-Chéri, ne sachant à quelle heure tu devais arriver, j’ai dû décommander le repas que nous devions faire avec les « Michel ».-Ok remettra ça plus tard.Marc aperçoit sa compagne et lui fait signe de venir nous rejoindre. Je vois arriver une jeune femme de vingt, vingt-deux ans tout au plus, grande, brune, jolie et très bien faite emmitouflée dans un manteau séré à la ceinture. Elle s’approche de nous avec une démarche chaloupée très sensuelle.-Laurence, je te présente Carole et Jean. Jean a partagé mon compartiment et vu le retard, nous avons eu le temps de bien faire connaissance.-Enchantée de vous connaitre. Marc, pour le ski, je crois qu’il va falloir remettre ça.-C’est évident.-Très bien, il est treize heures trente, chérie, le repas prévu peut être préparé rapidement ?-Oui, surtout si c’est toi qui t’en occupe.-J’ai compris. Bon, on peut manger chez nous, vous êtes d’accord ? Tout le monde acquiesce et, après avoir posé nos bagages dans la voiture, nous allons déjeuner à la maison.
Mais ceci est une autre histoire : ’Marc et Laurence’ dans la catégorie ’érotique’
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