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Dans le train à vapeur

Chapitre 2

Hétéro
Elle se retourne et je remonte de nouveau, recouvre de baisers tout le bas ventre et le ventre pour arriver en dessous des seins. Les ondulations du bassin de Josette ont repris, elle s’abandonne encore un peu plus.–Oui, continu, j’aime.

Je suis maintenant sur ses seins, je les embrasse, les lèche, donne des coups de langue sur la partie inférieure, aspire ses tétons, les mordille, elle bouge de plus en plus. Elle me prend la main droite et la pose sur son sexe.

–Caresse moi le sexe.

Je pose ma main sur son sexe, mes doigts tombent sur le bouton qui a durci. En faisant bouger un doigt dessus, je constate que Josette réagi.

–Oui, titille-moi le clitoris.–Le quoi ?–Continu comme ça, j’aime.

Je continu à faire bouger mon doigt sur son bouton, mais ça devient un peu dur, mon doigt ne glisse plus. Elle s’en saisi, le fait glisser à l’intérieur de son sexe et le repose sur son bouton. Ça va mieux, il a été lubrifié par le liquide qui en sort. Je continu avec mon doigt, lentement en l’humectant de temps en temps entre ses lèvres pour aller titiller le « clitoris » comme elle dit. J’aspire, je suce, je lèche ses seins pendant que ma main s’occupe de son petit bouton. Elle ne résiste pas très longtemps et joui de nouveau sous ma langue et mon doigt. Elle se cabre, est secouée de spasmes, son ventre se crispe et ses fesses ont une nouvelle fois décollées d’au moins dix centimètres de la banquette. Elle pousse un grognement rauque.

–RRRRRRRREEEEEEEEUUUUUUU

Je n’arrête que quand je la sens se détendre. Elle se pose sur la banquette, son corps se détend complètement, son visage est reposé, serein, épanoui. Je la sens heureuse.


–Ouf, c’était merveilleux, merci, merci.

Elle m’attire à elle pour m’embrasser. Notre baiser dure. Quand nous nous séparons, elle se redresse et s’assoie sur la banquette.

–Dis-moi, tu ne connais pas le mot clitoris ?–Non, c’est la première fois que j’entends ce mot.–Mais tu sors d’où ?–Je dois te dire que tu es la première fille à qui je fais ça.–Tu es puceau, tu n’as jamais fait l’amour avec une fille ?–Jamais.–Et bien, il va falloir que ça change.–Comment ça ?–Lève-toi.

Je me lève, le sexe toujours raide, mais j’ai de plus en plus mal, je suis au bord d’exploser. Elle se penche pour me prendre dans sa bouche. J’ai un mouvement de recul.

–Laisse-moi faire.

Je me calme et la laisse faire. Elle englouti mon sexe, il disparait complètement dans sa bouche. Sa langue me titille le gland et juste en dessous, je ne sais plus où j’en suis, je vais jouir.

–Attention, je suis trop excité, je vais jouir en un rien de temps.

Elle me libère.

–Ça ne fait rien, nous avons encore au moins deux heures avant d’arriver à Paris, tu auras le temps de récupérer.–Tu veux qu’on fasse autre chose ?

Elle me gobe le sexe et fait valser sa langue sur mon gland. Elle le mordille, le suce, l’aspire, passe sa langue sous le gland. Tant et si bien que je ne peux plus me retenir.

–Attention, je vais jouir.

Je pense qu’elle va me libérer, mais au contraire, elle me serre encore plus juste au moment où je me vide dans sa bouche. Mon corps n’est plus le même, il est envahi de feux d’artifice qui explosent partout, je suis dans un autre monde, je plane, je vole. Je sens qu’elle avale tout ce que je lui donne. Quand j’ai fini de jouir, elle me libère et m’attire pour m’embrasser. Je résiste, je dois dire que l’embrasser après qu’elle ai bu mon sperme me dégoûte un peu.

–Ça te dégoûte d’embrasser une bouche qui a bu du sperme ?–Oui, un peu.–Tu as bien bu le liquide qui sortait de mon sexe, tes lèvres en était maculées et je t’ai bien embrassé après. Je dois dire que j’aime beaucoup ça. J’ai bu le liquide de ton sexe, où est la différence, je ne vois pas. De plus, tu viens de me titiller l’anus avec ta langue, tu n’as pas aimé ?–Si, beaucoup.–Et tu hésites encore ?

Je la regarde un peu con, encore une fois, me penche et accepte son baiser. Sa langue joue avec la mienne, je sens le goût de mon sperme, mais en fait, ça ne me dérange pas du tout. Je me redresse, le sexe pendant entre mes jambes, il est repu. Elle s’allonge de nouveau sur la banquette en me regardant droit dans les yeux. Son corps pâle semble me demander de m’occuper de lui.

–Oui, je veux que l’on fasse autre chose, mais pas maintenant. Occupe tout de moi comme tout à l’heure.

Elle se retourne m’offrant son dos et ses fesses. J’embrasse la plante de ses pieds, ce qui la fait tressaillir, ses talons l’un après l’autre et remonte le long de ses jambes en embrassant chaque centimètre carré. Quand j’arrive sur ses fesses, je m’attarde un peu dessus, j’adore ces deux magnifiques sphères de chair chaude, puis, je les écarte pour m’occuper de sa rondelle. Je la lèche, essaie de planter ma langue dedans, je pénètre à peine, ce qui la fait réagir instantanément. Tout son corps ondule. Au bout d’un moment, je reprends ma remontée. Je finis sur son cou. Entre temps, mon sexe a repris du poil de la bête et se dresse fièrement contre mon ventre. Elle s’en rend compte et se met sur le dos.

–Viens sur moi.

Elle écarte un peu les jambes et je m’allonge précautionneusement sur elle. Mon sexe se pose entre ses cuisses. Je remonte jusqu’à ce que mon gland touche ses lèvres chaudes et humides. Je m’arrête, les bras tendus pour ne pas l’écraser. Elle pose ses mains sur mes fesses et me tire vers le haut. Je suis un peu tendu, c’est la première fois que je vais faire l’amour à une fille, j’ai peur de me planter.

–Viens, fais-moi l’amour, tu vas voir, c’est merveilleux.

Je remonte un peu et mon sexe s’enfonce doucement dans une gaine chaude et accueillante. Quand mon pubis touche le sien, je m’immobilise. Je veux apprécier à sa juste valeur cet instant. Ça y est, je ne suis plus puceau, je suis un homme, un vrai. Elle doit ressentir mon émotion car elle ne bouge pas non plus. Elle m’enserre de ses bras et me fait me coller à elle, tout mon corps s’imprègne de son corps, peau contre peau, je suis en transe. Nous échangeons un tendre baiser. Elle se détache.

–Vas-y maintenant.

Je commence mes va et vient lentement. Elle ondule du bassin, me prend la tête et m’attire pour m’embrasser de nouveau. Nos langues jouent ensemble à se chatouiller, s’éviter, se rejoindre, se câliner pendant que nos sexes se moulent l’un dans l’autre pour s’harmoniser et faire monter le plaisir dans nos corps. Comme j’ai déjà jouis, ce petit jeu dure quelques minutes avant que le plaisir ne nous rattrape et nous fasse exploser de bonheur. Nous sommes secoués dans tous les sens, ma tête est sur le point d’exploser, mon corps est de nouveau envahi par ces feux d’artifices qui m’électrise. Je me vide en elle sans même m’en rendre compte, je ne suis plus maître de mon corps. C’est encore plus fort que ce que je viens de ressentir tout à l’heure. Elle me serre encore plus fort, tendue comme un arc. Je suis concentré sur mon plaisir, égoïstement.

Nous nous calmons lentement toujours enlacés. Je reste un instant sur elle, en savourant ce moment, peau contre peau, pendant que ses mains glissent sur mon dos et mes fesses.

–Tu as aimé ?–Oui, beaucoup, je ne peux même pas décrire ce que j’ai ressenti et toi.–Pour une première fois, ce n’était pas mal du tout, tu as réussi le principal, tu m’as faite jouir, et bien jouir. C’est peut-être le fait que tu sois puceau qui m’a faite jouir comme ça.–Pourquoi.–Parce que pour toi, c’était la première fois, et c’est toujours excitant pour une femme d’initier un homme.

Elle a dit « homme » en parlant de moi, intérieurement, je jubile, c’est vrai, je suis un Homme. Elle me regarde avec une infinie tendresse, m’attire à elle et m’embrasse passionnément. Je sens que son corps se détend petit à petit, je me redresse, la libère et me lève. Elle reste allongée, les yeux fermés, le visage détendu et serein. Je la regarde un instant, si belle, si attirante, offerte. Je m’assoie sur l’autre banquette, remonte le rideau et regarde défiler le paysage, la tête dans les nuages. Je ne sais pas combien de temps je reste comme ça, pas plus de vingt minutes, mais quand je pose mes yeux sur Josette, elle dort. Je la laisse dormir encore cinq à six minutes, mais je suis trop excité par ce qui vient d’arriver et j’ai encore envie de connaitre ça. Je la réveille en posant mes lèvres sur les siennes, je bande de nouveau. Elle ouvre les yeux et remarque mon état.

–Oh là, il va falloir calmer tes ardeurs. Tu aimes ma chatte ?–Ta quoi ?–Décidemment, ma chatte, mon minou, ma vulve, mon sexe. Tu sais ce que c’est un sexe.–Bien sûr.–Et bien, est-ce-que tu l’aime, est ce que tu aimes me le manger comme tout à l’heure ?–Je peux même dire que j’adore.–Alors, bon appétit.

Elle écarte ses jambes, je comprends l’invitation et plonge sur ce magnifique coquillage qui n’attend que moi. Je le suce, le lèche, l’aspire, le titille jusqu’à ce qu’elle se dérobe et se lève. Je la regarde un peu étonné.

–Assoie toi.

Je m’assoie sur la banquette, mon sexe pointe vers le plafond. Elle se retourne et vient s’assoir sur moi. Sur le coup, je ne comprends pas très bien ce qu’elle veut, mais quand ses fesses touchent mon gland décalotté, je comprends et pose mes mains sur ses hanches. Elle se laisse descendre lentement jusqu’à ce que ses fesses touchent mes cuisses.

–Tu vois, c’est plus facile quand le suis bien préparée, et c’est ce que tu as fait.

Je ne dis rien, mais je me concentre sur ce que je fais, je veux qu’elle jouisse une nouvelle fois sur mon sexe, par mon sexe. Elle monte et descend sur lui en accélérant petit à petit. Sa position, me permet de lui caresser les seins, je prend ses tétons entre mes doigts pour les titiller.

–Serre un peu tes doigts. Je lui obéi en hésitant.–Vas-y franchement.

Je serre un peu plus.

–Oui, comme ça.

J’ai peur de lui faire mal, je relâche un peu ma pression, elle me prend une main et la plaque sur son petit bouton. Elle appuie sur mon majeur pour que je le caresse.

–Titille le.

Je fais bouger le bout de mon doigt dessus, je ne peux pas le lubrifier, mais elle réagit à mon action. Je sens son sexe se détendre et se contracter sur le mien. Je ne sais comment elle fait, mais ça m’excite encore plus. Comme j’ai déjà joui deux fois, mon excitation monte plus doucement. Son sexe se serre de plus en plus, ses mains se contractent sur mes cuisses. C’est elle qui jouit la première, elle se crispe sur mon sexe, bascule la tête en arrière à côté de la mienne.

–Laisse toi aller, viens, joui, joui en même temps que moi, oui, oui, AAAAAHHHHH.

Ce corps qui s’abandonne à moi, les spasmes qui la secouent me font jouir moi aussi.

–Oh oui, joui en moi.

Il nous faut cinq bonnes minutes pour que nous revenions à nous. Elle reste assise sur moi bien que mon sexe se soit ramolli et pende entre mes cuisses. Je la caresse doucement sur tout le corps jusqu’à ce que je vois apparaître les premières maisons de la région parisienne, là, je la libère. Elle me regarde avec des yeux plein de bonheur.

–Embrasse-moi.

Je me penche pour l’embrasser. Mais nous n’allons pas tarder à arriver, il faut s’habiller.

–Habille-moi.

Elle se lève, je prends sa culotte et lui enfile lentement. J’embrasse son sexe encore brillant et lui donne un coup de langue, la fait se retourner pour pouvoir embrasser ses fesses que j’adore. Je lui mets son soutien-gorge, sa jupe et son corsage, il fait trop chaud pour la veste en laine qu’elle met dans son sac.

–Retourne toi.

Elle s’agenouille derrière moi, m’écarte les fesses, pose sa langue sur ma rondelle et la lèche. C’est la première fois qu’on me fait ça, je suis surpris d’en tirer tant de plaisir. Elle termine par une bise sur chaque fesse, me fait tourner, pose ses lèvres sur mon sexe pour l’embrasser, prend mon slip, me l’enfile et le fait remonter le long de mes jambes pendant qu’elle m’embrasse et me lèche le sexe. Elle se redresse, m’enfile ma chemise et mon pantalon.

–Voilà, nous sommes prêts.

Elle remonte les rideaux, déverrouille la porte, l’ouvre légèrement, regarde dans le couloir vide et se rassoie contre moi. Elle pose sa tête sur mon épaule.

–Je suis triste qu’on ne puisse pas se revoir.–A bon, pourquoi ?–Parce que je vais en Angleterre avec mon père qui doit bosser là-bas, je ne sais pas quand je reviens, et même si je reviens. Je pense que mon père va rester travailler en Angleterre.–Et ta mère ?–Elle est restée à Clermont, elle doit nous rejoindre à la fin de l’année scolaire, elle est professeur d’anglais.–Et toi, tu ne finis pas ton année scolaire ?–Non, car j’ai passé l’année à l’hôpital, j’ai été malade et la convalescence a durée trois mois, j’ai eu des cours, mais c’est insuffisant, je dois redoubler l’année prochaine. Je vais tout de suite en Angleterre pour bien maîtriser la langue et pouvoir mieux suivre les cours l’année prochaine.

Je ne lui demande pas ce que c’était comme maladie, si elle avait voulu que je le sache, elle me l’aurait dit spontanément. En regardant l’heure, je m’aperçois qu’il nous reste encore du temps avant d’arriver. Je la regarde, elle m’émeut et je m’entends dire quelque chose que je n’aurais jamais imaginé pouvoir dire un jour à une femme.

–Tu sais, nous avons encore dix bonnes minutes avant d’arriver, j’ai une envie folle de plonger entre tes jambes et de te manger le sexe.

Elle me regarde, me sourit, se lève, descend prestement les rideaux, ferme la porte enlève sa culotte, retrousse sa jupe jusqu’à la taille et vient s’assoir en face de moi les cuisses ouvertes.

–Moi aussi j’en ai très envie, viens, mais prends ton temps, j’ai envie que tu me fasses jouir très fort pour la dernière fois.Je m’agenouille entre ses cuisses et plonge ma tête dans son nid d’amour. Je place ses jambes sur mes épaules pour m’ouvrir encore plus son sexe. Je plonge ma langue entre ses lèvres, elle a encore le goût de mon sperme, je remonte un peu pour m’occuper de son clitoris. Je le lèche, le mordille, le suce, l’aspire. Elle se tord de plaisir.

–MMMMMMMMM, oui, oui, sur le périnée.

Je me redresse.

–Le quoi ?–La zone entre mon sexe et mon anus, lèche le, mordille-le, j’aime beaucoup.

Ma langue va de son clitoris à sa vulve, passe par son périnée pour arriver sur son anus. Je m’attarde un peu sur le périnée, son bassin ondule doucement. Je continu avec ma langue à passer du clitoris à l’anus, au bout de trois à quatre minutes, son bassin est pris d’une ondulation frénétique, ses jambes me serrent le cou à m’étrangler, son ventre se crispe. Elle pose ses mains sur ma tête, me plaque la bouche sur son clitoris et explose dans un formidable orgasme en s’exprimant bruyamment.

–HHHHHHAAAAAA, oui, oui, je jouis, je jouis, oui, oui, oui, HHHHHHAAAAAA.

Je reçois un liquide délicieux sur la langue, j’aspire tout et le boit avec délice. J’ai peur que les occupants des compartiments voisins n’aient tout entendu, mais elle a l’air de s’en foutre complètement, elle vit son plaisir intensément. Elle savoure son plaisir, la tête contre le dossier de la banquette, la bouche ouverte comme ses yeux fixés sur le plafond. Lentement elle se détend juste au moment où le train donne un coup de frein et ralenti vraiment, nous entrons en gare. Elle se lève, enfile sa culotte, rajuste sa jupe. C’est à ce moment-là que je réalise que le rideau sur la voie est levé et qu’on pouvait nous voir des bâtiments qui longent la voie ferrée.

–Le rideau était levé.–Pas d’importance, on passait trop vite, et puis même.

Elle m’embrasse et ouvre le compartiment. Elle me tend la clé.

–Tu peux en avoir besoin, on ne sait jamais, je veux rester sur ce souvenir.Je refuse de la prendre.–Moi aussi je veux garder un souvenir de ce moment avec toi, je ne veux pas refaire la même chose avec quelqu’un d’autre.

Elle avise un cendrier et y dépose la clé.

–Peut-être qu’elle servira à une autre personne.–Peut-être, et même, j’espère.

Quand le train s’immobilise, elle me serre de toutes ses forces et m’embrasse passionnément une dernière fois. Je pose une dernière fois mes mains sur ses fesses que je caresse à travers le tissu de sa jupe. Elle se détache, je vois que ses yeux sont très humides.

–Merci pour ce merveilleux voyage, je n’ai jamais vécu un aussi beau moment dans ma vie.–Merci à toi aussi, moi aussi j’ai passé un merveilleux moment avec toi, il restera gravé dans mon cœur, TU resteras gravée pour toujours dans mon cœur.

Nous attendons que tout le monde soit descendu pour sortir du compartiment, on a du mal à se séparer. Elle me prend la main et nous descendons comme des automates, le cœur n’y est pas. Arrivés au bout du quai, elle se tourne vers moi l’air triste.

–Mon père est là, au revoir, ou plutôt adieu.

Elle accélère le pas et se jette dans les bras d’un homme d’une quarantaine d’années, grand, blond avec un visage à la James Dean.

Quand je passe à sa hauteur, elle a la tête sur la poitrine de son père, elle me regarde, elle pleure.

Je ne l’ai jamais revu.
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