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An Daofin Meur

Chapitre 1

Inceste
An Daofin Meur
Depuis quelques années, les Le Guell ont décidé de faire un tour du monde à la voile. Le projet avait démarré alors que Yann et Enora n’avaient que 13 et 11 ans. Loïc avait conçu leur bateau de A à Z et tout le monde avait mis la main à la pâte pour le construire. C’était une véritable aventure qui avait contribué à renforcer la cohésion de leur famille. Même si le projet était né initialement dans les esprits de leurs parents, les enfants se l’étaient appropriés. Pendant cinq ans, le bateau, un monocoque de 15 mètres de long, était resté en chantier dans son hangar. Ils y avaient travaillé presque tous leurs week-end et une partie de leurs vacances, puis, vint le jour où ils purent le mettre à l’eau. Il restait à le mâter, le gréer, finir l’installation électrique et monter les équipements. Cela leur prit encore près d’un an avant de pouvoir faire leurs premiers essais. L’année suivante fut consacrée à constituer une réserve financière. Même Yann et Enora, alors âgés de 20 et 18 ans, mirent de côté leurs études pour contribuer à mettre de l’argent dans la caisse de bord. Dans le même temps, ils prirent la mer chaque week-end, quelque soit la météo, pour apprendre à maitriser le bateau en toutes situations et s’entrainer à quelques manœuvres particulières.

1 – Exhibition
Le jour du grand départ, ils étaient fins prêts et, au petit matin, ils quittèrent Lorient avec une météo changeante. Pendant trois jours, ils essuyèrent du mauvais temps mais le bateau avançait vite et se comportait bien dans la grosse mer. Le temps s’améliora à mesure qu’ils progressaient vers le sud et le maillot de bain remplaça les pulls et la veste de quart. Le vent mollissait et la mer se faisait moins dure, jusqu’au jour où, sous un ciel radieux, ils n’eurent plus qu’un très faible souffle de vent, à peine suffisant pour faire avancer le navire. Ils se trainaient sur une mer d’huile, plus poussés par un courant que par la voilure. Loïc et Yann étaient à la barre et regrettaient presque la tempête  des premiers jours.
— On va bronzer à l’avant, entre filles. Dirent Maryvonne et Enora équipées de chapeaux et lunettes de soleil. Autant que ce petit temps serve à quelque chose.— Grand bien vous fasse, leur répondit Loïc. Vous avez pris de la crème solaire ?— Bien sûr, et nos bouquins ! Répondit Enora à son père.— Ce n’est pas la peine de tortiller du cul ! Lui lança Yann en voyant sa sœur avancer sur le pont.— On tortille du cul si on veut ! Répondit Maryvonne en imitant sa fille.— Mais qu’est-ce qui leur prend ?— Je n’en sais rien, Yann, mais ce qui me fait plaisir, c’est qu’il y en a au moins deux que cette pétole rend heureuses.— Tu veux une bière, Papa ?— Ma fois !
Maryvonne et Enora s’allongèrent d’abord sur le ventre, la tête tournée vers la proue, pour lire et bavarder en regardant l’horizon.
— Je n’arrive pas à croire qu’on soit enfin au milieu de nul part, en voyage pour au moins un an. C’est vraiment trop cool.— Mmm… Oui, depuis le temps qu’on y travaille, An Daofin Meur est vraiment notre bébé à tous et c’est un très beau bateau. Quand j’y repense… On est quand même passés pour des fous.— Et alors ? Ils doivent tous être vert de jalousie, maintenant. Mes copains en tout cas, c’est sûr.— Ils ne vont pas trop te manquer ? Tu passais beaucoup de temps avec Erwan dernièrement.
— Oh et ben lui encore moins que les autres. Il devenait super collant… Et jaloux, avec ça ! Je lui avais pourtant expliqué que ça ne pouvait être qu’un plan cul. Combien de temps tu crois qu’on va mettre pour arriver aux Antilles ?— Je ne sais pas, ça va dépendre du vent, mais ton père pense que ça ne devrait pas prendre plus d’une vingtaine de jours après notre escale aux Canaries. Pourquoi ?— Ben pour rencontrer des têtes nouvelles, pardi. Et peut-être autre chose aussi, mais bon, avec cette pétole…— Oui…  Des têtes nouvelles… C’est bien aussi de profiter d’un peu de calme après ce qu’on s’est frappé dans le golf de Gascogne et au large du Portugal. Tu me remettrais de la crème dans le dos ? Je trouve que ça cogne bien.— Bien sûr, Maman. Tu veux que je te défasse l’attache de ton haut ? Sinon, tu vas avoir une marque et c’est moche.— Si tu veux, Chérie. Je pourrais même l’enlever totalement ; on est entre nous.— Moi, c’est à poil que je me mettrais bien… Ça me plairait bien d’être bronzée intégralement.— Et bien vas y.— Je n’ose pas trop, à cause de  Papa et Yann…— La belle affaire… Ils en ont vu d’autres, tu ne crois pas ? Si tu veux, je le fais aussi. Tu me retires mon maillot ?— Tu veux ?— Oui, moi aussi, j’ai envie de sentir le soleil partout sur mon corps, mais tu me tartineras bien ; je n’ai pas envie de virer écrevisse.— Tu sais que t’as vraiment un beau cul, Maman ?— Oui, c’est ce qu’on me dit, et ton père l’adore, mais il n’est plus aussi ferme et frais que lorsque j’avais ton âge. Et puis, j’ai plein de cellulite…— Tu rigoles, j’espère ? T’as trois fois rien… Et t’es loin d’avoir la fesse molle.— Mmm… Enora, je ne suis pas sûre de risquer des coups de soleil jusque là. Tu veux bien t’occuper de l’arrière de mes cuisses et de mes mollets, plutôt ?— Euh, oui, pardon, Maman.— Ce n’est rien, tu t’aventurais juste un peu loin, mais ce n’était pas désagréable. Tu veux que je m’occupe de ton dos, maintenant ?— Oui, je veux bien, répondit Enora en se rallongeant sur le ventre. Tu me retireras mon maillot aussi ?— Bien entendu. Mmm…  Ta peau est toute chaude… T’es vraiment très réussie, comme fille ; j’ai de quoi être fière quand je vois tes reins bien cambrés, tes hanches étroites et ton cul bien rond. Si tu trouves que le mien est beau, qu’est-ce qu’on doit dire du tien… Mmm… Pardon, moi aussi, je m’égare un peu loin.— Comme ça on est à égalité… Maman ?— Oui, Chérie ?— Tu as déjà trompé Papa ?— Pourquoi tu me poses cette question ?— Je ne sais pas ; ça m’est venu comme ça… Excuse-moi, c’est une question idiote.— Non, pas forcément, mais que je l’ai trompé ou pas, qu’est-ce que ça changerait pour toi, pour nous ? J’aime ton père ; on est mariés depuis 22 ans et on s’aime depuis 25 ans.
Maryvonne se rallongea à côté de sa fille et approcha ses lèvres de son oreille.
— Oui, j’ai déjà trompé ton père…— Il le sait ?— Non ! Bien sûr que non, voyons… Mais qui sait ? Lui aussi m’a peut-être trompée. En 22 ans de mariage, il s’en passe des choses. Tout n’a pas toujours été si parfait… Il y a eut des frictions, des larmes, mais surtout des rires aussi, beaucoup de rires et beaucoup d’amour.— Et t’as eu des remords ? Il était beau? Raconte.— T’es bien curieuse, je trouve.— Ben, c’est normal ; on est les deux seules filles, sur ce bateau, alors si on veut se raconter des trucs et parler des garçons, c’est forcément entre nous.— Tu ne crois pas qu’à 43 ans, j’ai un peu passé l’âge de ces discussions d’adolescentes ?— Tu ne me feras pas croire qu’avec Annick ou Soizic, vous ne parlez que de vos boulots ou de vos gamins…— Non, tu as raison, on parle aussi de mecs et de cul. Tu veux savoir s’il était beau… Oui, assez. Il est un peu plus petit que ton père, brun et il a de beaux yeux bleus. On se retrouvait dans un hôtel de la zone commerciale, soit à midi, soit entre cinq et sept et puis on rentrait retrouver nos familles.— Parce qu’il était marié ?— Oui, il l’est toujours, d’ailleurs. Ça a duré trois ans avec lui et, pour être très honnête, ça m’a fait un bien fou. Hi hi.— Il te b… faisait bien l’amour ?— Oh oui, il me baisait très bien et, surtout, ça me changeait de Loïc. Et puis… Mais ça c’est très cochon, ton père adore me lécher la moule avant de me prendre. Il le fait très bien en plus, alors, quand il me faisait l’amour le soir, ça m’excitait d’imaginer qu’il léchait le foutre d’Yves.— Yves ? Brun, yeux bleus… Ne me dis pas que c’est le papa de Nolwenn, quand même ?— Et bien si… C’est le papa de ta copine.— Merde, alors… Et Soizic,  elle l’a su ?— Non, surement pas, sinon on ne serait plus amies depuis longtemps. Elle ne l’aurait pas supporté.— Et t’en as eu d’autres ?— Oui, et je ne pourrais pas te dire combien, mais c’était différent ; c’étaient des plans cul sans lendemain, comme tu dis. Ça te choque ?— Non, je trouve ça bien, au contraire. Je suis certaine que l’on ne peut pas être fidèle toute une vie entière. Et puis, quand on est belle comme toi, c’est sûr qu’il y a toujours des hommes pour être intéressés et on ne peut pas rester toujours de marbre. En fait je trouve que ça te rend plutôt normale comme maman et ça me plait.— Pour Yves, tu ne le diras pas à Nolwenn, d’accord ?— Bien sûr que si ! Je vais m’empresser de lui envoyer un SMS du beau milieu de l’atlantique. Hi hi. Non, Maman, c’est promis… c’est un secret entre toi et moi. Ouh, je crois que je vais faire rôtir le devant.— Tu veux que je te mette de la crème solaire ou tu le fais ?— Je pourrais le faire toute seule, mais si tu as envie de caresser mes seins, vas y ; je caresserais les tiens après.— Mmm… que c’est beau un corps à 18 ans. Tes seins se tiennent encore bien…
Maryvonne était parti des épaules et étalait la crème solaire dans un doux massage qui lui permit de caresser tendrement la jolie poitrine de sa fille. Des seins, elle passa à son ventre, fit le tour de sa toison rousse, limitée au pubis, bien entretenue et taillée courte, dans laquelle elle essuya ses doigts avant de reprendre de la crème pour s’occuper de ses jambes. Elle partit des pieds et remonta le long des cuisses en chargeant bien l’intérieur jusqu’à atteindre les côtés de sa vulve épilée. Elle rougit un peu en voyant le sexe d’Enora s’entrouvrir et briller de plaisir, et insista légèrement sur cette zone fragile. Son travail achevé, Maryvonne s’allongea à son tour et sa fille lui rendit le même service. Enora ne fit aucune réflexion ni sur sa poitrine généreuse, un peu lourde, ni sur son sexe totalement épilé mais ses doigts graisseux glissèrent quand même jusqu’au capuchon de son clitoris qu’elle massa en douceur. Instinctivement, Maryvonne plia les genoux et écarta les cuisses, mais Enora passa directement à ses jambes. Elle s’occupa des pieds et des cuisses de sa mère, en remontant vers les genoux. Elle reprit de la crème et descendit ses mains le long des cuisses et ses doigts allèrent effleurer les fines lèvres du sexe impudique. Elle changea un peu de position et termina en protégeant l’ensemble de la vulve exposée. Elle le fit d’une seule main, qui glissait entre les cuisses ouvertes pour bien graisser les deux côtés charnus de la chatte de Maryvonne qui en gémit de désir.
Enora ne dit pas un mot, elle était troublée et excitée et sans se poser de question, s’allongea sur le dos dans la même position que sa mère, genoux pliés et cuisses écartées.
— Maman, j’ai l’impression qu’on vient de faire quelque chose de défendu…— C’était un peu limite, effectivement, mais c’est moi qui a commencé. Et puis, on n’a fait que de s’étaler de la protection solaire.— Maman ?— Je… Ça… Enfin, ça m’a excitée ; j’ai la chatte en feu.— Mmm… Moi aussi, Chérie… On est tellement bien, ce soleil, ce calme… Mmm…
Machinalement, la main droite de Maryvonne glissa vers son pubis et sa vulve trempée. Elle ne réfléchissait plus, son besoin de se caresser l’emportait et, le visage tourné vers le ciel bleu limpide, les yeux fermés, cachés par ses lunettes de soleil, elle se laissa aller à un plaisir solitaire. Enora, comprenant ce que sa mère faisait ne résista plus à son envie d’en faire autant. Elle plongea ses mains sur son intimité et se caressa le clitoris en se doigtant la moule. Elle se donnait du plaisir en pensant à sa mère allongée près d’elle et au spectacle indécent qu’elles offraient à son père et son frère.
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