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An Daofin Meur

Chapitre 2

Inceste
2 – Voyeurisme
Yann s’apprêtait à remonter deux bières ouvertes sur le pont lorsque son père lui demanda de remonter aussi les jumelles.
— Un porte-conteneurs vient d’apparaître là-bas et je voudrais être sûr que l’on ne soit pas sur une route de collision. Avec cette pétole, il faudra démarrer le moteur pour manœuvrer et je n’en ai pas trop envie.— Tu crois vraiment qu’on craint quelque chose ? À la vitesse où il file, il va nous passer devant…— Sauf si on est pile poil sur sa route… — Papa ? Pourquoi tu ne mets pas le pilote automatique ? On ne va pas percuter ce machin, c’est sûr, regarde où il est maintenant.— Tu as raison ; on ne craint rien, mais avec ce petit temps, les voiles sont dures à tenir et j’ai peur qu’avec le pilote, au moindre changement, on dévente. Déjà qu’on n’a pas grand-chose pour nous pousser, je préfère rester à la barre.— De quoi elles parlent à ton avis ?— Comment veux-tu que je le sache ? Quand t’es avec Ronan, vous parlez de quoi ?— Ben, ça dépend ; on parle de plein de trucs, mais surtout de foot, de meufs et de cul. Mais on peu aussi parler de bagnole ou de n’importe quoi…— Et bien les filles, c’est à peu près pareil ; tu remplaces le foot ou les bagnoles par d’autres trucs, éventuellement, et les meufs, comme tu dis, par les mecs, mais tu gardes le cul. C’est universel, le cul.— Tu crois qu’elles parlent de mecs, là ?— C’est possible…— En tout cas, d’où on est, on ne voit que ça.— Elles doivent vouloir voir le large, comme nous. Mais je préfère rester à l’ombre du taud que d’aller me rôtir au soleil.— En tout cas, Maman doit avoir chaud puis qu’Enora lui remet de la crème… Qu’est-ce qu’elle fait ? Elle lui enlève son soutif ?— Apparemment, ça doit être pour ne pas avoir de marque dans le dos…— Eh, mais qu’est-ce qu’elle fait ?! Enora enlève la culotte de Maman !— Il y a bien longtemps que ta mère n’a pas fait de naturisme… Mais c’est vrai qu’ici, elle ne risque pas de choquer grand monde. Quel cul, bon sang. J’ai toujours aimé le cul de ta mère… Un bon gros cul qui s’agrippe bien. Mmm…— Ce… c’est vrai qu’il est beau, répondit Yann gêné.— Ne rougis pas comme ça, puisqu’elle te le montre, t’as le droit de regarder et, de mon point de vue, tu aurais tort de t’en priver. Regarde comment Enora le caresse, je suis sûr qu’elle y prend plaisir.— La chance…— Ha ha ! Petit coquin, t’aimerais bien être à sa place, hein. Et poser tes deux paluches sur les fesses de ta maman.
— Pardon, Papa, mais j’avoue… Eh ! Elle lui met carrément un doigt !— Non, je ne crois pas mais ça n’a pas dû passer loin… Je ne sais pas trop ce qu’elles nous font mais je trouve ça très intéressant, finalement. Tu ne les trouves pas belles comme ça, toutes les deux ?— Carrément ! Sauf que l’une c’est ma mère et l’autre, c’est ma sœur…— C’est vrai ; ce n’est pas de chance, mais t’as qu’à oublier pendant quelques instants. Ce n’est pas parce qu’on ne peut pas consommer qu’on n’a pas le droit de regarder le menu.— Putain, maintenant, c’est Maman qui fout Enora à poil… Tu crois qu’elle va lui caresser le cul aussi ?— Si elle lui passe la crème, c’est sûr et certain, mais là… C’est vraiment le cul de Mary à 20 ans ! Ouh… Tiens la barre, je voudrais regarder un truc…— Qu’est-ce que tu fais ?— Attends, je fais une mise au point rapprochée… Oh, putain… Je… Je vois l’abricot de ta sœur en gros plan… Tel qu’elle a écarté les jambes, on voit tout…— Papa, t’es un cochon… Prends l’autre paire, on est pile dans l’axe ; je reprends la barre.— Oh merde, Papa ! Maman écarte les fesses d’Enora. Je vois son trou du cul.
Sous les yeux de Yann et de Loïc qui avait bloqué sa barre pour reprendre ses jumelles en mains, Maryvonne caressait la raie des fesses d’Enora en progressant vers l’anus où son majeur se mit à tourner autour du pot avant d’appuyer doucement en son centre. L’espace d’un instant ils crurent voir la phalange s’enfoncer, mais Maryvonne se ressaisit et retira sa main.
— Putain, c’est chaud… Elle lui a carrément mis le doigt dans le cul… et moi, j’ai la gaule.— Tu n’es pas le seul et si tu veux retirer ton short et ton t-shirt, tu peux ; je crois que c’est ce que je vais faire, personnellement.
Yann ne se gêna donc pas pour retirer ses deux pièces de vêtements et Loïc ne put s’empêcher de regarder sa verge tendue. Il la trouva bien belle et bien grosse et se réjouit de voir que son fils était aussi bien monté que lui. Il retira, lui aussi, ses habits légers et exhiba à la vue de Yann une bite solide qui se dressait bien droite, à la verticale, presque jusqu’au nombril.
— T’as une sacrée bite, Papa, dit Yann impressionné.— Autant que toi ; elles n’ont juste pas le même angle. Tu veux qu’on compare ?— Avec toi ?— Au point où on en est, avec Mary et Enora qui nous montrent leur cul et qui se le tripotent sous nos yeux ; on peut bien regarder si nos bites ont, ou non, le même gabarit.
Yann s’approcha de son père en plaquant sa verge contre son ventre et ils se positionnèrent l’un en face de l’autre. Ils étaient couilles à couilles et les deux glands se touchaient. Celle de Yann était même un tout petit peu plus longue, mais sans certitude, quand à celle de Loïc, elle était à peine plus épaisse.
— Tu vois, quand je te disais qu’on faisait la même taille…— Franchement, je n’aurais pas cru. Et, tu sais quoi, Papa ? Je n’avais jamais fait ça avant.— C’est vrai ? Même pas au foot, sous les douches ? Moi, ado, on jouait à ça…— Papa ? T’as déjà fait des trucs avec des garçons ?— Des trucs avec des garçons, genre quoi ? Baiser ?— Ben oui, je ne sais pas… Nous, on ne se comparait pas vraiment la bite, mais on regardait forcément et, parfois, on… Enfin, y en a qui en suçaient d’autres.— Il ne faut pas que ça te mette mal à l’aise, Yann ; ça arrivait aussi à mon époque et je crois que toute génération a connu ça. Souvent, ça passe avec l’âge ou le mariage, mais pas forcément.— Et si ça ne passe pas ?— Et bien c’est que soit tu es gay, soit tu es bi ; ça arrive à plein de gens très bien, tu sais. Ce n’est ni une maladie, ni une tare.— Je sais ça, mais ce n’est pas forcément facile… Quand tu es bi, tout le monde te rejette ; les homos parce que tu ne l’es pas vraiment et les hétéros parce qu’ils te prennent pour un homo…— Dans toutes les communautés, il y a des connards. On n’y peut rien. Alors quand on rencontre des gens bien, on les garde en amis et ça va. Si c’est ce que tu veux me dire, saches que, moi aussi, je suis bi et ta mère ne le sait pas.— Tu ne lui as jamais dit ?— Je n’ai pas jugé ça nécessaire car mes premières petites copines ont toujours confondu bi et homo. Quand je suis sorti avec ta mère, je l’aimais tellement que je ne voulais pas la perdre pour ça. Sans doute qu’elle aurait pu comprendre ; elle est ouverte et intelligente, mais c’est un risque que je n’ai jamais voulu prendre.— Et, t’as connu des hommes depuis votre mariage ?— De temps en temps… trois ou quatre aventures par an, ça me suffit. Ça dure quinze jours ou trois semaines et ça s’arrête. Qu’avec des amis et toujours les mêmes, depuis 30 ans.— C’est mon parrain et vos deux potes du rugby ?— Exactement, mais tu le gardes pour toi. Oh, elles vont faire griller l’autre côté.— Maman a vraiment de sacrés nibards…— Tu n’imagines même pas à quel point.— T’as déjà branlé ta queue entre ces seins ?— Ha ha ! T’es bien curieux ! Oui, bien sûr que je l’ai déjà fait. C’est délicieux… Regarde comme ils se balancent bien quand elle bouge son corps. Mais les nibards d’Enora sont très beau aussi.— Je les trouve tous plats.— Parce qu’elle est allongée sur le dos ; c’est normal. Il n’y a que les filles siliconées qui ont des seins qui gardent leur forme quand elles sont allongées. — Tu crois qu’elle va lui caresser la chatte ?— Je ne sais pas mais, aux jumelles, la petite moule d’Enora est vraiment très jolie… Mmm… Elle va vraiment lui caresser la chatte, ma parole. Regarde comme elle tourne autour de sa petite motte.— Aah… Non, elle est passée directement aux pieds.— Je n’y crois pas… Ma femme et ma fille.— On a l’impression qu’elles ont envie de faire l’amour ensemble ; ça me fait bander grave…— Je vois ça, et on est deux… Oh ça y est ! Regarde, Yann ! Elle remonte sur l’intérieur des cuisses.
Yann et Loïc regardaient en gros plan, avec leurs jumelles, les mains de Maryvonne enduire de crème solaire l’entre-jambes ouvert d’Enora.
— Ah, mon Dieu ! Regarde ça, Yann, ses index écartent la chatte d’Enora quand elle étale la crème sur les bords.— Putain ! Regarde la chatte d’Enora ; elle mouille comme pas possible !— Ouh, elles sont vraiment chaudes… Qu’est-ce qui leur prend ? Elles nous allument ou quoi ? Ma femme et ma fille qui se gouinent.— Et maintenant, ça va être au tour de Maman de se faire tripoter…— Pendant 25 ans, j’ai rêvé de voir ta mère avec une autre fille sans savoir si elle aimait ça. Je ne lui en ai jamais parlé et ça n’est jamais arrivé. Et maintenant, il faut que ce soit avec ta sœur que ça arrive…— T’avais raison, Papa, Enora a de beaux nichons aussi… Et ceux de Maman font beaucoup plus plats maintenant qu’elle est allongée. J’adore sa chatte épilée…— C’est un cadeau qu’elle m’a fait il y a quelques années ; c’est venu subitement. Elle était plutôt adepte de l’hirsutisme et puis un jour : plus rien ! Je t’avoue que, moi qui aime lécher sa chatte, je ne m’en suis pas plaint. Regarde moi ta cochonne de sœur… Elle lui masse le clitoris.— Merde ! Maman écarte les cuisses. Oh, la vache ! Je ne tiens plus, Papa… Maman m’excite trop comme ça. Avoua Yann en prenant sa verge en main.— Ne va pas trop vite, je sens que ce n’est pas fini…— Zut ! Elle lui prend les pieds…— Soit patient, ça va venir… Regarde, elle lui prend les genoux.— Oh, mince ! Elle écarte encore…
Yann et son père regardèrent Enora se déplacer légèrement, mettre de la crème solaire sur les doigts de sa main droite et aller masser directement l’entrecuisse mouillé de Maryvonne.
— Enora branle Maman !— Peut-être pas encore vraiment mais elle y prend le chemin… Flûte ! Elle s’allonge.— Oh oui, mais elles nous montrent vraiment leurs chattes. Oh, Maman… Comme j’aimerai te prendre, Maman… Oh merde, elle se touche ! Aaah…— Ah oui, ta sœur aussi… Ooh oui… Oh oui, on vous baise… Aaah… Yann te baise, Mary…— Oh oui, Maman…
Loïc et son fils regardaient Maryvonne et Enora se masturber sans retenue, côte-à-côte ; elles se fouillaient, se cambraient, gémissaient suffisamment fort pour être entendues et eux râlaient comme des bœufs en astiquant leurs gourdins. Maryvonne cria en refermant ses cuisses sur ses mains et Enora fit de même tandis qu’auprès de la barre, Yann et Loïc récupéraient leur sperme entre leurs doigts.
— Putain, on a l’air malins, avec nos doigts pleins de foutre. Remarqua Yann, sans ôter sa main du bout de sa verge.— Il suffit de lécher, expliqua Loïc en joignant le geste à la parole.— Beurk ! J’aime bien sucer mais je n’ai jamais avalé.— Alors donne ; je vais te lécher les doigts.— Vive la pétole…— Pourquoi tu dis ça ?— Parce que sans pétole, on n’aurait jamais vu Maman et Enora faire des cochonneries toutes les deux.
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