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An Daofin Meur

Chapitre 3

Inceste
3 – Remords, confidences et fantasmes
Pendant plusieurs jours personne ne prononça un seul mot sur ce qu’il s’était passé entre Maryvonne et Enora. Le vent avait forci, ils avaient doublé les Canaries, où ils avaient mouillé deux nuits, et ils progressaient, maintenant, en vent arrière, vers les Caraïbes, poussés par une brise moyenne. C’était une navigation tranquille, assurée par le pilote automatique et ils avaient plus de temps pour se détendre. Yann pêchait, à l’arrière, du bateau des coryphènes que Mary et Enora préparaient à toutes les sauces, mais dont personne ne se lassait.Malgré la tranquillité de cette navigation, Loïc maintenait à bord des règles de sécurité strictes que tout le monde acceptait dans la mesure où les peines étaient équitables. En particulier, il souhaitait qu’il y ait toujours deux personnes sur le pont pendant la nuit et avait organisé un roulement par quarts et demi-quarts qui permettait à chacun d’avoir, une fois sur quatre une nuit presque complète. Chaque soir, il rappelait, durant leur diner, l’ordre des quarts.
— Bon, cette nuit, je prends le premier demi-quart avec toi, ma Chérie. Enora prendra ma suite et terminera son quart avec Yann que tu réveilleras avant de te coucher. Enora, je te relèverai à la moitié du quart de ton frère. Bien entendu, si vous voyez un danger potentiel et que vous avez un doute, vous me réveillez.— Entendu, Capitaine ! Dirent en chœur Enora et Yann.  Et on s’accroche à la ligne de vie quand on se déplace.— Vous rigolez mais si l’un de vous tombe à la baille en pleine nuit, le temps d’affaler le spi et de faire une manœuvre pour le récupérer, il est perdu.— On sait, Papa, et même si je t’avoue que, parfois, ça me paraît ridicule, comme le port du gilet, je comprends parfaitement pourquoi tu l’exiges.— Merci Enora…
Quelques minutes plus tard, les enfants étant couchés, Loïc et Maryvonne se retrouvèrent à deux sur le pont, à surveiller la mer, le cap et l’allure.
— Qu’est-ce qu’on est bien, là, sous les étoiles… Aucune pollution d’aucune sorte.— Aussi bien que sous un ciel bleu par un jour de pétole ?— Que veux-tu dire par là ?— Tu le sais très bien ; ça fait huit jours qu’on évite soigneusement le sujet.— Ni Enora ni moi ne saurions répondre clairement à ta question. C’est arrivé, mais très honnêtement, il ne s’est rien passé.— Non, bien sûr, vous vous êtes embrassées, caressées sous toutes les coutures et après vous vous êtes branlées sous nos yeux…— On s’est passé de la crème solaire, ça a un peu dérapé et j’en suis désolée ; ça te va ? En plus, je veux bien en assumer l’entière responsabilité.— Ça va, Mary, je ne t’en veux pas… Très honnêtement, Yann et moi, ça nous a beaucoup excité. Et puis… Et puis, te voir faire l’amour avec une femme a toujours été un fantasme. J’ai même imaginé à une époque que tu le faisais avec Annick et Soizic.— Oh, on est à l’heure des confidences, alors…— Peut-être, c’est un bon moment… Sous les étoiles.— Écoute, Loïc, ce qui s’est passé avec Enora, c’est un accident ; une mère ne devrait jamais avoir se genre de gestes envers sa fille. Si tu savais comme j’en ai honte.— Tu n’as pas à avoir honte. Vous en aviez envie toutes les deux et, finalement vous n’avez rien vraiment fait.
— Tout désir incestueux est honteux, et Enora n’en mène pas plus large que moi. Tu me posais une question à propos de mes relations avec Soizic et Anick et bien je pourrais botter en touche et te renvoyer la balle à propos de Ludo, Alan et Maël.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Loïc, on n’en a jamais parlé parce que j’ai toujours considéré ça comme secondaire et stérile, mais quand on est sorti ensemble, tes ex petites copines sont presque toutes venues me voir pour m’expliquer que t’étais pédé et que tu te faisais enfiler par tes copains. Il n’y en a eu qu’une seule pour démentir les autres sur ton orientation sexuelle.— Louise, j’imagine…— Exactement. Elle m’a expliqué que tu aimais les deux et que ça avait été trop pour elle, mais elle m’a souhaité d’être heureuse avec toi et, tu sais quoi ? Son souhait se réalise encore aujourd’hui.— Moi aussi, Chérie, je suis heureux avec toi. Le plus heureux des hommes, même, et depuis 25 ans.— Loïc, tu ne t’es pas trompé ; j’aime aussi les femmes, et Soizic et Annick vont probablement me manquer souvent, mais j’ai quelque chose d’autre à te dire… Je t’ai fait cocu.— Je m’en suis douté plusieurs fois, en te léchant. Et depuis longtemps…
Maryvonne rougit de honte en entendant ça ; elle avait toujours cru que son mari ne se doutait de rien et le « depuis longtemps » prouvait que pas grand-chose ne lui avait échappé.
— Je te demande pardon, Loïc, je…— Chut ! Je ne veux rien savoir ; je ne veux même pas savoir avec qui ni avec combien d’hommes. Je ne suis pas en train de te faire un reproche. On est ensemble sur An Daofin Meur, sous une nuit étoilée, avec juste le bruit de l’étrave fendant la houle et je ne veux pas gâcher ce moment. Je t’aime, Mary ! Je t’aime comme au premier jour.— Tu ne m’en veux pas ? Pour rien ? Même pas pour ce qui s’est passé avec Enora ?— Oh que non, je ne t’en veux pas  et vous auriez été plus loin que je ne vous en voudrais pas plus, au contraire. Je l’ai espéré quand vous avez commencé, mais ça n’est pas arrivé…— Tu es un gros cochon pervers… Tu aurais voulu que je fasse véritablement l’amour avec notre fille ?— Oh oui, regarde dans quel état ça me met, rien que d’y penser… Répondit Loïc en retirant son short.— Cochon ! Tu veux que je te suce, peut-être ?— Oh non, sinon, on ne pourra plus se parler. Je préfèrerais que tu te colles un peu plus à moi…
Maryvonne retira sa culote, monta sur la banquette et enfourcha Loïc.
— Mmm… Oui… T’es vraiment bien raide, mon salop… Constata Maryvonne en s’empalant sur sa bite. Ça t’excite vraiment, alors.— Oh oui… Coquine, ça m’excite ; j’ai envie de te voir faire l’amour avec Enora… Oh oui, alors…— Espèce de pervers… C’est une bien vilaine chose, pour une mère, que de faire l’amour avec un de ses enfants… Ouh… Oh oui… Loïc, comme ça… Aaah…— Mmm… Ta chatte est trempée… c’est que ça t’excite aussi, ma coquine… Et tu sais que… Oooh… Quand Yann s’est masturbé, il… Aaah… Il s’imaginait te baiser…— Ne dit pas ça… Mmm… Non, ne dit pas des choses comme ça…— C’est la vérité… Il n’avait plus d’yeux que pour toi… Aaah… Tes seins… Mmm… Ta chatte…— Aaaah… Loïc… C’est mal… Oh oui… C’est… Aah ! C’est très mal…— Mmm… Je sens que… Ooh… Que t’aimerais goûter aah… À l’abricot juteux d’Enora… Mmm… Oui, t’en a envie… Oooh… Et après, tu… Mmm… Oui… tu te donnerais à Yann… et tu… Aaah… Tu me ferais lécher ta chatte… Aaah… Aaah, oui !—  Aaah ! Salop ! Aah ! Tu m’fais jouir… Aaah ! Avec tes cochonneries… Moi et… Aah ! Et les enfants, aah ! Aah, oui ! Ah ! Tu jouis ! Ah oui ! Encore ! Aah…
Loïc et Maryvonne restèrent enlacés quelques minutes avant de redescendre un peu de leur orgasme. Elle le regarda amoureusement, sourit largement et, prenant sa tête entre ses mains, elle l’embrassa avec passion.
— T’es un grand malade, mon Chéri… Tu devrais avoir honte de me mettre des choses comme ça dans la tête.— Oh, mais j’ai honte, sincèrement, mais je ne t’ai dit que des vérités. Ces choses là, tu les avais en tête sans moi. J’en mettrais ma main au feu…— C’est bien ce que je dis, tu es un grand malade… Et tu ne m’aides pas beaucoup.  C’est une idée ou le vent faiblit.— Non, ce n’est pas une idée, et il tourne aussi. Prend la barre, je vais affaler le spi et sortir le génois.
Après la manœuvre, Loïc constata qu’il était temps pour lui de prendre du repos et il alla réveiller sa fille après avoir embrassé sa femme.
— Tiens, on a changé d’allure… Il m’avait bien semblé que vous faisiez une manœuvre.— Oui, et le vent faiblit… C’était le risque en prenant une route très au nord ; l’anticyclone nous rattrape, vraisemblablement. Tu as pu dormir un peu ?— Oui et non, mais je me suis reposée quand même. Il faut dire que vous avez fait du bruit…— Tant que ça ? Je suis désolée.— Ne le soit pas ; c’est normal que vous fassiez l’amour. Ça me fait plutôt plaisir, en fait, mais pendant un quart, ce n’est pas sérieux !— On s’est laissé emporter par la magie des étoiles… Et on a brisé la glace.— Tu m’expliques ? Vous avez parlé de quoi ?— De couple, d’adultère et de sexualité…— Oh, et ça donne quoi ?— Rien qu’on ne savait pas déjà, en vérité, mais c’était bien qu’on se le dise.
Maryvonne raconta un peu plus en détail le contenu de leur discussion, confirmant à sa fille qu’elle était bisexuelle et lui apprenant que son père l’était aussi. Par contre, elle évita soigneusement de parler des fantasmes incestueux qui les avaient amené à faire l’amour aussi bruyamment.
— Maman ? L’autre jour, quand on bronzait sur le pont, tu m’aurais fait l’amour si Papa et Yann n’avaient pas été là pour nous regarder ?— On n’en est pas passé loin… Mais, très franchement, je les ai rapidement oubliés ; je n’avais plus que toi en tête.— Moi pas. C’est ce qui m’a retenu un peu… Tu te rends compte de ce qu’on a fait ? On s’est masturbées devant eux en pensant l’une à l’autre. Quelle honte…— N’y pense plus, Chérie, ce qui est fait, est fait. Et puis eux aussi se sont masturbés en nous regardant.— Que Papa se masturbe pour toi, c’est normal, mais que mon frère me voit…— De ce que j’en sais, Yann, n’avait d’yeux que pour moi. Par contre, ton père a dû revoir en toi celle que j’étais à 20 ans… Ça ne m’étonnerait pas que tu l’aies beaucoup plus intéressée que moi qu’il connaît par cœur.— Papa… Fit Enora en rougissant.
Maryvonne serra sa fille contre elle et le contact de son corps contre le sien la fit frissonner.
— Maman, je n’arrive pas à m’enlever des choses de la tête… Quand je t’ai dit qu’on était les deux seules filles du bateau et qu’on avait que nous à qui parler de nos trucs, et bien, j’ai eu envie qu’on dépasse la relation mère-fille et qu’on devienne comme des meilleures copines aussi… comme Lisa ou Maëlys.— Je sais… Vous êtes très proches, toutes les trois ; ça fait un peu comme Soizic, Annick et moi.— Maman, l’autre jour, si on avait été que toutes les deux, je t’aurai fait l’amour…— Et… Maintenant ? Demanda Maryvonne en tremblant.— Je suis bien, mais j’ai toujours envie et, en plus, t’as le cul à l’air… Maman ? J’ai envie de t’embrasser.
Maryvonne ne répondit rien et laissa les lèvres de sa fille se rapprocher des siennes. Le baiser fut timide, elle y répondit et il devint torride. L’allure du bateau était régulière, les voiles bien réglées et le pilote automatique maintenait leur cap. Elles se laissèrent emporter par leurs désirs charnels sous la magie du ciel étoilé.
— On s’est un peu laissé aller, je crois, reconnut Enora en rougissant. Pardon, Maman, je…— Chut, Enora, ne pense pas comme ça. On est des copines, les meilleures du monde et pour la vie entière, alors on a bien le droit de s’aimer.— Tu… Tu crois ?— J’en suis sûre et ton Papa ne nous en voudra pas une seule seconde.— Et Yann ?— Yann, je m’en charge ; il ne sera pas lésé.— Tu vas faire l’amour avec lui aussi ?— Il en rêve, Loïc l’espère et j’en ai envie aussi, alors je ne vais pas lutter davantage.— Tu crois que Yann ou Papa voudront aussi faire l’amour avec moi ?— Et toi ? Tu en aurais envie ?— Oui… Je… je crois que oui.— Alors demande leurs ; on est entre nous… Ça ne sortira ni de ce bateau, ni de la famille.
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