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An Daofin Meur

Chapitre 4

Inceste
4 – Derniers scrupules
Yann arriva sur le pont où il retrouva sa sœur qui surveillait l’horizon. Il remarqua qu’ils naviguaient au grand largue et s’assit près d’elle.
— On est vraiment bien au milieu de rien… C’est si calme.— Oui, c’est vrai. Tu as pu dormir ?— Très bien, et j’aurais bien continué, mais cette nuit est magnifique.— Oui, elle inspire…— T’as l’air bien songeuse. Quelque chose ne va pas ?— Non, ça va, je suis contente mais, je me pose des questions sur où va nous mener ce voyage.— Et bien à découvrir plein d’endroits, de pays et d’îles, rencontrer des gens…—Tu m’aurais dit aller au bout du monde ce serait pareil…— Au bout du monde et au-delà !— Pff… Tu te prends pour Buzz l’éclair ou quoi ? Quand je me demande où ça va nous mener, je ne parle ni de destinations, ni de rencontre ou d’enrichissement culturel. Je parle seulement de nous : Papa, Maman, toi et moi… Nous tous ensemble.— Et bien, je n’en sais rien, mais, ce que je sais, c’est qu’on est parti pour mener l’aventure de notre vie et que rares sont les gens qui peuvent partager ça avec leurs parents.— On va vivre longtemps dans une grande promiscuité, tu crois que ça va bien se passer ? Et si jamais on se fâchait ?— Moi, je trouve que ça se passe plutôt bien et je suis sûr que l’on ne se fâchera jamais. Au contraire, on va rapidement se connaître par cœur ; ça ne peu que nous rapprocher encore plus. Et puis, vivre avec le vent et la mer, libre, sans contrainte, sans se soucier du regard des autres…— Et bien, ça ce n’est pas si simple, parce que le regard des autres, ça peut être le tien ou celui de Papa ou de Maman…— Pourquoi veux-tu que l’on se regarde différemment parce qu’on vit au jour le jour sur un bateau ? Tu restes ma petite sœur chérie ; je ne t’ai jamais jugée, tu sais, même quand tu allumais tous mes copains, alors ça ne va pas commencer maintenant.— Pourtant, il y a des fois où j’aurais juré que t’étais un peu jaloux.— Ben, c’est normal ; t’es ma sœur, quand même ! Je n’ai pas forcément envie que tu sortes avec des abrutis. C’est surtout quand tu t’es mise à trainer avec Erwan que j’ai flippé, mais j’ai laissé faire quand même.— C’est vrai qu’il est lourd et je ne suis pas fâchée de mettre de la distance avec lui. Tu n’as pas peur que les copains et copines te manquent, parfois ?— J’y pense, bien sûr, mais non, je ne crois pas. Je suis plutôt curieux des rencontres à venir
Enora resta silencieuse un moment, Yann suggéra de nouveaux réglages pour la voilure qui firent reprendre un peu de vitesse au bateau mais il constatait que le vent faiblissait.

— Si on se retrouve en panne de vent, on n’aura plus qu’à bronzer ou pêcher à la ligne…— Papa s’y attend, apparemment. Il dit qu’on a fait route trop au nord pour sortir de la zone d’influence de l’anticyclone.— On ne pouvait pas faire autrement puisqu’on voulait tous passer par les Bermudes et la Floride. Ce n’est pas grave ; ça va vous permettre de nous remontrer votre cul…— Yann tu es un gros pervers !— C’est un peu l’hôpital qui se moque de la charité ; je n’ai toujours pas compris à quoi vous avez joué, Maman et toi. Tu voulais que je fasse quoi ? Me planquer dans ma cabine ? On n’a pas pu faire autrement que de regarder.— Je sais… Nous non plus, on ne sait pas trop ce qui nous est arrivé. Quelle honte… On s’est branlée sous votre nez.— Et nous on s’est branlé en vous matant ; tu crois que c’est mieux ? Je n’arrête pas d’y repenser ; à chaque fois que je vais me coucher, je me branle en pensant au cul de Maman. Et, tous les jours j’ai honte ; je fantasme sur Maman et j’en ai honte. Tu peux l’imaginer ?— J’imagine très bien, et ce n’est pas sûr que la honte disparaitrait, si tu faisais l’amour avec elle. Tu vois, tout à l’heure, quand je te demandais où aller nous mener notre voyage, je pensais à ça. Si on se laissait aller ? Si on se mettait à faire l’amour entre nous ? Avec Papa, Maman… ou toi et moi…— Ça me parait impossible, Enora. OK, je t’ai dit que je fantasmais, mais ça ne veut pas dire que ça peut se faire. Je n’imagine vraiment pas Maman faire l’amour avec nous et je suis sûr qu’elle a autant de honte que toi ou moi… Il n’y a que Papa qui m’a franchement paru enthousiaste sur le coup et prêt à tout laisser faire, mais je dois me faire un film, en fait. Il était comme moi, excité en vous voyant vous caresser, et comme moi il a dû avoir le fantasme de vous voir faire l’amour toutes les deux, mais on sait que c’est impossible. D’ailleurs, Papa et Maman ne sont pas trop en manque ; on les entend suffisamment pour le savoir.— Et si je te disais que je venais de le faire.— De faire quoi ?— L’amour avec Maman…
Enora raconta donc à son frère ce qui s’était passé pendant qu’elle était de quart avec Maryvonne et Yann n’en crut pas ses oreilles. Sa sœur paraissait sincère et il ne remit, évidemment, pas sa parole en doute. Elle lui avoua en éprouver une honte encore plus grande que celle qu’elle avait ressentie après son exhibition, mais elle avoua aussi en avoir tiré un plaisir sans limite.
— Je sais déjà que je ne pourrais pas résister à l’envie de recommencer, Yann. C’est horrible.— Et bien, je ne sais pas si c’est horrible ; deux femmes qui font l’amour, je trouve ça plutôt excitant. Lui dit Yann pour dédramatiser. Vous en aviez envie toutes les deux, vous êtes majeures et vaccinées… Bon, OK, c’est ta mère, mais ton choix en matière de femme et assez restreint aussi…— Ce n’est pas juste du cul, Yann, il y a tous les sentiments qui vont avec ; des sentiments qu’on n’éprouve normalement pas pour quelqu’un de sa famille.— Mais Maman, elle en dit quoi ?— Elle a beaucoup aimé et ne semble pas éprouver de honte. Je crois qu’elle pourrait recommencer n’importe où, même devant vous. Elle dit que Papa rêve de la voir faire l’amour avec nous… Tu crois que c’est possible ?— Je ne sais pas, peut-être bien…— Yann, je sais que tu fantasmes sur Maman, mais moi ? Tu me trouves comment ?— Toi ? Tu as un corps de rêve… Tu es craquante, absolument. Papa dit que tu ressembles à Maman quand elle avait ton âge et je comprends qu’il en soit tombé aussi amoureux.— Tu pourrais m’aimer aussi, alors ?— Tout le monde pourrait t’aimer, Enora… Mais j’aime mieux ne pas y penser, tu es ma sœur.— Je comprends, répondit-elle avec une légère pointe de déception dans la voix. Je vais réveiller Papa ; il est temps.
Loïc ne tarda pas à rejoindre son fils sur le pont et il le trouva très songeur et perplexe.  Les aveux de sa sœur lui paraissaient inconcevables et pourtant il ne doutait pas de leur véracité.
— Holà, c’est une tête des mauvais jour, ça… Vous ne vous êtes pas disputés, j’espère. Il n’y a rien de pire que les disputes sur un bateau.— Non, Papa, on a discuté, c’est tout… Papa ?— Oui ?— L’autre jour, quand Maman et Enora se sont caressées et masturbées, comment t’aurais réagi si elles avaient vraiment fait l’amour ?— Oh ! C’est une question délicate… Si je te disais que j’aurais aimé les voir faire, tu en penserais quoi ?— Je… je ne sais pas ; c’est bizarre. Une mère et sa fille, ça ne se fait pas ; on n’a pas le droit.— Et qui les condamnerait ? Toi ? Moi ? On va vivre à quatre sur ce bateau pendant un, deux ou trois ans ; on n’en sait rien. Plein de questions restent en suspend. Pour l’instant, on se dirige sur les Bermudes et la Floride. Après, on sait qu’on naviguera dans les Bahamas et vers la Jamaïque avant de redescendre l’archipel antillais vers le sud, mais en combien de temps ? Et ensuite ? Une seule chose est certaine, c’est que nous serons sans doute plus souvent isolés en mer qu’autour d’un verre avec quelques rencontres éphémères.— Tu ne ferais rien, alors ?— Oh si, je regarderais ça avec beaucoup de plaisir si j’en ai l’occasion. On a tous des envies, des désirs et des fantasmes, Yann. Si des choses doivent se passer entre nous, elles se passeront et c’est tout. Ça restera entre nous.— Papa…  Tu te rappelles qu’on a parlé de bissexualité, l’autre jour en comparant nos bites.— Oui, très bien. Il faut croire que cette nuit est vraiment magique. J’ai eu une longue conversation avec ta mère lors du premier quart. Elle sait pour moi et Ludo, Alan et Maël. En fait elle l’a toujours su et elle m’a aussi avoué être bi et a reconnu me tromper depuis longtemps.— Maman te trompe ?! Et elle te l’a dit ?— Oh, je le savais, mais je n’ai jamais posé de question.— Comment ça ? tu le savais…— Et bien, vois-tu, si, quand on lèche une chatte, on se retrouve avec du sperme dans la bouche, c’est que quelqu’un est passé peu de temps avant… Et le latex aussi laisse un petit goût quand ce quelqu’un a mis une capote. Mary a toujours eu beaucoup de tempérament, alors je n’en ai jamais été trop surpris et puis elle m’a toujours aimé, par ailleurs. En fait, pour tout t’avouer, je suis certain d’avoir toujours été cocu.— Et tu n’as jamais été jaloux ? Si elle avait eu un enfant ?— Vous, vous êtes mes enfants ; ça c’est sûr et certain. Vous étiez désirés et avez été conçus dans l’amour. C’est même probablement les seuls moments où votre mère a été fidèle plusieurs semaines d’affilées. Après, si elle avait eu un enfant avec un autre homme, il aurait bien fallu qu’on en discute, mais j’aurais tout fait pour ne pas la perdre, jusqu’à le reconnaître comme le mien… Et non, je ne suis sans doute pas jaloux car, sinon, ça se saurait déjà.— Et toi ? Tu l’as trompée aussi ?— Jamais avec une femme. C’est uniquement avec ton parrain, Alan ou Maël que je couche de temps en temps, mais, avec eux, c’est différent parce qu’elle ne pourrait pas me procurer les mêmes plaisirs.— Tu es passif ?— Oui, la plupart du temps, même s’il m’arrive aussi d’être actif quand Ludo me le demande, mais c’est très rare. Et toi, tu es plutôt actif ou passif ?— Plutôt actif… Mais il faut dire qu’avec Gwen et Corentin c’est difficile de faire autrement. Bon, il m’arrive de me faire enculer de temps en temps, j’aime bien ça aussi. Et puis je ne déteste pas sucer non plus mais je n’aime pas m’en prendre plein la bouche et je n’aime pas le foutre.— Ça, j’avais remarqué l’autre jour, et moi, j’adore ça. On est assez complémentaires en fait…— Papa ? Tout à l’heure tu as dit que si des choses devaient se passer entre nous, elles se passeraient et que ça resterait entre nous, mais tu parlais de nous deux ou de tous les quatre ?— Je parlais de ta mère avec Enora et toi, avant tout, de nous deux si tu veux d’un vieux passif et, pourquoi pas, de ta sœur et moi si elle vient me chercher. Mais, pour être très franc, je me sens une âme de spectateur. Oh, le vent forcit un peu… Ça ne sent peut-être pas la pétole, tout compte fait— T’as vraiment envie de voir Maman faire l’amour avec nous, alors ?— Ce n’est pas de ça dont tu rêves dans ton lit ? Les cloisons ne sont pas épaisses, tu sais et on entend très bien ce qui se passe dans ta cabine quand on va dans la salle d’eau ou depuis notre cabine. Surtout quand tu fantasmes à voix haute et, pour information, ta mère n’est pas une grande amatrice de sodomie. Elle m’accorde bien son cul de temps en temps mais quand elle t’a entendu crier « Oh oui, Maman, je t’encule… », il y a trois jours, ça l’a un peu choquée.— Je n’ai pas dit ça, si ? Quelle honte… Je pense trop à Maman, son corps, ses seins et son cul m’obsèdent, Papa. je n’arrive pas à m’ôter son image de la tête. Ne me dis pas qu’elle m’a entendu ; ce n’est pas vrai ? Je n’ai pas pu dire ça, Papa ?— Je crains que si, mon Chéri, mais ta mère à l’esprit large et, ce qui lui a plu le plus, c’est que tu penses à elle. Laisse-toi aller, Yann. Tu en as besoin… Tu ne peux pas continuer à te masturber en pensant à elle ; tu dois concrétiser ton envie. Oublie tes préjugés, enterre tes scrupules et va faire ce dont tu rêves. Le jour se lève et ton quart se termine, de toute façon.— Je ne vais pas aller me coucher en te laissant seul.— Tu ne me crois pas capable de manœuvrer An Daofin Meur tout seul ?— Si bien sûr…— Tu as besoin de te détendre, alors va rejoindre ta mère et comme ça tu seras à égalité avec ta sœur.— Parce que tu savais ?— Bien sûr, quand Mary s’est couchée, ça m’a réveillé, alors elle me l’a dit. On n’a plus de raison de se cacher quoique ce soit.
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