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An Daofin Meur

Chapitre 5

Inceste
5 – Déblocage de la situation
Yann descendit les quelques marches qui menaient à l’intérieur et se dirigea d’un pas hésitant vers la cabine de ses parents. Il bandait comme un cochon après avoir discuté de sexualité avec sa sœur et son père, mais la seule personne qui avait réellement accaparé son esprit et qui l’obsédait était sa mère. Il poussa la porte et la découvrit allongée sur les draps, nue et encore endormie. Il referma la porte derrière lui et s’avança doucement vers la couchette. « Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Bon sang ! » Se demanda Yann en se déshabillant. « Je n’ai pas le droit de faire ça… Oh non, je n’ai vraiment pas le droit ».Yann était terrorisé par sa propre audace. Timide et tremblant, il était bel et bien en train de s’allonger contre sa mère et de la prendre dans ses bras en appuyant sa verge tendue contre ses fesses et le creux de ses reins. Il rougit en posant une main sur la lourde poitrine de Maryvonne qu’il soupesa doucement.
Maryvonne se réveilla en sentant une présence serrée contre elle et pensa d’abord à Loïc, mais elle réalisa instantanément que c’était impossible. Comprenant qu’il ne pouvait s’agir que de Yann, elle en ressentit une grande joie. Elle se serra un peu plus contre lui et en profita pour lancer une main vers ses fesses musclées qu’elle caressa avec tendresse.
— Mmm… Que c’est bon d’être réveillée ainsi par son grand garçon…— Je… je ne sais pas ce que je suis en train de faire, Maman.— Chut ! Fit-elle en se retournant face à lui. Tu sais très bien ce que tu fais, mais tu as peur. Mmm… Tu es aussi tendu que fatigué, mon Poussin, mais Maman va s’occuper de toi.
Maryvonne embrassa Yann sur la bouche et attrapa sa verge qu’elle décalotta entièrement
— Ça c’est une bite de petit garçon qui se branle souvent et ne se lave pas beaucoup.— Oh, non… Je…— Oublie ça, laisse faire Maman…— Ooooh… Fit Yann lorsque sa mère se pencha pour gober sa verge.
Jamais Maryvonne n’aurait toléré d’un de ses amants une bite aussi sale ; son odeur était absolument infecte et la base de son gland épais était encroutée d’une pâte blanche écœurante. Mais là, il s’agissait de son fils, de son bébé et elle prit plaisir à le nettoyer de cette accumulation de sperme séché. Elle n’abandonna sa verge que lorsque le goût amer et écœurant eut disparu. Elle sentit que Yann était proche de partir alors elle l’invita à lécher sa chatte humide de désir dans l’espoir qu’il se calme un peu. Son fils se fit un véritable plaisir de plonger entre ses cuisses pour découvrir de ses yeux, sa langue et ses doigts le sexe qui occupait ses fantasmes.
La chatte de Maryvonne était comme une fleur ; les petites lèvres apparentes formaient une corole et son clitoris dépassait du capuchon comme un pistil. Elle s’ouvrit sous l’action de sa langue et Yann s’abreuva immédiatement de son jus. D’un, puis de deux doigts, il explora l’intérieur tandis que sa bouche partit suçoter son bourgeon qui pointait comme une petite bite. Maryvonne se mit à geindre en maintenant le visage de son fils des deux mains. Son plaisir était immense et son envie de commettre l’irréparable péché n’avait jamais été aussi forte. Elle l’attira vers elle, Yann embrassa sa poitrine, ses tétons, sa gorge et sa bouche, et elle sentit son gland écarter la corole et s’enfoncer dans sa matrice trempée.
— Oooooh… Oh oui, mon bébé… Viens… Viens baiser Maman… Aaaah…— Aaah ! Maman ?! Je… Je suis en toi, Maman !— Mmm… Oui… Aaah… Doucement, Chéri… Aaaah… Oui… Oh oui !

Yann fit des efforts pour se calmer mais son excitation était trop forte et il éjacula rapidement. Maryvonne l’embrassa avec tendresse, lui sourit en caressant ses cheveux roux et le réconforta.
— Ce n’est pas grave, Chaton, je pense que c’est normal quand on fait l’amour pour la première fois avec sa Maman. En plus tu es fatigué et tu étais très tendu. Tu vas dormir un peu, récupérer les heures de sommeil qui t’on manqué et plus tard, ça ira mieux, tu verras.— Je… J’espère, j’avais tellement envie de te faire jouir.— Tu m’as donné beaucoup de plaisir, mon Cœur, et là, tu vas dormir deux bonnes heures, ça te fera du bien… Tu voudras que je vienne te réveiller ?— Oui, je veux bien…
Maryvonne abandonna son fils qui se laissait déjà emporter dans les bras de Morphée et rejoignit Loïc sur le pont. Le bateau gitait et semblait avancer à une allure convenable.
— Le vent s’est relevé et ça te met en joie, mon Amour. Constata-t-elle en venant l’embrasser.— Oui, et j’ai changé de stratégie, aussi ; j’en profite pour essayer de nous éloigner un peu de la zone de hautes pressions. On tirera un bord pour rejoindre les Bermudes. Mais ce n’est pas ce qui me rend le plus heureux des hommes…— Ah bon, donc j’en conclu que tu es le plus heureux des hommes, ça me fait plaisir. Tu me racontes ?— Oh, et bien c’est simple, j’ai dû aller sur l’avant pour arranger un truc et je suis passé près du hublot de notre cabine, alors j’ai regardé un peu ce qu’il s’y passait.— Et tu as vu quoi ?— J’y ai vu ma femme se tordre de plaisir en se faisant lécher la moule par un jeune homme et l’embrasser ensuite en se faisant pénétrer. De quoi me mettre en forme pour la journée, mais je ne pensais pas te voir monter aussi vite sur le pont.— Le pauvre Chéri, il était très tendu et très fatigué ; il est parti beaucoup plus vite qu’il ne l’aurait souhaité. Là, il dort et j’irais le réveiller dans deux heures.— Alors je serais deux fois cocu ce matin.— Plus que ça ; tu oublies Enora… Je vais faire du café.
Maryvonne était un peu étonnée par la remarque de son mari, l’emploi du mot cocu était chargé de sens. Il l’avait toujours été, pas parce qu’elle se sentait nymphomane ou quelque chose comme ça, mais parce qu’elle n’avait pas souvent su dire non. Loïc avait été cocu au moins une fois par semaine depuis leur première rencontre. Même lors de leur mariage, son beau-père, dans un moment d’égarement avait profité de cette faiblesse. Elle avait dû faire tous les efforts du monde pour que ça ne se reproduise pas par la suite, et le père de Loïc avait fini par la laisser tranquille. Elle avait fait les mêmes efforts pour lui rester fidèle lorsqu’ils avaient conçu Yann et Enora parce qu’elle n’aurait jamais supporté le moindre doute sur leur paternité. Ça n’avait été que l’affaire de cinq ou six semaines à chaque fois et elle avait trouvé ça amplement suffisant. Loïc avait dit, la nuit dernière, qu’il ne voulait pas savoir qui ou combien mais en fin de compte, elle n’en était pas si sûre. Elle remonta sur le pont avec du café et de quoi manger, bien décidée d’aborder directement le sujet.
— Alors comme ça, c’est d’être cocu qui te mets en joie. Et ça marcherait avec n’importe qui ?— Mais ça a marché avec n’importe qui toute notre vie de couple. J’ai souvent trouvé sur toi un indice de mon cocuage permanent. Ça pouvait être parfois un léger suçon dans le cou ou sur un sein, l’emprunte persistante d’une claque appuyée sur une fesse, mais surtout, c’était le foutre qui remplissait ta chatte ou le goût de latex et de lubrifiant laissé par une capote. À chaque fois que tu rentrais en m’ayant trompé, je le sentais et j’en était encore plus excité ; je n’avais plus qu’une seule hâte : te faire l’amour à mon tour.— Pourquoi tu ne m’as jamais rien dit ?— J’avais peur que ça gâche tout ; tromper son mari est une chose mais vivre avec un homme qui veut être cocu en est une autre. Si on en avait parlé, peut-être que je t’aurais encouragée ou que j’aurais voulu que tu me trompes avec des personnes en particulier, ou devant moi, je ne sais pas et ça aurait pu devenir malsain et nuire à notre couple. C’était beaucoup plus simple de garder secret tes relations adultères et le plaisir que je tirais à les soupçonner.— Et tu n’as jamais eu peur que je te quitte ?— Au début, mais comme tu restais avec moi et que tu m’aimais avec sincérité, j’en ai conclu que c’était surtout des aventures sans lendemain et je me suis habitué. J’avais confiance. Il n’y a que quand tu t’es épilée, il y a quelques années que j’ai eu peur. Au début, j’ai cru que tu avais fait ça pour me faire plaisir, mais après j’ai eu un doute et je pense, maintenant, que tu l’a fait pour quelqu’un avec qui tu as eu une relation suivie, presque quotidienne. Je pense ça parce que, quelques fois, il était évident que tu lui avais offert ton cul et je suis assez bien placé pour savoir que ce n’est pas souvent que tu acceptes ça.— Tu as raison, je ne l’ai pas fait pour toi, mais je savais que ça te ferait plaisir aussi alors c’est ce qui m’a convaincu. Je l’ai fait pour vous deux. C’est une relation qui a duré trois ans, mais elle n’avait pas d’avenir. L’un comme l’autre nous aurions trop perdu en la révélant et je n’ai jamais eu envie de te perdre et de perdre mes amis. Lui non plus, ne voulait pas perdre sa femme et ses amis.— C’était quelqu’un de proche ?— C’est Yves…— Yves ? Ah ben ça alors… C’est la dernière personne à laquelle je me serais attendue. Soizic est ta meilleure amie, Nolwenn est la meilleure amie d’Enora et Yves est presque comme un frère pour moi.— Je sais, c’est pour ça que ça ne pouvait pas continuer…— En tout cas, grâce à lui, tu as une jolie chatte toute lisse et, maintenant, quand je la lècherai, je vous imaginerai dans un lit. Il y a d’autres personnes proches qui ont couché avec toi dans mon dos ?— Ça a l’air de t’exciter… Non, il y a des gens que tu connais et qu’on voit parfois à l’occasion d’une soirée mais dans les amis proches, c’est tout. Après, mais il y a prescription parce que ça fait 22 ans, il y a eu ton père qui m’a prise dans un placard à balais durant le fête de notre mariage.— Mon père ? T’as couché avec mon père le jour de notre mariage ? Là, excuse-moi, Mary, mais t’es vraiment une salope et, moi, je suis le roi des cocus. Ah le salop, baiser sa belle-fille le soir des noces… Vous avez recommencé souvent après ?— Jamais. Je te le promets. Lui, il en avait envie, mais j’ai toujours refusé et, pendant quatre ans, il a insisté. Il a fallu que je le menace d’aller raconter toute l’histoire à ta mère pour qu’il se calme.— Tant mieux, Yves, je peux comprendre, mais Papa… C’est quand même un beau salop. Mais bon, c’est loin derrière, maintenant, et je suis content. J’espère que Yann sera bien reposé tout à l’heure. Mmm… Rien que de repenser à ce que j’ai vu, ça me fait bander. Cocu… être cocu avec mon fils, ma fille, tous les jours et sous mon nez…— Tu devrais retirer ton short, Chéri, tu serais plus à l’aise. Je vais te soulager un peu.
Enora se leva avec une petite faim et une belle envie de pisser. Elle passa devant la cabine de son frère et, comme la porte était ouverte, elle constata qu’elle était vide. Elle trouva du café dans la cuisine et monta sur le pont où elle découvrit sa mère en train de masturber son père en lui susurrant des choses à l’oreille.
— Oh ! Excusez moi, fit elle en restant figée sur place.— Oh, Ma Chérie, répondit Maryvonne en rougissant. C’est plutôt à nous de nous excuser. Viens avec nous, j’arrête.— Je remets mon short ! Dit en même temps Loïc sans savoir où se trouvait son vêtement. Tu l’as mis où, Mary, quand tu me l’as enlevé ?— Je n’en sais rien ; je l’ai envoyé par là.
Enora explosa de rire en voyant le geste de sa mère et s’approcha pour embrasser ses parents.
— T’as dû l’envoyer à la baille, Maman. Mon pauvre Papa, tu vas devoir garder ta jolie bite à l’air…— C’est vrai que ton Papa a une très jolie bite et ça a toujours été ma préférée, reconnut Maryvonne en la reprenant en main. Mais celle de ton frère n’est pas mal non plus…— Tu l’as déjà testée ? C’est pour ça qu’il n’est ni dans sa cabine ni avec vous.— Ton frère dort sur notre couchette, précisa Loïc en arrêtant les mouvements de poignet de sa femme. Il était épuisé apparemment.
Enora avait bien du mal à décrocher ses yeux du sexe de son père, elle n’avait encore jamais vu une bite aussi raide, épaisse et verticale.
— Papa ? Maman ? Je… Je peux la toucher ? Elle a l’air tellement dure.— Je te la laisse, répondit Maryvonne heureuse. Si nos hommes profitent de moi, il n’y a pas de raison pour que tu n’en profites pas aussi.— Yann m’a mis un râteau, cette nuit ; il ne bande que pour ton cul… Mais je m’en moque, parce que moi, c’est Papa que je veux. Mon beau Papa… Ajouta Enora en déposant un baiser sur les lèvres de son père.— Mmm… Ma chérie, je n’ai jamais trompé ta mère avec une femme, mais si c’est toi qui me tentes, je ne pourrais pas résister. Répondit Loïc en l’embrassant en retour. Tu lui ressembles tellement.— Vous avez ma bénédiction, leur chuchota Maryvonne. Avoir une famille où règne un amour interdit… Mon fantasme se réalise. Aimez vous sans honte, comme je vous aime.
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