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DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes

Chapitre 3

Luna Amadoueur

Voyeur / Exhibition
J’ai quarante quatre ans.
J’ai déjà tourné trois pseudos films amateurs pour un site très connu, tous dans la même veine. Dans le premier «Barbara aime les blacks», que j’ai tourné avec une perruque brune je suis supposée être une épouse délaissée prise par 4 types. Dans «Quatre hommes pour Alexina»et «Alexina première sodomie à 39 ans» j’apparais telle que je suis, toujours entourée de plusieurs partenaires. De fait la production a enchaîné les deux tournages avec les mêmes acteurs.
Je comptais qu’ils me recontactent, mais le genre a toujours besoin de nouveauté et je n’ai plus eu de propositions de leur part depuis plus d’un an. Je vivote entre un travail de caissière et quelques à côtés. J’ai créée une page web sur un site amateur qui me permet de rencontrer des hommes, disons généreux.
Je reçois un appel de Clarisse de DCT productions. Elle souhaite ma participation pour un film qu’elle entend tourner avec une célébrité du monde du sport. Elle ne m’en dit pas plus et me propose un rendez-vous pour le lendemain, que j’accepte.
Je prends le train pour Paris.
Je découvre Clarisse, installée confortablement dans un magnifique bureau C’est une vieille dame respectable au physique très entretenu. Nous avons en commun, à ce que je peux en juger, une plastique filiforme. Bref deux garçonnes.
La productrice m’explique que DCT travaille uniquement pour des clients richissimes. Les films qu’ils commandent ne sont jamais distribués ni copiés. Chaque acheteur est par contrat l’unique détenteur de l’œuvre.
L’un d’entre eux l’a contacté. Il a vu mes réalisations précédentes et souhaite me voir dans une scène lesbienne hard aux côtés d’une ancienne star du sport. Clarisse insiste sur la clause de confidentialité en me précisant que si j’accepte sa proposition, je ne devrai jamais faire état de quoi que ce soit en lien avec le tournage ou la célébrité en question. Je ne la découvrirai que le jour du tournage et m’engage à ne pas chercher à la joindre par la suite.
Le cachet proposé est conséquent, j’accepte. Clarisse me donne un script du trentaine de pages que je dois lire et respecter à la lettre. Je m’y engage et elle me quitte en me signifiant qu’elle me tiendra au courant de l’évolution de la situation.
J’ai deux heures de train pour rentrer chez moi, j’en profite pour lire le scénario. L’action se déroule dans un complexe sportif où je vais dominer une athlète, qui est ma maîtresse, pour me venger de l’avoir surprise dans son intimité avec une inconnue. C’est assez détaillé. Clarisse m’a bien prévenu que le script était l’œuvre du client, c’est pourquoi il est si important de le suivre précisément.
Deux semaines se passent sans nouvelles. Je commence à me dire que l’opération est tombée à l’eau quand la productrice me rappelle pour me demander mes disponibilités. Nous nous mettons d’accord sur une date. Ce sera mercredi en huit.
L’avant veille, je reçois un mail avec un billet de train électronique, une réservation d’hôtel pour la veille du tournage et un plan d’accès au complexe sportif Nelson Mandela à Saint Denis où je devrai me trouver à 8 heures le jour dit.
Mon voyage se passe sans encombre, l’hôtel situé à Saint Denis est très confortable. Je profite de ma soirée pour faire un tour dans la capitale, restaurant plus boite de nuit vers les Champs. Tout est payé par la production. Je prends soin de ne pas trop traîner et, malgré les avances insistantes d’un touriste en goguette, je suis de retour à l’hôtel vers une heure du matin.

Un taxi me dépose à l’heure dite devant le centre sportif qui est fermé pour travaux, ainsi que l’annonce une pancarte à l’entrée. Un assistant m’attend et me prit de le suivre. Nous rentrons par une porte de service dans le bâtiment. Il m’explique au passage que la piscine pourtant récente a connu des malfaçons et qu’une équipe est en train de la réparer.
C’est sans incidence pour le tournage qui a lieu dans des vestiaires isolés. Il conclut en me disant que la production a négocié la location de ces locaux a prix d’or avec le responsable du chantier.
Les locaux sont modernes, quasiment neufs. Quand je pénètre dans les vestiaires l’équipe technique est en place ainsi que l’actrice qui doit jouer dans la première scène. La star n’est pas encore là. Je suis finalement impatiente de la découvrir. Nous patientons depuis une demi heure quand finalement elle arrive.
Je la reconnais immédiatement, c’est Luna Amadoueur. Elle a un peu vieilli par rapport au souvenir que j’en ai, mais c’est bien elle en chair et en os. Elle s’excuse pour son retard dû à plusieurs changements d’itinéraire et de véhicule, afin d’échapper à d’éventuels paparazzis. Même si sa notoriété n’est plus, elle continue à être pourchassée quotidiennement. Je me souviens maintenant que j’ai lu récemment dans un magazine chez mon coiffeur qu’elle était en totale déconfiture financière et sentimentale.
Ce qui semblerait vrai et donnerait une explication plausible à sa présence ici.
Nous nous mettons en tenue. Le costumier a fait des économies, maillots de bain pour tout le monde. La nageuse qui n’a pas l’air dans son assiette se met à l’écart pour enfiler son deux pièces. Pas de maquillage, on va commencer la première prise.
L’équipe s’est installée dans la salle de douche. La star arrive, pose son maillot et commence à se savonner. J’observe le corps très musclé de la sportive, son buste bombé, ses fesses hautes, ses cuisses et ses jambes sans une once de graisse. Seul un petit ventre replet témoigne de sa grossesse passée et de son manque actuel d’activité physique.

Une fille l’a suivi. Elles se connaissent visiblement car elles se sourient et commencent à échanger des caresses sous la douche. La caméra me montre ensuite, cachée derrière un vestiaire en train de les observer. Je passe ma main le long de mon ventre puis la glisse dans la culotte du maillot.
Fin du premier acte.
L’ancienne championne olympique se réfugie immédiatement dans son peignoir. On voit nettement qu’il lui en coûte de se montrer nue face à la caméra. Clarisse lui demande si on peut y aller. Elle fait oui de la tête, sans grand enthousiasme, car le plus dur l’attend.
Les deux filles continuent leur manège. Excédée, je surgis dans le local. A ma vue la fille inconnue prend la fuite et je me retrouve seule avec la nageuse. Très en colère je lui donne une paire de gifles. Elle prend sa tête entre ses mains tandis que j’arrache son maillot sans ménagement. Le petit deux pièces se déchire sous mes gestes saccadés révélant une paire de seins fermes et larges et un pubis blond très fourni.
Je recule pour permettre au cameraman de profiter de cette image.
Je prends la nageuse par un bras et la force à se retourner face au mur. De nouvelles claques bien sentis font rougir sa croupe. Elle bouge dans tous les sens pour échapper à la fessée, tout en gémissant. Je glisse ma main droite entre son sein et le mur et le pétrit vigoureusement tout en la replaçant face à la caméra. J’apprécie au passage la chair très ferme de son buste. Mes deux mains la besognent avec acharnement. Tout y passe, poitrine, ventre, cuisses. L’ex championne conserve ses mains plaquées sur son visage.
J’envoie des torgnoles à la volée sur ses seins qui s’empourprent. La fille sanglote à grosses larmes. D’une poigne ferme je saisis sa toison pubienne et la tiraille dans tous les sens en la traitant de salope. Fin de l’acte deux car la nageuse demande d’une voix faible la permission de récupérer.
Il lui faut un bon moment pour retrouver des forces. Je pense même qu’elle va tout planter là. Ses yeux sont rougis par les outrages, la fille est méconnaissable. Finalement elle accepte de continuer.
Quand la troisième scène débute, Luna est allongée sur un banc de bois. J’enlève mon string et m’installe à califourchon sur elle, mon sexe au dessus de son visage. J’ai son corps allongé devant moi comme paysage, avec le cameraman dans le prolongement.
Je plie les genoux et force la sportive à lécher ma chatte. J’enfouis complètement mon sexe dans sa bouche en donnant de petits coups de rein nerveux. Tandis qu’elle me broute, je pince ses tétons distribuant toujours quelques mornifles qui la font sursauter.
Penchée en avant pendant qu’elle poursuit son cunnilingus, je cherche de mes doigts son clitoris et entreprend de le masser vigoureusement. Elle se cambre sous mon geste et commence à onduler au gré de mes mouvements répétitifs. Je stoppe le mouvement. De mes deux mains, j’aguiche maintenant sa vulve, écartant les grandes lèvres pour offrir à l’objectif une vue plongeante sur son sexe ouvert.
Je commence à la doigter alors qu’elle se trémousse de plus en plus. Je soulève épisodiquement mes reins pour lui permette de reprendre souffle. Fin de l’action et nouvelle pause.
L’assistant me tend un gode ceinture que j’enfile en me déhanchant. Il me passe un tube de lubrifiant avec lequel j’enduis méthodiquement le dard de plastique. Luna s’est maintenant placée en levrette sur le banc, appuyée sur ses mains posées devant elle, une jambe posée par terre, le genou plié de l’autre repose sur le banc.
Je me place derrière elle, écarte ses fesses et dirige l’extrémité du gland artificiel vers ses reins, le frottant contre sa vulve offerte. Je m’assure de son humidité de mon index puis la pénètre sans plus tarder en claquant ses fesses. Je fais quelques va et vient un peu lents puis m’excite sur le morceau.
Stop. Je ressors ma prothèse de la chatte bien ouverte et la présente maintenant devant sa bouche. Luna bave sur le gode en le prenant en bouche. La fellation dure quelques instants puis l’assistant me fais signe que c’est bon. On va pouvoir passer à la scène finale. Je retourne me placer face à l’arrière train de la nageuse. J’enduis mes doigts de salive et attaque son fondement de mon index ainsi lubrifié.
Je poursuis mon manège par de petits mouvements de mes phalanges de manière à élargir l’orifice. Luna soulève ses reins pour faciliter mon ouvrage. Mon majeur rejoint maintenant son compagnon à l’intérieur du conduit étroit. L’anus de la sportive a du mal à encaisser cette nouvelle présence. Ce que voyant, l’assistant demande un arrêt de la prise, on fera un plan de coupe sur le visage de la fille.
Nous ne bougeons pas pendant que, de son tube magique, il répand sur mes doigts toujours enfouis dans la cavité anale de quoi lubrifier une locomotive. C’est reparti et cela va nettement mieux, au point que j’arrive à introduire un troisième puis un quatrième doigt dans son évasure. J’exerce toujours une légère rotation de ma main suivie de plongées exploratrices dans l’antre béant. J’essaye de rentrer maintenant mon pouce, collé à ma paume, mais les cris de Luna mettent fin à ma tentative.
Je m’en tiens donc là. Je ressors épisodiquement ma main pour juger du résultat. La rosette baille de plus en plus, elle est fin prête. Ne reste plus alors qu’à présenter le godemiché épais et à l’enfouir d’un seul coup de rein aux tréfonds de l’ancienne sportive qui glapit à n’en plus finir. Mon ventre vient toucher ses fesses, une bonne vingtaine de centimètres de bite caoutchouteuse remplit alors son conduit intime. Le reste est anecdotique, je la saisis par les cheveux et tire sa tête en arrière tout en la chevauchant. La fille pleure sans arrêt, dévorée par la douleur de ce pénis infâme qui la pistonne à loisir.
Clarisse donne le clap de fin. Luna se défait de l’étreinte contre nature immédiatement et file sous la douche. Je ne la reverrai plus, pas plus que le reste de l’équipe. La productrice, satisfaite, nous remercie tous pour notre participation.
L’histoire s’arrête là.
Dans mon train pour Rennes, j’aurai tout loisir pour penser qu’il n’est pas donné à tout le monde de sauter une ancienne championne, qui plus est contre un cachet déraisonnable.
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