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Débauche estudiantine

Chapitre 1

Divers
Voilà un texte écrit pour moi et sur moi par un ami (j’y ai apporté quelques retouches cela dit), j’en suis donc la protagoniste principale : pour autant, l’histoire est un pur fantasme.Tout commentaire, toute critique, positifs ou négatifs, sont les bienvenus et même encouragés !!Merci ^^

Je suis un jeune enseignant d’université, ou plutôt j’étais, lors de mon doctorat, un chargé de TD dans une université parisienne. J’avais à cette époque là une amie, Sarah, avec qui je baisais de temps en temps, mais sans que l’appellation couple soit officielle. Elle voyageait énormément et nous avions décidé d’avoir chacun une vie sexuelle de notre côté.J’avais déjà eu des histoires avec des étudiantes peu farouches mais rien de bien extraordinaire, elles manquaient généralement d’inventivité et je m’ennuyais souvent en leur compagnie. J’avais cependant l’énorme avantage de ne pas ressembler à la caricature du chercheur universitaire type. Encore assez jeune, je suis un grand brun aux épaules larges et aux grandes jambes, ce qui me donne des airs de doux rêveur au regard de cocker. On me dit souvent que mon regard reste toujours à la fois calme et énigmatique.
Cette histoire-ci, contrairement à d’autres, mérite d’être racontée. Depuis quelques temps, je suis en correspondance msn avec une jeune étudiante de vingt-et-un ans, et qu’elle ne fut pas ma surprise l’autre soir, lorsqu’elle m’envoya enfin une photo d’elle où on la voyait à quatre pattes sur le sol de sa chambre, entièrement nue, les fesses légèrement écartée, la tête penchée sur le côté. Mais le pire—ou plutôt le mieux !—était que je reconnus en elle Anna, une étudiante qui suivait mes cours à l’université ! Grande et fine avec des petits seins très mignons et de belles courbes au niveau de ses fesses, l’envie de croquer ses petits tétons était irrésistible. Son visage était très mignon et ses cheveux châtains tombaient le long de ses épaules et sur son dos. Le fait de voir cette fille qui semblait d’habitude timide ainsi offerte m’excita beaucoup et je me masturbais l’imaginant devant moi, à mes pieds. Je continuais à discuter jusqu’à tard avec elle : je connaissais déjà beaucoup de ses fantasmes, notamment son penchant pour la soumission, y compris la plus totale. Autant dire que le reste de la soirée fut extrêmement instructive et je passais la nuit, dans mon lit, à penser à elle et à notre prochain cours ensemble…Le lendemain donc, alors que je rendais une autre interrogation, je repérais Anna assise vers le fond de la classe à sa place habituelle. J’avais glissé derrière son interrogation un petit mot : « Si tu veux réaliser tes fantasmes, attends-moi devant mon bureau après le cours. Je te laisserai 15 minutes d’avance mais je veux que tu tiennes tes sous-vêtements à la main lorsque j’arriverai. » J’avais signé le mot de mon pseudo, aussi comprit-elle tout de suite de quoi je parlais : totalement déconcertée et paniquée à l’idée que les choses se concrétisent aussi rapidement, elle n’osa pas lever son regard vers moi et sa tête resta baissée sur la feuille. Le ton était donné, j’allais savoir très vite si cette jeune étudiante accepterai sa soumission ou si ça en resterais là.
J’arrivais à la fois curieux et excité à mon bureau. J’étais passé comme à mon habitude me chercher un café avant de monter à mon bureau. Le long couloir était désert, la journée touchait à sa fin et la luminosité diminuait rapidement. Au bout du couloir au niveau de mon bureau je voyais une ombre appuyée contre le mur. C’était Anna : cette petite soumise était venue et elle serait bientôt à moi. Je m’approchais de la porte, elle continua de garder la tête baissée, honteuse de ce qu’elle allait faire. J’ouvrais doucement la porte et allais m’installer à mon bureau avant de lui dire sèchement d’entrer. Anna rentra doucement, elle tenait dans ses mains une culotte et un soutien gorge. Elle resta debout devant le bureau dans une robe d’été sombre, la tête toujours baissée. Je n’avais pas encore croisé son regard. Je lui dis donc d’un ton abrupt : « Pose ça sur le bureau ». Elle s’avança alors et déposa ses sous vêtements devant moi. Je les pris dans les mains pour les examiner, une forte odeur d’excitation se dégageait de la fine culotte : elle avait du mouiller abondamment dedans malgré sa gêne. « Anna lève les yeux vers moi », elle leva doucement la tête, me voir en train d’inspecter ses sous vêtements alors qu’elle était nue sous sa robe la rendait vraiment honteuse. Son regard fuyait le mien au maximum mais elle garda tout de même la tête relevée. Je lui demandais alors : « Tout ce que tu as écrit sur cette feuille est vrai ? Ce sont tes fantasmes ? », elle me répondit d’une voie très faible un « oui », « Tu es donc très soumise ? », difficilement elle répondit « oui ». Je lui demandais alors d’approcher, elle vint se placer doucement debout à droite de mon fauteuil. Je passais ma main sous sa robe. Elle était en effet totalement nue en dessous, ma main remonta jusqu’à ses petits seins et décrivit quelques tours sur les tétons qui devenaient déjà durs. Ensuite je descendis dans son dos vers les deux lobes de ses fesses, avant de revenir sur le devant et de rentrer en contact avec son sexe très mouillé. Je n’insistais pas sur cette zone, je n’avais pas fini l’inspection de mon nouveau jouet.
Je lui ordonnai : « Anna, retire ta robe ». Elle regarda en direction de la porte qui était encore ouverte et resta figée. « Anna, obéit ! ». Mon ton avait été plus dur, elle hésita alors puis fini par retirer doucement sa robe, qu’elle fit glisser à ses pieds. Elle était visiblement très anxieuse que quelqu’un puisse rentrer malgré l’heure tardive. Son regard était bloqué vers la porte et semblait déconnecté du monde qui l’entourait. Je lui pris alors le poignet en serrant : « Tu es mon nouveau jouet désormais, cela dit je te laisse une chance : tu peux encore t’en aller si tu le désires, il te suffit de franchir cette porte. ». Anna ne bougea pas.« Alors met toi à quatre pattes ». Toujours nue, elle se plaça sur ses genoux et sur ses mains devant moi, la tête tournée vers le sol. Je pris alors son menton pour lui relever la tête. De l’autre main j’attrapais la culotte posée sur la table et sans ménagement lui enfournait en boule dans la bouche. Seuls deux morceaux de tissus dépassaient de chaque côté de ses lèvres : sa bouche étaient totalement remplie, elle en avait les joues légèrement gonflées.Je lui demandais donc d’aller fermer la porte dans cette position. Elle se retourna et partit à quatre pattes vers l’entrée du bureau. Il y avait tout de même quelques mètres à parcourir, ses fesses bougeaient en rythme avec ses mouvements. Anna accéléra sur la fin, sûrement à cause de la peur que quelqu’un puisse passer dans le couloir à ce moment là et la découvrir nue, à quatre pattes et sa propre culotte sale dans la bouche. Après avoir fermé la porte elle revint vers moi. Sur son visage, un air de soulagement d’avoir accomplit ma consigne sans trop d’encombres. Je voyais qu’elle était très excitée et lorsque je lui posais la question elle hocha la tête.
Je lui expliquai donc les règles du jeu : elle pouvait se donner du plaisir mais interdiction d’utiliser ses mains ou ses bras. Anna resta immobile un moment puis finalement ne résistant plus se releva et s’approcha de la bibliothèque métallique dans laquelle je range mes dossier. Elle commença à frotter sa vulve contre un des angles de la bibliothèque. La bibliothèque métallique devait être froide et ses tétons devinrent tout dur au contact du métal, alors que ses lèvres allaient de haut en bas le long de l’arrête du meuble laissant une trace humide sur leur passage. Je me délectais de ce spectacle, cette jeune étudiante se tortillant nue pour se donner du plaisir, frustrée de ne pas pouvoir se toucher et secouant son sexe de plus en plus vite sans beaucoup de résultats. Étendant ma jambe sur le côté du fauteuil je lui dis alors : « Je pense que ce sera plus pratique ici ». Elle s’approcha alors de mon fauteuil et écartant ses jambes vint frotter son sexe le long de ma jambe avec des mouvements de haut en bas. Elle me faisait penser à une jeune chienne en chaleur à cause des mouvements impulsifs du bassin pour se frotter. Je la laissais se donner du plaisir ainsi quelques longues minutes, conscient que je ne la laisserai pas jouir pour le moment…
Alors que des gémissements de plus en plus forts sortaient de sa bouche bâillonnée je lui demandais de s’arrêter. Anna ne semblait pas m’écouter, ses jambes continuaient de se frotter de plus en plus vite sur ma jambe. Je la pris alors par les cheveux pour l’écarter violemment alors que son sexe continuait de chercher le contact de mon jean. Anna me lança un regard de supplication, l’envie de jouir était très forte et elle devait être particulièrement excitée, mais elle était là pour mon plaisir et non le contraire. Alors qu’elle était à genoux devant moi je lui expliquai que j’allais prendre mon plaisir dans sa bouche. Je lui retirais alors la culotte qui était dans sa bouche, elle était totalement mouillée de salive. Je la jetais sur le sol proche d’elle, Anna comprenait vite, elle garda la bouche ouverte devant moi, prête à accueillir mon sexe durci.J’étais très satisfait d’elle. Je me levai pour me placer devant elle, je n’ouvris que ma braguette, ne prenant pas la peine de me déshabiller. Et sortant mon sexe je le lui enfonçais doucement mais de manière continue dans la bouche. Mon sexe buta au fond de sa gorge mais je continuais le mouvement pour m’enfoncer encore plus loin. Pour aider au mouvement je tenais sa tête par derrière avec mes mains en la poussant vers moi. Anna, dans un mouvement naturel, essaya de reculer sa tête mais je ne lui laissais aucune chance. J’allais le plus loin possible dans sa bouche et sa gorge, des larmes apparurent au coin de ses yeux à cause de l’effort. Tout à coup elle recula brusquement la tête pour ne pas étouffer. Mon sexe raide sorti de sa bouche avec beaucoup de salive quelle avait expulsé. Je lui laissais à peine le temps de respirer que déjà ma main derrière sa tête la repoussait sur mon sexe. Docile, elle ouvrit la bouche pour l’accueillir à nouveau. Je m’enfonçais désormais plus loin et plus facilement. Ses larmes de plus en plus nombreuses faisaient couler son maquillage lui donnant un air très triste. Parfois elle avait un gémissement plus important et de la salive sortait en abondance de sa bouche mais j’étais décidé à prendre mon plaisir jusqu’au bout.
Anna avait désormais mon sexe totalement enfoncé dans sa bouche, son nez était au niveau de mes poils, ses yeux fermés comme si elle se concentrait pour ne pas s’étouffer et ses mains derrière le dos dans une position de soumission. Mon plaisir arrivait mais je ne voulais pas jouir au fond de sa gorge, j’avais la preuve avec ce que j’avais lu auparavant sur sa feuille qu’elle résisterait à une humiliation encore plus poussée. Au moment de jouir je tirais sauvagement sa tête en arrière en l’agrippant par les cheveux, sa bouche était ouverte et ses yeux à présent ouverts regardant vers moi. Je jouis sur son visage, à petits jets, nombreux et puissants, qui lui recouvrirent les lèvres et le menton. Deux ou trois jets atterrirent sur son nez et son front ; elle se forçait à garder les yeux ouverts et à me regarder, honteuse, mortifiée. Un peu de sperme arrivait même au niveau de ses cheveux châtains. Ayant fini de jouir, je passai mon gland dans ses cheveux pour l’essuyer. Je la regardai à présent, le sperme coulait un peu partout sur son visage et quelques traces étaient visibles dans ses cheveux, collant certaines mèches entre elles. Je lui demandai alors de repasser sa robe noire : se glissant à l’intérieur par le haut elle essaya de ne pas la salir avec le sperme sur son visage, mais quelques traces blanchâtres étaient visibles sur son col. Je lui prenais alors le bras, je comptais lui faire traverser la fac avec son visage couvert de sperme pour terminer son humiliation.
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