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Débuts d'un soumis

Chapitre 2

Gay
Cela fait maintenant plusieurs jours que je suis passé à l’acte avec Gilles. Ma première fois, ça aura été avec un homme ! Qui l’aurait cru ? Sûrement pas moi. Et pourtant, je n’ai aucun regret. Au contraire, je suis sur un petit nuage. Je me souviens parfaitement des sensations que cela me procurait. Cette odeur de mâle et de virilité qui se dégageait de son entrejambe, le goût de sa queue dans ma bouche et surtout l’effet qu’elle me donnait dans le bas-ventre et dans mon cul ! Rien que d’y penser maintenant me fait bander dur comme fer. Mais quand le reverrai-je ? Après que je sois parti, il m’avait envoyé un message me disant qu’il ne serait pas disponible avant la fin des vacances... Celles-ci venaient de commencer et sachant qu’on était en juillet, je ne pourrai le voir qu’à la fin du mois d’août. Autant dire que je ne tiendrai jamais jusque là !
Pour faire passer le temps, et surtout mon envie de sexe, je décide de regarder des vidéos sur mon pc. Je m’installe confortablement sur ma chaise de bureau et navigue sur mes sites préférés. Comme la dernière fois, je me dirige plutôt vers des vidéos gays. Les premières ne sont pas vraiment intéressantes. Comme d’habitude, ce ne sont que bisous et tendresse. Je cherche encore un peu et trouve enfin ce qu’il me faut. Une vidéo de 20 minutes où l’on peut voir un jeune avec le visage plein de sperme. Génial !
La vidéo commence lentement avec le jeune garçon à genoux et un homme debout devant lui, la queue pendant entre les jambes juste au-dessus de son visage. Le garçon s’avance et commence à le branler timidement et de son côté, elle commence à se développer pour atteindre une bonne forme. Il tend sa langue et la pose sur son gland. Il le lèche et continue sur tout le long de la hampe. Il s’arrête sur ses couilles et les gobe une à une.
De mon côté, j’ai déjà sorti mes 15 centimètres de mon boxer et me masturbe doucement.
Je reprends la vidéo et je vois que le jeune n’a pas attendu longtemps pour avaler la queue centimètre par centimètre. Il arrive maintenant à la base et entame une série de lents aller-retour. L’homme a l’air d’apprécier car je l’entends gémir. Il place ses mains derrière la tête du garçon et imprime lui-même des mouvements de va-et-vient. La bouche salive abondamment et les gestes du bassin sont de plus en plus rapides. Pour ma part, je sens que mon désir augmente et j’accélère le rythme. J’entends des bruits de succions d’un côté et des râles de plaisir de l’autre. D’un coup, l’homme se retire, place sa queue sur le visage du jeune, qui commence à lui lécher les couilles, et se branle frénétiquement. Dans un grand râle, il déverse son foutre sur le visage tandis que je me lève de ma chaise et envoie deux jets de sperme sur mon bureau. L’homme debout se frotte une dernière fois le gland sur le visage de l’autre et puis s’en va.
Ce dernier commence à récupérer ce qu’il y a sur son visage et se lèche les doigts. Je fais pareil de mon côté, je pose ma langue sur mon bureau et lèche les deux traînées blanchâtres.
J’éteins mon pc et me rassois sur ma chaise. Bizarrement, je ne me sens pas rassasié. Non, j’ai l’impression que ce n’est plus comme avant. J’avais plus qu’envie de jouir, j’avais besoin d’un sexe pour me combler. Je me rappelai encore une fois ce qu’il s’est passé avec Gilles et je vois directement mon pénis se mettre petit à petit au garde à vous. Oui, j’avais indéniablement envie et besoin d’une queue.
Je n’ai attendu qu’une seule journée après ma révélation pour aller sur des sites d’annonces et rencontres. Comme la dernière fois, j’écris une annonce en me détaillant : Alex, 18 ans, 1m75 pour 70kg. Je précise que je suis vraiment en manque et que je cherche un homme mûr et expérimenté qui aura le plaisir de s’occuper de moi. Je poste l’annonce et éteins mon pc. Il n’est que 14h et je décide donc d’aller me promener au parc avec des amis pour profiter du beau temps.
En revenant à la maison vers 19h, je vérifie mes mails et constate que j’ai reçu de nombreuses réponses. Je fais le tri parmi celles-ci et en choisis une qui m’intéresse plus que les autres. Il s’appelle Jean, la cinquantaine, 1m85 et 80kg mais bien entretenu. Ancien prof de néerlandais, divorcé depuis 10 ans, il s’occupe maintenant d’une boutique d’antiquités.
Je n’étais pas très convaincu jusqu’à ce que je vois son membre. Plus grand que celui de Gilles mais aussi beaucoup plus gros ! Il a une grosse veine qui parcourt toute sa queue et une région pubienne assez fournie. Une entrejambe très virile ! Juste en dessous de la photo est écrit son numéro de téléphone. De plus, il me dit qu’il est prêt à me payer. Je n’avais jamais pensé à être vénal. On peut s’amuser gratuitement mais je ne vais pas dire non à un peu d’argent, je pourrai peut-être même m’offrir quelques fringues avec. Je regarde encore la photo de sa bite et je commence à bander juste en m’imaginant l’avoir en moi. Sous le coup de l’excitation, je lui envoie un message.
-Coucou, c’est Alex ! J’ai lu ton mail et j’ai vu des choses qui me plaisent beaucoup... Comme je l’ai dit dans mon annonce, je ne cherche que du sexe rien de plus. Je suis prêt à beaucoup de choses et peux être très cochonne...-Hello Alex. Pas de soucis, côté sexe, tu vas être servi. Je ne cherche pas grand chose si ce n’est que j’aime embrasser et câliner l’autre pendant qu’on fait l’amour.
Mince ! De la tendresse ! D’un côté, sa queue me donne vraiment envie et de l’autre, il me propose de l’argent. Je vais devoir faire une exception mais je lui explique quand même que ce n’est pas trop mon genre.

-Je t’avoue que je n’ai jamais embrassé un homme et que je préfère largement embrasser des filles.-Ne t’inquiète pas, je préfère les femmes aussi mais comme je ne les attire plus vu mon âge, je m’occupe maintenant des jeunes hommes comme toi. J’attendrai que tu sois bien excité avant si tu le souhaites...-D’accord, je suis rassuré. Tu as aussi parlé d’argent ?-Oui, comme je te l’ai dit, je ne suis plus très jeune et comme la gente féminine ne me regarde plus, j’ai l’habitude de payer pour avoir certains services comme ce que tu proposes... Ne te soucie pas du montant, je paierai ce qu’il faut.-Ok, tu aimerais qu’on se voit quand ?-Pourquoi pas maintenant ? Je viens de terminer de manger et j’aimerais passer au dessert si tu vois ce que je veux dire...
Sur le coup, la façon dont il me l’a dit me fait rire mais pourtant, un coup d’oeil vers sa photo et je recommence à bander.
-Peut-être bien alors. Mais mes parents sont à la maison et je ne peux pas me préparer comme il se doit, surtout au niveau de l’anus. J’ai juste rasé au niveau du pubis. Ça te dérange ?-Non, pas grave, j’ai vraiment envie là. Prends juste une douche pour éviter les odeurs et viens directement. Je t’envoie mon adresse.-Bien reçu ! Je me prépare et je sors de chez moi dans 10 petites minutes. Je devrais être là dans une demi-heure à peu près.-Parfait !
Je dépose mon gsm sur mon bureau et file dans la douche. Je me lave et insiste bien sur mon trou, si bien que ma queue se dresse à cause des frottements. Je me laisse un peu aller mais reprends vite mes esprits. Autant garder ce plaisir pour ce soir. Je m’habille avec des vêtements légers : un t-shirt et un short court assez moulant.
Je suis maintenant à l’arrière du bus et je parle par sms avec Jean. Il me dit ce qu’il me fera ce soir et je sens mon membre devenir rigide. Décidément, je ne fais que bander ! Excité par la situation mais surtout parce qu’il n’y a presque personne dans le bus, je me touche à travers la toile et fais glisser mon membre dans mon caleçon. Que c’est bon ! Je descends à l’arrêt que m’a indiqué Jean et je marche jusqu’à sa maison.
Comme l’autre fois, je stresse un peu à l’idée de rencontrer un inconnu mais aidé par l’excitation, je sonne à la porte d’entrée. Je n’attends que quelques secondes avant qu’on ouvre la porte. Je n’y avais pas pensé mais aucun de nous deux n’avait envoyé une photo de son visage. Le sien était assez fin, il avait de beaux yeux bleus et des cheveux gris. Il avait enfilé un polo et un jogging. Il était beaucoup plus grand que moi et assez trapu. Plutôt pas mal à vrai dire.
-Entre Alex ! Fais comme chez toi... Monte au premier, on sera plus à l’aise.
Je monte les escaliers et je sens qu’il mate mes fesses. J’ai même l’impression qu’il effleure mon lobe gauche. J’ouvre la première porte qui se trouve devant moi et j’entre dans une pièce assez petite. Il y a un canapé, une table basse et une télé en face. Rien de plus à part un tapis sous la table.
-Voilà, tu es dans le salon.
Je me retourne et je vois qu’il est juste derrière moi.
-Tu es très mignon Alex, j’aime beaucoup ce que je vois là.
Et effectivement, je baisse mes yeux et je remarque que son jogging est plus tendu qu’avant. Je tends ma main et l’approche de cette bosse. Je l’agrippe et commence à la masser gentiment.
-Mmmmh oui, tu en as envie hein ?Continue, tu fais ça bien.
Je passe ma main sous son jogging et je constate qu’il n’a pas de caleçon. Je caresse son scrotum et empoigne sa bite. C’est assez compliqué et pourtant je sens qu’il ne bande pas vraiment. Il pose ses mains dans mon dos et descends doucement le long de mes hanches. Il arrive au niveau de mes fesses et commence à les caresser.
-Tu as des fesses très douces Alex, elles sont fermes aussi.
Je sens que son visage se rapproche du mien. Il agrippe plus fort mes globes et avance sa bouche vers la mienne.
-Ferme tes lèvres, je veux juste te faire un bisou.
Comme il me l’a demandé, je pince mes lèvres et il m’embrasse. L’effet n’est pas désagréable mais je n’en ai pas plus envie que ça.
-Mmmh oui c’est bon, il fait un peu chaud non ?
Il enlève son polo et fait de même avec mon t-shirt. Il les jette près de la télé et me prend les tétons. Il me les triture et j’avoue que cela n’était pas désagréable. Je redescends ma main vers son jogging et entreprends de le lui enlever.
-Attends, on sera plus à l’aise dans le fauteuil. Enlève le reste de tes affaires, je veux te voir nu.
Il se place dans le fauteuil et je me mets devant lui mais de dos. J’essaye de paraître sexy et descends mon short et mon caleçon doucement en me déhanchant de gauche à droite. Je laisse mes jambes tendues et me cambre jusqu’à toucher mes pieds avec mes mains. Jean doit avoir une vue imprenable sur mon anus et je l’entends émettre un sifflement d’approbation.
-Tu es délicieux à regarder Alex, maintenant viens t’occuper de papa.
Je me retourne et me mets à quatre pattes. Je m’avance vers lui et prends son jogging des deux côtés. Il soulève son postérieur et j’enlève le vêtement. Je fais passer les pieds et je le jette près des autres. Je m’approche de son engin qui a repris des formes.
Comme je l’ai déjà branlé, j’avance directement ma bouche de son pénis. Avec mes lèvres, je décalotte son gland et commence à donner des coups de langue. J’entoure son gland et je me mets à lécher tout autour. Je m’attarde sur sa hampe et lape plus fort de ce côté-là. Je sens qu’il a un frisson de plaisir et sa queue grandit encore. Je parcours avec ma langue tout son membre et j’arrive au niveau de ses bourses. Avec ma main, je le branle et pendant ce temps, je gobe une à une ses couilles. Elles sont volumineuses et j’ai des poils en bouche. J’aime la sensation d’être au coeur de sa virilité.
Je reviens à son gland tout en le léchant et le gobe. Je mets une main juste devant ma bouche et je descends en gorge profonde tout en faisant tourner ma main. Ça a l’air de lui plaire. Sa verge doit faire 18 centimètres maintenant. Je répète le mouvement plusieurs fois et je sens quelque chose se balader au niveau de mes reins. Je me contorsionne un peu et cambre mon cul pour qu’il ait accès à mon trou. Il crache dans sa main et revient vers mon cul pour le lubrifier. Je le sens mettre un doigt et faire de petits mouvements. Il en met un deuxième puis un troisième. Au bout du quatrième je ressens une légère douleur. Il s’arrête et refait des petits va-et-vient avec trois doigts.
Je continue à le sucer et mon nez se fourre maintenant dans ses poils, son gland touchant le fond de ma gorge. Je bave abondamment et je me déchaîne sur sa queue. Je le branle et l’aspire en même temps, une pipe à faire juter en moins de deux minutes ! Il a dû le sentir car il m’enlève sa bite de ma bouche.
-Doucement Alex, tu ne voudrais quand même pas que je finisse déjà maintenant ?-Désolé, c’est que ta bite est tellement bonne !-Merci du compliment. Tu n’as pas menti dans ton annonce. Tu es vraiment une bonne petite cochonne. Peut-être même un peu salope non ?-Appelle-moi comme tu veux, j’aime qu’on m’insulte.-Vraiment ? D’accord, je ne vais pas mâcher mes mots alors. Mets-toi un peu debout, je n’ai pas pu voir ta queue.
J’obéis et me relève. Mes 15 centimètres sont en érection totale, du liquide séminal coule un peu de mon urètre. J’ai toujours été un peu complexé par ma queue sachant qu’elle était plutôt petite, assez fine et courbée vers le haut. Je rougis un peu quand Jean me regarde. Il ne me regardait même pas, il me dévorait du regard. Il m’attrape par les hanches et ouvre sa bouche. En une seconde, tout mon membre était rentré. Je sens sa langue râpeuse s’enrouler autour de mon gland. En même temps, il reprend ce qu’il avait commencé et remet directement quatre doigts dans mon trou. Je pousse un gémissement et je recule vers sa main pour l’avoir plus profondément mais il la retire.
-Je pense qu’on est tous deux bien préparés ma belle. Ton clito est vraiment bon. Vas dans la chambre, c’est juste à côté. Je te rejoins juste après.
Je sors donc dans le couloir et prends la porte à droite. Le couloir est froid et comme je suis tout nu, mes tétons pointent. J’en profite pour les tirer un peu, c’est vrai que c’était plutôt agréable. J’entre dans la chambre et comme le salon, c’est assez étroit. Le lit est au milieu de la pièce et je décide donc de m’asseoir dessus. Il est assez haut et mes pieds ne touchent même pas le sol. J’entends Jean qui arrive et le voit ouvrir la porte.
-Parfait tu es déjà dessus, tiens, c’est pour toi.
Il me tend un collier et j’avoue que je ne comprends pas tout de suite.
-Oui ?-C’est un collier qui appartenait à mon chien. Tu m’as dit que je pouvais t’insulter et je pense que tu es une petite chienne. Une petite chienne ne se promène pas sans son collier, non ?-Tu as parfaitement raison, j’adore l’idée !
Jean me passe la laisse autour du cou et serre très près de la gorge. Cette petite contrainte me fait bander davantage.
-Voilà ma jolie, maintenant tu vas mettre tes mains sur le lit et écarter tes jambes. Très bien, cambre un peu ta croupe. Parfait !
Je l’entends fouiller dans son tiroir et je vois du coin de l’oeil qu’il a sorti un lubrifiant mais pas de préservatif.
-Tu as mis quelque chose pour te protéger ?-Non, je préfère le faire sans. Ça te pose un problème ?-Disons que je n’ai pas envie d’attraper une maladie...-Ne t’en fais pas, j’ai un test négatif dans mon salon. Tu pourras le voir après.-Très bien.-Tu ne l’as jamais fait sans protection ?-Et bien, je n’ai couché qu’avec une personne et il était protégé.-Ne te pose pas de questions, tu verras, c’est même mieux sans. Tu auras plus de sensations.-Je n’ai pas trop le choix j’imagine. D’accord, je te fais confiance.-Bien, maintenant laisse-toi faire.
Je sens un liquide froid couler dans mon creux, ça doit être le lubrifiant. Il me présente sa bite à l’entrée de mon oeillet. Il pousse légèrement et je sens son gland pousser mes parois. Chaque centimètre de sa queue est avalé par mon cul mais pas assez rapidement pour moi. Je pousse un grand coup en arrière et j’aspire le reste de son membre à l’intérieur de moi. Je crie. J’ai peut-être surestimé ma dilatation.
-Et bien, tu es vraiment en manque ma beauté ! Tu aimes ma bite ?
Je gémis en réponse. Il sort sa queue d’un coup sec.
-J’ai dit, tu aimes ma queue petite pute ?-Oui Jean ! Mets-la moi !-Tu peux mieux faire...-Jean, je t’en supplie, fourre-moi ta grosse queue dans mon trou de salope !
D’un geste brusque, il me rentre le tout. Il attrape mon collier et tire. J’en ai le souffle coupé. Il fait de grands mouvements amples et sort complètement son chibre à chaque fois. Mes cris sont étouffés par la couette du lit. Ce ne sont pas des cris de douleur mais bien de plaisir. Je le sens taper à chaque fois sur ma prostate et je ne doute pas que du liquide sorte tout seul de ma queue. J’ai l’impression que son membre remonte dans mon estomac à chaque passage, c’est divinement bon. Il s’arrêta et me donna une fessée.
-Salope ! Tu aimes ?-Oui Jean, fesse-moi, je ne suis qu’une petite chienne qui mérite d’être punie !
Il me fessa fermement chaque fesse au moins cinq fois sans ménagement. J’entends le claquement de sa main résonner dans la chambre. Ma peau me brûle et je sens qu’elle doit être rouge vif. Il me griffe les fesses et continue de me fesser tout en me besognant le cul. C’est insupportable mais étrangement, je commence à prendre du plaisir à me faire punir ainsi.
Jean comprend à mes gémissements que la douleur virait au plaisir. Il me frappe plus doucement, me balaye les fesses. Jusqu’au moment où il s’arrête encore une fois pour me les caresser. Il se retire et me demande de m’allonger sur le dos dans le lit. Je met ma tête sur un coussin et Jean m’en place un sous mon postérieur.
-Tu vas voir mon chou, je vais te baiser mais plus lentement. Et avec ce coussin, tu sentiras ma queue qui ira plus profondément dans ton fondement.
Il monte sur le lit et écarte mes jambes. Il remet du lubrifiant sur nos deux sexes et encore un peu sur mon trou. Il pose délicatement son gland à l’ouverture de mon anus et pousse. Son pénis entre en moi. Je ne fais rien pour aller plus vite. J’essaye de ressentir chaque centimètre de peau, chaque pulsation à l’intérieur de moi. Sa queue avance de plus en plus loin et je la sens buter contre ma prostate. Je reçois une décharge électrique.
Effectivement, j’ai beaucoup plus de sensations avec le cul relevé. Ma prostate est de plus en plus compressée et les poils pubiens de mon mâle dominant touchent enfin mon cul. Ça y est, tout est rentré. Il entame de lents va-et-vient en faisant attention à bien frotter mon point P. Du pré sperme coule abondamment de mon membre et Jean le remarque. Il ramasse la sécrétion dans sa main et commence à me masturber avec. Mon pénis glisse tout seul dedans, l’extase.
Après quelques minutes où il continue à me faire l’amour, car oui, ce n’est plus du sexe maintenant, il desserre sa prise autour de ma bite pour venir jouer avec mes seins. Je n’en peux plus. Moi qui gardais les yeux ouverts pour ne rien manquer du spectacle, je décide de les fermer pour apprécier cette sensation nouvelle que j’ai découverte une petite heure avant. Je sens Jean se coucher un peu plus sur moi, ce qui accentue la pression sur ma prostate. Je ne peux m’empêcher d’émettre un râle de plaisir. La bouche de Jean se referme sur mon sein gauche tandis que sa main s’occupe de celui de droite. Il aspire mon téton et le mordille avec ses dents. Il fait de même avec l’autre. C’est tellement bon.
Je ne me rends pas compte que Jean s’est approché de ma bouche. Je sursaute quand sa bouche touche la mienne. J’ouvre mes yeux et essaye de me dégager mais il est plus rapide que moi. Il prend mes bras et les met au-dessus de ma tête avec une seule main. Il est plus fort que je ne le pensais. Mais il faut dire aussi que j’ai des mains assez petites, comme à peu près tout chez moi. C’est donc sans effort qu’il maintient mes bras.
-Tu prends ton plaisir au maximum ma belle, alors laisse-moi prendre le mien jusqu’au bout.
Et de son autre main, il me prend le visage de force et se rapproche davantage. Sa bouche se colle à la mienne et ses lèvres forcent le passage à l’intérieur. Je sens sa langue faire le tour de ma bouche en cherchant la mienne. Quand il la trouve, il se met à lui donner des petits coups. J’abandonne et laisse ma langue sortir partiellement qui est immédiatement sucer par la bouche de Jean. Il sourit et retire la pression sur mes bras. Il prend mon visage entre ses mains et me donne un langoureux baiser.
Je descends mes mains le long de son dos et m’accroche à ses fesses. Je suis en partie d’accord avec ce baiser mais je veux avant tout continuer mon ramonage ! J’attire son bassin vers moi pour qu’il me pénètre à nouveau. Il ne se fait pas prier. Il se redresse et accélère le mouvement. Enfin ! Ses couilles tapent contre les miennes au rythme de la cadence. Il essaye à chaque fois d’entrer un peu plus loin dans mon anus et je l’encourage avec des petits cris.
-Oh oui Jean, tu me possèdes. Continue de m’enculer comme ça, j’adore. Mmmmmh ta queue est trop bonne. Oh tu vas me faire jouir, oui. Oh oui Jean, je vais jouiiiiiir.
J’attrape son visage et écrase mes lèvres contre les siennes. J’ouvre la bouche et il fourre sa langue. Nos deux langues s’enlacent et je continue de gémir en même temps. Il me laboure maintenant comme un fou, j’avais l’anus en feu et beaucoup de liquide s’écoulait de mon urètre. J’ai une décharge phénoménale dans le bas-ventre, je ferme les yeux et je crie mon orgasme.
-Oh mon dieu que c’est bon !
Ma queue est envahie de spasmes et envoie des jets de sperme sur mon ventre mais surtout en plein sur mon visage. Jean, de son côté, ne ralentit pas. Aidé par les contractions de mon cul sur la base de sa queue, il part dans un râle de jouissance et se décharg en moi. Je sens les saccades dans mon fondement. Ça continue encore pendant plusieurs secondes puis Jean se retire et se place à côté de moi. Après quelques minutes de pause pour reprendre nos esprits, il sort du lit.
-Tu as été génial Alex. Je n’avais jamais entendu ni vu quelqu’un jouir comme tu l’as fait, encore moins un garçon.
Je prends un essuie et me frotte le visage avant de répondre.
-C’est moi qui te remercie. Je n’aurais jamais joui comme ça sans une bite comme la tienne. Je n’avais jamais eu ça.-Tant mieux alors. Je t’avais dit que le faire sans préservatif était mieux. Mais le fait d’avoir surélevé ton cul a très bien pu déclencher ton orgasme, n’oublie pas que j’appuyais fort sur ta prostate, ça peut jouer.-C’est vrai, tu as bien vu tout ce qui est sorti de ma queue !-En effet. On retourne dans le salon ? Tu peux aller te rhabiller, je vais un peu ranger le foutoir qu’on a mis ici.-D’accord.
Je retourne donc le salon et cherche mes vêtements qui sont tombés derrière la télé. J’enfile mes vêtements et je suis en train de remettre mes chaussures quand Jean revient avec un verre et un sac.
-Tiens, je t’ai servi du Coca, tu dois avoir soif.-Merci, maintenant que tu le dis, c’est vrai que je crève de soif. Je bois une gorgée avant de reprendre. Et qu’est-ce qu’il y a dans le sac ?-Je t’ai mis dedans ta, ou plutôt tes, récompenses. Je t’ai d’abord mis 100 euros dans une enveloppe pour tes très bons services.-100 euros ?! Mais je ne peux pas accepter, c’est beaucoup trop !-Écoute, j’ai beaucoup d’argent et il ne me sert pas à grand chose alors autant qu’il te serve à toi.-Oui mais quand même...-Pas de mais ! Et voici ta deuxième récompense.
Il ouvre son sac et en sort une longue tige noir dans une pochette en plastique.
-C’est un gode que mon ex-femme à oublier chez moi il y a longtemps. Et comme je suis uniquement actif, je pense qu’il te servira plus que moi.
À y regarder de plus près, c’était effectivement bien un gode. Beaucoup plus grand que mon pénis mais aussi plus grand que celui de Jean ! Même la base était plus grosse. Plus on descendait plus elle devenait grosse.
-Je ne vais jamais pouvoir m’enfiler ce monstre !-Tu as bien réussi à t’enfiler ma queue alors avec un peu d’entraînement, tu y arriveras très certainement.-Peut-être... Comment pourrais-je te remercier ?-En revenant me voir un de ces jours ? Je pourrais te présenter à quelques amis...-Oui pourquoi pas, l’idée m’a l’air plutôt bonne.-Parfait ! Je ne vais pas te retarder plus que ça, il est déjà tard et tu dois avoir le dernier bus.-Tu as raison !
On sort du salon et Jean m’ouvre la porte. Il me fait la bise.
-Je sais bien que tu m’as rendu mon baiser grâce à ton état d’excitation.-Peut-être, mais j’ai beaucoup aimé en tout cas.-On pourra reprendre tout ça la prochaine fois alors. -Évidemment ! Bon, faut que je me dépêche, je vais rater mon bus.-Alex ?-Oui ?-Tu n’aurais pas oublier quelque chose ?
Il pointe son doigt vers mon cou.
-Le collier ! Heureusement que tu me le signales, j’aurais pu faire tout le trajet avec !
Je le détache et le tends à Jean.
-Garde-le, c’est toi la chienne, pas moi. Tu le mettras à chaque occasion.-Rien que d’y penser, ça m’excite ! Aller, j’y vais. Salut !-Au revoir ma belle salope.
Je rentrai chez moi après minuit. Je montai directement dans ma chambre et m’affala dans mon lit. Même pas le temps de me déshabiller. Je m’endormis immédiatement, du sperme coulant encore de mon anus ravagé.
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