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Débuts d'un soumis

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Je ne vois rien autour de moi, j’ai un bandeau qui me cache les yeux. Cette nuit, j’ai eu du mal à m’endormir, mon sommeil était perturbé par les cris incessants de Rosa. Toute sorte d’images fusaient dans ma tête mais je n’arrivais pas à m’imaginer réellement ce que Marc lui faisait subir. J’avais placé un oreiller sur mon visage pour étouffer les bruits que j’entendais et c’est avec difficulté que je m’endormis.
Ce matin mon réveil sonne à 6h pile pour être sûr de ne pas arriver en retard à mon premier jour de dressage. Je prends ma douche et n’ose pas regarder par l’autre porte si Rosie est en train de dormir ou non. Je l’espère. Je prends un peignoir car je n’ai plus de vêtements propres. Je prends mon petit-déjeuner dans la cuisine sans croiser personne. Il est presque 7h alors je décide d’attendre dans le bureau de Marc.
La porte était déjà ouverte. J’entre et remarque directement un bandeau noir et un post-it jaune posés sur le bureau. Quelqu’un avait écrit quelque chose dessus. « Il y a une porte cachée dans la bibliothèque. Cherche la clinche entre les deux livres rouges et ouvre la porte. Quand tu seras à l’intérieur, je veux que tu sois nu, que tu t’attaches les poignets aux chaînes qui pendent au milieu de la pièce et que tu mettes le bandeau. »
Intrigué mais aussi excité par la situation, je cherche les deux livres et je les trouve rapidement dans le coin de la bibliothèque. Je passe ma main dans le trou et touche la clinche que j’abaisse. Il y a un déclic et la porte, qui se découpe parfaitement, s’ouvre. Je la pousse et entre dans une pièce plongée dans une pénombre rougeâtre. Il fait chaud à l’intérieur. Je ne distingue pas vraiment ce qui m’entoure mais j’aperçois les deux chaînes métalliques au milieu de la pièce. Je me déshabille et jette mon peignoir juste à côté de la porte. Je m’attache un premier poignet puis je place le bandeau sur mes yeux. En cherchant à tâtons, je prends la deuxième chaîne et la clipse à mon autre poignet. Le contact avec le métal froid me donne un frisson.
Ça fait maintenant dix minutes que j’attends quand j’entends la porte se refermer. Des bruits de pas s’approchent de moi et je sens une main effleurer ma fesse.
-Prêt à devenir le parfait esclave ?-Oui, monsieur.-Garde ce terme lorsque nous avons des invités. Tu m’appelleras Maître à présent.-Bien, Maître.-Tu ne poses pas de questions, tu n’as plus ton mot à dire à partir de maintenant. Tu ne parleras que quand je te l’ordonnerai.
Sa voix est devenue plus grave que hier. Son timbre ne fait que m’exciter davantage. Sa main se retire de ma fesse et atterrit violemment sur mon visage. Je suis surpris et lâche un glapissement.Je reçois deux autres gifles sur chaque joue et la force du coup fait partir ma tête en arrière. Je recule de trois pas mais je suis retenu par les chaînes. Je le sens attacher deux bracelets en métal à mes chevilles et écarter mes jambes pour éviter que je bouge. J’ai les quatre membres complètement immobilisés. Mes joues sont en feu et je verse déjà une larme. Je l’entends rigoler.
-Gardes-en pour après, ce n’est que le début.
Je ne vois rien et j’essaye de percevoir le moindre son provenant de lui pour savoir où il se trouve mais le sol est en moquette et les bruits sont étouffés. Quelque chose de dur et froid me caresse le dos et descends le long de ma colonne. La canne me fouette les fesses et je m’avance pour éviter qu’elle me touche. Elle s’arrête et me frappe dans le dos.
-Je ne crois pas que tu aies compris. Tu n’as plus le choix. Si tu t’avances encore, je te punirai.
Je me remets en position et mords l’intérieur de ma joue. La canne me frappe sèchement une dizaine de fois sur chaque fesse qui me brûlent de plus en plus. Je sens un liquide chaud couler entre mes jambes et comprends que je saigne. Les coups de la canne ont réussi à ouvrir ma peau. Ceux-ci continuent de s’abattre sur moi. Ils remontent dans mon dos puis plus rien. Je souffle fort et renifle doucement pendant ce court moment de répit.
La pointe de la canne fait le tour de mon corps et s’arrête au niveau de ma poitrine. Marc, je veux dire mon Maître, me frappe fort sur les tétons. Je retiens un cri et je reçois une dizaine de coups sur le droit puis sur le gauche. Ils me font un mal de chien, je ne savais pas que mes seins étaient si sensibles. Je sens des doigts tirer sur mes tétons et les tordre dans tous les sens pendant une éternité avant de les relâcher. La canne revient et se pose sur mon gland qui, malgré moi, est aussi dur que ma queue. Je me pétrifie, il ne va quand même pas ? La canne fouette violemment mon gland comme si Maître y avait mis toute sa force. La douleur est fulgurante et des tâches multicolores dansent devant mes yeux bandés. Sans le vouloir, je laisse échapper un aïe de ma bouche.
La gifle dans la figure est toute aussi puissante que le coup sur mon gland. Une main enserre mon sexe en érection et le presse intensément.
-Tu ne m’as pas écouté. Je pensais pourtant avoir été clair. Tu ne parles pas. Tu vas maintenant compter les coups de que je vais t’infliger sur ton misérable petit bout de chair. Ce sera 30 coups dessus et 20 sur tes testicules.
Je me prépare mentalement mais surtout physiquement et attends le premier coup qui arrive quelques secondes plus tard. La douleur est moins forte mais elle fait toujours mal. Un. Le deuxième frappe mon urètre. Deux. Le troisième, la totalité de mon sexe mal traité. Trois. Je m’arrête au quinzième coup tellement la douleur est horrible. Mon corps se tord et tremble sous les coups de mon punisseur. Il me fait recommencer depuis le début et cette fois-ci, je compte jusqu’à la trentième fois. Il passe maintenant à mes pauvres couilles. La douleur est différente, plus intense et dure plus longtemps à chaque coup. J’ai l’impression d’avoir le bas-ventre en feu mais je continue de compter chaque coup.
Au vingtième, Maître s’arrête et me laisse respirer. Je pends lamentablement, même si les chaînes retiennent mon corps. Après quelques secondes de calme. J’entends un bruit de manivelle qu’on tourne. Mes bras sont tirés vers l’avant à cause des chaînes mais mes jambes restent en place, ce qui cambre mon cul. Il prend ma queue torturée qui ne bande plus entre ses doigts et la place dans une sorte de fourreau en métal. Je comprends que c’est une cage de chasteté car elle est très étroite. Elle est froide, ce qui fait rétrécir mon membre et lui permet de rentrer complètement dedans. J’entends un clic de cadenas, mon pénis est maintenant inutilisable. Maître me dit qu’elle ne me servira plus pour le moment à part pour mes besoins. C’est pour ça qu’il y a un petit trou à l’extrémité. Il laisse tomber mon sexe qui est emporté par le poids de la cage.
Je sens un doigt s’insérer dans mon anus et tourner à l’intérieur. Il le retire et place une boule à l’entrée de mon cul. Il m’explique qu’il y a cinq boules de différentes tailles toutes reliées par une tige en bois. Je ne connais pas leurs dimensions et appréhende le passage de chacune. La première entre sans problème et il me met directement la deuxième. La sensation est désagréable, je n’ai pas été lubrifié et j’ai l’impression que le bois râpe mes parois anales. La troisième bute contre mon anus et Maître force le passage en appuyant dessus. Elle rentre intégralement et j’ai maintenant trois boules dans ma grotte.
D’un coup, il arrache la tige en bois, ce qui brûle mon anus, et me la présente près de ma bouche. Il me dit de la nettoyer car je ne me suis pas bien préparé. L’odeur qui émane de la première boule m’écœure mais je n’ai pas le choix. Si je n’obéis pas, il me punira. Je sens déjà sa main emprisonner ma paire de couilles et commencer à les écraser. J’ouvre la bouche et avale la boule. Le goût est fort et j’essaye de ne pas y penser. Je prends la deuxième et la troisième en les enfonçant dans ma gorge. Elles passent déjà mieux que dans mon cul. Je nettoie bien tout autour et fait tourner ma langue pour enlever toutes les traces de souillure puis j’avale. Maître retire la tige de ma bouche et semble satisfait car il me lâche mes parties intimes.
Il replonge les trois boules dans mon anus et la première me frappe la prostate. J’ai une douleur fugace mais rien de bien méchant comparée à celle que je ressens à mon entrée anale. Il pousse et je sens la quatrième boule entrer très difficilement et je dois pousser avec mon sphincter pour la faire rentrer. La boule doit faire la taille d’une grosse pomme. Il fait quelques va-et-vient puis présente la cinquième et dernière boule. Elle est tout simplement énorme. Elle rentre un peu mais n’arrive pas à aller plus loin.
Maître m’enlève la quatrième et la troisième et replonge dans mon intimité. Il répète plusieurs fois l’action puis replace la cinquième Elle ne veut toujours pas rentrer. Il perd patience. Je sens qu’il pousse plus durement et force. Pour essayer de faciliter la rentrée, je pousse de toutes mes forces. Je sens quelque chose qui se rompt, mon anus. Il cède et se déchire pour laisser passer la dernière boule. J’ai le souffle coupé et je n’arrive pas à émettre le moindre son. La boule entre entièrement et mon anus déchiré se referme un peu derrière.
Maître me félicite en me disant que mon cul est souple et qu’il fera des merveilles avec. Avec de l’exercice, beaucoup de choses pourront rentrer à l’intérieur. Il lâche la tige en bois et je sens la grosse boule sortir avec difficulté. Aidées par leur poids, chaque boule sort et la dernière tombe avec le reste sur la moquette. Mon anus n’arrive pas à se refermer et reste béant. La tige se représente devant moi et je la nettoie bien comme il faut. Je goutte quelque chose en plus, un goût métallique, mon sang. D’ailleurs celui-ci se mélange avec celui des blessures sur mes fesses et coule entre mes cuisses.
Maître me laisse pendre pendant qu’il va chercher quelque chose. Il revient avec un plug anal et me l’enfonce dans le cul. Mon trou l’avale et se referme sur la base. Le plug est gros et occupe beaucoup de place dans mon fondement. Je le sens presser contre ma prostate. C’est à la fois agréable et désagréable, sachant que je ne peux pas bander. Le bout du plug est arrêté par mon anus et forme un petit cercle à l’extérieur de mon cul.
Je sens Maître détacher les chaînes qui me retiennent les bras et les jambes. Je tombe à genoux, à bout de force. Il m’enlève mon bandeau et me tire les cheveux.
-Tu ne lèves pas le regard. Tu ne me regardes pas et tu baisses les yeux en permanence. Tu viens de vivre ton premier jour de dressage. Tu as quelque chose à dire ? Tu peux me répondre.
Tout en regardant ses chaussures, car oui, il est toujours habillé, je lui dis à quel point je suis comblé et le remercie pour tout ce qu’il m’a fait, que je n’aurais pu rêver mieux. En disant cela, je me penche et embrasse ses chaussures.
-Tu comprends vite.
Il me prends le visage et contourne mon cou pour m’installer le collier que Jean m’a offert. Il me dit qu’il a fouillé dans mon sac et qu’il était agréablement surpris de le trouver. Il me l’accroche et ajoute une laisse en cuir. Il se relève et tire dessus. Je comprends et le suis. Il me promène jusqu’au fond de la pièce où une grande cage se trouve. Il prend un trousseau de clés et ouvre la petite porte grise. Il me fait entrer à l’intérieur et me fait asseoir, les fesses sur les talons, le dos droit et les mains posées sur les cuisses. Il m’explique que je devrai l’accueillir dans cette position à chaque fois qu’il viendra ici. Il me donne une grosse gifle. Je tombe par terre, sonné par le coup. Je reprends mes esprits et me remets en position. Je pleure en silence. Maître attache la laisse à un barreau au-dessus de moi, il ferme la porte à clé et sort de la pièce.
Je me réveille quelques heures plus tard, couché sur le sol. Quelqu’un entre dans la pénombre et je remarque qu’il s’agit de Rosalinda. Elle boîte un peu de la jambe gauche. Elle tient une petite bassine remplie d’eau.
-Rosie ! Tu vas bien ? Je t’ai entendue hier soir en train de hurler.-Oui, et moi j’ai entendu toutes les gifles et tous les coups que tu as reçus...-Ce n’est pas si horrible que ça. Sur le moment, oui mais maintenant je vais déjà un peu mieux.-Vraiment ?-Oui, j’ai pris du plaisir en me faisant corriger, même avec cette cage qui emprisonne mon sexe.-J’ai cru voir oui. Écoute, je suis juste venu te nettoyer un peu et t’apporter à manger.-C’est gentil.-Pas autant que tu ne le crois, mon ange...
Rosa ouvre la porte et entreprend un rapide lavage de mon corps. Elle passe un gant de toilette humide en insistant sur les endroits où ma peau est déchirée, mes fesses et mon anus donc. Je geins quand elle m’applique de la crème sur mes plaies mais la remercie car c’est apaisant. Elle se relève et sort de la cage en fermant la porte. Elle sort de la pièce et revient quelques secondes après avec une gamelle. Elle me la tend à travers les barreaux et je la dépose sur le sol. Le récipient est rempli d’un pâté peu ragoûtant et je crois apercevoir des filets de sperme sur le dessus.
-Je ne peux avaler ça, c’est immonde !-Il va falloir pourtant...-C’est hors de question !-Mon chou, tu vas voir, ce n’est pas si mauvais que ça. Et puis, si tu ne manges pas, Marc te puniras sévèrement. Je ne peux rien pour toi...
Sur ces mots, elle prend la bassine et sort. Je suis abattu. J’ai terriblement faim et tout ce que je reçois, c’est une sorte de bouffe pour chien. Mais je n’ai pas le choix. Je m’approche de la gamelle et commence à laper ma nourriture comme le ferait une chienne.
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