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La déchéance de ma mère

Chapitre 4

Trash
Le lendemain, Momo et Farida débarquèrent donc chez ma mère dès le matin. Mon père venait juste de partir au travail ; José avait du le signaler a ses nouveaux amis. Sylviane n’est pas encore habillée quand elle ouvre la porte. Elle porte un déshabillé de soie sur une nuisette rose légèrement transparente. — T’es pas encore prête, espèce de chienne ! lui lance Momo. — On va t‘emmener au sex shop, t’as des achats à faire. Farida s’approche de maman et lui ouvre l’élégant déshabillé lorgnant ses seins opulents. Elle les malaxe sans vergogne à travers la soie. Momo s’approche et, soulevant la nuisette, il écarte le string. Maman rougit de honte mais se laisse faire, totalement soumise à ces jeunes maitres-chanteurs qui pourraient être ses enfants. Momo caresse sa vulve, introduit ses doigts dans sa fente pendant que Farida lui mordille les tétons. Sylviane ne tarde pas à gémir sous l’habilité des caresses des deux pervers. Elle sent la cyprine qui s’écoule de sa fente. Les doigts de Momo s’agitent…— Allez ! Ca suffit ! Sinon, elle va jouir cette salope, s’exclame Farida en donnant une claque sur les fesses de maman. Sylviane pousse une plainte de frustration. Elle est au bord de l’orgasme. On lui demande ou est sa chambre et tous le monde monte à l’étage. Dans la chambre à coucher, Farida ouvre la penderie et regarde la garde-robe de maman. Beaucoup de vêtements de grands couturiers. Elle hésite et demande comme on habille « la salope » pour aller au sex-shop. — On aurait du ramener des fringues de putes, regrette Momo. — Oh non, pitié, ne me demandez pas ca ; balbutie Sylviane.— Tu crois que t’as le choix, pétasse !— Tiens, tu vas mettre ca. La pute se sera une prochaine fois…Et puis saper en bourgeoise, c’est plus excitant. Farida lui tends son élégant tailleur noir Yves Saint Laurent. Elle doit leur faire un strip-tease, enlevant son déshabillé et sa nuisette. Elle enlève son string à la demande de Momo. — T’as pas besoin de sous-vêtements…— Sauf ca…Farida lui tends un porte-jarretelles noir que maman enfile. Elle y accroche des bas noirs à couture. Elle met la jupe du tailleur et la veste a même la peau. Farida lui tends les escarpins les plus sexy qu’elle trouve. Une paire de talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge et aux talons très fins et très hauts. Le parfait déguisement de la bourgeoise salope…Puis, Momo donne le signal du départ….

La Mercedes est conduite par Momo. A l’arrière, Sylviane subit les attouchements de Farida. Elle lui triture les nichons par l’échancrure de la veste et elle a remonté la jupe titillant son clitoris laissant ma mère dans un état de nerfs indescriptible. A un feu rouge, un chauffeur routier ayant une vue plongeante sur la Mercedes grâce à la hauteur de son camion, lança un furieux coup de klaxon, complètement excité. Morte de rire, Farida obligea ma mère à lui sourire et à s’exhiber lui montrant ses seins et sa chatte….

Ils arrivèrent très vite au sex-shop qui se trouvait dans la banlieue voisine de la ville bourgeoise ou nous habitons ou, bien sur, la Municipalité n’aurait jamais permis l’installation d’un tel magasin dans la ville. Momo gara la Mercedes et Farida poussa Sylviane hors de la voiture. Ils remontèrent la rue « chaude » de la ville ou se trouvait sex-shop, peep-show et autres lieu du vice. Plusieurs clients parurent étonnés en croisant ma mère qui, avec son allure tellement bourgeoise, détonnait un peu dans cette rue réputée du sexe. Un peu plus loin, il y avait des putes qui attendaient les clients….Ils entrèrent dans un sex-shop écartant l’épais rideau de velours bleu qui camouflait l’entrée. A l’intérieur, 6 clients observaient les DVD et les magasines. Il y en avait pour tous les gouts : partouze, gang-bang, SM, Bondage…Momo se dirigea sans hésiter vers un type à la caisse. Le patron du sex-shop qui visiblement le connaissait. — Salut Momo !
— Salut Robert…Le dénommé Robert devait avoir la cinquantaine, il était petit et avait un regard bien vicelard. Il détailla aussitôt Sylviane qui rougit sous son maquillage. Devant son regard interrogateur, Momo lui expliqua que Sylviane était une bourgeoise salope qui venait s’encanailler et qu’elle allait lui prendre quelques produits…— Te gêne pas….— Tu nous feras une ristourne ? — Faut voir...murmura Robert.En disant cela, il mata les jambes de ma mère sans aucune gêne. Momo poussa ma mère dans l’allée du sex-shop et commença à lui dire ce qu’elle fallait qu’elle choisisse. Maman, qui n’avait jamais mis les pieds dans un sex-shop regardait autour d’elle, les yeux ronds. Momo commença par lui sélectionner trois déguisements sexys. Un de soubrette, un d’infirmière et l’autre d’écolière…Puis Farida ramena une sélection de godes de plusieurs tailles dont certaines étaient impressionnantes et cela effraya maman qui protesta. — Mais…Mais, je ne pourrais jamais supporter de….— T’inquiète, ricana Farida, on va s’occuper de ta formation, ton cul sera tellement dilaté que tu pourras tous accepter….Maman blêmit….Les clients et le patron n’en perdait pas une miette bien sur…Momo ramena un plug, un collier avec des clous, un fouet, des menottes, trois cagoules en cuir dissimulant le visage avec une fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il choisit également toutes sortes de bâillons. Des boules, des anneaux, permettant de laisser la bouche ouverte, des « mors » comme pour les chevaux. Et surtout, un bâillon harnais avec un gode fixé dessus….Il ramena un corset en cuir avec un collier-minerve relié au corset par une sangle. On pouvait attacher les poignets au corset grâce à des anneaux. Maman ne disait pas un mot mais elle était effondrée en pensant à ce que ces jeunes tourmenteurs comptaient lui faire subir avec tous ses produits….Pour finir, elle dut choisir elle-même des mini-jupes en cuir, en vinyles et une robe en latex…Farida s’approcha de maman avec un sourire pervers. — Faudrait les essayer pour être sur de la taille…Maman crut défaillir….— Non…Non, balbutia t’elle, je vous en prie pas ca…Mais elle fut entraînée sans pitié vers une cabine d’essayage. La, elle fut contrainte d’’enlever son tailleur et d’enfiler la robe en latex. Elle garde ses bas et ses talons aiguilles. Elle ressort, morte de honte, tous les clients l’attendent et le patron ricane. Elle doit se tourner et supporter les commentaires salaces…— Ca lui moule bien le cul et les seins…— Elle est trop courte…Elle est en effet trop courte et on aperçoit l’attache du porte-jarretelles…— Venez voir de plus près, qu’est ce que vous attendez, lança MomoLes six clients se précipitèrent, trop content de l’aubaine…Des mains avides caressent la robe en latex…Malaxant les seins au passage….

Momo agrippa ma mère par les cheveux et l’obligea à se mettre à quatre pattes au milieu du sex-shop. — Allez, c’est pas le tous, mais maintenant faut que tu paies tout ce que t’as pris….Il lança les prix pour une passe à la cantonade…— On peut lui faire tout ce qu’on veut ? — Tout ….Maman voulut protester mais Farida la bâillonna avec l’anneau….Sa bouche est ouverte au maximum déformant son visage…Le patron lança le signal de la curée. Il paya et se précipita enfonçant son membre dans la bouche de maman qui voulut le recracher… Elle reçut une claque…— Bouffe ma bite, salope…Suce la !Maman obéit, pompant la bite…Derrière elle, on lui introduit toutes sortes de godes… la limant avec…Maman grogne derrière son bâillon. Le patron donne des coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible étouffant ma pauvre maman. Il se retira voulant « défoncer cette chienne » et il fut aussitôt remplacer par un autre. Robert fit le tour s’enfonçant dans la fente de ma mère. La tenant solidement aux hanches, il la défonce comme une brute, son ventre venant claquer contres les fesses de Sylviane… Elle salive sur la bite qu’elle suce… Robert fit encore quelques allers-retours dans son ventre et il se retira. Il pointa le gland sur l’ouverture des reins et s’enfonça dans le trou du cul de maman qui eut un hurlement étouffé. Il la pilonna un temps et se retira, son sexe luisant de sécrétions. Un client se précipita et força le trou de cul de Sylviane. — Vous allez la prendre en double ! lança Farida…Un des clients s’allongea à terre, la bite fièrement dressée et on obligea maman, à grand renfort de claques sur le cul, à s’empaler dessus ce qu’elle fit avec une grimace….Robert l’encula et le troisième type engouffra sa bite dans sa bouche….Et ils alternèrent leurs coups de reins…déchirant ma mère par tous les trous…Son corps, recouvert de sueur, tressautaient sous leurs coups de bites. Ses seins ballottaient dans tous les sens….Robert poussa un cri et éjacula sur le dos de maman pendant que celui qu’elle suçait se vida sur son visage. Le dernier lui envoya de longues giclées de sperme sur ses seins…Elle dut encore sucer deux autres clients qui n’avaient pas osé participer mais qui voulaient quand même se vider les couilles.

L’argent récolté servi a payé Robert qui dit à Momo qu’il ne fallait surtout pas hésiter à revenir….Maman à garder sa robe en latex et Farida la contrainte à ne pas se nettoyer…C’est recouvert de foutre qu’elle dut regagner sa Mercedes sous les regards surpris et moqueurs des passants….
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