Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 55 J'aime
  • 4 Commentaires

13 déclics pour une nouvelle vie

Chapitre 1

Déclics 1 à 4

Travesti / Trans
Il s’agit là de ma première histoire sur ce site. Fortement inspirée de ma vie et mes expériences personnelles, certaines parties laissent parfois libre court à mes fantasmes.

Aujourd’hui j’ai 30 ans. Est-ce que je vis en plein rêve ? Ou bien vis-je en enfer ?… Un peu des deux surement. J’ai la vie que je voulais, mais à quel prix ?… Voici mon histoire :

CHAPITRE 1 : déclics n° 1 à 4
Tout commence alors que je vis encore chez mes parents. Je m’appelle Arnaud, j’ai tout juste 18 ans, et je trouve, sous le lit de mes parents, une revue exposant des sous-vêtements féminins, et même des sex-toys.Je la feuillette, et cela m’excite au plus haut point. Il faut dire qu’à l’époque, il était plus difficile d’accéder au contenu pornographique sur le web sans se faire prendre par le contrôle parental. C’était donc la première fois que je voyais quelque chose d’aussi… sexuel.
J’aurais pu simplement me masturber devant cette revue, comme la plupart des garçons de mon âge, mais non. Je trouvais ces femmes tellement belles dans leurs sous-vêtements, que je me mis à imaginer ma mère les portant.

Et là : premier déclic !… je commence à me masturber en m’imaginant face à mère, en plein strip-tease. Elle est belle, ma mère. Une belle rousse, un peu ronde mais pas trop, de beaux seins, un cul certes un peu gros, mais qui est un véritable hymne à la levrette.
Ma mère est donc ainsi devenue, en l’espace de quelques minutes, l’objet de mes fantasmes les plus inavouables.

Ce qui m’amène, quelques semaines plus tard, à mon deuxième déclic :
Je n’en peux plus. Pourquoi celle que j’appelle maman est-elle aussi celle pour qui je bande sans cesse ?… A vrai dire, je balaie très vite cette question d’un revers de main. S’il est hors de question que je tente quoi que ce soit avec ma mère, de peur de briser ma famille, je ne vais pas me priver d’agrémenter mes branlettes des images les plus obscènes que je puisse imaginer, et la mettant en scène.
Puis un jour, en sortant de la douche, je trouve une de ses culottes dans le panier à linge sale. Je la renifle, mais cela ne me fait aucun effet. Puis, je ne sais pas ce qui me prend, je l’enfile…
C’est alors que surgit ma mère ! Mon dieu, que c’est beau ! C’est le cul de ma mère que je vois là, avec sa culotte blanche en dentelle, juste derrière moi. Une vague de chaleur m’envahit. Je la vois, me tournant le dos, portant juste cette culotte, ondulant du bassin, se caressant les fesses… Nous sommes dos à dos, mais je ne peux m’empêcher de tourner la tête pour la voir derrière moi.
J’ai la respiration de plus en plus saccadée. Mais qu’est-ce qui lui prend de débarquer ainsi et de s’exhiber devant son fils ?… Qu’importe ! Je n’en perds pas une miette.
Elle se penche ensuite dans le panier à linge, et ressort un soutien-gorge blanc, assorti à sa culotte. Elle l’enfile. Maladroitement. Etonnant, elle devrait pourtant avoir l’habitude, mais qu’importe, elle est tellement sexy… J’en suis fou ! Nous sommes toujours dos à dos, mais j’attends son signal pour me retourner. Je la vois de toute façon très bien du coin de l’œil.
Elle se retourne soudain, et j’en fais de même… Mais il n’y a personne !!! Ce n’est que mon reflet, dans le miroir de la salle de bain. Je viens de me trémousser 5 bonnes minutes, de me caresser tout le corps, en culotte et soutien-gorge en dentelle, et je me suis trouvé… belle ?!?… sexy ?!?… et même bandante, apparemment !
Je n’en peux plus, je me masturbe et jouis en quelques secondes dans la culotte de ma mère… dans MA culotte ! Celle que je porte ! N’ayons pas peur des mots, je suis tout excité par la pute que je suis !
Voilà pour ce qui fut mon premier essayage de sous-vêtements féminins. Un moment d’intense excitation pour un jeune homme encore puceau, et qui en annonçait bien d’autres. Car durant plusieurs années, j’ai profité de tous mes instants seul à la maison pour porter les sous-vêtements et les vêtements de ma mère et de ma sœur, de 2 ans mon ainée.
Pourtant, toujours, je me suis considéré comme totalement hétéro… Comme je me voilais la face : est-on hétéro lorsque l’on utilise une pompe à vélo en guise de godemichet, et que l’on jouit en s’imaginant pris en levrette par un homme ?
Mais dans cette société où l’homosexualité demeure malheureusement un tabou, je faisais presque preuve d’homophobie envers moi-même. Je refoulais tous ces désirs enfouis en moi, pour ne leur laisser libre court que seul à la maison, avec pour seuls partenaires une pompe à vélo, et mon imagination.
Je suis même sorti avec quelques filles, au lycée, puis durant mes premières années d’études. Rien de bien sérieux, mais toujours l’opportunité de voler quelques bas, soutien-gorge, ou strings, pour me créer une petite garde-robe secrète, dans ma vie d’hétéro. Cette vie qui allait basculer, ce jour de juin 2009…

Troisième déclic :
Juin 2009. J’ai désormais 22 ans. Je suis devenu un grand jeune homme. Très grand même. 1m92, pour 88 kg.Contrairement à ce qu’indique mon poids, je ne suis pas gros. Disons que j’ai de belles hanches bien dessinées, et très féminines, avec de très belles fesses qui, elles aussi, n’ont rien de ce que l’on trouve habituellement chez les hommes.J’ai de belles jambes, évidemment bien longues vu ma taille, de beaux yeux bleus et les cheveux châtains mi-longs.Mais deux détails font toujours de moi un homme, « un vrai », comme je me le répète alors souvent, comme pour me mentir, ou me rassurer : le bas de mon visage un peu trop carré, et ma largeur d’épaules.
Je cherchais un stage en marketing pour l’été depuis longtemps, quand finalement un entretien pour un stage en région parisienne fut concluant. Nous sommes alors vendredi, et je devrai commencer dès lundi. Pas le temps de chercher un appartement. Je passerai donc mes premiers jours à l’hôtel.
Le week-end précédant mon début de stage, je profite de l’absence de mes parents pour porter une dernière fois, avant longtemps probablement, les vêtements de ma mère. Je passe alors tout le week-end, volets fermés, habillé en femme. String, collants, soutien-gorge, jupe serrée, chemisier. Puis nuisette le soir.
Difficile de rentrer dedans, j’ai bien grandi depuis mes premiers essayages, mais heureusement, ma mère est plus proche du 42 ou 44 que du 36.
Toujours est-il que j’ai joué mon rôle de femme un peu plus loin que d’habitude, en passant une annonce sur internet, pour rencontrer un homme :
« Jeune homme, 22 ans, recherche un homme viril pour première fois près de La Défense ».
Je ne mets rien d’autre dans l’annonce. A vrai dire, je n’y crois pas trop. Mais je reçois finalement beaucoup de réponses. L’une d’entre elles me plait beaucoup. Christian, un homme de 48 ans, qui semble très à l’écoute. Je lui explique que j’ai envie d’essayer avec un homme, que je porte souvent des vêtements féminins en cachette, mais que j’ai envie de franchir un cap.
Au fil de la discussion, je me sens de plus en plus excité. Il m’explique qu’il a 48 ans, qu’il est médecin, divorcé et bisexuel. Il m’envoie une photo de son sexe. Cela me fait tout drôle. Ce n’est pas la première fois que j’en vois, mais le fait que cette photo me soit adressée, à moi en particulier, me fait de l’effet.
Je me prends au jeu d’une conversation qui s’emballe :
« Que penses-tu de ma photo ? s’interroge mon interlocuteur.
— Je la trouve très belle. Un peu surprenant toutefois.
— C’est la première fois que tu en vois une ?
— Non, lui dis-je, mais c’est la première fois que j’en vois une qui pourrait m’être destinée, ce n’est pas la même chose.
— Et dis-moi quel effet ça te fait ?
— Cela m’excite. Votre queue est très belle, mais aussi très grosse.
— 18*5 cm. C’est assez imposant, mais il y a bien plus gros, donc n’aie pas peur.
— Je la veux ! Je vous veux, je serai votre chose, soumise à vos désirs ! lui lancé-je alors, sous le coup d’une émotion de moins en moins contrôlée.
— Voici mon numéro petite pute, appelle-moi ! »
Et dans la foulée, toute excitée et n’ayant plus la moindre place pour la réflexion, je l’appelle… en oubliant de masquer mon numéro :
« Allo ? c’est moi, votre petite pute. » Je ne sais pas pourquoi je parle de moi comme cela, je viens de perdre tout contrôle.
Une voix grave et imposante répond alors à ma voix étouffée par l’excitation et le manque d’assurance :
« Eh bien ! Toi tu en veux, et merci de ta confiance en ne masquant pas ton numéro.
— Mon dieu ! Je n’ai pas pensé à cela. S’il vous plaît, ne m’appelez jamais !
— On verra, mais j’utiliserai de préférence les textos. »
La conversation s’interrompt vite, sans plus de détails réellement croustillants, mais je lui explique tout de même, avant de raccrocher, que je serai le soir à l’hôtel, durant la semaine.
Le lundi qui suit, j’ai complètement oublié mon interlocuteur. Le soufflé est retombé, et je suis très pris par ma première journée de stage. Et le soir, je dois rechercher un appart pas trop cher aux environs de La Défense. Pas simple avec mon budget.Quand soudain, le mercredi, en plein après-midi et alors que je suis à mon bureau en open space, je reçois un texto. C’est Christian :
« Dispo ? »
C’est fou l’effet qu’un seul mot peut produire. J’ai dû rougir en une demi-seconde. Je me sens tout brûlant. J’ai peur. Allez je me lance !
« Oui, ce soir, à l’hôtel ». Je lui donne l’adresse et le numéro de chambre. Il viendra à 18h30.
Je l’attends dans ma chambre. Je ne sais pas quoi faire. Tout va trop vite. Il est trop tard, il arrive. On frappe à la porte…

Trois coups viennent de retentir sur la porte de ma chambre d’hôtel. Je peux encore me raviser, faire le mort, je ne sais pas… J’ai peur !
Mais j’ai besoin de réponses. Est-ce que je suis vraiment fait pour ça ? Je ne veux pas reculer si près de l’occasion. J’ouvre.Effectivement, un beau quadra se tient face à moi. Cheveux courts, bruns grisonnants, barbe de trois jours. A première vue, je dirais entre 1m80 et 1m85. Difficile par contre d’estimer son poids, mais il est certain qu’il a une silhouette assez sportive.
« Bonjour Arnaud, me dit-il d’une voix pleine d’assurance, tout en entrant dans la chambre.
— Bonjour, entrez. Vous savez, je ne suis pas sûr de… 
— Ne dis pas de bêtises que tu pourrais regretter, me coupe-t-il sèchement. Tu es vraiment grande dis-donc ! Mets-toi à hauteur convenable ! »
Et il me pousse sur le lit. Je me retrouve assis, lui debout quelques centimètres devant moi. Il me fixe, mais je fuis son regard. A cet instant, je veux qu’il parte. Mon cœur bat très fort et j’ai la respiration saccadée. Je me sens très mal.
Il commence à passer sa main droite dans mes cheveux. C’est incroyable comme il a de grosses mains. J’ai l’impression qu’il pourrait m’écraser le crâne d’une seule main. Sa main descend et il me caresse la joue droite, avec le revers de ses doigts, lentement… avant soudainement de me saisir le visage, ou plutôt la mâchoire, exerçant une pression monstrueuse de son pouce sur ma joue droite, et de ses doigts sur ma joue gauche. Il me relève la tête et pour la première fois, je ne peux faire autrement que de le regarder dans les yeux.
Je sens un mélange de puissance et de perversité dans son regard. Tel un lion qui joue avec la peur de sa proie, avant de se jeter dessus.
« Ce sont des larmes que je vois ?… très bien petite pute. Tu regrettes d’en être arrivée là, mais la vérité, c’est que tu peux toujours dire non. Alors dis-le et je sors.
— J’aimerais que vous sortiez. Je suis désolé.
— Ok je sors, mais comme j’ai fait le déplacement pour rien, j’aimerais quand-même que tu te mettes à 4 pattes devant moi. »
Je n’ose pas lui refuser, et puis ça n’engage à rien. Pour qu’il parte au plus vite, j’essaie de rapidement lui donner ce qu’il veut. Je me retourne et me cambre, présentant mes fesses à son regard lubrique. J’ondule un peu. Même si je suis en short et T-shirt, rien de bien sexy, je pense qu’il devrait en avoir assez et me laisser. Je me retourne vers lui, toujours à 4 pattes sur le lit et là, stupeur ! Il a profité des quelques secondes où je lui tournais le dos pour baisser son pantalon et son boxer.
Je me retrouve alors à 4 pattes, le visage à une trentaine de centimètres de son sexe rasé, encore mou, mais bien gros et avec deux belles couilles qui pendent bien.
Une odeur particulière et nouvelle pour moi, s’en dégage. Mon cœur accélère ses battements de nouveau. Ma respiration devient complètement irrégulière… Il a gagné. Je redresse mon buste avec précipitation et maladresse, si bien que je rebascule en avant et m’agrippe sur ses fesses musclées, le visage contre son pubis. Je descends légèrement, ouvre la bouche, et ça y est !… Je goutte à la queue d’un homme !
C’est chaud, c’est doux. J’adore sentir son sexe encore mou flotter légèrement dans son excès de peau, au repos. Le sentir rouler autour de ma langue… Que c’est bon !
Puis sa queue grossit progressivement. C’est ma première fois, mais je comprends déjà que j’aime et j’aimerai toujours le début d’une fellation, lorsque chaque seconde laisse place à une nouvelle texture.
Et c’est maintenant un véritable pieu que j’ai dans la bouche. Tellement épais que j’ai du mal à ouvrir suffisamment la bouche. Sa longueur est assez commune, mais c’est vraiment son diamètre qui m’impressionne. Mais je m’applique comme dans les vidéos que j’ai vues. Je joue avec ma langue, je lui gobe les couilles, je me concentre sur son gland, puis je tente ce que beaucoup semblent définir comme le Nec Plus Ultra de la pipe : une gorge profonde.
Je m’enfonce progressivement, jusqu’à avoir le nez plaqué contre son pubis. Je ne peux plus respirer. J’étouffe avec sa queue qui m’obstrue la gorge. Mais je tiens. J’exerce une pression soutenue sur ses fesses avec mes mains, afin que ma tête ne recule pas. Je commence à avoir des haut-le-cœur. J’ai des larmes aux yeux. J’entends mon homme prendre un plaisir intense :
« Oh oui petite pute, enfin tu te révèles ! Tu fais ça tellement bien, continue ! »
Je n’en puis plus. Dans un bruit non contrôlé venu droit du fond de ma gorge, je ressors d’un coup l’entièreté de son sexe, abondamment enduit de ma salive. Un épais filet de bave coule le long de mon menton, un autre de son gland…J’ai des haut-le-cœur, et pourtant je ne demande qu’à recommencer. Je suis humilié, et j’aime ça. Que m’arrive-t-il ?!?
En me tirant par les cheveux, il me redresse, à genoux sur le lit, face à lui, puis il ôte mon T-shirt. Il m’enlève ensuite mon short, puis mon boxer… me voilà entièrement nu.
Ne sachant comment réagir, je me laisse faire. Il m’allonge sur le dos, et parcourt mon corps de caresses et de doux baisers. Que c’est agréable. Quelle tendresse ! J’aime être ainsi traité. Alors qu’il s’allonge à plat-ventre sur moi et m’embrasse dans le coup, je lui caresse le dos. Je l’étreins de plus en plus fort, perdant tout contrôle de mon corps… je gémis ! Comme une fille.
Il pose alors ses lèvres sur les miennes, et je n’offre pas la moindre résistance au passage de sa langue dans ma bouche. Quelle sensation ! J’ai l’impression de sentir toute sa virilité, mêlée à une exquise tendresse.
Quand tout à coup, il se redresse et me prend violemment par les cheveux. J’essaie de me redresser dans son sillage afin d’avoir le moins mal possible, et il me rejette sur le lit, à plat ventre cette fois-ci.
« Maintenant, petite chienne, tu vas prendre ! »
Et je sens alors l’un de ses doigts se glisser lentement dans mon anus, puis un deuxième, sans aucune difficulté. Le troisième a déjà plus de mal, mais Christian y va progressivement.
« Tu sembles prête. L’excitation t’a bien dilatée. »
Il retire ses doigts, et son gland commence à pousser sur ma petite rondelle, qui vit ses dernières secondes de virginité.
« Aïe ! Ça brûle ! hurlé-je alors qu’il commençait à s’enfoncer dans mon intimité.
— Hum… tu vas goûter au plus grand plaisir de ta vie de salope. »
Ça y est. Il est au fond. Je sens son pubis contre mes fesses. Il m’écrase de tout son poids et entame de lents va-et-vient…Allongé de tout son poids sur mon dos, il me domine outrageusement. Je sens son emprise. Je suis prisonnier de ce mâle viril. Je me sens humilié. Je pense à ma famille durant quelques secondes. Quelle honte je leur ferais s’ils apprenaient ce que je suis en train de faire. M’accepteraient-ils encore ?…
Et puis zut ! De toute façon ils n’en sauront rien, et aussi incroyable que cela puisse paraître, j’aime ce qui se passe en ce moment-même. Est-ce que je me sens humilié ? Oui ! Et je ne me suis jamais senti aussi bien depuis bien longtemps.
Fin de la réflexion… Je m’abandonne définitivement à mon homme, à ses coups de reins tout en douceur, et aux insultes qu’il commence à me susurrer à l’oreille. C’est le vide dans ma tête, et mes petits cris de douleur laissent place à des gémissements de plaisir :
« Hum…
— Voilà, tu commences à prendre ton pied, petite chienne… Tu aimes être baisée avec tendresse ?
— Hummm oui, j’adore, c’est si bon… hum…
— Ta féminité se révèle, c’est bien, laisse-toi aller…
— Hum… plus fort !!! lui crié-je alors, sans trop réfléchir.
— Ah d’accord ! Je ne vais pas me faire prier sale petite chienne ! »
Et c’est alors qu’il me place à 4 pattes, me prend par les hanches, et accélère subitement ses coups de reins. Quelle violence ! Je sens mon anus chauffer à nouveau, mais que se passe-t-il ? Une sensation bien plus étrange me parcourt le ventre. Je hurle :
« - Oh ! Oh ! Ooooh ! Oui ! Oh oui !!
— Prends ça grosse pute ! Espèce de trou à bites ! me lance-t-il pour seule réponse. Je vais te détruire !
— Oui ! Défoncez-moi ! »
J’en comprends alors que c’en est fini de la tendresse. Il sait que je lui suis offert et qu’il peut obtenir presque tout de mon corps.
Les va-et-viens se succèdent, et cette sensation dans mon ventre ne fait que s’amplifier. Les positions s’enchaînent. Il me place sur le dos, les jambes sur ses épaules. Il me relève, me plaque face au mur, et reprend son rythme infernal. Mon voisin de chambre entend probablement tout, mais qu’importe, je suis ailleurs, moi, mon homme, ses coups de reins, et ces décharges électriques dans mon bas-ventre, de plus en plus intenses.
Je sens du liquide couler de mon sexe, quelques gouttes venant se jeter sur mes cuisses, alors que je suis toujours face contre le mur, quand soudain… le black-out total ! Un flash blanc, durant une seconde ou deux, mes jambes qui chancellent et…
« Ouiiiiiii !
— Salope ! Tu jouis du cul ! »
Je me retrouve au sol, mes jambes m’ayant complètement lâché. Je reprends peu à peu mes esprits, assis sur le sol, et je vois mon mâle, debout devant moi, se masturbant.
« Finis-moi petite chienne ! »
Et me prenant par les cheveux, il me redresse, à genoux, et enfonce sa queue dans ma bouche. Vu la dureté de son sexe qui demeure intacte, je devine qu’il n’en a pas fini avec moi. Encore tout déboussolé par ce qui vient de m’arriver, je m’atèle à lui prodiguer une bonne fellation.Pas facile lorsque l’on vient de connaître, pour la première fois de sa vie, un violent orgasme. Mais je me sens investi d’une mission : celle d’être la meilleure chienne possible pour mon homme. Alors je ne ménage pas mes efforts, je me dresse sur mes genoux que la moquette commence à brûler sous l’effet des frottements, mais qu’importe !… je suce et j’entends bien faire cela comme une pro !
Quelques coups de langue le long de sa queue, avant de vite me rendre compte que nous n’en sommes plus là. Les préliminaires sont terminés depuis longtemps, et mon mâle attend autre chose de moi. Alors je mets de côté le peu de fierté qu’il me reste, et je fais de ma bouche et ma gorge, une chatte toute chaude et humide. J’agrippe les fesses de mon partenaire, et d’une pression soudaine, j’enfonce sa queue le plus profondément possible.
Je multiplie alors les allers-retours, mon visage venant violemment s’écraser sur son pubis. Je sens vraiment ma gorge s’écarter à chaque incursion de sa queue épaisse. De nouveau ses larmes qui coulent de mes yeux… mais toujours ce plaisir d’être à la merci d’un homme qui a définitivement mis de côté toute forme de respect à mon égard.
Toujours cette main agrippant et tirant sans retenue sur mes cheveux, comme pour me dicter un rythme toujours plus effréné. Toujours ces gifles, d’abord douces comme si mon homme prenait plaisir à simuler une situation de domination, mais finalement de plus en plus appuyées et douloureuses. Et toujours ces insultes qui pleuvent à foison :
« Prends ça, salope ! Espèce de pompe à bite ! Tu n’es qu’une pauvre lope ! enchaîne-t-il entre deux respirations de plus en plus rapprochées, au rythme de ce qui semble alors être un ‘sprint final’. Après ton gros cul, tu aimes te faire défoncer la bouche comme un vulgaire vide-couilles !…
— Oh oui j’adore ça. Je suis votre… euh… vide-couilles, lui répété-je simplement, mon imagination très limitée, il est vrai, par mon manque d’expérience et par une situation qui me dépasse totalement. Faites de moi ce que vous voulez ! »
VLAN !!… Une énorme gifle s’abat alors sur ma joue gauche. Je m’effondre alors à plat ventre, avant qu’il me retourne sèchement, allongé sur le dos, et s’agenouille au-dessus de moi, une cuisse de chaque côté de ma poitrine. Ses couilles pendent juste devant moi, mais je ne sais ce qu’il attend.
C’est alors qu’il entame une masturbation frénétique juste au-dessus de mon visage. Je commence tout juste à comprendre ce qui se prépare, quand…
« Aaaahh !! Ouii !! »
Le râle de plaisir de mon homme s’accompagne immédiatement d’un premier jet de sperme sur mon front et dans mes cheveux. Un second suit immédiatement, qui m’asperge depuis les yeux jusqu’au menton.
Et sous ce torrent de semence, alimenté par un dernier flot d’insultes, ce que je crois être la dernière humiliation de ma vie prend fin sous forme de quelques « bifles » répétées, sous sa queue humide et encore massive, bien que de plus en plus molle.
« Très bien jolie princesse, tu es remarquable. Tu sais donner du plaisir à un homme, et il semble que tu en prennes également beaucoup. Sache que je n’ai jamais connu de telles sensations avec la moindre femme. Tes formes sont féminines au possible, ta cambrure l’est tout autant, et tu as le comportement d’une vraie femme. C’est simple, pour moi tu ES une femme. Et je peux t’aider à devenir une vraie princesse. Tu sais comment me trouver… »
Je ne sais quoi lui répondre. A vrai dire, avant de lui répondre à lui, j’ai déjà un millier de questions qui me trottent dans la tête.
CLAC !…
Trop tard de toute façon, sans rien ajouter, il s’est rhabillé et a quitté la chambre. Je vais pour le rattraper, mais je suis nu, le visage et les cheveux toujours plein de sperme. Je m’assois donc sur le lit, et je prends alors la mesure de mon humiliation.
« Quelle honte ! me dis-je. Est-ce moi, ça ? Est-ce là l’homme que j’ai toujours voulu être ?… Non ! »
Je me lève alors et me dirige vers la salle de bain, bien décidé à tirer un trait sur tout cela après une bonne douche, lorsque je me vois dans le miroir.
« Beurk ! »
Ma première réaction fut un élan de dégoût en voyant tout ce sperme sur mon visage. Je m’étais presque accommodé de cet épais filet devant mon œil droit, reliant directement ma pommette à mon sourcil. J’en avais presque oublié l’odeur pourtant si caractéristique. Je vais alors pour me l’essuyer, quand un frisson me parcourt lorsque je croise le regard de mon reflet :
« Mais quelle salope je suis ! Quelle bonne petite salope ! »
C’est là mon quatrième déclic. J’aime ce que je vois dans ce miroir. Est-ce là l’homme que j’ai toujours voulu être ?… Non ! Mais c’est bel et bien la femme que je souhaite désormais être…
C’est décidé. Dès demain, je recontacte Christian !
Diffuse en direct !
Regarder son live