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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Découverte agréable de l'amour &agra

Chapitre 1

Divers
Mais pourquoi une jeune femme comme moi vient elle exhiber sa vie sur ce site d’histoires érotiques? Et bien tout simplement pour essayer de rendre aux lecteurs le plaisir quasi quotidien qu’ils me donnent. En effet, à chaque fois que je le visite, je trouve toujours au moins une petite histoire coquine qui me fait mouiller. Alors aujourd’hui, je me décide de venir à mon tour avec la grande espérance de vous rendre la pareille, faire gonfler ou mouiller vos sexes, et peut être même, ce qui me remplirait d’une grande fierté, vous procurer un orgasme. (Et puis aussi et surtout pour faire plaisir à deux personnes que j’aime beaucoup). Mais avant de commencer à vous masturber, laissez moi me présenter.    Je m’appelle Karine, j’ai 28 et je crois être assez chanceuse d’avoir été dotée par dame nature d’un physique assez agréable. D’ailleurs, il est possible que certain(e)s d’entre vous m’aient déjà vue en surfant sur Internet car il m’arrive parfois de poser pour un ami photographe (mais attention, c’est très soft, par rapport à ce que l’on peut trouver sur le net). Mais ne croyez pas que je vais vous donner l’adresse, petits curieux, d’abord, je ne pense pas que cela soit permis et puis, cherchez un peu.     Ma vie est devenue beaucoup plus agréable depuis mon divorce. Et oui, mariée trop rapidement à l’âge de 22 ans, j’ai eu le tord de faire confiance à un homme qui, une fois marié, s’est avéré des plus odieux et irrespectueux à mon égard. J’ai ainsi supporté 3 ans ses humeurs, le fait qu’il ne me considérait que comme sa boniche, m’humiliant publiquement, me faisant passer pour SA chose. Coté sexuel, moi qui rêvais d’une harmonie parfaite afin de satisfaire mes nombreux fantasmes, je n’étais pour ainsi dire, son trou, où plutôt ses trous, dans lesquels il se vidait sans aucun raffinement, ne s’occupant que de son plaisir. Le mien, j’étais obligée de me le donner seule, étant amenée à me masturber plusieurs fois par jours pour assouvir mes envies. Et puis un (très) beau jour, j’ai décidé de partir, sans autre explication que ma demande de divorce, après qu’il m’aie ’offerte’ à 2 de ses amis que j’ai du satisfaire de tout mon corps. Paradoxalement, même si l’humiliation de la situation et de ses propos étaient insoutenable, j’ai tout de même eu 3 orgasmes liés aux capacités de douceur de ces 2 hommes, largement au dessus de ce que je connaissais depuis 3 ans.     Et maintenant ? Et bien, je suis libre, heureuse et épanouie. Je profite de la vie et de ses plaisirs avec toute l’énergie qui me caractérise, pouvant faire d’un événement pénible une partie de plaisir. Comme par exemple la fois où, bloquée dans un embouteillage monstre, trouvant que cela ne servait à rien de s’énerver comme la plupart des conducteurs voisins, je me suis aperçu que j’étais à coté d’un bus de touristes et qu’ils avaient une vue imprenable dans ma voiture. Alors, ni une, ni deux, j’ai pris mon pied en leur dévoilant tout doucement et de manière presque anodine, mes bas, mes jarretelles et jusqu’à mon petit string, faisant mine de prendre des documents dans ma serviette et à chaque fois ma robe remontait un peu plus. Le retour à la normale de la circulation m’ayant permis de glisser ma main entre mes cuisses et l’humidité qui y régnait à vite accueilli mon doigt. Vous l’avez compris, je suis d’une nature assez exhibitionniste et je prends aussi beaucoup de plaisir à en donner (du plaisir). Ma vie sexuelle m’appartenant aujourd’hui pleinement, je la mène comme je l’entends, sans véritable tabou. J’ai découvert ainsi, et très apprécié d’ailleurs, le plaisir des amours lesbiens dans les bras de plusieurs copines et cet été, j’ai eu ma première expérience à trois et c’est cela que j’ai envie de vous raconter.
---    Habitante du Languedoc, il y a un lieu qui m’attire fréquemment, c’est la plage. Pratiquant occasionnellement le naturisme, j’aime aller sur cette plage ou c’est toléré mais qui a l’avantage de pouvoir rester en bikini si l’envie vous en dit (contrairement aux plages strictement naturiste), car c’est comme tout, un jour on veux être à poil, le lendemain, non. Bref, en ce premier samedi d’août, j’arrive vers 9H30, la meilleure heure pour avoir une place sympa, et je m’installe tranquillement sur ma serviette. L’air marin étant encore un peu frais, je garde un petit débardeur et mon string lorsque je commence la lecture de mon magazine. Ce qu’il y de plus pénible pour une fille seule sur une plage, ce sont les dragueurs qui viennent sans cesse vous déranger car généralement, ils m’ennuient plus qu’il ne me charment. Et ce jour là, en deux heures de temps, j’ai eu droit à 3 tentatives. C’est lourd! Heureusement, en fin de matinée un jeune couple vient s’installer à la place libre à mes cotés. Sans y prêter attention, je les laisse s’installer en me disant qu’ils allaient assurer ma tranquillité jusqu’au moment ou il décident d’aller se baigner. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai laissé mon magazine pour me retourner sur le dos et, en appui sur mes coudes, je les observe, offrant en même temps ma poitrine au chaud soleil. Lui n’est pas mal du tout, blond, assez costaud, une belle barre (abdominale, bien sur), la trentaine, un maillot moulant laissant deviner des choses intéressantes. Elle, assez canon. Elle doit avoir 25 ans, un bon 90 de tour de poitrine et de jolis seins qui se portent bien, bien ronds et fermes, les pointes sensibilisées par la fraîcheur de l’eau, à moins que les caresses que son Apollon a l’air de lui faire sous l’eau n’en soient l’origine. Une taille fine avec un piercing ornant son nombril (ça j’aime bien, et peut être qu’un jour, je franchirais le cap), deux jolies fesses bronzées et musclées séparées par le fin tissus fluo de son string, qui, sous l’effet de l’eau, lui colle carrément au sexe. Deux longues jambes supportant tout cela, je me surprend à avoir une petit envie coquine mais avec qui, elle ou lui ?     - ’Et pourquoi pas les deux ?’     Tiens, voilà que j’ai des pensées perverses !     - ’Mais ne rêve pas ma fille, à voir comment elle l’embrasse, elle s’accroche à lui, il n’y a aucun risque qu’on lui pique ou qu’elle veuille le prêter. Il n’empêche que maintenant, tu as le feu entre les cuisses et si tu ne vas pas dans l’eau, cela va se voir. Aller un bon petit bain pour me remettre les idées en place.’     Et en rentrant dans l’eau, je le vois plonger dans les vagues et s’éloigner alors que la belle retourne au rivage.    - ’Tiens, elle a du tellement l’exciter qu’il se calme en nageant’ me dis je alors (mais qu’elle perverse je fais!)     Au moment de nous croiser, une vague vient me mouiller le maillot (ouf! sauvée) mais me fait crier de surprise. Dans un grand sourire, elle me dit:    - ’Au début, ça surprend, surtout quand on est chaude, mais après, on la trouve très bonne qu’on aimerait bien y faire un tas de trucs dedans’    - ’Heu.... Oui, c’est sûr’ (vue la débilité de ma réponse, vous pouvez imaginer mon trouble)    Et elle continue sa remontée tout en se retournant, pour me sourire une nouvelle fois et poser son regard sur mes fesses.    ’Bon ma grande, qu’a t elle voulu dire par ’chaude’ et ’tas de trucs’. Et puis, elle m’a bien reluqué le cul, je n’ai pas rêver. Aller nages un peu, et arrêtes de fabuler’    Je passe une petite dizaine de minutes dans l’eau avant de retourner à ma place, non sans remarquer que nos serviettes ont l’air un peu plus proches. Mais mon regard se porte à mon tour sur ses fesses qui, dénudées de tout maillot, prennent le soleil. Remarquant mon arrivée, elle se retourne m’offrant alors son coté face qui se caractérise par un sexe totalement épilé. Etant adepte de temps en temps de cette pratique, cela ne surprend pas trop mais je tombe sous le charme de ses 2 lèvres intimes qui, avec ses cuisses légèrement écartées, on l’air de me sourire coquinement.    - ’Alors, rafraîchie ?’ Me lance t elle     - ’Oui, à ce niveau là, tout va bien, mais faire des tas de trucs toute seule, c’est pour cela que je n’y suis pas rester’ le tout dit sur un ton très distant et en attendant sa réaction.     - ’Mais on peux toujours s’entraider dans la vie, vous ne trouver pas’    Continuant à m’essuyer, je tente d’analyser la situation et me rends compte que c’est carrément une invitation.     - ’Il est certain que l’entraide dans la vie est primordiale mais je n’ai encore jamais eu l’occasion de montrer mes capacités a ce niveau là et j’avoue que je devrais me montrer plus solidaire’ tentant ainsi de tourner un peu plus autour du pot.    - ’Ecoutes, pour être franche, si cela te dit. Nous avec Cédric, lorsqu’on t’a vue en train de nous mater, on s’est dit que cela pourrait être sympa, surtout que tu es très mignonne’    - ’Et bien, les choses ont le mérite d’être claires avec toi, mais ton Cédric, il est parti en Tunisie à la nage ?’
    Un éclat de rire a alors ouvert une bonne demie heure de papotage en attendant le retour de l’Apollon nageur au cours de laquelle nous avons fait plus ample connaissance. Mélanie et Cédric sont en vacances depuis une semaine dans une villa en location et viennent de Bretagne, ils sont mariés depuis 2 ans et très portés sur le sexe qu’il partagent facilement avec une ou deux autres personnes si affinité physique et morale, étant bisexuels tous les deux. Voilà pour la présentation générale (du moins, ce qui nous intéresse ici) car le beau Cédric arrive et nous voyant toutes les deux papoter comme de vieilles copines, comprend que Mélanie avait conclu ’l’affaire’. Et c’est ainsi que je me suis retrouvée invitée à déjeuner chez eux en ce samedi midi. Le temps de passer à mon appartement qui, par chance se trouvait sur la même route, de prendre une petite douche et de me faire belle, une longue robe de dentelle bleue un peu trop transparente pour aller à un repas (mais nous sommes entre amis, non). Et puis, même si l’on voit ma poitrine pointer dessous j’ai tout de même mis un string de satin bleu (j’ai toujours du goût dans l’association des couleurs) qui montre tout de même une petite limite à mon impudeur. Je sonne à l’entrée de leur villa, Cédric vient m’ouvrir, torse nu, avec toujours autant d’abdo, et un pantacourt assez ample sous lequel il est évident qu’il n’y a aucun dessous. Il m’invite à entrer et me diriger vers la terrasse et, me suivant, je me doute qu’il doit mater mon corps visible dans la transparence de ma robe.    - ’Tu es magnifique Karine, tes fesses sont superbes’ (heureusement que je porte un string)    - ’Vas y, te gène pas, dragues la ouvertement devant moi’      ?a c’est Mélanie qui arrive en rigolant, vêtue d’un débardeur s’arrêtant sous les seins, augmentant mon envie des les prendre dans mes mains et d’un short des plus court lui moulant l’entre jambes et les fesses. Par contre, le string rose sous le blanc du short, je pense que l’association est volontairement attirante. Une fine chaîne dorée lui entoure la taille, passant par l’anneau de son piercing, mettant en valeur son ventre plat, un régal pour les yeux. Deux apéritifs, une salade et une grillade plus tard, Cédric propose le café qu’il s’empresse d’aller préparer. Mélanie se lève, vient dans mon dos, promène doucement ses doigts sur mon bras droit avant de déposer un baiser dans mon cou.    - ’Viens au salon, nous serons mieux pour le café, il y fait plus frais’     Et de me prendre par la main pour m’y guider. Je sais pertinemment que le café attendra car ne me lâchant pas la main, elle m’attire aussitôt vers elle pour m’embrasser à pleine bouche. Ma langue répond de suite à son invitation et se mêle à la sienne dans un balais amoureux et savoureux alors que ses 2 mains continuent leur tendre va et vient le long de mes bras. Me sentant fondre trop rapidement, je reprends quelques initiatives en posant mes mains sur ses hanches et les remontant doucement jusque sous ses seins, m’arrêtant à la limite du débardeur, ne voulant pas accélérer le court des choses.    - ’Et bien les filles, quand le chat n’est pas là, les souris dansent !’ Lance Cédric qui fait son apparition en apportant les 3 tasses sur un plateau (il est bien ce petit gars!).     Mélanie ne s’en laisse pas compter pour autant et fait glisser les fines bretelles de ma robe sur mes épaules et celle ci sur retrouve à mes pieds, offrant mon postérieur à la vue de Cédric.     - ’Je confirme, tu as vraiment un beau cul’ dit il tout en venant derrière moi et prendre mes fesses dans ses mains.     Me voilà entre eux deux, Mélanie qui me suce les seins, Cédric, à genoux, m’embrasse les fesses, et moi, je commence à mouiller et à gémir. Très vite, mon petit string suit le même chemin que ma robe et Cédric m’invite à m’asseoir sur le canapé. Je remarque au passage que son pantalon est déformé par une belle bosse prometteuse. Assise, les fesses sur le bord du coussin, il m’écarte doucement les cuisses qui, comme par enchantement s’ouvrent sans aucune réticence et plonge sa tête entre elles. Je sens son souffle chaud éveillé mes muqueuses, ouvrant mes petites lèvres au désir de ses caresses, avant que sa langue ne me fasse pousser un petit cris de bien être. Pendant qu’il s’évertue à me lécher avec une grande douceur et un savoir faire impressionnant, Mélanie à ôter son petit short et écartant son string, se doigte le sexe en regardant la scène.     - ’Vas y chéri, fait la jouir, elle est belle dans le bonheur, après tu t’occuperas de mon minou’ dit elle en ne perdant pas une miette du spectacle.    E très (trop) vite, l’orgasme arrive, gémissant mon bonheur tout en enserrant la tête de Cédric entre mes cuisses. Délivré de mon emprise, Mélanie se jette sur lui, l’embrasse (hum, elle a bon goût) et se place au dessus de lui qui est reste à genoux pour déposer sa chatte sur sa bouche. Remise de mon plaisir, j’en profite pour aller m’occuper de cette grosseur qui m’intrigue en le faisant s’allonger sur le tapis. Mélanie, en profite pour s’agenouiller complètement sur son visage, tirant sur le petit n?ud de son string, elle offre sa fente lisse à la langue de son mari. Moi, je pose ma main sur l’objet de ma convoitise et en mesure la taille très intéressante. Je déboutonne tout cela et hop, une belle bite bien raide s’échappe, bien dure et tendue, légèrement humide du liquide résultant de son excitation. Le débarrassant totalement de son vêtement, je remonte doucement de ses pieds à ses cuisses en le léchant doucement avant de faire glisser ma langue sur tout la longueur de son membre. Celui ci palpite, se contracte, apprécie ma caresse, et pendant que Mélanie crie à son tour sa jouissance, je prends le gland entre mes lèvres et ma langue vient agacer son petit bout. Libéré des cuisses de Mélanie, il se mets sur ses avant-bras et me regarde ?uvrer    - ’Vas y Karine, montre moi tes talents, fais moi grimper aux rideaux’    Devant ce challenge, je ne peux que m’employer de mon mieux pour le relever et mettant toute mon ardeur, je décide alors, pour la première fois pour moi, de m’occuper des ses boules. Placée devant lui, je lui fais écarté les cuisses et je les prends une par une dans ma bouche. Chaude comme je le suis, je décide même de m’aventurer un peu plus bas et de lui administrer une feuille de rose qu’il a l’air d’apprécier énormément (a entendre ses propos). L’anus bien humidifié de ma salive, il ne me reste qu’a y glisser un doigt qui est totalement absorbé dans un râle de plaisir. Je reprends alors son membre dans ma main droite, la gauche restant entre ses fesses et ma bouche recouvre son gland. Décidée à lui faire le grand jeux, je le maintient en moi lorsqu’il a le respect de m’annoncer son imminente éjaculation et accentuant mon branle, ma bouche se rempli de son nectar d’amour que j’avale avec gourmandise tout en entendant Mélanie qui m’a laissé seule contribuer au bonheur de son mari.     - ’Et bien, qu’elle démonstration, cela avait l’air d’être bon’     Levant les yeux vers elle qui se tient debout à mes cotés, je suis ébahie de la découvrir les mains sur les hanches, nue mais fièrement dotée d’une bite factice dressée entre ses cuisses.    - ’Tu es jalouse peut être’ lui dis je, excitée par cette vision.     Et, m’agenouillant devant elle, je recommence une fellation sur son godemiché mais, celui ci s’avérant beaucoup moins appétissant que le sexe de Cédric, et ayant une immense envie de me faire prendre, je me mets à 4 pattes devant elle et lui intime l’ordre de me le mettre. La pénétration de l’objet se fait sans aucun problème tant ma chatoune est trempée et une fois en fond de moi, elle commence à me limer avec une dextérité impeccable. Autant j’ai déjà joué avec un gode seule ou avec une copine auparavant, autant c’est un baptême pour moi d’avoir une femme qui me prend comme un mec et j’avoue qu’elle se débrouille très bien car ma jouissance n’est pas loin et lorsque Cédric vient au dessus de moi, me caresse les fesses et me plante un doigt humide dans mon petit trou, c’est avec délice que je jouis comme une folle, déclenchant les commentaires enjoués de mes partenaires. Une fois libérée de l’étreinte de Mélanie, j’en profite pour reprendre mes esprit et ma tasse de café (froid) alors que j’ai la charmante vision de voir Cédric se régaler à sucer le gode et d’y nettoyer mes sécrétions. C’est vrai qu’il est bi et à le voir faire, nul doute que les mecs doivent apprécier. C’est alors que sans aucun étonnement, mais avec une certaine excitation, je l’entends demander à Mélanie de venir le prendre. Il s’assoit sur le bord du canapé, relève ses cuisses pour lui offrir son petit trou du cul. Mélanie le lui lèche un bon moment et un fois prêt, pointe son engin dessus. L’enculade se fait alors doucement mais régulièrement, je vois le gode entre sans s’arrêter jusqu’au la garde, se logeant au fond de ses entrailles alors que sa bite se tend de plus en plus au dessus de son ventre. Inutile de dire que cette vision me redonne des envies et m’approchant de Mélanie, je l’embrasse tendrement avant de lui glisser à l’oreille ce que je ne me pensais pas capable de dire :    - ’Je veux qu’il m’encule en même temps’    - ’T’es vraiment une chaude, toi, j’avais raison sur la plage. Mais comme tu es notre invitée, on ne peux qu’exaucer tes désirs’    Elle se retire de Cédric, ce qui le fait grogner un peu, mais une claque sur ses fesses lui rappelle ses devoirs d’hôtes. Je m’agenouille alors sur le canapé, le buste collé au dossier et cambrant ma croupe, j’offre mon petit cul à la langue de Mélanie. Sa caresse est adorable et mon petit trou s’ouvre sans réticence à sa pénétration. Un doigt vient maintenant s’y loger et coulisse en moi avec une formidable douceur. Lorsque je sens le gland de Cédric se présenter à son tour, une légère appréhension m’envahit (comme à chaque sodomie que je reçois) et une contraction anale lui interdit l’entrée de sa première tentative. Une claque sur mes fesses à le mérite de me surprendre et de libérer ma retenue et son gland est maintenant entré dans mon fondement, sans aucune douleur, et je pousse moi même mes fesses à sa rencontre, gémissant mon plaisir, pour le sentir me pénétrer au plus profond. Une fois mes fesses contre son ventre, il s’immobilise un instant pour laisser Mélanie lui faire subir le même sort. Une fois tous les deux ’embrochés’, c’est Mélanie qui imprime le rythme de la pénétration et à chaque fois qu’elle s’enfonce en lui, par effet de résonance, je le sens s’enfoncer en moi, me donnant l’impression d’être prise au plus profond de mes entrailles. Quel délice, quel bonheur, Cédric m’embrasse dans le cou, me caresse les seins, je suis bien, je deviens garce, je cris, je jure, je deviens grossière, mais c’est bon. Lorsque l’orgasme me fauche, je me sens partir, je ne sais plus où je suis, à la limite de l’évanouissement. Ne supportant pas trop ’l’après’ (être toujours pénétrée après avoir joui), je me libère de l’emprise de Cédric qui enlève alors son préservatif et présente son engin à Mélanie. C’est avec une gourmandise non dissimulée qu’elle le déguste pour le faire jouir à son tour, emplissant sa bouche de son sperme. Une lueur vicieuse dans ses yeux, elle s’assoit à mes cotés et, m’embrassant, partage son breuvage avec moi.     - ’Tu as aime ma chérie? nous on s’est régalé’    - ’Quand je disais que tu avais de belles fesses, j’ajouterais qu’en plus elle sont douces’     Décidément, ce Cédric, il en veut que pour mon petit cul.    Je suis restée tout le week-end avec Mélanie et Cédric, et j’avoue que j’ai passé un agréable moment. Nous avons fait tout ce qu’il était possible de faire tous les trois, sans aucune retenue ni aucune gène, et j’ai pris un pied formidable. Nous nous sommes revus le jeudi soir avant leur départ pour un bon petit restau d’au revoir. La distance qui nous séparent maintenant est grande mais j’ai déjà prévu de leur rendre visite à la Toussaint. En tout cas, je sais qu’ils liront mon récit et je sais aussi que eux, au moins, prendront leur pied à me lire.     Gros bisous à vous 2. (et à tous les autres)    Karine
E-mail: karine.bou1@voila.fr
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