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Découverte de la fac

Chapitre 1

Gay
[Cette histoire a déjà été publiée sur d’autres sites sous le même pseudo ou sous celui de YAYI, elle a un peu été modifiée, et ne comporte qu’un épisode, mais d’autres peuvent suivre, jamais publiés, si le premier opus vous plaît !]
Je m’appelle Alban et je viens de faire mon entrée à l’université. Je loge sur le campus, dans une résidence étudiante, dans le bâtiment des garçons. Pour moi, c’est une découverte, un univers quasi inconnu. Je viens en effet d’une petite ville reculée de province, et la taille du campus me paraît impressionnante. Aussi ai-je décidé de partir en exploration, afin de repérer les différents bâtiments qui me seront utiles pour mes études : bibliothèque, cafétéria, laboratoires de langues et de sciences, salles de cours, amphis, etc.Après deux bonnes heures de marche, je ressens un besoin pressant de soulager sa vessie. J’avise un panneau indiquant les toilettes. J’entre dans une grande pièce aux murs gris, très propre. Une série d’urinoirs, puis des cloisons pour les cuvettes derrière des portes. Je me précipite vers l’urinoir le plus près des cloisons, sors ma queue et commence à uriner.
Je prête à peine attention à cet autre étudiant, en tee-shirt moulant bleu, cheveux châtains en brosse et barbe de trois jours, qui vient d’entrer dans le WC à côté de l’urinoir. Je secoue ma queue afin d’éliminer les dernières gouttes d’urine, lorsque j’entrevois un trou d’environ sept à huit centimètres de diamètre, à la hauteur de mon sexe, dans la cloison juste à ma droite. Et surtout, j’aperçois à travers ce trou, un œil gris-bleu qui m’observe, ou plutôt, vu la position du trou, qui observe ma queue.
Je débarque de sa province, je n’ai jamais vu cela. Je me doute bien de ce à quoi peut servir un tel trou dans le mur, et, du coup, ne sais plus trop quoi faire. Je suis encore très innocent côté sexe : dans mon village isolé, avec des parents très présents et m’ayant donné une éducation stricte sur le plan moral et religieux, je suis encore puceau. J’ai bien flirté au lycée avec des filles de ma classe, mais je ne suis jamais allé plus loin que quelques caresses. A vrai dire, je ne me suis jamais posé de question sur ma sexualité, tant le sujet est tabou dans mon milieu familial.
Aussi, face à ce mateur, je devrais partir, c’est ce que mon éducation m’a appris. Mais je suis fasciné : que quelqu’un puisse passer du temps à me mater en train de pisser, cela dépasse mon imagination et m’attire en même temps. D’ailleurs mon sexe réagit entre mes doigts, je le sens se gonfler légèrement. Je panique : que m’arrive-t-il ? Que faire ? Mon regard ne cesse d’être attiré par ce trou, ma queue continue de se tendre.
L’inconnu comprend que je suis troublé : après tout, on est au début de l’année universitaire et j’ai l’air bien jeune, alors il décide de me guider :— Approche ta queue du trou, que je te voie mieux.Cette voix fonctionne comme un aimant : je ne maîtrise plus mes gestes, et me voilà en train de m’approcher de la cloison. L’inconnu reprend :— Qu’elle est belle. Approche-toi encore.Je m’exécute, je ne suis plus qu’à quelques centimètres de ce trou. Les doigts de l’inconnu frôlent mon gland et mon sexe, large et de bonne taille. Je tressaute, c’est la première fois que quelqu’un d’autre que moi touche mon sexe. Les doigts attirent le gland et toute la tige à travers le trou. Je sens la main de l’inconnu enserrer mon sexe et faire des va-et-vient ; je n’en reviens pas, je suis en train de me faire masturber, et par un inconnu que je n’ai même pas vu. Que m’arrive-t-il ?Soudain, mes pensées déjà désordonnées s’arrêtent, je sens une chaleur inhabituelle autour de mon gland : c’est chaud, humide. Je n’en reviens pas : je suis en train de me faire sucer. La bouche inconnue s’avance sur ma queue, puis recule. Cette chaleur qui part de mon sexe m’envahit, je me sens devenir moite, je baisse mon jean et mon slip pour être plus à l’aise, je gémis. Je n’aurais jamais pu imaginer comme cette caresse est voluptueuse. La bouche continue son travail. Ma queue commande tout mon corps, mes jambes tremblent sous l’effet du plaisir que je ressens, mon souffle devient de plus en plus rapide et bruyant. Je ressens des picotements dans ma queue, annonciateurs d’une jouissance imminente :— Je vais jouir !L’inconnu accélère encore le rythme et enserre la queue plus fort. J’expulse de longs jets de sperme dans cette bouche chaude et accueillante.
Je me recule un peu, j’aimerais bien connaître cet inconnu qui vient de me faire découvrir ce plaisir nouveau. Je vois apparaître un sexe tendu, qui doit faire presque vingt centimètres. Il est très droit, surmonté d’un gland bien dessiné, assez large. Je vois pour la première fois un sexe en érection autre que le mien, en vrai. D’instinct, je me mets à genoux et porte la main sur ce sexe, je le soupèse, l’observe de près. Je suis fasciné par la douceur de cette peau, par ce grain de beauté au milieu de la tige, je caresse doucement, fais rouler sous mes doigts les deux testicules – tiens, ils sont rasés ! Je respire ce pubis : une légère odeur de sueur, de sperme, qui redonne de la vigueur à ma propre queue. Puis, comme mû par une force irrésistible, j’approche mes lèvres du gland et y dépose un baiser, puis deux, et commence à avaler ce pénis offert, doucement, centimètre par centimètre. Je fais attention à ne pas toucher cette peau si douce avec ses dents. Lorsque je sens que je ne peux pas aller plus loin, je fais le chemin en sens inverse. Je lèche la queue offerte pour la rendre plus humide encore, puis recommence à l’avaler. Je fais jouer ma langue autour du gland. Je ne dois pas trop mal m’y prendre, puisque l’inconnu respire plus en plus fort et pousse de petits gémissements. C’est d’ailleurs lui qui maintenant impose son rythme, il rentre et ressort sa queue de plus en plus vite. Encore inexpérimenté, j’ai un peu de mal à reprendre mon souffle, je couine. L’inconnu a pitié de moi et ralentit, puis il immobilise sa queue dans ma bouche, je sens à ce moment un liquide chaud, à la fois âcre et sucré, se répandre sur ma langue et au fond de ma gorge. Je n’ai pas le temps de réfléchir, mon corps m’impose de déglutir, j’avale cette semence.
Je n’ai pas bougé, je suis toujours assis par terre, la queue bandée au maximum, lorsque je vois passer mon initiateur aux plaisirs du sexe entre hommes, un étudiant musclé, au visage carré, qui me sourit :— Salut, moi, c’est Pierre, et toi ?— Alban.— Ne reste pas comme ça : rhabille-toi et suis-moi dans ma piaule, on dirait que ton sexe en réclame encore…
Mon initiation ne fait que commencer, mais c’est une autre histoire !
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