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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 4

Hétéro
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Julie et Manu, se sont amusés dans la nuit à la découverte des jeux interdit, la lumière du pc allumé les dénonce, corriges comme de petits enfants pas sage, Alice les envoient se doucher.

Chapitre 4 : Le réconfort

Tous les deux dans cette belle salle de bain équipée d’une grande cabine de douche faisant sauna et hammam avec des sièges pour deux ou trois, jets massant par pompe, c’est un régal ; de la taille d’une grande baignoire, on y tient facilement à deux. Julie commence se regarde dans la glace, inspecte l’état de son postérieur : rouge au milieu, les empreintes des mains de sa mère bien visibles sur les côtés, main droite fesse droite, main gauche fesse gauche, « La vache, qu’est que j’ai pris ! » se dit-elle ; en se caressant les fesses, elle pose sa main juste sur une empreinte.
— Tu as vu ? T’as la même taille de main que ta mère ! ricane Manu.— Oh toi, si tu veux que je t’en colle une, tu me le dis ! Je sais faire aussi, tu la mets en veilleuse !— Pardon, ma petite Julie !
Il l’enlace tendrement, leurs tétons s’effleurent, se titillent, les nez se touchent, les lèvres se trouvent, les bouches s’ouvrent, les langues se cherchent, se trouvent, jouent ensemble. Le sexe de Manu se gonfle, durcit, monte, monte ; il se cale entre les cuisses de Julie. Au contact de son clitoris, elle frémit. Son excitation de tout à l’heure revient ; elle emprisonne cette queue gonflée à bloc en serrant les cuisses de toutes ses forces. Ils transpirent. Manu entame un mouvement de va-et-vient. Julie gémit, le repousse.
— Viens !
En l’entraînant dans la cabine, elle ouvre l’eau ; une pluie à peine tiède descend du plafond. Elle saisit ce sexe encore rebelle, le masturbe doucement, joue avec le gland ; elle s’agenouille, l’embouche, le pompe, d’une main le masturbe à la base, de l’autre malaxe, tire, tourne les testicules. Le membre gonfle encore plus dans sa bouche.
Manu gémit. Avoir les parties génitales quelque peu maltraitées, les fesses bouillantes et la verge sucée comme jamais lui procure une sensation étrange et intense ; sa verge durcit encore. Il prend la tête de Julie des deux mains pour l’accompagner dans son mouvement.
Julie n’en peut plus, elle sent le plaisir monter en elle. Ses main quittent la verge pour aller jouer avec son clitoris ; l’autre malaxe ses seins, pince les tétons l’un après l’autre… Elle va jouir. En un éclair, un flot de sperme inonde sa bouche ; surprise, elle étouffe presque et en avale une partie. Ce flot déclenche chez elle un puissant orgasme, sa tête tourne et vacille de plaisir. Manu est à l’extase, il gémit de plaisir ; elle se relève, prend la tête de Manu par derrière, l’embrasse fougueusement, le force à récupérer le reste de son sperme ainsi recueilli. Un « Hum » de dégoût sépare nos deux amoureux.
— Mais c’est dégueu, t’es pas bien !
Julie tire sa langue encore chargée d’un mélange mousseux de sperme et de salive, ouvre grand la bouche pour lui en montrer le contenu. Les yeux écarquillés, il regarde comme hypnotisé la langue jouer avec le mélange, le regard coquin et envoûtant. Elle tire la langue, ondule du corps, avance vers son visage ; il recule. Avec un mouvement de délectation, elle avale tout le contenu avec un « Ahhh ! » de plaisir en léchant ses doigts inondés de sa cyprine. Se collant à lui, elle murmure d’une voix douce et suave :
— Alors, tu as aimé, mon cochon ?
Elle lave le gland, ou plutôt le masse avec du gel douche comme lubrifiant « Qu’est-ce qu’il sent bon, le gel douche de maman ! » Manu crache.
— Oh oui ! Sauf que c’est dégueu ! Mais c’est terriblement bien.
Les corps se touchent « Oh, que c’est bon… » Ils s’embrassent tendrement, puis Julie dit:
— Tourne-toi pour voir.
Il s’exécute.
— La vache, qu’est-ce qu’elle t’a mis !
Elle poursuit la toilette de Manu ; les fesses aussi ont droit à la toilette, et la raie aussi, mais trop serrée ; avec son pied, elle lui fait comprendre d’écarter les jambes. Docilement, il s’exécute. « Attends un peu ; tu vas voir, mon cochon… » se dit-elle.
— Oui, et les deux dernières, elle m’a explosé le cul.— Oui… J’en ai même fermé les yeux quand j’ai entendu le bruit que ça a fait ; j’ai eu mal pour toi, mon pauvre Manu. Au fait, ça t’a excité de me voir me faire fesser de la sorte ?
Les doigts enduits de gel douche, sans prévenir, elle lui enfonce deux doigts dans l’anus. Il se met sur la pointe des pieds pour limiter cette intrusion inattendue.
— Ça ne va pas, non ! Ça fait mal !— C’est bon, hein ?
Il se remet à bander comme un lion. Alice sourit malicieusement tout en continuant le nettoyage minutieux, tourne ses doigts à l’intérieur ; de l’autre main passée devant, elle continue à nettoyer le gland.
— Tu disais ?— C’était terrible, Julie, je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais à la limite de l’éjaculation… Ahhh !
Elle se relève.
— Julie, j’ai envie de toi. S’il te plaît, une fois… De toute façon, après on ne va plus se voir. Julie, s’il te plaît ! Implore Manu.— Non, Manu, je ne veux pas ; tu sais pourquoi.
Manu insiste ; il est à la limite de l’éjaculation.
— Non, c’est non ! Si tu veux (elle prend le gel douche en main) je t’offre mon cul. Vas-y, encule-moi.
« Oh, mais je parle comme une pute… Houlà, t’es pas bien dans ta tête, ma fille ! »
— Julie, s’il te plaît… reprend-il, trépignant comme un enfant en train de faire un caprice.— Non, n’insiste pas : c’est mon cul ou rien. OK ?— OK ; ton cul alors… dit-il à regret.
Elle lui enduit le gland de gel douche, s’en passe sur l’anus, en introduit avec son doigt. « Humm c’est bon… Il a dû apprécier lui aussi. » Elle se retourne, se penche en avant, et de ses mains écarte ses fesses.
— Allez, vas-y ! Manu, vas-y ! Mets-moi ta queue dans le cul.
Ces mots crus excitent encore plus Manu. Sans dire un mot, il enfonce son sexe bandé à bloc, pénètre doucement Julie qui émet un petit cri de douleur, puis il commence un va-et-vient ; un immense plaisir envahit ses intestins. Le mouvement de plus en plus rapide l’amène à une extase totale. Manu éjacule puissamment ; l’anus de Julie se contracte, de puissants spasmes la secouent, elle vibre de tout son corps. Elle n’a jamais connu un tel plaisir. Manu est aux anges.
Le calme revient ; Manu se retire. Ils se lavent mutuellement, s’embrassent avec fougue sous la pluie de la douche pendant que leurs mains caressent leurs fesses encore chaudes. Calmés, rafraîchis, ils sortent, se sèchent, se passent de la crème anti coups de soleil sur les fesses pour en calmer le feu. Manu étreint tendrement Julie.
— Julie… — Oui ?— Je t’aime.— Moi aussi, je t’aime.
Ils se prennent par la main.
— Allez, viens, on descend.— Oui, et on dit quoi ?— Je n’sais pas… On verra ! rétorque Julie, anxieuse.
Encore un baiser, une étreinte. Ce début de journée les a rapprochés, ils sont heureux. Un bonheur de courte durée : il faut redescendre. Tenter quelque chose ; mais quoi ? La tristesse les envahit. Ils enfilent un tee-shirt, se donnent la main et descendent l’escalier.

À suivre
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