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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 5

Hétéro
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Après avoir été punis comme des gosses, Julie et Manu ont été autorisés à prendre une douche ensemble. Manu est renvoyé chez sa mère. Ils profitent de ce moment pour se faire plaisir avec des pratiques sexuelles presque inavouables. Maintenant ils doivent affronter Alice pour éviter que Manu ne parte.

Chapitre 5 : Le pardon

Pendant ce temps, Alice a remis de l’ordre dans ses idées ; elle a pris sa décision.Main dans la main, Julie et Manu arrivent tout penauds et tristes malgré le bon moment qu’ils viennent de s’offrir ; Manu va partir. À la vue des deux amoureux, Alice s’attendrit ; « Ils sont mignons tous les deux, ils feraient un joli couple ! » pense-t-elle. Elle les accueille de sa voix douce, celle de tous les jours, un petit sourire au coin des lèvres :
— Alors, ça va mieux ? Avec tout le temps que vous avez mis, elle a dû être bonne, votre douche ! Bon je voulais vous dire…
Armé de tout son courage, Manu implore Alice :
— Alice… Alice, s’il te plaît, ne me renvoie pas. Je… je… je ferai tout ce que tu voudras. S’il te plaît, Alice ! — Maman, s’il te plaît, moi aussi je ferai tout ce que tu voudras. Par pitié, ne le renvoie pas ! enchaîne Julie.
Presque d’un commun accord, ils ont joué le tout pout le tout. « Là, ça passe ou ça casse ! » pensent-ils en même temps.
— Et pourquoi le ferais-je ? rétorque Alice.
Julie réfléchit vite, regarde Manu, regarde sa mère droit dans les yeux. Une larme coule sur sa joue. Elle dit simplement :
— Maman, maman… on… on s’aime, maman. S’il te plaîîîîîît !
Alice est émue ; son instinct maternel lui avait déjà révélé cette évidence. Sa fille est amoureuse ; ce n’est plus une amourette de collège, ça semble sérieux. Troublée par cette situation nouvelle, hésitante elle reprend :
— Bon… Je… euh… Quand vous étiez à la douche, j’ai décidé que…
Ils rougissent, se figent, se regardent, se prennent par la main, se les serrent à s’en écraser les doigts.
– Manu, tu vas rester ici, mais…
Elle n’a pas le temps de terminer sa phrase qu’ils lui sautent au cou au point de la renverser, la couvrent de baisers.
— Merci, Alice !— Merci, maman ! Je t’aime, tu es formidable. Oh, merci, merci !
Julie saute de joie. Ils sont heureux, s’étreignent. Tout disparait de leur esprit : la fessée, la punition. Ils sont remplis de bonheur.
— Hop, pop, pop, on se calme ! Je…
Ils ne l’entendent plus. Fous de joie, ils retirent leur tee-shirt en courant vers la piscine. Alice a tout juste le temps de voir deux paires de fesses bien rouges disparaître dans l’eau. Ils rient, s’embrassent, sortent de l’eau, plongent et replongent.
Alice sourit. Cet évènement la ramène quelques années en arrière, quand elle avait leur âge. Les jeux interdits auxquels elle s’adonnait avec le père de Julie. La nostalgie l’envahit. « C’est vrai qu’on a pris du bon temps, on s’est régalé ! Mais voilà, il est parti… » pense-t-elle. Elle a toujours été en colère contre lui : il l’a abandonnée, elle a sacrifié sa vie pour élever Julie. « Et Manu qui est en train me voler ma fille, son père qui n’est jamais là… Pourtant, il lui avait promis monts et merveilles. Tous les mêmes ! Bon, allez, je vais m’occuper d’eux encore mieux, et après je m’occuperai de moi. Enfin, s’il n’est pas trop tard. » se dit-elle. Reprenant ses esprits, elle les appelle pour passer à table. Ils sortent de l’eau, s’essuient et reviennent tout en enfilant leur tee-shirt. Julie se dirige vers sa mère.
— Merci, maman ! lui dit-elle en l’embrassant avec tendresse.— Allez, à table ! Au fait, tout à l’heure, j’étais en train de vous dire, avant que vous disparaissiez, qu’il y a des conditions. Donc…— Oui, Alice, tout ce que tu veux ! la coupe Manu.— Oui, oui, tout ce que tu veux, maman. Tout, tout ! Hein, Manu, on fera tout ! insiste Julie.
Elle saute de joie sur sa chaise, telle une petite fille à qui l’on vient d’offrir le jouet tant espéré.
— Vous êtes complètement malades tous les deux ! Vous acceptez des conditions sans même savoir de quoi il s’agit. Hé bé !— Eh bien tant pis, on va assumer. OK, Manu ? lui dit-elle en lui envoyant un grand coup de coude.— Oui, oui, on va assumer, Alice !— OK. Bon, peut-être allez-vous le regretter… Donc, en premier : plus de cachotteries, plus de mensonges. En deux : devoirs de vacances pour tous les deux !— Maman, les devoirs vacances, ce n’est pas un peu beauf ? — Ah oui, c’est vrai : c’est beauf comme tu dis ; sauf que vous ne savez pas ce qui va se passer à la rentrée scolaire : vous rentrez dans mon lycée.
Les yeux rivés sur Alice, ils écoutent. Elle enchaîne :
— Peut-être n’allez-vous pas être contents, mais vous serez dans ma classe. Avec moi comme prof principale.— Ah, d’accord… Eh bien, Manu, il va falloir se lever le cul ! dit Julie.— Oui. Surtout toi, Julie, car je ne tiens pas à être la risée de tout le lycée si la fille de la prof principale n’a pas son bac ; et pour moi, se sera avec mention : c’est un minimum pour des redoublants, ma chérie ! D’accord ?
Julie se redresse, regarde sa mère. Son visage s’éclaire, elle est heureuse.
— Manu reste : sa mère vient de l’appeler, ma chérie.
C’est le terme qu’elle emploie toujours, mais depuis ce matin elle ne l’avait pas dit une seule fois. Elle est heureuse, son cœur bat la chamade.
— OK, maman, promis : on va bosser. Hein, Manu, on va bosser ! — Oui, comme des fous. Tu vas voir, on va l’avoir, la mention !
Alice fait alors le tour de la table, se place entre eux deux, leur passe la main dans les cheveux comme elle le fait de temps en temps, leur dépose un tendre baiser sur la joue et poursuit :
— Allez, c’est fini, on n’en parle plus. Tu sais, Manu, je préfère cent fois, mille fois avoir découvert votre petit jeu plutôt que de la retrouver enceinte ; parce que là, ça se serait très mal passé.— Maman, je te jure qu’on ne l’a pas fait ; je ne veux pas avoir de relations sexuelles pour l’instant.
Et, tournant la tête vers Manu, elle ajoute :
— N’est-ce pas ? On regardait par curiosité, juste pour trouver des idées de jeux, c’est tout.— Vous n’avez pas d’imagination pour vous amuser, à votre âge ? Je peux vous en donner si vous voulez.
Julie, les yeux écarquillés de stupeur, ne dit rien.
— Allez, Manu, redresse-toi, souris ; tu es tellement plus mignon quand tu as le sourire !
Réconforté, son sourire revient.
— Maman, et en trois ?— Ah oui ; c’est pour Manu : sport.— D’accord, pas de problème, je vais m’y mettre.— Allez, j’ai faim ; on mange ! dit Alice.
Le repas se déroule dans une bonne ambiance ; ils parlent comme si rien ne s’était passé. La principale conversation tourne autour des devoirs de vacances, le temps consacré par jour, les matières à revoir. Alice les aidera et Manu promet de faire du sport : il ira courir avec elles le matin, faire des abdos et se calmer sur la console. Comment va-t-on organiser les vacances, va-t-on partir un peu ? Après le repas, Alice décide de prendre le café dehors. Julie et Manu la rejoignent après avoir débarrassé la table, un verre de Coca à la main.
— On peut venir avec toi, maman ? — Oui, si vous voulez.
Julie s’installe sur le transat en face de sa mère, Manu sur celui situé à côté. Alice pose son regard sur sa fille ; son tee-shirt remonté jusqu’au haut de ses cuisses laisse entrevoir sa toison dorée, et Manu n’a rien mis non plus. Elle trouve ce spectacle amusant et un tantinet érotique, ce qui n’est pas pour lui déplaire et lui donne une idée.
— Au fait, le plongeon dans la piscine tout nus de ce matin, c’était bien ?— Oh oui, maman. D’ailleurs…— Si vous voulez, vous pouvez rester nus dehors, et même dedans. Cela ne me dérange pas.
« Décidément, elle devine tout ! » Julie l’interroge :
— Maman, tu vas le faire aussi ?— Pourquoi pas ? Mais je ne sais pas si notre pauvre Manu va résister longtemps avec deux nanas à poil, vu ce que ça provoque chez lui avec une ; alors, avec deux, je ne te dis pas…
Alice sourit ; Manu rougit et pose ses mains sur son entrejambe. Voyant le geste de Manu, Alice réalise tout à coup qu’elle aussi est nue dessous, et que si elle voit leur anatomie, eux aussi voient la sienne. Elle change légèrement de position – à l’avantage de Manu –, lance un regard coquin à sa fille, attend un peu puis se lève, un coup d’œil complice sur Manu. « J’aurais dû parier ! Je suis méchante avec lui ; il est trop mignon, ce petit. Il n’a pas eu de chance lui non plus… » se dit-elle en rentrant dans la maison.
— Je ferme pour garder la fraîcheur ; je vais faire un peu de ménage.
Julie et Manu s’allongent nus sur une serviette, enduits de crème solaire, et se mettent à rêver en se tenant la main. « Faire du ménage ? Menteuse ! » Le PC est resté dans la chambre de Julie ; elle l’ouvre. Il dévoile un grand nombre de pages plus intéressantes les unes que les autres. Ayant vu ce qu’elle cherchait, elle le referme.Comme elle n’a pas envie de cuisiner, elle se met nue, enfile un short de sport et un débardeur bien moulant (tenue de jogging), prend son porte-monnaie et sort par la porte-fenêtre.
— Je vais chercher des pizzas pour ce soir. Qu’est-ce que vous voulez ?— Je ne sais pas… Peu importe, comme tu veux. On va avec toi ? répond Julie.— Non, ça va aller, je vais au camion à pizzas ; et puis vu l’état de vos fesses… dit-elle avec un petit sourire.
Julie lève la tête, surprise par la tenue de sa mère.
— Maman, ce n’est pas un peu trop moulant ? Tu devrais descendre un peu ton short, on voit tout !
Manu se redresse alors, attiré par le mot « tout ».
— Ah bon, tu trouves ? répond sa mère en regardant son short
« Elle a raison, ça me rentre un peu dedans ! » Elle le descend un peu et s’en va.
— Elle est trop belle, ta mère !— Bah oui, c’est ma mère, quoi…
En un éclair, Julie tourne la tête ; Manu n’a pas le temps de rabattre sa serviette sur lui. Julie se lève d’un coup et découvre son Manu la bistouquette en l’air.
— Mais tu bandes, mon salaud ! C’est ma mère qui te met dans cet état ?— Désolé, mais elle est canon ! Et tu sais, il y a un dicton qui dit « Si tu veux la fille, regarde la mère. » Comme ça, je sais comment tu seras plus tard ! poursuit-il sur un ton chahuteur.— Comment ça, « Désolé » ? Mais t’es vrai un goujat ! Tu veux peut-être aussi la sauter ? lui crie-t-elle. Ma mère a raison : vous, les mecs, vous bandez pour un oui ou pour un non. Attends un peu, tu vas voir !
L’énervement décuple ses forces ; elle l’attrape par les poignets, les passe derrière le tronc du jeune cerisier sous lequel il avait jugé bon d’étendre sa serviette, les attache ensemble avec son tee-shirt. Manu, surpris, gesticule tant qu’il peut, mais rien n’y fait : le voilà prisonnier.
— Julie, implore-t-il, détache moi ! Si ta mère arrive…— Et alors, peut-être qu’elle va aimer. Qui sait ?— Tu es complètement folle ! Déconne pas, s’il te plaît.
Impossible de se libérer. Elle s’assoit à califourchon sur ses genoux, et le pauvre garçon se trouve complètement prisonnier de sa belle en furie. Saisissant le sexe provocateur, encore plus excitée par ce combat érotique, elle commence alors une masturbation violente et forcée.
— Arrête ! Arrête, je te dis ! — Tais-toi ! Tant que tu bandes, je continue.
Elle astique l’objet du délit encore et encore. Il éjacule sur lui mais a toujours la trique. Elle continue quand même. Elle a mal au bras, alors elle change de main sans s’arrêter. Elle est endurante, c’est une sportive.
— Pitié, arrête, je n’en peux plus, ça fait mal ! supplie-t-il.— M’en fous ! Tu te rappelles la vidéo sur ton putain d’ordi ? Tu sais, celle où il y a un mec à poil, attaché à un arbre, qui se fait branler pendant une demi-heure par une nana en nuisette ; en plus, tu as un avantage parce que moi je suis à poil ; elle le fait éjaculer toutes les dix minutes : eh bien, là, c’est ton tour ! Allez, vas-y mon Manu, courage, dépêche-toi : ma mère ne va sûrement pas tarder.
Manu éjacule de nouveau ; il en a partout. Enfin son érection s’arrête ; il est en sueur, exténué. Julie continue juste pour voir s’il ne rebande pas : rien. Elle lâche le sexe devenu tout mou. Elle entend le bruit du portail ; vite, elle le détache, le prend par la main, l’entraîne dans la piscine, et plouf, ni vu ni connu. Une fois la tête hors de l’eau, elle lui demande :
— Alors, c’était comment ?— T’es conne, on a faillit se faire piquer ! J’ai la queue en feu. Par contre, c’est terrible comme truc.— T’inquiète, on le refera en mieux !
Alice arrive avec trois cartons de pizzas. Le sourire aux lèvres, elle leur demande :
— L’eau est bonne ? — Oui, ça va. Hein, Manu, que ça fait du bien ?
Il ne répond rien, hausse les épaules et sort de la piscine. Julie sort de l’eau elle aussi. Une fois secs, ils rentrent dans la maison.
— Ça vous dit un apéro ?— Oh oui, si tu veux.
Ils s’affairent tous, préparent l’apéro dans le jardin. Il fait frais dehors. Exceptionnellement, ils prennent un petit verre de porto, trinquent au futur bac avec mention. Demain, ils iront faire les courses tous ensemble, acheter les cahiers de devoirs de vacances et des affaires de sport pour Manu.La soirée se passe simplement dans le calme, puis Alice décide d’aller ce coucher.
— Je vais me coucher, dit Alice en les embrassant. Et pas de bêtises : chacun dans sa chambre !— Oui, maman, promis. Bonne nuit.— Bonne nuit, Alice, enchaîne Manu.

À suivre
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