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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 6

Inceste
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Manu reste sous conditions : plus de cachotteries, devoirs de vacances pour le bac ; et pour Manu sport.Les commentaires de Manu lui ont valu un terrible supplice : attaché, prisonnier de Julie qui lui a infligé une violente masturbation pour avoir fait des commentaires sur le physique d’Alice.

Chapitre 6 : Câlin maternel

Julie n’arrive pas dormir ; le film de la journée se déroule dans sa tête. Ils viennent d’être les acteurs des vidéos qu’ils ont regardées sur Internet. Elle s’interroge : « Maman a dû regarder sur le PC quand on dormait… Non ce n’est pas possible, on se serait réveillé ! Elle a deviné, alors ; pourquoi s’est-elle mise en colère de la sorte ? » Aucune réponse n’émerge de cette réflexion. Le film repasse en boucle. Au fond d’elle même, elle sent l’envie d’en découvrir plus en réel. Elle veut découvrir ce monde inconnu. Son sexe la démange, l’envie de sexe la torture, elle a chaud. Elle se revoit nue sur la table prenant la fessée. Elle se frotte le sexe ; ses entrailles sont en feu. L’autre main prend ses tétons, un à un, les pince, les tord dans tous les sens, malaxe les seins. Elle a envie d’un sexe, d’un sexe d’homme. Elle rentre son doigt en elle. L’orgasme arrive. Il la secoue telle une poupée chiffon, recroquevillée sur elle-même en chien de fusil ; puis les spasmes du plaisir s’estompent, elle a chaud, elle transpire.
Elle est perdue ; des sensations étranges l’envahissent. Il lui faut quelqu’un. « Maman ! C’est Maman qu’il lui me faut ! » Elle veut se faire câliner, elle veut la sentir à côté d’elle, maintenant. « Il faut que je monte. Maman, un câlin maman ! » Elle veut se faire cajoler comme lorsqu’elle était plus petite, quand il y avait de l’orage, blottie contre sa mère, lui massant le dos à travers sa chemise de nuit.
Décidée, elle sort de son lit, en sueur. Vite, une douche froide. « Ah ! Que ça fait du bien ! » Tremblante, elle monte l’escalier à pas de loup ; elle est nue, pousse la porte doucement. Un rapide coup d’œil. « Elle dort… » L’unique drap recouvre à peine le corps nu de sa mère ; un bras allongé en travers du lit l’appelle : « Viens, Julie ! Viens ! » Telle une chatte, elle se dirige vers le lit, se glisse sous le drap, pose doucement sa tête sur le bras étendu. Un doux parfum émane du corps de sa mère. Alice est calme. Julie sent les doux mouvements respiratoires. Délicatement, elle pose sa main sur le ventre d’Alice qui ne bouge pas. « Tout va bien ! » Sa main entreprend alors une exploration délicate et minutieuse du ventre musclé ; elle remonte, se pose sur le sein droit. Alice bouge un peu ; Julie se fige, retient sa respiration, attend.
Elle est bien blottie contre sa mère ; elle voudrait que cela dure une éternité. Le calme est revenu. À tâtons, sa main trouve le téton, là, juste devant son nez. Machinalement, elle tire la langue. « Trop court ! » Elle avance tout doucement la tête ; elle le touche. « Je fais, je ne fais pas ? » Le bout de la langue timide touche cette attirante proéminence, dressée et fière, qui ne demande qu’a être léchée, caressée, tétée, sucée. Sous l’action des doigts et de la langue, les tétons se dressent. Une étrange sensation envahit son bas-ventre ; son sexe s’humidifie, le désir revient. « Encore. Que c’est bon… » Elle est sur un nuage, la tête dans du coton ; elle plane.
Alice sent les caresses, son subconscient cherche : « C’est le père de Julie qui me caresse ; c’est impossible, il n’est pas là. » Ces mains douces, cette respiration, cette odeur... Une douce chaleur envahit son ventre. Ce n’est pas un rêve… « Alice, quelqu’un est bien en train de te caresser ; on te lèche le téton. Cette douce toison sur ta cuisse, te ne sens pas ces doux poils qui te chatouillent ? Alice, tu ne rêves pas : c’est Julie ! » Elle sort de son sommeil, sur le point de se retourner, le souffle de sa fille sur son téton humide lui donne un frisson. Elle se ravise, attend, savoure ce moment incestueux, un moment doux et tendre.
« Je la laisse faire ; on verra bien… » pense-t-elle. Elle émet un soupir de plaisir, bouge son bassin, écarte légèrement les jambes. Un appel : « Viens me caresser… » Julie, encouragée par ce mouvement, continue son exploration, caresse les seins, les malaxe doucement. Alice est aux anges. Julie continue. La main arrive sur le ventre, descend encore, arrive sur le pubis nu. Elle est surprise : c’est doux. « Maman s’épile là… » Elle laisse ses doigts errer sur cet endroit, tourner en rond. Alice ondule à nouveau du bassin, émet un petit gémissement de plaisir ; les jambes s’écartent un peu plus. Les doigts curieux descendent vers la vulve humide. « Elle est trempée… et la mienne aussi ! »
Julie sent une main se poser sur son dos. Elle sursaute, redescend de son nuage. La main d’Alice caresse, monte, descend jusqu’au creux des reins de Julie qui se cabre. Alice tourne la tête.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
— J’avais envie d’un câlin, maman.— Pour un câlin, c’est un câlin : tu es drôlement douée ! chuchote Alice.— Ohhh, maman…
Elles sont face à face ; les bouches sont toutes proches. Alice rapproche la sienne un peu plus. Dans la pénombre d’un rayon de lune, deux paires d’yeux bleu azur se regardent un instant et se referment. Julie ne bouge pas.
Sa mère fait passer sa main du dos de sa fille à l’arrière de sa tête ; elle lui dépose un baiser sur la bouche. « Tu m’as allumée ? Eh bien, tu vas voir un peu ! » pense-t-elle, dans un état second dû à sa forte excitation. Faisant basculer sa fille sur le dos tout en restant bouche contre bouche, elle force avec sa langue cette bouche à s’ouvrir. Julie fait un « Hum… » de résistance, peu convaincant, et cède. La main disponible d’Alice lui malaxe les seins, lui pince les tétons l’un après l’autre. Julie se tortille de plaisir. Les doigts d’Alice courent, passent du ventre aux seins, aux tétons, puis descendent, descendent encore, arrivent à son pubis, caressent les doux poils blonds. Julie respire fort ; sa bouche est toujours prisonnière de celle de sa mère. Sous l’insistance des doigts qui continuent leur descente vertigineuse, elle ouvre les jambes en grand. Les doigts se faufilent dans l’entrejambe, parcourent les fines cuisses musclées. Julie ne sait plus, ne pense plus. Les mains posées sur le côté de ses fesses, son corps est rempli de sensations qu’elle n’a encore jamais connues ; jusqu’à présent, personne ne l’avait mise dans cet état. « Je deviens complètement folle… Oui, folle de plaisir ! »
Les doigts de sa mère remontent, descendent encore ; ils vont aller toucher le petit bouton de son clitoris, caresser les petites lèvres, les grandes lèvres. Julie, de plus en plus agitée, ondule de tout son corps sous l’emprise du plaisir que lui procure sa mère. Sa respiration s’accélère encore. Alice quitte la bouche de sa fille, la fait courir sur ses seins, titille les petits tétons durcis ; les doigts fouillent maintenant son intimité, se heurtent à son hymen. « Flûte, elle est toujours vierge : je me suis trompée. » Elle est heureuse ; ce moment de bonheur la bouleverse. « Je lui ai flanqué une raclée pour rien, alors. Qu’est-ce que je peux être conne par moments… De toute façon, elle m’a trahie ! Tu vas voir, ma chérie, je vais t’emmener au septième ciel… » se jure-t-elle.
Sa bouche dévore le joli pubis blond, la langue fouille la vulve, pénètre dans le vagin. Julie a envie de crier ; elle attrape un oreiller et se le met sur le visage pour étouffer ses cris. Elle rugit, elle sent l’orgasme arriver. Il arrive, il est là, il explose en elle tel un volcan en éruption. Elle est en sueur, au paroxysme du plaisir. Elle crie dans l’oreiller, son bassin se soulève ; arcboutée sur ses jambes, elle est secouée de spasmes. Alice assise entre ses cuisses place ses genoux sous ses fesses. Sa bouche à hauteur du sexe ruisselant de cyprine, elle lèche, lape, suce, aspire le précieux liquide. Mouille deux doigts et les rentre dans l’anus tout proche ; ils tournent, fouillent, ressortent, rentrent à nouveau, s’écartent. Un troisième les rejoint ; le manège continue. L’orgasme redouble d’intensité ! Julie crie, la tête enfouie dans l’oreiller. Les doigts d’Alice inondés de la cyprine de sa fille continuent leurs caresses devenues plus douces. Elle libère Julie qui retombe sur le lit comme un bloc. Les spasmes diminuent, le calme revient.
Alice caresse tout le corps de Julie ; les doigts courent partout comme des fournis, puis les deux mains posées à plat massent les pieds, les jambes et les cuisses sans oublier l’intérieur, font escale à la grotte intime, remontent à l’aine, font des huit sur le ventre, remontent, emportant au passage les deux jolis melons, caressent les joues. La bouche emplie de cyprine, elle s’approche de celle de sa fille qui s’entrouvre. Les langues se rencontrent, et un savoureux mélange de salive et de cyprine s’échange longuement ; Julie avale son liquide doux et chaud. Les bouches se séparent ; un goût un peu âpre reste dans leur bouche. Elle savoure ce plaisir qu’elles viennent de partager. Alice se pose une question : « Est-ce du vice ou de l’amour, du vrai ? »
Alice relâche son étreinte, se rallonge ; Julie se recale dans le creux de l’épaule de sa mère, la joue contre son sein, des fois qu’une envie de téter... De ses douces mains elle caresse doucement le corps. Sa jambe emprisonne la cuisse de sa mère, caressée par le doux pubis. Après un long silence, Julie murmure :
— Oh, maman, que s’était bien ! C’était fort… Je suis bien. Je t’aime, maman.— Moi aussi je t’aime, ma chérie.— Merci, maman. Je peux rester dormir avec toi ?— Oui, ma chérie.
Julie se blottit encore plus ; elle caresse la poitrine de sa mère, son ventre, passe sa main sur son pubis et tout en le caressant lui avoue :
— Je veux être comme ça…— Si tu veux ; je vais te montrer comment faire.— Pourquoi tu m’as fait tout ça ? Tu n’as pas joui, toi ?— Eh bien, ce sont des caresses des plus agréables ; elles m’ont donné envie de t’envoyer au septième ciel, bien que ce ne soit pas très moral, tu le sais. Quant à l’orgasme, ce n’est pas grave.
Julie recommence à caresser sa mère.
— Je sais que ce n’est pas bien, mais cela ne regarde que nous, c’est tout. Attends, je vais le faire, et tu vas répondre à mes questions ! s’enhardit-elle.— D’accord, tu l’auras cherché. J’ai droit au joker ? — Non : c’est interdit dans le règlement, tu sais. Pourquoi tu nous as foutu une dérouillée ce matin ?— Je… C’est que… Plus tard ; je te dirai plus tard.— Maman, tu as promis !— Bah… En fait, c’est que je ne t’ai pas vue grandir. Tu es grande, amoureuse ; Manu va t’arracher à moi. Ton père, le sien… Tout, quoi. J’ai pété un câble. Je te demande pardon de t’avoir punie, c’était idiot de ma part.— Ce n’est pas grave : grand-mère dit que ça fait circuler le sang.
Puis, prenant une voix sexy, elle ajoute :
— On n’a pas eu vraiment mal, tu sais...— Ne me dis pas que vous avez aimé ?
Julie affine sa main le mieux qu’elle peut, commence à l’introduire dans le vagin de sa mère.
— Si… et Manu aussi ; tous les deux on a aimé : un peu plus, j’avais un orgasme sur la table, et après avec Manu.— Quoi ? Avec Manu ?
Le vagin d’Alice est de plus en plus trempé ; la main glisse doucement vers l’intérieur. Julie regarde sa mère dans les yeux et lui avoue :
— Comme je ne veux pas par devant, il a été obligé de le faire par derrière.
À ces mots, sa main est happée par le sexe gourmand de sa mère, prise comme dans un étau. Elle ressent les spasmes de l’orgasme déclenché par cette pénétration incestueuse.Alice retrouve ses esprits, embrasse tendrement sa fille.
— Dis, maman, on le refera ?— T’es une gourmande, toi !— Tu as dit que tu connais des trucs ; tu nous montreras, dis ?— D’accord. On en parle avec Manu demain ; peut-être qu’il ne voudra pas.— Alors là, ça m’étonnerait ! Tu vas nous faire quoi ?— Tout ce que j’ai fait, et peut-être plus…— Et s’il y en a qu’on ne veut pas faire ?— Déjà, si tu n’essaies pas, tu ne sauras pas. Et en plus vous avez dit que vous feriez tout ce que je veux. Donc, maintenant que tu t’es jetée à l’eau, nage, ma fille ! Et Manu, tu comptes le laisser au régime « cinq contre un » longtemps ?— Non, maman je vais le faire. J’ai la trouille, mais je vais le faire, promis.— Quand ?— Je pense pour son anniversaire ; mais il faudra que tu m’aides.— OK, on y réfléchit ; on va lui faire un truc grandiose. Et pourquoi ne ferions-nous pas le tien en même temps ? Vous avez quoi, une semaine d’écart ?— Trois jours, maman. On aurait pu être jumeaux, tu te rends compte !— Oui, je me rends compte. Allez, on dort.
Epuisées par cette journée, elles s’endorment dans les bras l’une de l’autre.

À suivre
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