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A la découverte d’un monde inconnu : le cahier d’histoires

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
La boulangerie, et comment assouvir deux femelles en chaleur

Moi, c’est Manu ; je vais vous raconter l’histoire à peine croyable que j’ai vécue avec Julie et Alice, ou comment gérer deux tigresses avides de sexe. Tout cela trouve son origine dans le chapitre 10 de « À la découverte d’un monde inconnu », dans lequel j’ai perdu l’occasion de me taire et me trouve dans l’obligation d’aller chercher le pain du petit déjeuner.

Ce matin, il pleut. Nous sommes tous levés, et je dois aller chercher le pain pour le petit déjeuner uniquement revêtu du vieux K-Way du grand-père de Julie (donc à poil dessous). Cette espèce d’imper arrive à dix centimètres sous les fesses ; il est moche, mais étanche. Je ne suis pas particulièrement pudique, et aux dires d’Alice, tous les garçons aiment bien se balader la bite à l’air. Mais de là à se balader dans la rue avec uniquement ce truc sur le dos, je fais beaucoup moins le fier. Je dois y aller sans qu’Alice ni Julie ne me le rappellent, sinon ce sera sans le K-Way, et là ce n’est plus drôle du tout !Faisant contre mauvaise fortune bon cœur et armé de courage, je vais voir Alice.
— Bonjour, Alice ; tu peux me donner des sous ? Je vais chercher le pain.— Bonjour, Manu. C’est gentil de m’éviter de me faire mouiller, j’apprécie, mais tu ne vas pas y aller tout nu, me répond-elle avec un sourire coquin.— Non, je vais mettre le K-Way de ton père.— Je vois que tu n’as pas oublié ; c’est bien.
Elle me donne le porte-monnaie, et je commence à ouvrir la porte de communication avec le garage. Comme je me doute qu’il va se passer quelque chose, instinctivement je serre les fesses ; grand bien m’en prend : une magistrale claque atterrit sur mon postérieur, suivie d’un « Aïe, t’as le cul dur ! » sorti tout droit de la bouche d’Alice. Dans mon for intérieur, je jubile « Bien fait ! »
Une fois dans le garage et content de moi, j’enfile le fameux K-Way. Il est grand : je suis certain que Julie pourrait rentrer avec moi dedans. Oui, ce serait pas mal… Elle devant et moi derrière : faudra que j’y pense. Je me regarde dans un bout de miroir qui traîne ; il me fait une minijupe. Je lève les bras. « Mouais, il y a kiki qui pointe le bout de son nez par en dessous. J’ai intérêt à faire gaffe ! »
Dehors, il pleut ; et dans le Sud, quand il pleut, il pleut ! Je sens l’impact des gouttes qui claquent sur la toile du vêtement. J’ai mis des godasses en plastique, celles qu’on utilise pour travailler au jardin. Je ne dois pas avoir l’air con avec mes pompes, les guibolles à l’air et ce vieux truc ! Tant pis pour moi, j’assume ; et la prochaine fois, je la fermerai.
Je parcours l’allée jusqu’à la rue qui mène au centre du village. Me voici dans la rue. Cinq ou six cents mètres à parcourir ; il n’y a personne : ça va aller. Je ne suis pas trop tranquille malgré tout, je parle tout seul. « Si je rencontre quelqu’un, je fais quoi ? Après tout, personne ne sait pas que je suis à poil dessous. Il faut juste ne pas lever les bras, c’est tout ; OK ? Go, fonce ! » J’entends un bruit de moteur : une voiture. Elle ralentit, elle est derrière moi, ralentit encore ; là, je ne suis pas trop fier… « Merde, elle va s’arrêter ! » J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure. Elle ralentit encore, passe dans les flaques d’eau, arrive à ma hauteur puis commence à accélérer. C’est juste à ce moment qu’une roue avant passe dans un nid de poule : splash et re-splash : me voila rincé ! Et comme l’eau est arrivée d’en bas, elle est passée sous le K-Way et j’ai le cul tout mouillé.J’arrive enfin devant la boulangerie ; personne. « J’ai du bol… » J’entre dans la boutique, prends un air désinvolte et décontracté.
— Bonjour, Madame.
« Tiens, une nouvelle vendeuse ; je ne la connais pas. La vache, elle est canon ! »
— Bonjour. Tu es Manu ?— Euh, oui, pourquoi ?
Je suis surpris. Comment connaît-elle mon nom ?
— Julie a appelé pour que tu prennes des croissants. Donc, il faut une baguette et trois croissants.
« Julie la connaît ? Bon. » Elle prépare les baguettes et les croissants, place le tout dans un sachet papier et un sac plastique. Je paie.
— Tu devrais mettre tout ça sous ton K-Way : avec la pluie qui tombe, tu vas tout tremper.— Merci, je vais le faire.
Elle fait le tour de la vitrine, s’approche ; je commence à être un peu mal à l’aise.
— Dis donc, avec ton K-Way, on a l’impression que tu n’as pas de culotte. Attends, je vais t’aider.— Non, non, ça va aller, merci.
« Holà ! Il est temps que je parte d’ici, je sens que ça va mal finir… »Trop tard ; elle me prend le sachet des mains.
— Allez, ouvre. Je vais te le glisser à l’intérieur.
Là, je n’ai pas envie de rire… De plus, je sens que je commence à bander ; le sang me monte au visage. Timidement, je descends un peu la fermeture Éclair, juste assez pour y glisser le sachet, offrant à la belle vendeuse une partie de mon torse nu et imberbe. Elle me fixe dans les yeux ; son regard pétille.
— Dis-moi, t’as rien en dessous ?— Si, je…
Là, je n’en mène pas large : si elle touche à la fermeture Éclair, je suis mort.
— Bah alors, qu’est-ce qui te gêne ?
Elle passe son doigt dans l’anneau de la fermeture, et ziiiiip ! La voilà arrivée en bas, et je me retrouve quasiment à poil au milieu de la boutique.
— Waouh ! Mais t’es un exhibitionniste… Et tu aimes ça : tu bandes, mon cochon ! Ah, tu vas voir ! me menace-t-elle en empoignant l’objet du délit.
Elle se dirige vers la porte du magasin et retourne la pancarte sur laquelle il est inscrit : « De retour dans 5 minutes. » Après avoir fermé la porte à clef, elle revient vers moi.
— Tu n’as pas honte de venir exciter une pauvre petite vendeuse comme moi ?— Je… je… c’est que…
Je finis par lui raconter grosso modo l’histoire, qu’elle écoute attentivement.
— Ah oui… La vache, c’est chaud chez vous !
Elle se met à me pincer les tétons puis les mordille ; je proteste (enfin, pas trop), et voyant mon excitation elle s’agenouille pour me faire une fellation de fou ! Je suis sur le point d’éjaculer.
— Ah oui, oui… Je vais…
Elle s’arrête net, attrape un pain au lait, enfonce son doigt à l’intérieur, me plante le sexe dedans tel un hot-dog et continue à me masturber ; évidemment, j’éjacule dedans. Une fois le petit pain garni, elle le retire en prenant bien soin de récupérer le précieux nectar puis y introduit une barre de chocolat pour refermer le trou. Elle le met dans un sachet, le glisse avec les autres et m’aide à tout mettre sous le K-Way en me disant avec un grand sourire et un regard complice :
— Tiens, Manu ; celui-là, c’est pour Julie. Quand elle l’aura mangé, tu lui diras que c’est de la part de Marie : elle comprendra. Tout le monde sait qui est Marie : il s’agit de la jeune dame du magasin de vêtements.
Elle ouvre la porte, regarde dehors et me fait signe que je peux y aller.
— Au revoir, Manu. La prochaine fois, viens carrément à poil ; je te ferai visiter le fournil. D’accord ?
Elle lève le K-Way et me met un magistrale claque sur le cul.Je n’ose pas me retourner ; j’ai un peu honte. Il pleut à verse. Je cours presque ; la pluie claque sur le vêtement pendant que d’une main dans la poche l’autre à l’extérieur je soutiens le sac : ce serait dommage de perdre ce qu’il y a dedans. En chemin, je revois la scène. Il n’y a personne dans la rue ; je file.J’arrive enfin à la maison. J’entre dans le garage, dépose mes courses sur un plateau, me sèche, puis j’ouvre la porte de communication ; je suis accueilli par des applaudissements. Fier comme Artaban, je dépose le plateau sur la table.
— Alors, Manu, comment ça c’est passé ?
Je prends le pain au lait fourré et le tends à Julie.
— Tiens. Celui-là, c’est pour toi ; il est tout chaud.— Merci ! J’adore les pains au lait avec du chocolat. Alors, raconte.
Tout en déjeunant, je raconte (j’évite l’histoire du pain au lait) je brode et traîne le temps que Julie termine son pain au lait. Je raconte le passage où une voiture fantôme s’arrête pour me proposer de m’emmener ; bref, histoire de les distraire. Julie a quasiment terminé son petit pain.
— Il était bon, ton petit pain ?— Extra. Pourquoi ?
Elle avale la dernière bouchée.
— En fait, je ne t’ai pas dit : c’est de la part de Marie, la vendeuse de la boulangerie.— Marie ?
Julie interroge sa mère du regard.
— Oui, Marie. Tu la connais bien, je crois ; tu sais, celle qui t’a pelotée dans la cabine d’essayage.— Elle travaille à la boulangerie ?— Oui. Si tu allais chercher le pain un peu plus souvent, tu saurais que c’est là qu’elle travaille, répond Alice.— Bon, c’est bien. Et alors ? demande-t-elle d’un ton un peu agacé.— Il était bon, le pain au lait et chocolat ?— Oui. Elle a mis quelque chose dedans ?
Je vois l’inquiétude s’installer sur son visage.
— Oui, il y avait quelque chose ; et a priori, tu as aimé.— Oui, il était bon. Dis-moi ce qu’il y avait dedans ?
Elle trépigne, mais continue à boire son chocolat.
— Tu va adorer : en plus du chocolat, il y avait mon sperme. Il paraît que l’association chocolat/sperme, ça marche bien ! dis-je en pouffant de rire.
Elle manque de s’étouffer et recrache son chocolat dans le bol ; Alice éclate de rire.
— Alors celle là, elle est trop bonne ! Oh, ma pauvre petite chérie, qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Manu, ce n’est pas bien de faire des choses comme ça à ma fille.
Alice est visiblement ravie ; elle prend son bol, le débarrasse et part dans le garage. Julie se lève, me fonce dessus et me donne des coups de poings sur le torse en criant :
— Salaud ! Salaud ! T’es dégueulasse !
Je la maîtrise sans peine (le sport me fait le plus grand bien) mais ce combat me fait avoir une trique d’enfer. Plaquée contre moi, elle la sent.
— Et en plus ça te fait bander !
Elle cogne. Enfin, ce qu’elle peut.
— Tu ne fais pas le poids, ma chérie.
Je l’attrape sous les fesses, la remonte en même temps que mon tee-shirt, et paf ! je me l’empale direct. Elle crie :
— Non ! Ah ! Maman, maman, viens…— Débrouille-toi, ma fille, tu es grande.
Je la bascule sur la table et la besogne avec force tandis que ses cris se transforment en gémissements de plaisir.
—Maman… ah… Ah oui, oui, je vais… Ah… ouiiiiii !
Elle me fait un orgasme de folle. Visiblement calmée, je la lâche ; elle se relève en me lançant un regard noir. Alice revient ; j’ai juste le temps de recouvrir mon engin. Je bande encore, et même pire que tout à l’heure.
— Oui t’es un salaud, j’t’aime plus. Je vais me doucher, na !
Elle commence à partir en me tirant la langue, telle une gamine.
— Eh bien, Julie, après ce que je viens d’entendre, il n’est pas si salaud que cela. Regarde ; tu pourrais au moins terminer ce qui est commencé : tu ne va pas le laisser la queue en l’air !— Tu n’as qu’à le faire toi-même !— Ah bon ? OK. Allez, Manu, viens.
Pas de réponse de la part de Julie qui monte l’escalier. Alice m’entraîne vers le garage. Mon tee-shirt vole dans la machine à laver, elle se plaque à moi.
— Fais-moi la même chose ; puisqu’elle ne veut pas, moi si. Allez, vas-y, n’aie pas peur : il n’y a pas de risque.— Mais Julie ?— Ne t’inquiète pas, je m’en charge. Allez, vas-y ! De toute façon, c’est un ordre : sinon je vais être obligée de te renvoyer. Tu te rappelles ? « Tu dois faire… » — Je sais : « … tout ce que tu veux. »
C’est si gentiment demandé… Je la prends sous les fesses – elle est à peine plus lourde que Julie – et la soulève ; elle passe ses jambes derrière ma taille, ses bras autour de mon cou, et vient s’enfoncer sur moi avec un « Ah ! » de plaisir. Je la couche sur le congélateur et m’actionne avec force ; je fais ressortir la bête qui sommeille en moi et lui arrache des râles de plaisir. Elle crie, se tord. « Tant que je peux tenir, je tiendrai ! » je me dis, et je pilonne. Je lui attrape les seins, les broie fort ; elle crie encore… Je lui pince les tétons ; visiblement, elle aime quand c’est fort. Je sens son orgasme : il est puissant ! Elle se tortille dans tous les sens ; je continue mes coups de boutoir, déplaçant le congélateur. Je suis en eau, je n’en peux plus. Je lui envoie une éjaculation puissante ; elle me bloque avec ses jambes. J’arrête ; elle se calme, me prend les mains, me libère et se redresse. Assise sur le congélateur, elle m’embrasse sur la bouche (c’est comme cela, avec elle et Julie, pour se dire bonjour ou autre).
Un applaudissement retentit : Julie se tient dans l’encadrement de la porte.
— Ça va, tous les deux ? La vie est belle, faut pas vous gêner !
Aïe aïe aïe ! Je crois qu’il va y avoir un souci. Je me retourne et vois Julie, à poil dans l’embrasure de la porte en train de se tripoter les seins d’une main et de se frotter la chatte de l’autre.
— Manu, j’espère que tu as de la réserve, parce qu’après le porno que vous venez de m’offrir, tu vas me faire la même chose, maintenant.— Euh, Julie, désolé : maintenant, ce n’est pas possible, il faut que je récupère.— Il a raison, il faut qu’il récupère. Au fait, tu n’es plus fâchée ? Et depuis combien de temps tu étais à te rincer l’œil ?— Non, je ne suis pas fâchée ; c’était juste pour rire. Pour cette fois-ci, ça passe ; mais c’est la première et dernière fois ! Tu n’as qu’à te trouver un mec : tu as Jean-Mi.
Je suis un peu emmerdé malgré tout ; elle a raison : sauter la mère de sa copine, ce n’est pas terrible… Je vais brancher Jean-Mi cet aprèm au sport.
— Manu, tu sais que t’es vachement bien foutu de dos quand tu baises ? Au fait, tu avais dit que ma mère est canon ; mais est-ce qu’elle est bonne aussi ?— Allez, Julie… Venez dans ma chambre ; je vais me faire pardonner : on va le remettre en forme, ton Manu, et il fera tout pour te faire crier. OK, Manu ?
Sans attendre, elle pousse sa fille hors du garage avec en prime une claque sur le cul et nous entraîne vers sa chambre. Là, elle pousse sa fille sur le lit, me dit de m’asseoir sur le fauteuil et de regarder jusqu’à ce que je sois prêt, puis elle se jette sur elle.
J’assiste à une scène que je n’avais jamais vue de ma vie. Elles s’embrassent avec fougue. Julie, qui habituellement est très douce et câline, se transforme en une véritable panthère ; je ne la reconnais plus. Elles se triturent les seins, se tordent littéralement les tétons, font un 69 tumultueux… Maintenant, Julie est en train d’essayer de fister sa mère ; elles râlent, gémissent, crient parfois. Cette pièce de théâtre porno en direct est loin de me laisser indifférent : je bande à nouveau. Un petit « cinq contre un » renforce la mise en forme : je me prépare.
Julie se place entre les jambes de sa mère. Recroquevillée sur elle-même, elle m’offre la vue de sa vulve entrouverte ; sa rondelle rose m’appelle… L’occasion est trop belle : je fonce dans la salle de bain et m’enduis le gland de crème Nivea ; pas le temps de chercher autre chose : il y a urgence ! J’attrape un gode anal acheté en toute discrétion, planqué dans un meuble. De retour dans la chambre, Julie est toujours en train d’embrasser, frôler, mordiller, suçoter et lécher le sexe de sa mère, les pieds et le cul juste au bord du lit. Je me place derrière elle et pose le gode sur le lit.
Alice, visiblement ravie, me regarde ; je lui mime le geste du « crac-crac ». Elle me renvoie un grand sourire et lève un pouce. Je prends Julie par la taille et l’encule jusqu’à la garde. Elle crie ; Alice aussi (j’apprendrai par la suite qu’au moment fatidique elle lui a mordu le clito). Je lime quelques instants ce cul accueillant puis me retire pour remplacer mon sexe par le gode dont j’ai mis le vibreur à fond. Kiki au chaud dans son écrin, je reprends mon mouvement de va-et-vient ; chaque fois que je recule, le gode ressort puis, en appui sur mon pubis, il rentre. C’est comme si j’avais deux sexes. Je la tiens fermement par les hanches et la tire à moi avec force ; à chaque mouvement, ses fesses tapent contre moi. Elle râle, et même crie.
Alice, assise à la tête du lit, se frotte la vulve et se tripote les seins avec ardeur. J’ai terriblement chaud, je suis en nage. Je sens les vibrations du gode, et brutalement son vagin se contracte ; elle est parcourue de spasme : l’orgasme est là.
— Aah… oui, oui, aaah… Manu… arrête ! Aah… oui...
Elle grogne, râle, mais je continue avec force. Ses fesses tapent encore plus fort. Elle crie. Je lui remplis le vagin. J’ai l’impression qu’elle a un second orgasme ; je la lâche, me retire, et avant que le gode ne sorte, je le lui enfonce en entier dans le cul. Elle grogne, puis s’effondre sur le lit ; moi aussi, je suis exténué. Elle éjecte le gode et se couche sur moi ; ses seins moites collent à mon torse. Elle me prend la tête à deux mains et m’embrasse avec une fougue hors du commun puis se redresse et frotte sa vulve contre mon service trois pièces.
Elle a encore faim ? Mais kiki dort, et moi aussi : cet aprèm, sport avec Jean-Mi. Mais surtout, il faut que je lui parle d’homme à homme.
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