Mercredi 9h : je sonne à la porte de Jacques avec la tenue demandée. Jacques me trouve très belle mais me reproche que ma jupe soit un peu trop longue à son gout (5cm au-dessus du genou tout de même). Comme la veille, il me demande de relever ma jupe pour vérifier que je porte bien le petit string à dentelle blanche que j’ai acheté la veille. C’est le cas et cela a l’air de lui plaire. Ensuite, il me paye un café en me disant qu’on a le temps. On boit le café en parlant de choses et d’autres en attendant je ne sais quoi. Pour me faire patienter, il pense tout d’un coup qu’il n’a jamais vu mes seins. Sur sa demande, j’enlève donc mon chemisier puis mon soutien-gorge. Il pose délicatement sa main sur l’un de mes seins. Mon taille B a l’ai de lui convenir puisque ses caresses se font de plus en plus insistantes. Excitée par la situation, je me rapproche de lui et dépose un baiser sur sa bouche. Il parait surpris de ma démarche mais répond positivement et nous finissons par nous embrasser goulument. Après quelques minutes, Jacques nous interrompt :« -Bon, ça va être l’heure, tu vas pouvoir te rhabiller !— L’heure de quoi ?— L’heure de ton rendez-vous.— Mon rendez-vous ?— Oui, je t’ai pris un rendez-vous mais ne t’inquiète pas, je t’emmène en voiture. » Intriguée et sans avoir le choix non plus, je suis donc Jacques à son garage pour monter dans sa voiture. Nous faisons une dizaine de kilomètres pour arriver en centre-ville de la ville la plus proche. Nous nous garons sur un parking puis marchons 300 mètres avant d’arriver devant un grand institut de beauté. « -vas-y, tu as rendez-vous au nom de madame …….. (il a donné son nom de famille). C’est tout prévu, ne t’inquiète pas. Moi je vais faire quelques achats et je reviens te chercher. »Vu la situation, je comprends tout de suite et espère que je ne vais pas avoir droit à une épilation du sexe mais je ne vois pas ce que cela pourrait être d’autre.En me présentant au comptoir, j’ai la confirmation que c’est pour une épilation et je n’attends pas longtemps pour qu’une jeune esthéticienne d’une vingtaine d’année vienne me chercher et m’emmène en cabine.« -Alors, c’est pour une épilation du maillot ?-euh oui.— J’ai un petit mot m’indiquant ce que je dois faire. C’est pour faire plaisir à monsieur, c’est cela ?-oui, oui.— Je vous sens toute tendue. Ne vous inquiétez pas, nous avons l’habitude. Allez, déshabillez-vous ici. » Je m’exécute devant elle puis m’allonge nue sur sa table. Nous nous mettons alors à discuter pendant qu’elle réalise son travail. En voyant ma tenue plutôt sexy, elle m’interroge sur ce sujet notamment sur le fait que je porte des bas en journée alors qu’elle n’en porte que pour certaines occasions. Elle comprend alors assez vite que je m’habille ainsi sur la demande de mon homme et pas pour un côté pratique. Comme demandé par Jacques, elle m’épile le sexe en ne laissant qu’un fin liseré de poils d’un centimètre. Elle me demande ensuite de me retourner pour qu’elle puisse m’épiler la raie des fesses. Je ne suis pas vraiment d’accord mais elle me dit que c’est ce qu’on lui a demandé de faire. Elle m’explique également qu’elle est elle-aussi épilée à cet endroit et que cela est très agréable pour la dame comme pour l’homme. Finalement, cette épreuve de l’épilation s’est plutôt bien passée car mon esthéticienne d’un jour a été très sympathique. Par contre, je me rappellerais toujours sa tête lorsqu’elle a vu Jacques arriver au moment de payer, se demandant certainement comment une femme de 38 ans habillée sexy pouvait être en couple avec ce vieil homme. En repartant dans la rue, je remarque que Jacques porte un sac d’une marque d’un magasin de lingerie : quelle lingerie sexy a-t-il encore pu acheter ? Je n’ai pas le temps de le savoir car Jacques m’entraîne dans un magasin de chaussures. A sa demande, j’essaye plusieurs paires de chaussures à talons et choisis une paire de sandales noires à talons de 12cm sexys mais pas vraiment pratique pour marcher. En ressortant du magasin, je me rends compte que je suis en retard pour aller chercher mes enfants. Nous ne traînons donc pas pour rentrer. En voiture et alors que nous sommes en pleine ville avec de nombreux arrêts, Jacques me demande de voir le résultat. Je relève donc ma jupe tout en ayant peur que des personnes de la rue puisse me voir et baisse mon string pour qu’il puisse observer. Cela lui convient et il est ravi du résultat : « On va pouvoir commencer à s’amuser demain ! ». Une fois arrivée chez moi, je me dépêche et vais chercher mes enfants en étant en retard. Je prétexte que j’avais un entretien d’embauche pour excuser mon retard auprès de l’école. Cela passe facilement vu ma tenue. Je passe l’après-midi chez moi à m’occuper de mes enfants. Ce temps passé me fait réfléchir à comment je vais pouvoir cacher mes nouvelles tenues et surtout ma nouvelle coupe auprès de mon mari. Je me sens piégée par mes envies et sait que mon mari va forcément me faire un scandale lorsqu’il s’apercevra que j’ai changé. Je galère déjà depuis quelques jours pour laver en cachette mes bas. Après avoir tourné cela dans ma tête toute la journée, j’ai du mal à trouver une excuse valable mais une idée lumineuse me parvient finalement vers 18h. Ainsi, j’attends 22h d’avoir fini de coucher les enfants et de m’occuper de la maison pour dire à mon mari d’aller se coucher au lit car j’ai une surprise à lui faire. Là, je vais dans la salle de bains et m’habille de bas noir, d’un string noir et mes nouvelles sandales à hauts talons ainsi qu’une petite robe noire sans soutien-gorge. La surprise fait son effet. Je me pose devant le lit et effectue un strip-tease en tombant ma robe et mon string. Pour le reste, je monte sur le lit et rejoins mon mari dans une partie de sexe endiablée. Mon sexe épilé lui plait et il se lance dans un cunnilingus avec une ferveur que je ne lui avais peu connu. Excitée par la situation, je lui propose un 69 avant. Les sensations de cette position sont excellentes et je me demande bien pourquoi nous la faisons qu’une fois de temps en temps (une à deux fois par an). Nous finissons par faire l’amour et jouir tous les deux alors que je le chevauche. Cette partie de jambes en l’air fut notre meilleure depuis ces deux trois dernières années. Nous discutons alors longuement de la raison pour laquelle je lui ai fait la surprise. Je ne lui donne pas la vraie raison mais lui parle de notre routine de vieux couple de laquelle il faut sortir. Il est d’accord avec cela et me promet lui-aussi de me concocter quelques surprises.
