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A la découverte du plaisir

Chapitre 8

Hétéro
En un mois, je vais revoir Jacques et Bernard trois fois avec toujours à peu près le même programme. Je dois avouer que je ne prends pas la plaisir escompté avec ces hommes les fois suivantes. Bernard n’est pas vraiment à mon gout : trop vulgaire et sa qualité première d’endurance peut devenir lassante. Je commence à réfléchir comment je pourrais arrêter de les voir et leur faire comprendre. Eux-mêmes doivent percevoir mon malaise puisque lors de notre dernière rencontre, Jacques me demande ce qui me ferait plaisir et vers quelle évolution j’aimerais aller. En tant que libertin, il me propose de nombreuses choses. Il insiste fortement sur la sodomie se décrétant expert mais je reste ferme là-dessus car ça ne m’excite vraiment pas. Il me propose ensuite d’aller en club libertin où je pourrais rencontrer plus d’hommes. Je refuse aussi ayant trop peur de croiser quelqu’un qui me connait et mettre à mal mon couple. Finalement, j’ose avouer que je fantasme sur les gros sexes et que j’aimerais bien essayé avec un homme bien membré. Ma demande fait sourire mes deux acolytes mais Bernard me promet de trouver un tel partenaire parmi ces nombreuses connaissances pour la prochaine fois.

Finalement, cette future rencontre a mis plus d’un mois à se mettre en place. Après avoir trouvé un homme intéressé et correspondant à mes attentes, celui-ci est peu disponible et seulement le soir. Jacques arrive à me convaincre de prendre une baby-sitter un soir de semaine pour effectuer cette rencontre. J’accepte une semaine où mon mari est en déplacement et c’est un mercredi soir que je dois retrouver Bernard et son ami. Jacques ne peut pas venir le soir car Martine n’est pas informée de nos dernières parties fines. Pour mon mari, je lui indique que je vais au cinéma avec une amie afin qu’il ne s’inquiète pas que je ne puisse pas l’appeler ce soir-là et pour que les enfants ne fassent pas de bourde auprès de leur père.
Le rendez-vous est fixé à 20h dans un hôtel-restaurant assez haut de gamme. Forcément, je me suis habillée sexy. Une jupe noire moulante qui arrive à mi-cuisse, un chemisier violet en satin sous lequel j’ai mis un ensemble en dentelle violet composé d’un soutien-gorge et d’un tanga. J’ai sorti mon dernier achat pour séduire les hommes, une jolie paire de bottes en cuir avec des talons de 9cms accompagné d’une paire de bas autofixants noir. J’arrive seule au restaurant où Bernard est déjà arrivé. Nous nous faisons la bise et allons à table en attendant fébrilement le futur invité. Celui-ci arrive avec 15 bonnes minutes de retard.
Immédiatement, je tombe sous le charme. Il se prénomme Thierry. La cinquantaine, les cheveux grisonnants, il mesure environ 1m85, fin et large d’épaules en même temps avec des yeux bleus et un sourire charmant. Habillé d’un costume cravate bleu marine, il dégage un fort charisme et une classe innée. Agréablement surprise, je rougis rapidement et ai du mal à engager la conversation avec lui. Contrairement à Bernard, il est distingué et pas du tout vulgaire. S’il est bien membré comme Bernard me l’a promis, il me parait simplement être l’homme idéal. En plus d’être beau et charismatique, il s’agit d’un chef d’une entreprise d’une centaine de salariés et semble avoir un confort de vie très aisé. J’apprends aussi dans la discussion qu’il est marié et père de trois enfants et qu’ils habitent une belle maison en bord de mer.
Au cours de l’entrée, nous continuons à faire connaissance et Thierry s’intéresse aussi à ma vie personnelle. Bernard participe de moins en moins à la conversation et j’ai l’impression qu’il ne fait que tenir la chandelle. Au moment du plat, Thierry décide d’orienter la conversation sur des choses plus coquines :« -Bon, Emilie, parlons un petit peu plus sérieusement. Comment avez-vous connu Bernard ?— Ouh là, c’est une longue histoire !— Très bien, allez-y.— Et bien, cela a commencé par mon voisin.— Votre voisin ?— Oui. Ma voisine est partie une semaine et m’a demandé de s’occuper de son mari retraité et de tenir sa maison en son absence.— Et donc vous avez pris à cœur votre travail pour vraiment bien s’occuper de son mari.— Si on peut dire. Disons que c’est lui qui a commencé à m’imposer des choses et cela a vite dérapé.— Ah oui ! Il vous imposait quoi ? — Cela a commencé par devoir porter une tenue de plus en plus sexy, puis de me déshabiller ou montre ma lingerie— Et il a fini par coucher avec vous.— Non, suite à un problème médical, il ne peut plus avoir d’érection et c’est là qu’il a fait appel à Bernard.— D’accord. Donc si je comprends bien, vous aimez obéir à un homme ?— Oui plutôt.— Vous êtes soumise à votre mari ?
— Ah non pas du tout. Lol— Ok, je comprends. Avec lui, vous êtes la bonne mère de famille et femme au foyer idéale. Et votre voisin et Bernard vous ont fait découvrir la soumission et vous vous rendez compte aujourd’hui que cela vous plait.— Euh oui, c’est bien résumé.— Très bien. Cela me convient tout à fait. J’aime dominer des femmes mais surtout prendre des débutantes pour les faire progresser jusqu’à ce qu’elles atteignent une certaine plénitude dans leur plaisir. Cela vous intéresse-t-il ?— Euh oui. On peut essayer.— Très bien. Rassurez-vous je ne suis pas branché sado maso, violence ou autres choses plus crades. Je souhaite juste vous accompagner à ce que vous trouviez votre voie. Chaque femme aime des choses différentes. Dites-moi, pourquoi Bernard a pris contact avec moi ?— Et bien parce que vous sembliez être une personne qui puisse me plaire en effet.— Oui d’accord mais il me semble que c’était surtout pour un argument précis.— Euh oui plutôt lol— Dites-moi lequel ?— Euh, je crois que vous le savez.— Oui mais je veux l’entendre dans votre bouche. Montrez-moi que vous pouvez obéir.— Et bien, il m’a dit que vous aviez un gros sexe.— Oui, c’est le cas et cela vous intéresse ?— Oui.— Vous aimez les grosses queues ?— Disons que je fantasme dessus car je n’en ai pas vraiment connu.— D’accord, le sexe de votre mari mesure combien ?— Une quinzaine de centimètres— Ah oui. En effet, toute femme en voudrait plus. Et pour vous quelle est la taille idéale ?— Je ne sais pas trop, je ne me rends pas compte de la taille en centimètres.— Très bien, ne vous inquiétez pas, vous allez être comblée avec moi. Etes-vous joueuse Emilie ?— Oui assez.— Alors je vous propose un jeu si vous voulez bien, nous allons essayer de deviner la couleur de la lingerie que vous portez et le vainqueur aura une récompense.— Euh, d’accord Allez-y.— Bernard à toi de dire.— Pour l’avoir vu plusieurs fois, elle porte quasi tout le temps du noir donc je dirais noir.— Ok, je ne pense pas. Vous êtes habillée très classe et je pense que vous portez un soutien-gorge de la même couleur que votre haut donc je vais dire violet.— Et bien, vous êtes fort, c’est violet.— Parfait. Je pense que nous avons bien gagné le fait de voir si vous ne mentez pas. Enlevez quelques boutons de votre chemisier afin que nous puissions voir.— (J’enlève deux boutons mais cela ne suffit pas et je dois finir par enlever un troisième qui est plus bas que mon soutien-gorge de telle sorte qu’en étant légèrement plié on voit vraiment trop celui-ci)— Parfait, et en plus il est en dentelle. Vous avez très bon gout Emilie.— Merci, (c’est ce moment-là que choisi le serveur pour enlever nos assiettes et il ne peut s’empêcher de regarder lui aussi mon décolleté)— Vous avez vu, le serveur est du même avis que nous. Bon continuons notre jeu. On voit que vous êtes une femme de gout donc je pense que vous avez coordonné le bas avec le haut. Voulant plaire et étant habillée sexy, je pense que vous portez un string violet.— Vous avez une nouvelle fois raison, c’est plus un tanga avec large dentelle qu’un string mais cela s’y rapproche.— J’ai donc encore gagné, il me faut donc une récompense, n’est-ce pas ?— Euh oui !— Alors vous allez vous lever et allez aux toilettes. Là, vous enlèverez votre tanga et vous le ramènerez dans votre main. »
Enivrée par cet homme, je ne tarde pas pour me lever et me rendre aux toilettes. J’y enlève mon tanga humidifié par toutes ces émotions, reprends mes esprits quelques instants devant le miroir avant de revenir à la table avec mon précieux bien au creux de ma main. Une fois arrivée et assise, je lui tends mais il me fait comprendre qu’il veut que je le pose sur la table à la vue de tous. Après quelques hésitations, je la pose en boule près de ses verres devant un grand sourire de Bernard. Là doucement, Thierry vient délicatement le prendre pour l’étaler sur la nappe blanche à la vue de tous. Je suis rouge pivoine devant cette situation. Nous n’avons aucun voisin de table pouvant s’apercevoir de cela mais le serveur risque de revenir d’un moment à l’autre.
Thierry entame une nouvelle conversation jusqu’à ce que le serveur revienne avec les desserts. Je pense un moment me cacher sous la table, chose totalement impossible bien évidemment. C’est seulement lorsque le serveur n’est qu’à cinq mètres de la table que Thierry reprend le tissu violet pour le poser sur ses genoux.
Avant d’entamer son dessert, il reprend mon tanga dans ses mains et tout en le caressant :« -Et bien, vous me paraissez très excitée si j’en juge par l’humidité de cette culotte »Et portant mon tanga à son nez :« Quel délicieux parfum ! Je te propose qu’on finisse très vite notre dessert avant de monter dans notre chambre ».Je suis forcément d’accord avec lui et nous ne tardons donc pas à quitter notre table. Alors que nous arrivons à l’entrée de l’hôtel, une scène inattendue arrive. Thierry souhaite congédier Bernard pour monter dans la chambre qu’avec moi. Bernard n’est pas du tout d’accord et les mots commencent à monter. Ils se mettent finalement d’accord que c’est à moi de décider. Un peu dépourvue par la situation, je n’hésite cependant pas très longtemps. J’accepte de suivre Thierry seul n’aimant pas trop le côté vulgaire de Bernard. Contraint, celui-ci s’en va, fâché.
Thierry récupère donc la clé puis nous prenons l’ascenseur et arrivons devant la chambre. Il me donne la clé et me laisse ouvrir la porte. Alors que je suis prête à entrer, il m’agrippe par la taille et me susurre à l’oreille :« -attention, si tu ouvres la porte, à peine entrée, tu devras m’embrasser. Ensuite, tu enlèveras ta jupe et ton chemisier puis tu me déshabilleras. Après, tu ne feras que m’obéir et accepteras tout ce que je te dis. Si tu veux arrêter notre petit jeu, tu diras juste le mot stop. »
Je réfléchis deux secondes mais n’hésites pas vraiment pour ouvrir la porte. Comme il me l’a demandé, je me retourne et l’embrasse fougueusement alors que la porte est tout juste refermée.Après un long baiser, j’enlève mon manteau, défait lentement chaque bouton de mon chemisier avant de l’enlever puis dégrafe lentement ma jupe avant de la faire tomber à mes pieds.
Je me retrouve donc en soutien-gorge, bas et bottes devant cet homme que je ne connaissais pas deux heures auparavant. Thierry a enlevé son manteau et il me scrute de la tête aux pieds avant de me faire rapprocher de lui pour que je le déshabille. Je lui enlève donc sa veste puis sa chemise sous laquelle je trouve une agréable toison grise couvrant son torse.Je l’embrasse à nouveau tout en caressant son torse et son dos. Toujours dominant, il me fait ensuite agenouiller devant ses pieds pour que je défasse les lacets de ces chaussures de ville. J’enlève ensuite ces chaussures et ces chaussettes, chose humiliante et un peu tue l’amour avant qu’il mette son corps face à ma tête. Je comprends rapidement qu’il souhaite que je lui défasse son pantalon. J’en profite pour caresser la bosse que forme son pantalon afin de deviner la taille tant attendue de son sexe. Sous son pantalon, je découvre un boxer blanc moulant qui ne peut masquer une poutre très généreuse. Thierry ne s’était donc pas vanté, il est très bien monté. Après quelques caresses, j’enlève aussi son caleçon pour voir l’engin.Fantasmant sur les gros sexes, ma découverte est plutôt plaisante. Elle va même au-delà de mes espérances puisqu’il s’agit du plus gros sexe que j’ai jamais vu (même si je ‘en ai vu qu’une dizaine dans ma vie). Pour le décrire, il est droit d’une longueur d’une vingtaine de centimètres mais surtout d’une épaisseur incroyable. Ainsi, en la tenant dans la main, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts. Le gland ne ressort pas réellement puisque c’est tout son sexe qui est épais.
Après quelques secondes d’observations, Thierry me demande si ça me plait. Je lui réponds d’un simple geste de tête et commence à embrasser son sexe puis à le mettre en bouche tant bien que mal. Aimant particulièrement les fellations, je m’occupe longuement de ce sexe ce qui n’a pas l’air de gêner Thierry. Après plusieurs minutes, il me fait allonger sur le lit. Il m’enlève tendrement mes bottes en caressant mes jambes gainées de nylon avant de venir glisser sa tête entre mes cuisses. Ses coups de langues sont délicieux et tendres à la fois. Au fur et à mesure, il y ajoute un puis plusieurs doigts. Ses doigts sont très efficaces et je suis au bord de l’orgasme lorsque je lui demande de me pénétrer. Quelle sensation lorsqu’il rentre en moi écartant mes lèvres comme jamais. Au bout de seulement quelques secondes, je suis submergée par un orgasme. Thierry me sourit et semble ravi de la situation mais il me fait remarquer qu’il a à peine commencé. Comme réponse, je l’embrasse à pleine bouche tandis qu’il entame des va et viens. Immédiatement, je reprends du plaisir et ses coups de reins me redonnent du plaisir au point d’avoir un deuxième orgasme en moins de cinq minutes. Cela fait rire Thierry qui est étonné de me voir monter aussi rapidement. Je lui réponds que c’est bien la première fois que cela m’arrive. Finalement, il se remet à l’œuvre. Avant de jouir à son tour, il me demande où je souhaite avoir sa semence. Je lui demande de venir en moi ce qu’il fait quelques secondes plus tard.
Enivrée par la situation, je ne me suis jamais sentie aussi libérée sexuellement. Je demande à nouveau des embrassades à Thierry avant qu’il ne s‘en aille. A peine sortie, je décide de retourner le sucer pour nettoyer son sexe dont je raffole. Mon initiative lui plait et il me le fait savoir :« -Et bien quelle gourmande ! On en voit rarement des comme toi ! Et dire que Bernard m’avait dit que tu étais timide et débutante ! »
Une fois sa queue nettoyée, je reviens vers me lover dans ses bras. Nous restons silencieux alors qu’il caresse tendrement mes cheveux. Après une dizaine de minutes, je regarde l’heure et décide de rentrer chez moi. Thierry refuse me disant qu’il n’en avait pas terminé avec moi et nous repartons dans des ébats sexuels intenses. Il me fait enlever mon soutien-gorge pour me lécher les seins puis me demande de venir le chevaucher afin que je profite de son sexe et lui de mes seins. Je lui obéis mais ne parviens pas à faire des allers retours efficaces. Suffisamment excité, Thierry reprend le dessus et me faire mettre en levrette pour jouir une deuxième fois en moi et me tirer un troisième orgasme.
C’est finalement épuisée que je me rhabille en vitesse pour rentrer chez moi à 1h du matin avec une heure de retard auprès de la baby-sitter mais ravie d’avoir vécue la plus belle expérience sexuelle de ma vie.
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