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Découverte du plaisir avec ma mère

Chapitre 4

Inceste
Chapitre 7Ainsi notre vie d’inséparables se poursuivait dans un bonheur partagé. Nous étions heureux, maman et moi. Nous vivions notre bonheur au gré de nos désirs parfois de rencontres inattendues.
On se mettait à flirter dès qu’une possibilité se présentait et où nous le pouvions, on s’amusait comme des jeunes gens fous…
Tenez ! il me vient à l’esprit une de nos aventures lors d’une promenade dominicale en forêt. C’était un dimanche matin, nous étions partis vers 8H30 de la maison, en tenue de jogging pour aller se balader, en forêt de F…, nous allions ainsi maman et moi en devisant et en marchant, pas de course, de la marche simplement.
On regardait la flore, maman s’émerveillait toujours devant la beauté des fleurs, on admirait les arbres, on essayait de voir la faune, mais c’était assez délicat, on parlait et faisait du bruit en marchant.
Chemin faisant maman me fit remarquer :
— Bébé, tu ne trouves pas qu’il n’y a pas grand monde ce matin, on n’a encore croisé personne depuis notre début de balade.
— Oui ! c’est vrai ça, on doit être les seuls ce matin, répondis-je en riant et me voilà mettre la main aux fesses de maman.
Elle fait un saut en avant en riant, se retourne, et s’exclame
— Fais attention, mon trésor, il pourrait y avoir du monde.
— Mais non ! nous sommes seuls, amour, entends les oiseaux chanter, cela veut dire qu’ils ne sont pas dérangés.
— Tu penses que je puisse faire pipi en toute tranquillité ?
— Je pense que oui, maman, mais regarde il y a un chemin peu tracé sur la droite, prenons-le tu feras pipi un peu plus à l’écart
— OK mon trésor, allons par là
Nous suivions ce chemin sur cinq cents mètres environ, on tomba sur une petite clairière, on s’y aventura.
Maman donna un regard circulaire, une fois rassurée, elle baissa jogging et culotte, s’accroupit pour faire pipi.
Je m’approchais d’elle, je la regardais faire sa miction.
— Arrête, bébé c’est gênant de te voir me regarder faire pipi
— J’aime bien au contraire ma chérie.
Maman descend son regard sur mon bas-ventre, et voit ma queue qui ressort bien, on devine sa forme et l’état de ma queue.
Je m’approchais plus près, je la regardais toujours, ses yeux étaient sombres. Je devinais son désir qui s’y dessinait. Elle passait sa langue sur ses lèvres, je le captais comme un signal. Maman se relevait, je lui roulais une pelle majestueuse et fort amoureuse et pendant que nos langues se cherchaient Mère dirigeait sa main vers la boursouflure de mon jogging. Elle caressait ma bite prête à exploser à travers le tissu. Elle essayait de la serrer, se tendait vers moi, me murmurait :
— Cochon
Son index et son pouce titillaient ma bite. Je lui répondais alors que :
— Je ne sais pas qui est le plus cochon des deux…
Elle me sourit, baissa mon jogging et mon boxer, ma queue énorme jaillit d’un coup, gonflé de désir. Elle plongea sur ma queue et me goba le sexe. Je poussai un gémissement de plaisir. Maman s’en donna à cœur joie.
— Je suis toute chaude amour. Encule-moi mon bébé.
— Oui maman, je suis tendu aussi, tu m’excites un max.
— Relève-toi maman, on va aller contre l’arbre là-bas.
Nous remontions nos effets et nous allâmes vers l’arbre désigné. Une fois devant l’arbre je demandai à maman de se plier en deux en se tenant à l’arbre. Maman s’exécuta sans dire un mot : j’abaissai à nouveau le pantalon et la culotte de maman. Je me penchai vers ses fesses, je me mis à lécher sa chatte, elle mouillait bien, maman se contracta en gémissant. Elle aima que je la léchasse, puis je pourléchai son anus en mettant ma langue au plus profond possible. Maman remua les fesses en s’appuyant sur mon visage, je savais qu’elle aimerait cela ma chérie à moi.
— C’est bon amour, encule-moi mon amour encule-moi j’ai un besoin fou de bite dans mon cul, j’ai envie là
— Oui amour je vais te la mettre lui dis-je en massant sa chatte tout humide largement ouverte de plaisir.
Je pris ma queue en main, et tapais avec mon bâton sur ces fesses, maman gémissait et tressaillait des fesses
— Veux-tu que je te fasse mal maman ?
— Non chéri pas aujourd’hui, de la douceur et de la fougue seulement mon bébé.
— OK amour je t’aime et je suis bien avec toi là, c’est bon
Je faisais glisser mon gland entre ses lèvres intimes, sur le clito, dans la raie culière de mon amour, puis je pénétrais son vagin, ma bite va et vient c’était humide, bien huilé, sa chatte était soyeuse à souhait. Je sortis de son berceau d’amour pour la pénétrer par son étoile anale. Ma bite entra dans l’anus, un peu de résistance au sphincter, puis ce fut le délice de l’enculage de maman, du velours pour ma queue, j’étais bien dans les entrailles de maman. Mère se contracta, elle remua de son fessier appuya sur mon ventre pour que je puisse aller bien profond en elle, j’étais au paradis des amours. Je m’agrippais à ses hanches. Maman commença à gémir plus lascivement, les sons étaient longs et appuyés. Je sortis ses seins de son haut, les massa et les caressa en tournant délicatement les tétons.
— Bébé tu m’écartes bien l’anus avec ta grosse queue, tu me remplis bien amour j’aime cela tu sais ; tu aimes mon trou amour ?
— Oh oui ! J’adore maman, j’aime tout de toi, tu sais bien.
Nous étions bien tous les deux dans la nature, le bruit du vent dans les branches, sous un beau soleil. Quand sur notre gauche, les branchages du fourré se mirent à bouger et un jeune homme apparu, la bite à la main, se branlant vigoureusement. Nous fûmes surpris, je marquai un temps d’arrêt. Comme le jeune homme resta à distance, les yeux exorbités par la scène à laquelle il assistait, je repris mes va-et-vient dans les fesses de maman. Je sentis lors de l’apparition un mouvement de maman pour se redresser, puis quand elle sentit ma bite s’agiter en elle, maman reprit sa position. Le gars s’approcha lentement, il était à deux mètres, pas plus, peut-être moins. Je regardais la nuque de maman, je voyais son visage qui ne quittait pas la bite branlée du gars. Les contractions anales se faisaient plus rapides et saccadées, maman était excitée par la vision du gars qui se branlait devant nous. Cette vision l’excita, je la bourrais plus vite, je mis ma main sur sa chatte et la branla, clito puis vagin et vice versa.
Maman regarda le gars, ouvrit la bouche et sortit sa langue, le gars ne capta pas le signal, il devint rouge et des jets de spermes partirent de sa bite. A cette vision les gémissements de mère devinrent plus rauques et plus longs, mère allait jouir de l’image de la bite jouissante.
Elle jouit avec un râle accentué, je ne résistais pas à mon plaisir de sentir jouir maman, je lui jouissais dans l’anus avec une violence de mon dernier coup bien profond, maman criait de plus belle. Le jeune homme, effrayé devant mère hurlant son plaisir, enfin je supposais, se retourna et fuit par là où il était venu.
Nos cœurs battaient la chamade, on reprenait souffle et esprit. J’étais toujours en elle, maman se redressait, je quittais son cul, on se regarda et nous partîmes d’un rire nerveux tous les deux en s’étreignant bien fort culotte et boxer sur les chevilles.
On remonta nos effets, maman dit :
— Heureusement que nous devions être seuls dit-elle en souriant.
— Cela s’est bien passé, c’est l’essentiel -répondis-je, puis j’ai remarqué que tu appréciais…
— Oui, ceci m’a excité et s’il était venu à distance proche, je suis sûre que je l’aurais sucé tellement j’en avais envie.
— Ah bon ! à ce point, tu aurais aimé avoir deux sexes en même temps, amour ?
— Nombreuses femmes fantasment sur cette idée, tu sais et j’en fais partie. Malheureusement nous sommes tombés sur un timide me répond-elle en souriant me regardant dans les yeux.
Ses yeux brillaient d’un éclat sensuel. Je m’asseyais sur un rocher, baissais la tête pensant aux dires de maman.
— Tu es choqué par ce que je viens de dire mon bébé ?
— Non ! grand dieu non ! je revivais l’instant où tu regardais sa queue branlée, bandante sur nous, je sentais ton excitation par ma bite en toi et j’ai aimé la sentir, la voir grandir…
— C’est vrai cela t’excitait ?
— Oui ton plaisir m’échauffait les esprits.
— Si j’avais pu le sucer, mon trésor aurais-tu été jaloux ?
— Jaloux de quoi maman ? non bien sûr que non, tu sais je t’aime vraiment et tes plaisirs, tes jouissances, tes excitations quelles qu’elles soient me ravissent et me font jouir de toi. Je les partage avec toi mon amour. Tu vois ce qui nous soudent c’est que nous avons superposé deux amours, le premier est l’amour filial et maternel auquel nous avons ajouté notre amour d’amant, de couple, aussi nous sommes indestructibles, notre amour perdurera l’éternité.
— Hum c’est bien dit et bien vu mon bébé. Vois-tu depuis que nous sommes passés de l’autre côté de la bienpensante société et sa morale, ressentant cette attirance mutuelle depuis le premier jour où tu te branlas devant moi, discernant ta maturité, ton maintien de soi en toute circonstance, l’amour que l’on se porte, notre complicité, mais surtout la confiance mutuelle que nous avons l’un pour l’autre fait que je me libère de toutes chaînes qui m’empêcherait d’être ce que je suis en réalité et je me découvre moi-même avec ta connivence.
Nous devisions ainsi sur notre chemin de retour, bras dessus bras dessous, nous étions aux anges maman et moi.
— As-tu envie maman d’assouvir tes fantasmes avec moi ?
— Mon chéri, la recherche d’assouvissement volontaire de ceux-ci est très compliquée, trop de paramètres doivent être réunis pour que cela se passe à merveille et n’avoir aucune déception… Laissons faire les choses si cela doit être, cela sera. Regarde aujourd’hui nous étions à deux doigts d’en assouvir un. Dans tous nos actes nous serons ensemble, car tu as dû remarquer que nous sommes toujours ensemble trésor.
— D’ailleurs dit-elle nous avons découvert aujourd’hui que de voir quelqu’un bander sur moi m’excite. On n’a pas tout perdu.
Elle se mit à sourire…
— J’ai ma culotte trempée, le sperme descend en marchant… on a quand même bien débuté notre dimanche, n’est-ce pas bébé ?
— Oui maman, c’est le moins que l’on puisse dire.
— Tu te souviens que ce midi on déjeune chez Laure et Gabriel.
— Oui, on va avoir droit à un cours de géopolitique avec l’oncle répondis-je
— Oui répondit-elle en riant, il n’est pas méchant tu sais. Mais bon c’est ma sœur et on fait une visite mutuelle tous les six mois, c’est supportable…
Ainsi nos journées baignaient dans notre bonheur et sérénité de notre amour partagé.
*******************
Cela va faire huit mois qu’Aurélie et moi vivons en couple, un vrai couple d’amoureux, je vous conte quelques agissements et ébats amoureux vécus de-ci, de-là, mais il ne faut pas penser que cela fut, est et sera notre seule activité au quotidien. Nous vivons Aurélie et moi une vie normale avec nos périodes de câlins sans plus, de tendresse, de lecture, de silence, de contemplation de la nature, d’œuvre d’art, on se partage les domesticités de la maison etc. Bref une vie dite normale. Nous sommes heureux, complices, amoureux et en totale confiance.
Les jours se succèdent, sans nuage, en harmonie, maman va au travail, moi en faculté, on se retrouve le soir avec l’immense plaisir d’être enfin réunis et on entame nos baisers, avec ou sans raison, puis on s’affaire en devisant et effectuant nos tâches respectives, toujours de bonne humeur, aucune contrariété…
**************************
Jusqu’au jour où rentrant de son labeur, Maman, après nos effusions d’embrassade, m’annonçait :
— Mon chéri, j’ai eu un appel de Marie-Paule, elle t’embrasse, tout va bien pour elle et je te donne en mille… Elle nous fait la surprise et la joie de sa visite pour la fin de l’année. Es-tu content mon bébé ?
— Oui ! bien sûr pour une surprise c’est une surprise !
— Cache ta joie ! on dirait que cela te chagrine que ta sœur vienne passer les fêtes de fin d’année avec nous.
— Mais non ! pas du tout, cela sera un ravissement de la revoir.
— Te rends-tu compte que cela va faire plus d’un an que nous ne la voyons plus, et sa présence me manque même si je n’en parle pas trop.
— A moi aussi elle me manque, on riait bien tous les deux, même si, on peut le dire, son coté extra bourge et collet monté à la maison était parfois extrêmement pesant.
— Oui si l’on veut, peut-être que son séjour aux States l’aura décoincée.
— On ne doit pas non plus oublier que notre état est dû à son absence, aussi on lui saura gré.
— Ne sois pas cynique, Marie-Paule est ma fille et je l’aime, c’est aussi ta sœur. Oui en effet son absence nous a permis de nous aimer. Elle est, de nouveau, parmi nous, on fera avec pendant quinze jours, on fera très attention à ne pas éveiller chez elle un soupçon de notre rapprochement.
— Cela va de soi, mais dans quelques mois elle sera de retour définitivement. On devra, qu’on le veuille ou non, prendre en compte ce fait et voir comment nous allons faire pour continuer à vivre notre bonheur.
— Je le sais mon trésor, ne crois pas que je ne réfléchisse pas à cela, mais prenons les sujets un à la fois et dans l’ordre. Pour l’instant vivons l’allégresse de revoir Marie- Paule, ensuite on verra comment remédier au problème qu’elle nous posera dans quelques mois.
La venue de Marie-Paule se fera dans 45 jours pour la fin d’année, bien qu’elle soit le grain de sable à notre félicité, cela me faisait plaisir de revoir ma sœur.
Depuis ces derniers mois je regardais maman s’épanouir telle une belle rose, elle était radieuse, cela enjoliva encore plus sa beauté. J’étais fou d’elle, j’apprenais tout de maman, par maman. Il ne se passa pas une journée sans que je m’instruisisse en tout sur la vie.
L’arrivée de Marie-Paule, pendant un instant me fit craindre de ne pouvoir mettre au point ce dont j’avais prévu pour plaire à maman et combler son désir de femme que je découvris il y a quelque temps. Les quarante-cinq jours restants me suffiront pour peaufiner ma surprise et que tout réussisse. Je n’étais sûr de rien, ni de moi, ni de maman, mais je voulais faire ce cadeau à Aurélie, l’amour de ma vie.


Chapitre 8
Qui ne tente rien n’a rien. Pour Aurélie je savais par expérience comment elle pourrait se comporter si j’arrivais à lui faire prendre trois verres d’alcool à jeun. De quelle observation étais-je en train de parler ? me demanderiez-vous par curiosité.
C’était après les premiers ébats entre maman et moi, on finissait le stade des fornications intempestives et répétées. On commençait seulement à se rassasier de nos désirs et envies de nous, si longtemps refoulées.
Nous eûmes la visite, un matin de Claudine, amie d’enfance de maman, celle-ci vint chercher maman pour se rendre à une réception d’une copine à elle, elle fêtait ses cinq ans de mariage. Maman chercha toutes les possibilités pour refuser de l’accompagner, Claudine les dissipa les unes après les autres. Disant à maman qu’il y aurait beaucoup de monde qu’une fois salué sa copine, lui avoir présenté nos vœux de bonheur, elles pourraient boire un cocktail ou deux voire deux ou trois coupes de champagne puis filer à l’anglaise. Maman lança son dernier coup pour ne pas y aller.
— Ma chérie, nous avions prévu une sortie Thomas et moi, je ne peux le laisser seul ainsi au dernier moment.
— Mais qu’à cela ne tienne, Thomas pourra se joindre à nous s’il le désire, personne ne dira rien, pas ma copine Elise en tous les cas. Alors qu’en pensez-vous et que décidez-vous ?
Maman me consulta du regard, je haussai les sourcils puis lui dire et faire comprendre, « que veux-tu faire ? tu es coincée ». Elle finit par accepter à la grande satisfaction de, Claudine, son amie.
Nous voilà partis à cette réception, une fois arrivés pour ne pas être trop entreprenant et soudé à maman, je m’étais fondu parmi les invités en laissant les deux amies en faire de même de leur côté.
Je fus abordé par des inconnus, normal, et quelques jeunes filles inconnues me demandant qui j’étais, en m’approchant gentiment des buffets liquides et autres salés et sucrés.
Je me fis servir puis je me remis à déambuler parmi la foule en dégustant mes mets et la sangria.
Il me sembla voir maman dansante avec un beau noir, pas Claudine en revanche.
Je finis ma promenade sur une terrasse, prit place sur un fauteuil de jardin face au parc puis j’attendis que le temps passe. J’eus droit à une jeune fille qui voulait absolument que je dansai avec elle. Je refusais avec tact en disant que je ne savais pas danser, une lacune chez moi…etc.
Elle voulut me tenir la conversation en se mettant en contrebas de façon à ce que je puisse admirer sa poitrine. Je la félicitais pour la beauté de sa gorge. Elle me demanda si je ne voulais pas faire quelques pas dans le parc en sa compagnie. Je me demandais comment faire pour me débarrasser de la demoiselle quand un :
— Ah ! tu es là, ma chérie je te cherchais, bonjour Monsieur, Albert fiancé d’Anne.
— Thomas enchanté de vous connaitre, ami d’Elise.
Ils disparurent de ma vue, soulagé de me retrouver seul.
Ce n’est pas que l’ambiance fut mauvaise, mais j’avais envie de changer d’air, je cherchais à voir Claudine ou Aurélie, mais rien en vue. En retournant vers les buffets je fis la rencontre de Claudine.
— Ah, je vous cherchais vous et Maman…
— Moi aussi, je recherche Aurélie, j’ai une assiette pour elle, comme nous avons bu à jeun cela ne lui ferait pas de mal. La voulez-vous ?
— Oui ! si vous voulez, merci à vous.
— Bon ! nous allons l’appeler et lui dire de nous rejoindre, disons sur la terrasse.
Ce qu’elle fit, elle eut Aurélie sur son mobile. Je m’en voulais intérieurement de ne pas y avoir pensé.
— Aurélie avait une drôle de voix, sans doute nos cocktails à jeun qui font effet.
— De vous à moi quelle idée de boire ainsi à jeun, remarquez, vous êtes bien personnellement
— Oui ! mais j’ai mangé me répond-elle en souriant
Aurélie arriva peu de temps après, je vis de suite à sa tête que cela n’allait pas.
— Ah, vous voilà ! je vous recherchais moi aussi, je suis fatiguée si on retournait à la maison cela me conviendrait.
— Oui comme tu veux, tu n’as pas l’air dans ton assiette dit Claudine
— En ce qui me concerne cela me satisferait pareillement.
— Bon ! vu le monde qu’il y a, Elise ne s’apercevra pas de notre départ. On va donc filer à l’anglaise.
Ce que nous fîmes. Une fois à la maison, Claudine ne s’attarda pas vu le visage fermé d’Aurélie et de son humeur désagréable.
Une fois seuls, je m’inquiétais auprès d’Aurélie afin de savoir la raison de son état.
— Si tu me disais ce qui ne va pas, je pourrais peut- être faire quelque chose pour t’aider.
— Rien, tout va bien. Je n’ai rien un peu bu sûrement me répond-elle
— Écoute ce n’est pas que cela. Vu ton attitude.
— OUI ! tu as raison, c’est parce que je suis une garce, la dernière des salopes. Voilà si tu veux tout savoir.
— Ah ! Évidemment, mais si tu m’en disais un peu plus je me ferais une idée réelle de la chose. Salope, certes, mais pourquoi cette expression ?
— Pourquoi ! tu veux savoir pourquoi ? Eh bien ! parce que je me suis conduite comme la dernière des dernières, comme une vraie chienne, voilà pourquoi.
— Tu as eu des mots avec quelqu’un, tu t’es disputée, tu as manqué de respect à autrui ?
— Mais non, mais non ! rien de tout cela, une salope je suis ! voilà, je ne te mérite pas, ma conduite est inqualifiable !
— Raconte-moi. Ensuite je serai seul juge, tu veux bien.
Là ! maman craqua, elle se mit à sangloter posa sa tête sur mon épaule et commença à me raconter son aventure.
— J’étais sur la piste en train de danser seule sur un rythme moderne, quand un slow arriva et je me suis trouvée dans les bras d’un homme, je ne sais comment, pour danser celui-ci. Un noir un bel homme, comme j’avais bu trois verres avec Claudine l’estomac vide, j’étais un peu grise. Je me suis donc un peu trop appuyée sur lui sans doute, car tout à coup j’ai senti sa queue enflée sur mon ventre. Au lieu de m’éloigner comme j’aurais dû faire, je me plaquai encore plus sur lui pour ressentir son membre dur contre mon pubis, on devait être indécent. Un couple en chaleur…
— Bon ! il n’y a pas de quoi te mettre dans cet état-là, essaye-je de dire
— Je n’ai pas fini… la suite te démontrera la salope que je suis… donc je me frottai à son ventre comme une dévergondée et me mis-je à dire « c’est moi qui vous mets dans cet état ? » et il me répondit « voyez-vous quelqu’un d’autre dans mes bras. Venez ! suivez-moi avant que les gens ne s’aperçoivent de notre émoi » et telle une chienne en chaleur je le suivis. Il m’emmena dans une pièce style bureau-bibliothèque. Là, ni une ni deux, il sortit sa queue bandante de son pantalon et me dit « suce-la, salope ! tu en meurs d’envie » eh bien non je ne lui ai pas mis une claque comme j’aurais dû, mais je me suis mise à genoux et j’ai pompé sa bite, je l’ai sucé, telle une vorace, avec envie, je te dis une salope je suis … Au bout d’un moment il me releva, puis me prit par les aisselles m’assoit sur un secrétaire, releva ma robe et déchira ma culotte… prit sa bite et me l’enfonça d’un coup dans la chatte, comme je mouillais, telle la chienne en chaleur devenue, cela lui facilita la tâche…Encore à cet instant j’aurai pu dire NON ! mais j’ai dit OUI ! baise-moi, oui prends-moi fort… ce qu’il fit sans hésiter et il m’a traité de pute, de salope, de chienne, bref tout, j’ai eu droit à tout ... me suis-je senti insultée, non ! pas du tout, plus il déclamait ses insanités sur ma personne plus j’étais excitée. Il me lima intensément puis quand il senti à mes gémissements que j’allais jouir, il se retira… me laissa sur mon envie, mon plaisir, le vide en ma chatte je sentis… il me prit les cheveux, les tira pour emmener ma bouche sur sa queue, me voilà de nouveau à genoux le pompant avidement avec délices… « Tiens ! pute, avale salope » dit-il lorsqu’il jouissait dans ma bouche… et j’ai avalé, comme avec toi, jusqu’à la dernière goutte, puis il me laissa là et s’en alla sans un mot.
Un silence s’établit une fois qu’Aurélie termina son récit.
Maman cessa de sangloter, elle releva un peu sa tête et son regard pour croiser le mien, son chef toujours sur mon épaule.
— Tu ne dis rien, je te dégoute, c’est normal…une grosse salope comme moi…
— Mais non ! tu ne me dégoutes pas, ni tu es une grande salope à mes yeux. Tu as eu une pulsion. Pulsion à laquelle tu n’as pas résisté, grisée par les cocktails sans doute, puis cela devait, sans doute, être un de tes vieux fantasmes, comme tu deviens femme libérée depuis notre union, parce qu’en confiance avec moi. Tu as vécu cela avec plaisir, sans endiguer ton désir de vivre l’instant. Puis faute avouée faute pardonnée, mon amour.
— C’est bien dit ! je te reconnais là, mon amour, tu es la gentillesse même. N’empêche que je me sens sale, honteuse de moi par rapport à moi, mais surtout à toi, tu ne méritais pas cette trahison, tu m’aimes, tu me combles sexuellement comme jamais je ne le fus et la première bite qui bande sur moi je me conduis de façon inqualifiable.
— Maman cesse de te tourmenter, je t’aime, mon amour pour toi n’a pas varié d’un millimètre à cause de cette péripétie. Cela ne pourra qu’intensifier notre sentiment commun et remplir notre journal des souvenirs de notre amour et notre union. Notre amour est au-dessus de ces passades. Voilà ce que j’en pense…
Les yeux dans les yeux, je me penchais et donnais à Aurélie un baiser d’amour qui n’en finissait pas…Elle me serra la nuque avec force et me rendis mon baiser…
— Mon bébé, tu es merveilleux, tu as toujours les gestes, les actes, les paroles pour me rendre sereine, me sentir aimée, je t’aime à la folie mon trésor.
— Moi de même, Aurélie je te remercie de me démontrer, tous les jours, que nous vivons une idylle extraordinaire.
Nous restâmes ainsi un moment, maman se calma puis …
— Je me sens sale, mon trésor je vais me laver, seule si tu veux bien.
— OK, comme tu veux, je vais t’attendre ici, en lisant un peu répondis-je
Il se passa trois-quarts d’heure, puis je vis arriver Aurélie dans un peignoir de bain blanc, une serviette en turban. L’air décidé…
— Tout bien réfléchit cela ne peut se passer sans punition pour moi. Je dois être châtiée sévèrement, ce serait la moindre des choses me dit-elle
— Maman tu sais bien que je n’aime pas donner des coups et encore moins à toi.
— Alors tu ne m’aimes pas comme tu sembles me dire, car cette déchéance de ma part si tu m’aimais, tu serais d’accord pour me punir afin que je puisse croire à tes pardon et amour.
— Mais c’est du chantage que tu me fais là, tu n’es pas gentille avec mes sentiments envers toi.
— Punis-moi comme je mérite de l’être alors…
— OK tu veux être punie, tu vas l’avoir ton châtiment cela t’apprendra à me mettre en colère.
— Oui, réprimande-moi sévèrement mon bébé à la hauteur de la salope que je suis.
Je pris Aurèlie par un bras brusquement et la tira derrière moi à une allure preste vers ma chambre. Là, le bras en main je l’attachai avec un cordon de rideau que je pris au passage sur la barre de tractions que j’avais mise en place il y a quelques années, pris l’autre bras et en fit de même. Les bras étaient bien écartés, elle ne touchait le sol qu’avec la pointe de ses pieds. Elle ne disait rien, silence de sa part, ses yeux brillaient d’un éclat que je connaissais bien. Tu va voir si tu apprécieras dans un moment pensais-je en moi-même.
Je laissais Aurélie et descendit au sous-sol pour chercher des pinces. Je finis par trouver des câbles de tensiomètre avec petites pinces. Je pris quatre câbles, et une raquette de ping-pong. Puis en remontant, je passai à l’office prendre quatre demi-boites de conserve. Les mains et bras chargés je revins dans ma chambre. Aurélie toujours accrochée à ma barre de traction. Je fixais les boites à un câble distinct puis je m’avançais vers Aurélie avec deux boites. Je vis le regard de celle-ci s’inquiéter, je mis une pince avec sa boite sur chaque téton.
Aurélie se mit à crier de douleur me suppliant de les enlever, je fis ma sourde oreille et revint prendre les deux autres boites avec leurs pinces, revint vers Aurélie. J’écartais les jambes de maman, je tirai sur la grande lèvre gauche et j’y accrochais une boite, je fis de même avec sa lèvre droite. Vous ai-je dit qu’Aurélie était suspendue dans sa parfaite nudité ? J’avais ôté son peignoir de bain une fois attachée à la barre de traction.
Aurélie gémissait, criait de douleur, me suppliait de cesser ces tortures, commença à dire des gros mots ce qui ne m’enclina point à lui obéir.
— Tu voulais être punie, je te châtie pour le comportement de salope que tu as eu, ce qui m’infligea un désarroi inattendu. La pénitence sera à la hauteur
— Oui mon bébé, mais tu me fais trop mal là
— Tu crois, je ne pense pas
Aurélie gémissait toujours de douleurs ressenties. J’allais prendre la raquette de ping-pong, me glissa derrière Aurélie et infligea une tapette franche avec la raquette sur la fesse droite d’Aurélie. Ce qui provoqua un remuage des boites qui fit quasiment manquer d’air à Aurèlie qui resta bouche ouverte quelques secondes, sans qu’aucun son n’en sorte, pour finir par un cri effroyable et aigu de douleur intense ressentie. Des lamentations continues sortaient de la gorge de maman, elles diminuèrent au bout de deux minutes… Paf ! un nouveau coup de raquette, mais sur la fesse gauche pour ce coup-là. Les plaintes reprirent de plus belle, elle m’insulta sous l’emprise de la douleur. M’envoya des tas de noms d’oiseau, je m’amusai à la traiter de tous les noms aussi et continuer à taper une fois que les tourments s’amenuisaient.
Ce manège dura une bonne demi-heure, puis tout à coup je n’entendis plus ni sanglot, ni cri, ni gémissement, seulement des râles particuliers assourdis, bizarre…
J’eus peur d’être allé trop loin dans ma sanction, je me remis face à Aurélie, son visage était livide, mais détendu, un rictus aux lèvres, je pensais que maman tournait à la folie, mais j’ai vu le regard lubrique que m’envoyèrent ses yeux. Alors je m’empressais de vérifier ce que je spéculais. Je m’approchais, passait ma main entre les câbles retenant les boites pendues à sa chatte, avec un doigt je coulissais entre ses lèvres humides, à ma stupéfaction maman mouillait abondamment. Elle dégoulinait, elle était passée hors douleur pour savourer le plaisir intensément de ses maux. Inimaginable, mais réel. Maman éprouvait du plaisir dans une douleur soutenue.
Je me mis à branler son minou, son clito tumescent, il avait bien deux centimètres, gonflé. Je le pris entre deux doigts et commença à le masturber lui aussi, des gémissements de plaisirs et de douleurs sortirent de la gorge d’Aurélie.
— Oui ! continue salaud, branle-moi, prends ma chatte, je veux quelque chose dans ma chatte, une bite, un gode, n’importe quoi, mais prends-moi. Prend ta salope, bourre-moi
Je lâchais son clito pour revenir à son vagin, y mit deux doigts, puis trois quelques allers-retours, puis je tentais les quatre doigts, pas de souci elle les absorba bien.
— Plus profond, va plus profond que je te sente bien, baise ta salope mon salaud ! baise la profond
N’ayant rien d’autre près de moi je sortis mes doigts de sa vulve, mis mon pouce au centre de ma paume, les quatre autres en cône et reviens à la charge, sans difficulté tellement la cyprine affluée, ma main entra et mon avant-bras avec.
— Oui !!!!!!!!!!!!! fils de pute baise moi profond je te sens bien oui continue à fond, plus vite
Les boites me gênaient, mais je m’employais à aller et venir.
Puis les mots de maman m’énervèrent, aussi je repris ma raquette et mis des coups sur ces fesses, en maintenant ma main dans sa chatte. Maman appréciait, elle me demandait de la pilonner plus profond, je fermais mon poing dans sa chatte et martèle fort et rapidement sur son col d’utérus.
Alors des gémissements stridents, un vocable ordurier sortit de sa bouche puis des râles lancinants, je sentis un écoulement de cyprine le long de mon bras, maman jouissait fort, puis des jets de pisse me mouillèrent. Puis plus rien, maman pendait comme tel un objet, je compris vite qu’elle avait tournait de l’œil, dans les pommes, sa jouissance la fit évanouir,
Je sortis doucement mon bras des flots de cyprine coulèrent. Je décrochais en premier les boites suspendues à ses lèvres intimes, puis celle de ses tétons. Je la décrochais de la barre retenant maman qui pesait lourd en poids mort afin qu’elle ne chutât pas violemment sur le sol.
J’étais un peu inquiet, je dois avouer, serais-je allé trop loin dans le délire de maman ?
Toujours évanouie je pris maman dans mes bras, ce fut pénible pour la soulever, mais j’ai des jambes musclées. J’avais décidé de l’amener dans le jacuzzi. Me voilà dans la salle de bains, déposais maman dans le jacuzzi comme je pus. Fis couler l’eau planifiait la chaleur et la densité des jets. Je vins m’asseoir derrière maman, elle était entre mes jambes et je l’appuyais sur mon torse en massant ses seins délicatement, ses tétons étaient énormes.
Je laissais Aurélie reprendre ses esprits. Le jacuzzi était fonctionnel, cela soulageait les douleurs ressenties par maman.
— Bébé, cesse de me toucher s’il te plait, mon corps est une douleur vive me dit-elle
— Oui excuse- moi, comment vas-tu ?
— Cela va, si ce n’est les douleurs de mon corps, mon trésor. Tu as eu une excellente idée avec ce jacuzzi. Je n’ai jamais joui ainsi dans la douleur, je n’ai jamais connu de telles douleurs d’ailleurs. Tu as le don de m’emmener dans des voies inconnues, tu me révèles à moi-même comme je le fais, sans doute, à tes yeux. Jouir de cette douleur si intense me paraissait chose irréelle, pourtant je suis arrivée grâce à toi au paroxysme de la jouissance…Tu m’as emmené dans le paradis des plaisirs en enfer… terrible !!!!
— Tu es mon homme, mon mâle, mon mec je t’appartiens, je suis à toi, tu peux faire de moi ce que tu veux, je sais que cela sera toujours pour atteindre des plaisirs insoupçonnés de nous. Je t’aime mon bébé je t’aime…
— Moi aussi, mon Aurélie d’amour, je t’aime intensément répondis-je
Nous restâmes ainsi une bonne heure, maman ressentant moins ses maux, on se levait…
Je fus puni en cette séquence, car pendant dix jours, impossible de toucher Aurélie tellement elle eut des douleurs sur sa poitrine et ses lèvres intimes.
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Revenons à notre quotidien, il me reste deux mois, enfin 45 jours pour pouvoir mettre au point la surprise que j’échafaude pour Aurélie avant l’arrivée de Marie-Paule pour les fêtes de fin d’année.
Voulez-vous connaitre la suite de ce récit romancé ? dites-le moi cela m’encourage…
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