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Découverte du trio

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Me voilà, en talons aiguilles, les jambes gainées de bas noirs, une micro robe qui suggère plus qu’elle ne montre mais ne laisse pas grand-chose à l’imagination… Mon Amant me caresse voluptueusement les seins et m’embrasse passionnément alors que mon soumis, La Petite Salope, remonte depuis mes pieds jusqu’à mes cuisses avec sa langue… Moment de volupté, préliminaire à une baise phénoménale, promesse d’orgasme violent qui emporte tout.
Vous vous demandez surement comment j’en suis arrivée là. En fait, j’ai toujours eu une libido assez puissante, presque masculine dans sa forme. J’ai toujours adoré les hommes et le sexe. J’ai bien exploré la sexualité dite « classique » pendant plusieurs années et un jour, j’ai rencontré un homme (que nous appellerons P.) qui, lui, était libertin depuis fort longtemps. Dès qu’il m’a parlé de ce milieu, j’ai senti mon ventre se contracter, mon sexe se mouiller et les lèvres de ma chatte me picoter. Je me rappelle encore qu’il n’a pas osé m’en parler directement, il utilisait des périphrases et expliquait que la jalousie dans le couple ne devait pas exister etc… Pour finir, il a lâché le morceau et j’avoue que je lui en étais presque reconnaissante ; en effet, je n’aurais jamais osé m’aventurer seule dans ce milieu et il m’offrait l’opportunité de vérifier par moi-même et en toute sécurité ce qu’il en était vraiment.
Ma toute première expérience fut très réussie. P. a choisi le partenaire idéal, sur internet, et l’a invité à la maison pour un trio. Le soir du rendez-vous, j’étais toute nerveuse, excitée et légèrement effrayée à la fois… L’idée d’être prise par un autre homme devant P.me chamboulait et je craignais un peu de me figer totalement et de ne pas y arriver. Je me suis longuement préparée, en suivant les conseils (vestimentaires) de P. Robe très courte, décolleté plongeant sur mon petit bonnet A, bas noirs et talons aiguilles. Une sorte d’uniforme qu’à partir de là je revêtirai souvent. Avant l’arrivée de notre invité, j’ai décidé pour une fois de boire un peu de rosé histoire de me donner du courage.
Que l’on se comprenne bien : je voulais vraiment le faire, j’étais très excitée à l’idée de ce trio mais entre le fantasme et la réalité, j’étais tout de même un peu inquiète. Enfin, après une attente qui me semblait interminable, l’Invité d’un soir est arrivé. Beau jeune homme grand et brun, visiblement en forme physiquement qui se présente à la porte de notre jardin. P. le reçoit et je les vois parler doucement tout en marchant vers la terrasse où je les attendais. Que pouvaient-ils bien se dire ? Je suppose que P. lui rappelle que je suis une débutante et qu’il devra prendre les initiatives, être doux et attentif à ce qui me plait. J’adore l’idée que cet homme dont je ne sais rien vient jusque-là pour me baiser sous les yeux et l’éventuelle participation de Monsieur. La composante de l’inconnue est fort excitante, mon imagination (pour le moins fertile) fait des bons et m’envoie un tas d’images plus osées les unes que les autres… Je m’imagine sur le dos, la robe baissée pour dévoiler mes seins et remonter pour exposer mon sexe, la queue de P. dans la bouche pendant que l’Invité du soir me lèche… Puis prise en levrette par P. pendant que je suce goulument la queue de l’Invité… Ou encore, totalement livrée aux caresses des deux en même temps, n’arrivant plus à distinguer les mains de l’un ou de l’autre… Mmmhhhhh, j’espère que le jeu de ce soir comportera tout ça et plus.
Le jeune homme se rapproche et son visage est agréable. Ses yeux me semblent un peu bizarres et je mets cela sur le compte de ma propre anxiété. Plus tard, je comprendrai que c’était en fait l’excitation. Il m’a trouvée belle (ce qui n’est pas faux si je puis le dire moi-même) et est très excité à l’idée d’être l’instrument de mon initiation aux jeux à trois. Il s’assoit poliment en face de moi et nous discutions gentiment pendant que P. va lui chercher à boire. Je ne me rappelle pas de tout mais très bien de ma nervosité. Je me rappelle aussi avoir pensé que jamais la soirée ne démarrerait car je me sentais comme un lapin pris dans les phares d’une voiture. Pourtant, P. a commencé à me caresser, le cou, les jambes, les seins. Il fait doucement remonter ma robe pour montrer mon string noir et caresse les lèvres de ma chatte au travers du tissu. Mon sexe est déjà mouillé car lui n’a aucun doute quant à cette soirée !
L’Invité du soir parle de moins en moins, il regarde les doigts de P. qui se promènent, laissent voir de plus en plus de portions de ma peau. Toujours un peu embarrassée, je décide de fermer les yeux et simplement profiter de ces chaudes mains masculines qui parcourent mon corps, les zones sensibles, celles qui me donnent le frisson… Plus personne ne parle, sauf l’Invité qui dans un souffle murmure « elle est belle ». Curieusement, mon imagination d’ordinaire si active s’est totalement tue, tout mon être est dans l’instant présent et savoure les sensations d’où qu’elles viennent. Je sens P. caresser les lèvres de ma chatte avec plus d’insistance. Il commence à appuyer sur mon clitoris et j’écarte bien les cuisses pour qu’il ait accès partout. D’un coup, alors que je ne l’ai pas entendu s’approcher, je sens des mains supplémentaires sur mes épaules. L’Invité s’est positionné derrière moi et commence à explorer doucement le haut de mon dos. Les épaules, le cou, les clavicules…
Ses mains aussi sont chaudes, mon corps s’éveille de plus en plus, je sens mon sexe tremper mon string. P. pousse gentiment ledit string de côté et ses doigts titillent l’entrée de ma chatte, écartent les lèvres, remontent vers le clitoris et redescendent pour ouvrir encore un peu plus l’antre de mon plaisir. Les autres mains sont descendues vers mes seins, faisant rouler les mamelons sous les doigts. Les caresses se font plus insistantes, passant de simples effleurements à de légers pincements, voire pas si légers. Ma poitrine est très sensible et parfois ces pincements provoquent presque de la douleur. Etrangement, j’ai comme envie qu’il serre plus fort, envie de cette sensation exacerbée qui converti la douleur en plaisir… Pourtant, je ne dis rien, ayant peur de parler, de rompre le charme et aussi de l’éventuelle réaction de P. face à ce type de désir. Au bout d’un moment, leurs caresses me plongent dans un tel état que toute idée de gêne ou d’appréhension a disparue et je ne pense plus qu’à profiter de toutes les sensations qui assaillent mon corps.
C’est ce moment-là que choisi P. pour me dire de me lever et que nous allons nous installer dans le canapé pour continuer à jouer. J’obéis mais tente de fermer les yeux, l’embarras étant réapparu à la seconde où il a parlé. Je ne détecte cependant aucun sentiment négatif chez lui, ni dans le ton de sa voix rauque de désir, ni dans ses yeux clairs. Ses pupilles sont légèrement dilatées, comme chaque fois qu’il bande pour moi. Nous nous retrouvons sur le canapé, P. assis derrière moi et me tenant les cuisses écartées. Il demande à l’Invité de me venir me lécher la chatte. Mon string a disparu comme par magie entre temps. Je ne me rappelle pas l’avoir enlevé mais ça me convient très bien. J’adore être blottie contre P. et qu’il me tienne les cuisses ouvertes pour m’offrir à l’Invité. Ce dernier dépose quelques baisers sur mon ventre mais bien vite il passe aux choses sérieuses. Il pose ses mains autour de mon sexe plus mouillé que jamais et je sens son souffle sur mes lèvres. Sa langue commence à tourner autour des lèvres, dessine les contours de mon con. Je frissonne et me laisse faire, alanguie et détendue. Le bout de sa langue vient chatouiller mon clitoris que je sens gonfler sous ses caresses. Mon souffle s’accélère et j’écarte encore un peu plus les cuisses pour qu’il puisse bien s’occuper de moi. Je sens sa langue descendre sur mes lèvres, les goûter et jouer avec. Il lèche consciencieusement les lèvres puis les écarte avec le bout de sa langue. Il l’introduit lentement mais profondément en moi ce que j’adore. Il continue ainsi un bon moment, passant de mon clitoris à mes lèvres pour ensuite entrer dans mon sexe puis recommence. Pendant tout ce temps, P. me caresse les seins, embrasse mon cou et me murmure qu’il aime me voir prendre du plaisir. Je sens sa queue raide et gonflée dans mon dos mais je ne prends toujours pas d’initiative. Pourtant j’ai envie de sentir sa bite dans ma main voire dans ma bouche.
J’ai toujours eu un faible pour la fellation. J’aime la pratiquer, j’adore donner du plaisir à mon partenaire, qu’il soit d’un soir ou pour plus. Pour ce soir, j’ai décidé de juste me laisser faire et je verrai bien où cela nous mène. L’Invité continue son exploration buccale de ma fente. Ses doigts ont maintenant rejoint sa langue et ils tournent lentement dans mon vagin. J’aime beaucoup ce qu’il fait et en même temps je sens poindre une légère frustration. C’est que j’aime bien les préliminaires mais je préfère encore être bien remplie. Je commence à m’agiter en espérant qu’ils comprendront qu’il est temps de passer à la suite. Pourtant, ils font encore durer la douce torture. La langue est maintenant descendue titiller mon trou du cul qui frémit de bonheur. Je n’ai pas encore trouvé de plaisir par cette voie là et je n’ose même pas essayer. Mais les caresses sont toutes bienvenues. Enfin P. change de position et me fait me mettre à quatre pattes, le cul bien tendu vers la bouche, et j’ose l’espérer, la queue, de l’Invité. P. dégrafe son pantalon et me présente sa belle queue bien raide. Elle est assez large et pas trop longue, juste comme je les aime. Ma bouche salive immédiatement et je commence en léchant son gland déjà bien humide d’excitation.
Je suis ravie de constater que de me regarder me faire lécher lui fait cet effet-là ! Je tourne ma langue autour de son gland, le tête légèrement puis enserre son vit avec ma main. Après quelques aller retours tous doux, je plonge ma bouche sur ce bâton si raide et en avale le plus possible. Je l’entends rater une respiration et suis satisfaite de sentir sa queue durcir encore et tressaillir sous l’aspiration de mes joues. Pendant ce temps, l’Invité a repris son léchage intensif de ma chatte et il rentre plus de doigts pour en caresser l’intérieur. Je n’oserais jamais le dire mais je fantasme sur toute sa main qui rentre là, pour que je me sente très remplie, tendue au maximum…
Enfin, je le sens bouger et je devine qu’il enfile un préservatif. Du peu que j’ai osé regarder, il est aussi doté d’une belle queue et je suis très impatiente de la sentir fouiller en moi. Il en présente le bout très délicatement à l’entrée de ma caverne et P. me demande : « Tu le veux en toi ? Tu as envie de sentir sa queue te prendre ma chérie ? » N’ayant pas envie d’arrêter de le sucer, je me contente d’un « mmmhhhhhhh » que j’espère assez approbatif et sur un signe de P. l’Invité me pénètre enfin. J’adore la sensation de ce sexe qui me pénètre en douceur mais bien profondément. J’ai un moment d’inquiétude car il a l’air très long mais non, il s’arrête juste où il faut et me demande si tout va bien. En guise de réponse, je poursuis mes aspirations sur P. et presse mes fesses sur le bassin de l’Invité. Il comprend bien le message et entame des vas et viens qui me font frissonner le ventre. Je découvre que j’adore être prise en levrette pendant que je m’évertue à continuer de sucer une belle bite. Le mélange des plaisirs ont un effet domino sur moi et je sens que je vais orgasmer très vite. J’ai pourtant envie que cela se prolonge alors je tente de faire ralentir l’Invité en mettant une main sur sa cuisse. J’ai de la chance et il a surement été bien briefé par P. avant de venir car il ralentit immédiatement jusqu’à s’arrêter et tout en ayant sa queue fichée bien profond, se penche pour me caresser le dos et les fesses.
Je me soumets à ses caresses avec bonheur, cambre bien mes reins lorsqu’il arrive au niveau des fesses car ses mains sont chaudes et douces et mettent mon cul en émoi. Je continue toujours à sucer P. mais je sens qu’il n’est pas loin de jouir. D’ailleurs, il décide de retirer sa queue de ma bouche avide. J’en suis bien désolée sur le coup mais beaucoup moins quand il se glisse sous moi pour venir lécher mon clitoris. Quel bonheur d’avoir un sexe bien raide planté dans mon ventre et sentir une langue bien douce me lécher en même temps. Je me cambre encore plus pour faciliter l’accès et me laisse totalement faire. Des gémissements de plaisir s’échappent de ma bouche libérée et au plus profond de moi-même, je m’avoue que j’aurais certainement apprécié de garder une queue en bouche, une autre dans ma chatte et d’avoir des langues et des mains qui me caressent de partout….
Je me demande fugitivement si plus de 2 hommes et une femme pourrait devenir une option et si P. serait aussi content dans cette configuration-là. L’Invité reprend son limage consciencieux de ma chatte et je cesse de penser, toute au plaisir des sensations et de leur multiplicité. Quand je suis au bord de la jouissance, P. fait arrêter l’Invité et nous changeons encore de position. P. à moitié allongé sur le canapé, je m’empale sur sa queue et l’Invité se retrouve face à moi. Il me lèche les seins et descend sur mon ventre. P. bouge sa queue légèrement mais profondément en moi. L’Invité descend jusqu’à mon clitoris et je suis fascinée de le voir le prendre dans ses lèvres, le sucer comme je sucerais une toute petite queue. Je suis à peu près certaine que la langue de l’Invité dérape de temps en temps sur la queue de P. que je sais non bi mais cela n’a pas l’air de déranger qui que ce soit. La vision de cet homme qui me suce si bien le clitoris et de la grosse queue de P. qui rentre et sort de ma fente. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce magnifique spectacle et cette fois-ci, je ne veux plus arrêter avant d’être emportée par cet orgasme que je sens monter de mes entrailles.
Je m’empale encore plus profondément sur la queue de P., ouvre largement les cuisses pour que la langue suce encore mieux mon clito. Les deux hommes sentent que je suis en train de monter et font de leur mieux pour me fournir toute l’aide nécessaire. Ils me soutiennent et sont à mon entière disposition, essayant de calquer le rythme de leurs caresses à celui de mon bassin qui bouge presque sans aucune volonté de ma part. Mes hanches se collent le plus possible à P. pour le prendre au maximum et là, enfin, je sens le grand frisson qui part de mon sexe et m’envahit entièrement. Un cri s’échappe de mes lèvres et je sens ma chatte dégouliner encore plus. Je ne suis pas fontaine mais j’ai tendance à énormément mouiller surtout au moment de l’orgasme… Je continue à me tordre sur la queue encore un moment pour prolonger le plaisir, je m’abandonne totalement sans plus penser à l’image que je peux donner, femelle emportée et dominée par son plaisir et ne pensant qu’à jouir au maximum. Quelques secondes ou minutes plus tard, je reviens sur terre et sans ouvrir les yeux, je sens s’épanouir un large sourire sur mon visage. C’est sûr, j’aime le libertinage, du moins cette version-là de celui-ci.
Les deux hommes continuent à me caresser doucement tout en discutant.
— Elle jouit fort ta femme, dit l’Invité— Et oui, elle aime le plaisir. Et pour une première, je crois qu’elle a bien apprécié.-Je crois aussi, elle a pris son pied c’est clair.-Laisse lui un peu de temps, elle va reprendre dans quelques minutes, un seul orgasme ne lui suffit jamais…
J’avoue que je rougis un peu à ce dialogue mais je dois reconnaître que P. a raison. Un seul orgasme m’a rarement suffit et j’ai parfois eu du mal à trouver un partenaire qui puisse réellement me satisfaire. Je choisi de ne pas participer à la conversation car malgré les apparences, cette femme qui vient de jouir sans retenue devant deux hommes qui l’ont baisée en même temps est pudique. Mais je souris intérieurement en songeant à la suite de la soirée, d’autant que ni P. ni l’Invité n’ont débandé. Je me redresse un peu et recommence à bouger sur la queue de P. et prend celle de l’Invité dans ma main.
Il comprend immédiatement où je veux en venir et rapproche l’objet de ma convoitise de ma bouche. Je commence à le sucer après l’avoir débarrassé de son préservatif. J’aime la sensation de la peau douce sur ma langue, celle des tressaillements d’une queue sous mes coups de langue. Comme il s’est montré charmant et attentionné, je décide de lui faire une vraie belle pipe. Mouvement de la langue autour du gland tout en suçant le plus loin possible le membre. Une de mes mains le branle sur la longueur que ma bouche n’arrive pas à avaler et l’autre s’occupe de ses couilles.
Je commence en les caressant doucement et appui de plus en plus les caresses. Je suis très attentive aux petits signaux qui me diront jusqu’où exactement il aime être caressé, avec quelle force, s’il préfère les ongles, le bout des doigts ou que je me saisisse de ses bourses à pleine main. L’Invité se met à haleter sous mes caresses et je sens que malgré ses bonnes résolutions, il ne va pas tarder à gicler. Lui, il aime avoir les couilles bien pressées alors que je le fais. La combinaison de la bouche qui le suce avidement, ma main qui le branle et l’autre sur ses couilles semble être un peu trop pour lui à gérer et je sens ses bourses se contracter de même que quelques gouttes de liquide pré séminal sur ma langue. En ne cassant surtout pas le rythme, je me prépare à retire ma bouche très rapidement afin d’éviter d’avoir son sperme au fond de la gorge. Sa queue se raidit encore un peu plus et le voilà qui explose sous ma main, son sperme chaud jaillissant pour s’écraser sur ma poitrine dans un râle très rauque.
La vision du plaisir de l’Invité semble motiver P. qui s’active de plus en plus dans ma chatte et je sais rien qu’à la façon qu’il a de serrer ma taille qu’il va lui aussi bientôt m’offrir son sperme en guise de remerciement pour le plaisir que nous avons partagé. Je sens les convulsions de sa queue dans mon antre et lui aussi gémit en lâchant son jus blanc dans mes entrailles. Je me sens très satisfaite avec le sperme de l’Invité sur mes seins et celui de P. qui remplit mon ventre. J’aime mon plaisir mais j’ai toujours aimé presque autant celui de mon partenaires, ou mes partenaires en l’occurrence.
Tout le monde se détend et nous reprenons des positions plus classiques sur le canapé. P. se lève pour aller nous chercher à boire et nous discutons un peu avec l’Invité. Il me demande si je suis bien certaine d’être une débutante, ce que je lui confirme. Il me dit être dans le milieu depuis quelques années et adorer baiser une femme sous les yeux de son mari ou partenaire. Il aime être regardé et adore penser qu’il peut donner plus de plaisir que l’habituel amant de la dame. Je ne commente pas ce dernier point, chacun est libre de penser ce qu’il veut…
P. revient et nous sirotons chacun un verre de rosé. Normalement cela aurait dû être du champagne mais ce breuvage a l’énorme désavantage de m’endormir donc je l’évite. Je remarque que malgré son orgasme, l’Invité continue de bander. Cela m’intrigue mais je ne pose pas de question. J’apprendrai plus tard que les hommes seuls ont souvent tendance à prendre des substances, voire se piquer la queue (!!!) pour être certains d’être performants. A ce jour, je doute que les sensations soient les mêmes et j’avoue que je n’en vois pas l’intérêt. Nous sommes tous là pour donner et prendre du plaisir et s’il faut recourir à des drogues pour ça, où est la notion de plaisir ?
Enfin, les verres sont à moitié vides et je sens le regard de l’Invité qui s’alourdit sur ma chatte. En effet, P. a recommencé à me caresser… Il me connaît bien et sait que je peux encore beaucoup. P. titille mon clitoris avec un doit et maintien les lèvres de ma fente bien écartées pour que l’Invité puisse bien se rincer l’œil. Comme j’ai un « légère » tendance à l’exhibitionnisme, le fait d’être dévorée du regard m’excite et je sens bientôt la mouille commencer à dégouliner de mon sexe ouvert. L’Invité ne résiste pas plus longtemps et revient me lécher en commençant par récolter mon nectar avec sa langue. Il enfonce rapidement ses doigts dans mon intimité et je ferme les yeux pour mieux profiter. P. ne participera pas plus longtemps à nos ébats, du moins pas activement. Il a déjà joui et ne vas pas bander avant des heures, d’où un certain sentiment de frustration parfois.
Les doigts fouillent ma chatte de plus en plus profondément, de plus en plus durement. J’aime ça, comme toujours. Je gémis pour indiquer mon plaisir et inciter mon « baiseur » à continuer. Il s’exécute bien sûr, et j’avoue que j’en oublie la présence de P. Pourtant, ce dernier décide d’un coup qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure et saisit mes cuisses dans ses mains puissantes. Je me retrouve coincée contre son torse, les jambes relevées vers mes épaules, totalement ouvertes et impuissante. Et cette impuissance m’excite encore plus. Ma chatte dégouline et je sens tout ce liquide qui coule sur mon cul, mes fesses et commence à s’accumuler sous moi. L’ « invité » vient lécher ce nectar et à ma grande joie, il le fait en écartant bien les lèvres de mon sexe. Je suis bien ouverte, écartée et sa langue fouille tous les recoins à sa portée. Je me tends contre P. et essaie de m’offrir encore plus.
Quand je n’y tiens plus, enfin l’ »invité » se redresse et me pénètre vigoureusement. Sa queue est toujours aussi raide et il m’empale à fond, son pénis fiché au plus profond de moi. La position lui donne un accès total à mon corps et il en profite pour me malaxer les seins. P. me tient toujours et je me sens sans défense, ce qui m’excite incroyablement. Je sens le plaisir monter en moi, fort et presque douloureux, j’essaie de faire durer au maximum. Il me ramone les entrailles, je vois bien qu’il adore se lâcher de la sorte. Je garde les yeux fermés car cela me permet de n’être concentrée que sur les sensations qu’éprouve mon corps. Au milieu de tout ça, le mot « salope » me vient à l’esprit et voilà que je réalise qu’effectivement, alors que je croyais juste aimer le sexe, en fait j’adore ça et en version hard encore plus. Cette pensée est le frisson de trop qui, ajouté à cette queue qui me laboure l’intérieur, me fait enfin exploser en une jouissance puissante et presque sauvage. L’ « invité », lui, n’est pas au bout et malgré mon orgasme, il continue encore plus fort pour lui aussi jouir une seconde fois. Cela en devient douloureux mais une douleur délicieuse et excitante (encore ?...) et je reste finalement sur une sorte de palier de plaisir où tout se mélange et tout est bon, que ce soit du plaisir ou de la douleur. Là aussi c’est une découverte, décidément, non seulement je suis une salope mais en plus apparemment j’ai aussi un net penchant SM… Mmmmhhhhhhhh, je vais me régaler à explorer tout ça plus tard.
C’est ainsi que la soirée se termine, car après cela, une certaine gêne s’est installée en moi. J’ai un peu de mal à assumer de m’être autant lâchée et les hommes semblent le comprendre. L’ « invité » sera rapidement raccompagné à sa voiture par P. Ensuite, nous nous douchons et allons nous coucher. Je suis un peu inquiète de ce qu’il ressent par rapport à tout ça mais il me rassure en me murmurant « je suis heureux que tu te sois autant éclatée » et je m’endors l’esprit tranquille et le corps repu.

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