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Je découvre qui je suis.

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Je fais quelques pas, le petit vent froid finit de me glacer.Je reprends mes esprits, j’ai vraiment froid maintenant et je décide de retourner vers la porte de service.Ce qui n’était que plaisir il y a quelques minutes est finalement devenu désagréable, jamais je ne pourrais rentrer dans cette tenue. Ce short est bien trop petit et me fait mal, mes seins pointent toujours, mais le froid en est devenu la cause. Je tape le code et me mets à l’abri de ce vent sournois. Et ce short qui me rentre dans la fente, merci Chloé, je ne supporterai plus très longtemps.La première fois qu’une culotte m’a dérangée,j’étais partie à vélo, au bout d’un moment, je me suis arrêtée pour l’enlever tant elle me faisait souffrir. Je me suis fait mal en essayant de calmer cette sensation, la douleur n’a fait que l’amplifier.En rentrant, j’en ai parlé à ma mère qui m’a dit que ce n’était pas grave, et qu’elle non plus ne supportait pas les culottes et les pantalons depuis toujours.Je ne mets quasiment plus que jupes ou robes sans rien. C’est familial, ma fille ne supporte pas non plus. Ça provoque une excitation intense, soit on résiste et ça devient douloureux, soit on se laisse aller.Sans expérience, se laisser aller est un concept inaccessible, et plus tard, on comprend que c’est souvent impossible.Du coup, il m’est arrivé souvent de me retrouver les fesses à l’air et les garçons s’intéressant rapidement à ces choses, j’ai été très vite sollicitée.Quand un garçon a exploré mon sexe avec ses doigts pour la première fois, c’était plutôt un homme d’ailleurs, j’ai adoré. A peine plus tard, ma première pipe. C’est le plaisir qu’il a ressenti qui m’a fait aimer ça. Il a vraiment « grogné » de satisfaction. Quand il a attrapé ma tête pour s’enfoncer au fond de ma gorge avec brutalité, je me suis senti « sa chose », j’ai cru m’étouffer, mais j’ai aimé qu’il me force. Par contre, le sperme ne m’a pas plu. Ça ne me plait toujours pas, mais les mecs aiment tellement qu’on avale.Peu de temps après, lors d’une soirée, je l’ai sucé alors que nous n’étions pas seuls, deux couples de copains nous regardaient, j’ai regardé les nanas droit dans les yeux en avalant. Le plaisir que je procure aux hommes m’a toujours rendu plus heureuse que mon propre plaisir, mais soutenir le regard de celles ou ceux qui me méprisent parce que je ne me retiens pas m’a toujours excitée au plus haut point.C’est juste quelques semaines après que je perdais ma virginité avec un homme beaucoup plus mur. Aujourd’hui encore, je préfère toujours les hommes plus âgés.C’était une soirée d’étudiants dans laquelle je n’avais rien à faire, mon chéri me tripotait de partout devant tout le monde, et il n’a pas fallu longtemps pour que je me retrouve seins nus. J’ai d’abord eu envie de cacher mes seins face aux regards désapprobateurs des autres nanas, mais je me suis vite dit que, moi au moins, je savais faire plaisir à mon jules, et je l’ai laissé faire.Après avoir eu les nichons tripotés, embrassés et mordus pendant un bon moment devant les regards écœurés des nanas et envieux des mecs, je sentais mon entre jambe trempé qui souffrait d’être enfermé dans un Jean et je l’ai laissé me foutre à poil. Autour de nous, le monde a semblé se figer, tout le monde me regardait et ça m’a boostée. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’avais sa bite dans la bouche, le cul en l’air, et tout le monde pouvait admirer l’effet que ça faisait à mon sexe encore vierge.C’était une question de secondes, un type que je ne connaissais pas n’a pas résisté à l’envie de me sauter. Je ne m’y attendais pas, ce sauvage a fourré sa pine au fond de ma chatte sans aucune tendresse, la douleur m’a fait faire un bond en avant et j’ai senti la bite que je suçais rentrer au fond me ma gorge. J’avais mal, mais je crois que ce fut mon premier orgasme. Pendant un moment interminable, celui qui pénétrait ma bouche a forcé ma gorge au plus profond et j’étouffais. Pendant ce temps, l’autre, qui ne s’est même pas rendu compte de l’honneur qu’il avait d’être le premier, me pistonnait avec brutalité.
Je n’avais pas voulu que ça se passe comme ça, cette première fois, j’aurais voulu en profiter pleinement, mais je commençais à manquer d’air et le plaisir qu’irradiait mon vagin dans tout mon corps était gâché.Du coté de ma bouche, c’était pire, il forçait ma gorge avec force, j’avais mal et envie de vomir, et quand il a enfin relâché ma tête, je n’ai pas pu me retenir. Je commençais à peine à reprendre mon souffle qu’il m’a de nouveau enfoncé sa bite au fond de la gorge. C’est avec l’expérience, quelques années plus tard que je me suis rendue compte que cette bite était bien plus longue et imposante que la moyenne. Je croyais que j’allais mourir étouffée quand il a éjaculé. Sa bite était si profondément fichée dans ma gorge que je n’ai pas senti le gout de son sperme.Celui qui honorait ma chatte a grogné, et pour la première fois j’ai senti un homme se lâcher en moi. Mes jambes se sont dérobées, j’étais anéantie, honteuse et heureuse.En rentrant chez moi, avec la crainte de tomber enceinte,j’en ai parlé à ma mère, elle m’a prodigué quelques conseils grâce auxquels j’ai commencé à comprendre qu’elle n’était pas une sainte nitouche. Elle aussi avait commencé très jeune, elle aussi, lorsque les frottements d’une étoffe sur son sexe provoquaient son excitation, avait appris à se laisser aller dans cette voie chaque fois qu’elle le pouvait.La semaine suivante, mon chéri organisait une soirée piège avec cinq de ses copains ou j’étais la seule fille.Inquiète de l’efficacité de ma toute nouvelle contraception mais ayant envie de faire plaisir à mon homme, je lui dis que je ne voulais pas me faire sauter mais que je voulais bien les sucer. Voilà comment j’ai découvert que les spermes ont des goûts différents. J’ai commencé par avaler à nouveau entièrement la bite hors norme de mon chéri. Chaque fois qu’il la ressortait, je vomissais, mais j’aimais bien l’avaler jusqu’au bout devant le regard ébahi des autres.Les zigounettes normales des suivants ne m’ont même pas provoqué de hauts le cœur, j’ai même réussi à mettre leurs couilles avec leur bite dans ma bouche. Voyant ça, mon copain a retrouvé une forme étonnante et m’a demandé de lui faire subir le même traitement. Impossible, j’ai essayé, vomi, essayé encore, impossible. J’ai refait ça avec les autres, mais avec lui, pas moyen.J’avais vu quelques vidéos piquées à mon grand frère, ma mère m’avais laissé entendre que je n’avais pas qu’un vagin, aussi, je proposais à mon chéri de se consoler avec mon petit trou. Ça n’a pas été facile, il m’a léchée, lubrifiée, il a commencé avec un doigt, puis deux, trois… Ça n’allait pas.J’ai d’abord demandé à un de ses copains de commencer. C’était différent, mais tellement bon, surtout à la fin. J’ai vraiment joui très fort.Ensuite, mon chéri a essayé, mais impossible, je ne pouvais l’accueillir.J’ai demandé à un autre de ses copains de venir, d’y aller fort, de ne pas avoir peur de me faire mal. Il ne s’est pas fait prier, il m’a défoncé l’anus et frappée les fesses avec férocité. Je me suis redressée pour hurler mon plaisir, mon copain, qui était face à moi, a vu le plaisir dans mes yeux et a frappées seins.Je l’ai regardé effrontément en lui demandant de frapper plus fort. Sur le visage aussi, plus fort, sur les seins, plus fort, encore, encore. Il aimait ça, moi aussi. J’ai été anéantie par la jouissance. C’était incroyable, plus il frappait, plus j’avais mal, plus j’avais de plaisir. Ça, Maman ne m’en avait pas parlé.J’ai poussé celui qui m’enculait et demandé à mon copain de s’allonger sur le dos et mit sa bite énorme à l’entrée de mon petit trou. Rien à faire !J’ai demandé aux autres de me frapper les seins, les fesses, le visage, partout. Ils n’osaient pas, je me suis griffé les seins avec une violence inouïe, et leur ai hurlé de me cogner, deux sont partis.Je n’arrivais toujours pas à faire rentrer cette bite monstrueuse.J’ai regardé les deux gars restant, ils ne savaient pas trop quoi faire, je leur ai demandé de me faire mal, j’espérais que la douleur qu’ils m’infligeraient m’aiderait à enfourner ce chibre. Mais non.Je leur ai fait lever mes jambes, le poids de mon corps reposait sur cette bite à l’entrée de mon cul, qui ne pouvait pas la recevoir. C’était horriblement douloureux, mais, je ne sais pas pourquoi, il fallait que j’y arrive.Mon chéri n’était pas à la fête non plus, je ne pesais pas bien lourd, mais quand même. Il a voulu bouger, je me suis empalée d’un seul coup.Le cri que j’ai poussé leur a fait peur, mais il était au fond de mon cul.Je suis restée un moment immobile, tétanisée par la douleur. En grimaçant, j’ai commencé de lents va et viens sur ce pieu énorme et, petit à petit, la douleur a laissé la place à autre chose, c’était trop bon.Je ne sais pas combien de fois j’ai joui, par contre, ce jour-là, j’ai commencé à comprendre que mon plaisir était plus complet dans la souffrance et la soumission. Plus tard dans ma vie, toujours avec cet homme, j’irai plus loin (trop) pour comprendre ce plaisir.C’est en public que j’ai connu mon premier orgasme incontrôlable sans aucun contact physique. J’avais décroché un petit boulot de modèle pour un cours de peinture, j’en rêvais depuis longtemps. Pas de vestiaire, je me suis déshabillée, une dizaine de gars et une fille étaient là, j’ai pris la pose, c’était soft.Je les regardais pendant qu’ils pratiquaient leur art, l’un d’eux était joli garçon et je me disais que j’irais bien boire un verre avec lui quand j’ai croisé le regard de la fille…Ces yeux !Je n’avais jamais ressenti ça. Fulgurant ! J’ai senti mes seins se dresser et mon sexe se mettre à couler abondamment.Les yeux d’un des garçons se sont agrandis lorsqu’il a vu mes seins, j’aurais dû ne rien faire, mais comme une idiote, j’ai serré les cuisses.Erreur, c’est venu d’un seul coup. Ma chatte est devenue fontaine et je me suis mise à trembler. Trop tard, j’ai joui devant tout le monde en gémissant de plaisir.La fille a posé mes vêtements sur moi, et attendu en tenant ma main. Le cours était terminé, elle m’a aidé à me relever et m’habiller puis m’a proposé d’aller boire un verre.Mais ce sera une autre histoire, Fredo sort de la douche…
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