Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 126 J'aime
  • 6 Commentaires

Défis de couple

Chapitre 5

Divers
5ème défi : Retour chez mon voisinLes meilleures choses ont une fin. Après quelques semaines en France, Arnault est reparti en mission pour une durée indéterminée. Je ne sais même pas où il est exactement. C’est comme ça. Je connais et accepte les contraintes de son job.Nous avons bien profité de sa permission et notre entente, notre complicité amoureuse ont été au beau fixe tout au long de son séjour. La veille de son départ, nous étions d’accord sur un point : il nous fallait poursuivre le jeu des défis. Il en avait envie et moi aussi, alors, nue sous mon imperméable, à sa demande, et juchée sur mes talons les plus hauts, je l’ai accompagné à l’aéroport. J’ai juste essayé de ne pas pleurer car chacun de ses départs est source d’angoisse.Lui retrouvait ses copains et était très heureux de repartir sur le terrain.Nous nous sommes embrassés et il m’a demandé de consulter ma messagerie dès le lendemain matin.Cette nuit là, je n’ai pas bien dormi. Lorsque je me suis levée, j’ai ouvert mon téléphone pour lire le message d’Arnault.« Je suis bien arrivé. Tout va bien. JTM ! Défi 1 : Photos sexy chaque jour pour me tenir en appétit: appart, escalier, ascenseur, parking, voiture, boulot…tu as le choix.Défi 2 : Si Schuller est de retour et t’invite, tu y vas….. Biz !»J’étais aux anges. D’abord, il est bien arrivé, ensuite, il va bien ; enfin, il pense à moi…. et moi à lui.Ce jour là, j’ai effectué un véritable safari photos avec mon portable, mon IPAD et notre appareil photo et j’ai constitué une belle collection de photos toutes plus coquines les unes que les autres. Cette activité m’a bien occupée et excitée toute la journée. Au boulot, c’était chaud car j’ai failli me faire surprendre par une collègue. C’était moins une.Le soir, Arnault a pu m’appeler sur Skype. Je lui avais envoyé certaines photos. Il était ravi et semblait en pleine forme. Ensuite, nous avons parlé de notre voisin car le simple fait de parler de lui nous excite maintenant au plus haut point, l’un et l’autre.« Qu’allait-il exiger de moi, s’il m’invite à venir chez lui? » Tel était le thème de cette conversation torride.Arnault m’a expliqué qu’à la place du vieux, qui serait chez lui, il essaierait d’aller plus loin, très loin, beaucoup plus loin, et il a développé toutes sortes d’hypothèses pour nous exciter et me faire peur tout à la fois. De la peur peut naître l’excitation et ce soir là, cette vérité s’est viscéralement imposée à moi.Selon lui, le vieux pouvait, par exemple, vouloir me prendre en photos de manière bien plus sexy, ou bien me faire venir sur ses genoux et me tripoter facilement, sur tout le corps. D’après Arnault, c’était même là l’hypothèse la plus probable, en tout cas ce que lui ferait, s’il était à la place du vieux.Il pouvait vouloir aussi que je le masturbe ou, par exemple, me demander de me mettre nue devant lui, selon ses caprices, pour se repaître de ma nudité offerte et prendre des photos pornos.
Arnault, dont l’imagination est aussi féconde que la mienne, a envisagé d’autres possibilités desquelles il ressortait que je serais, de toute façon, totalement soumise aux désirs de ce vieillard, et ce, tant que j’accepterais de jouer le jeu, bien évidemment, car je pouvais arrêter à tout moment si cela devenait insupportable.J’étais aussi effrayée qu’excitée à l’analyse de ces récits détaillés et réalistes de ce qui pouvait m’attendre. Dans l’un d’eux, et cela m’a fait frissonner de peur, le vieux me demandait de me masturber devant lui avant d’exiger de moi des caresses manuelles et buccales.Aussi, nous sommes nous fixés une ultime limite protectrice: je ne devais pas accepter de rapport sexuel, juste des attouchements sur ma personne mais là, le vieux avait carte blanche et pourrait faire de moi ce qu’il veut si je relevais le défi.La suite de notre conversation a complètement dégénéré et lorsque la caméra s’est éteinte, j’étais nue, satisfaite et très fatiguée.Chaque jour, j’ai envoyé des photos à mon chéri. Chaque jour, je guettais une invitation de notre voisin.Deux semaines plus tard, une carte de visite dans ma boîte à lettres a accéléré mon rythme cardiaque. Le voisin était de retour et me le faisait savoir à sa manière.« Chère voisine, seriez-vous disponible pour m’accorder le privilège d’une petite séance photos revigorante, demain soir, par exemple ? Très respectueusement ! Léon S. »J’ai contacté Arnault immédiatement pour lui faire part de cette nouvelle et de mon désir de relever ce défi.Le lendemain matin, une courte réponse. « Fonce, coquine, puisque tu en meurs d’envie !» J’ai déposé une carte de visite sous la porte de notre voisin pour lui faire part de mon acceptation et le soir, j’étais à l’heure au rendez-vous. J’ai sonné et le vieux Schuller a ouvert la porte au moment même où je me disais que je serai la seule responsable de ce que j’allais faire.Il m’a pris la main pour me saluer et me remerciée puis il m’a guidée en toute civilité jusqu’au salon. Là, il m’a proposé de m’asseoir sur le canapé et m’a offert une coupe de champagne. Je lui ai restitué les livres qu’il m’avait prêtés. De mon côté, je l’ai remercié pour avoir déposé une importante partie de sa collection chez nous pendant son absence et il m’a immédiatement proposé d’en choisir d’autres, parmi ceux qui étaient restés chez lui. Il m’a emmené jusqu’à ses étagères, dans le salon puis dans le couloir, et m’a recommandé de prendre mon temps pour choisir, selon mes goûts.Dans le salon, j’ai pris un SAS, celui dont l’intrigue se passe à Calcutta, deux « Brigade mondaine » et 4 BD de gare, un peu au hasard, puis je suis allée dans le couloir et là, j’ai pris le temps de choisir. D’abord, un roman-photo intitulé : « Le maître chanteur », puis un album de BD porno SM, car la fille sur la couverture me ressemblait de manière étonnante. Elle me ressemblait tellement que je me suis même dit que j’aurais pu servir de modèle au dessinateur.J’ai hésité avant de prendre un DVD au titre de circonstance et qui a immédiatement attiré mon attention: « Soumise à un vieux ! »Le vieux Schuller est arrivé derrière moi à ce moment précis. J’ai sursauté. Je suis persuadée qu’il s’en est rendu compte. « Un choix judicieux ! Très bons livres et excellent film avec un scenario qui tient la route. Tenez, prenez également celui-ci, vous verrez, les filles sont magnifiques et la musique est parfaite. »Il a ajouté : « Les livres déposés chez vous resteront chez vous, j’y tiens. C’est ma petite contribution. »Sur la jaquette du DVD : « ARIA » d’Andrew BLAKE. Il regardait la jaquette avec moi. « Il devrait vous plaire et vous inspirer tant les filles sont belles, l’une d’elles pourrait même être votre sœur tant elle vous ressemble. Ce film est étonnant par son côté esthétique ; vous verrez, il est vraiment très différent des autres ! » Son bras droit était venu envelopper ma taille.« Allons au salon, j’ai servi un rafraîchissement.»Je me suis installée sur le canapé en essayant de me tenir le plus correctement possible. Je devais ressembler à une parfaite oie blanche dans ma petite robe d’été en coton beige. Le vieux s’est assis à mon côté et m’a complimenté pour mon élégance et mon charme. Je l’ai remercié et il a enchaîné : « Notre dernière soirée a été un moment privilégié puisque ma vieille main a pu parcourir votre peau divine et vos jambes dont la beauté est fascinante. Le vieillard que je suis n’en revient pas et en doute encore. Vous avez accepté qu’il pose sa main sur vous ! Ai-je rêvé ? Puis-je penser que je vais, ce soir, à nouveau vivre ce rêve ? »Sa main droite s’est levée, en un geste lent à dessein, pour, après avoir dessiné une volute à quelques centimètres de mon visage, se poser sur mon genou. Mon corps tremblait car je revivais les évènements de la soirée passée avec lui au restaurant et j’étais confrontée à la question suivante : Que va-t-il faire de moi ce soir ?Il a perçu mon trouble et sa main n’a pas immédiatement poursuivi son avantage. Même si j’étais préparée, même si j’étais consentante, son contact était très difficile à accepter, tant son aspect physique me répugne. Il a bavardé quelques minutes, puis m’a demandé: « Qu’avez-vous pensé de notre soirée au restaurant, très chère ? »Comment pouvais-je répondre à cette question ? Pouvais-je être sincère ? « Je dois le reconnaître, vous m’avez amenée à faire des choses inhabituelles et je ne sais qu’en penser.» Sa main a caressé ma cuisse en un geste qui se voulait rassurant, presque paternel.« Installez-vous, très chère. Je vais revenir dans quelques instants avec mon appareil photos pour vous montrer les quelques photos de vous dérobées sur le palier de votre appartement. »Il s’est rendu aux toilettes et j’ai entendu le bruit de la chasse d’eau puis, quelques instants plus tard, il est revenu. Il s’était débarrassé de sa veste d’intérieur. « Goûtons ce champagne et venez donc vous asseoir tout près de moi que nous admirions ces photos.»Il m’a servi une coupe. Il devait vouloir relâcher la pression. Je me suis approchée de lui pendant qu’il réglait son appareil photo. Il a regardé les photos sur l’écran et pour les voir, j’ai dû me pencher vers lui, comme l’autre jour, et de nouveau, ma curiosité l’a emporté sur la prudence la plus élémentaire.Sa main droite a quitté l’appareil pour venir se poser sur mon genou et elle a dégrafé, d’autorité, 3 boutons. Les boutons du bas enlevés et le tissu rabattu, mes jambes étaient totalement offertes à la main froide qui a entrepris d’explorer, sans que je résiste, le sillon entrouvert.Les quatre photos étaient étonnantes, de vrais shoots de pro. J’étais très belle de dos ; j’admirais mon cul et mes longues jambes et sur celles prises de face, mon air effaré ajoutait indéniablement au côté sexy de la situation et du cliché. C’était évident ! Il a croisé mon regard : « Que diriez-vous d’une petite série de photos dans notre résidence ? A cette heure, il n’y a plus personne.»Il s’est levé pour prendre son appareil de professionnel et poser son petit numérique. Il a insisté : « Alors, très chère ? Qu’en pensez-vous ? »J’étais à sa disposition, selon la règle du défi, et je me suis souvenue qu’Arnault avait un peu tiqué lorsque je lui avais fait part de mon sentiment de panique au restaurant.Selon lui, ce soir là, je n’avais pas parfaitement relevé le défi et j’ai admis que c’était vrai. Je ne devais plus recommencer, je ne devais plus décevoir Arnault.« J’accepte, mais il faut me promettre d’être prudent. Je ne veux pas que quelqu’un nous surprenne. » Il a esquissé une sorte de sourire en forme de grimace et m’a répondu après avoir raclé sa gorge : « Ne vous en faites pas, nous serons discrets.»Il m’a précédé pour ouvrir sa porte d’entrée. Lorsque je l’ai rejoint, sur le palier, il m’a expliqué comment cela allait se passer.« Nous allons aller au sous-sol, dans le parking, et là, je vais prendre quelques photos de vous pour profiter du décalage entre votre beauté, votre élégance et la brutalité du béton, les voitures garées, ce sera esthétiquement parfait ! Ensuite, une série de photos dans notre escalier. Faites moi confiance et contentez vous de suivre mes instructions ! D’accord ? »« Oui, monsieur ! » Je tremblais. La peur, l’excitation ? Pas le froid, en tout cas. La porte de l’ascenseur s’est ouverte puis refermée sur nous. Il me faisait face, son visage était à quelques centimètres du mien et j’ai mesuré à quel point il était anormalement laid, d’une laideur telle qu’à chaque fois que mon regard se posait sur lui un frisson de répulsion secouait mes épaules.« Vous avez froid ? »« Non, mais j’ai peur que quelqu’un arrive ; je n’y peux rien, c’est plus fort que moi. »« Ne craignez rien ! »Il m’a précédé dans le sous sol et dans le couloir qui mène à notre parking, il m’a demandé de me retourner vers le mur en béton et de relever ma robe par derrière pour une première photo d’essai.J’ai fait selon ses instructions. J’ai remonté ma robe jusqu’à ma taille, mes fesses étaient découvertes et il a pris deux photos. « Décidément, vous avez un petit cul sublime. Retournez vous maintenant! Voilà ! Ouvrez votre haut et écartez le tissu pour libérer votre poitrine ! Je souhaite prendre une photo comme celle de l’autre soir et savourer à travers l’objectif le blanc de votre soutien et la grain de votre peau.»J’ai fait comme il la commandé. Une, deux, trois photos dans des postures différentes. Très droite, cambrée, penché en avant.« Faites glisser les bretelles de votre soutien gorge et penchez vous en avant ! Là ! Parfait ! Une autre ! Maintenant, suivez-moi dans le parking et ne vous reboutonnez pas, c’est inutile.»Il a pris ma main pour me guider. Elle main était glacée. J’avais peur d’aller dans le parking. Je le suivais en tremblant. Là, nous étions dans un couloir et il y avait peu de risques d’être surpris. Mais dans le grand parking ? La lumière s’est allumée automatiquement. Une luminosité faible. C’est la première fois que je remarquais ça.Il m’a demandé de poser mon dos sur l’un des énormes piliers en béton et de coller la semelle de mon escarpin dans une pose de repos. Il est venu vers moi après avoir posé son appareil sur le capot d’une voiture.« Je vais parfaire votre mise, la rendre plus photogénique ; laissez-moi faire ! »Ses mains ont ouvert le haut de ma robe et ont fait glisser les bretelles de mon soutien gorge autant qu’il est possible. Bizarrement, je me laissais faire et je lui faisais confiance. Il a pris ma main droite. « Du pouce et de l’index, baissez la dentelle de votre bonnet de soutien gorge. Il faut juste que je puisse voir l’aréole ! »J’ai fait comme il l’a voulu. « Voilà ! Là ! Parfait ! Ne bougez pas ! » Il a pris plusieurs photos, puis, de nouveau, il s’est avancé vers moi. « Il faut arranger le bas, maintenant. » Il a posé un genou à terre, avec difficulté, et a ouvert ma robe jusqu’à la fourche de mes jambes puis a demandé que je relève celle qui était repliée afin de dégager ma cuisse.Il s’est relevé puis s’est reculé et a pris plusieurs photos. J’étais excitée par la situation. Je le sentais ; à vivre ce que vivent les modèles, à me livrer devant l’objectif, je ressentais un plaisir évident, insoupçonné. « Bon, maintenant, une dernière série avant d’aller dans l’escalier. Vous allez déboutonner totalement votre robe et l’écarter au maximum comme pour vous offrir en souriant à l’objectif. Vous être prête ! »« Oui, monsieur. » J’ai retiré les derniers boutons et j’ai écarté les pans de ma robe. Un sourire illuminait mon visage. Je l’ai vu lorsque, plus tard, j’ai admiré ces photos. Il prenait photo sur photo.« Maintenant, marchez dans le sous sol. Eloignez vous, redressez vous et revenez vers moi, robe grande ouverte. Vous devez être triomphante, arrogante ; vous êtes une reine ! »J’ai pris plaisir à faire ce qu’il m’a commandé. C’était super. J’avais hâte de voir les photos et de les balancer à Arnault.Il a fermé son appareil et m’a emmenée dans l’ascenseur. Là, alors qu’il était face à moi, sa main droite aux doigts si longs en pattes d’araignée a caressé mes seins puis est descendue effleurer mon entrejambe et je l’ai laissée faire. Il m’a soufflé au visage : « On va dans l’escalier ?» Son haleine était insupportable.J’ai hoché la tête ; j’étais hyper excitée par la situation et la prise de risque permanente ajoutait à cette sensation.«Retirez votre soutien-gorge.»J’ai juste eu le temps de retirer le haut de ma robe pour le faire puis de me rajuster un peu et la porte de l’ascenseur s’est ouverte sur l’escalier.« Posez les deux mains sur ma porte ! Là ! Parfait ! Reculez-vous un peu et écartez vos jambes ! Encore un peu ! Encore ! Ne bougez plus, parfait !» Je suivais ses instructions.« Même position, mais retirez votre robe ! Voilà, laissez la glisser à vos pieds ! Parfait !»Je comprenais maintenant comment et pourquoi les filles des photos avaient accepté de poser. C’était finalement très excitant de succomber à cette forme d’exhibitionnisme avec un prétexte artistique et sous la direction totale de l’autre. Il a pris plusieurs photos et m’a demandé de m’asseoir sur une marche au milieu de l’escalier. J’avais ma robe sur les genoux. Il a pris plusieurs clichés de moi dans cette position. Pour le dernier, la robe posée à mes pieds, redressée, cambrée, j’ai écarté largement mes jambes sur mon string blanc. J’offrais ainsi mon intimité à l’objectif et je voyais le visage congestionné du vieux qui transpirait. Une tête de vieux crapaud, pas de cou et des cheveux rares collés sur une espèce de boule de pâte à modeler déformée et ce monstre de laideur profitait de ma docilité pour prendre toutes les photos qu’il voulait. Moi, je me laissais faire et cela suscitait mon plaisir. Je n’en revenais pas.La série finie, nous somme rentrés chez lui et il m’a laissé la salle de bain pour que je me refasse une beauté. Il était dans le salon. Je l’ai rejoint ; il m’attendait pour m’offrir une coupe de champagne. Il m’a fait asseoir sur le canapé et j’ai porté la coupe à mes lèvres.« Demain, vous trouverez une clé USB avec ces photos dans votre boîte aux lettres ! Vous avez été parfaite et j’espère vous revoir bientôt.»« Merci beaucoup, monsieur ! »La soirée défi s’est terminée ainsi et tout en finissant ma coupe de Champagne, je me suis demandé comment j’aurais réagi s’il avait voulu aller plus loin, ce soir là.Cette question, depuis, me taraude l’esprit. J’en ai longuement parlé à Arnault. Il avait vu les photos prises par le vieux ce soir là et son commentaire a été bref.« En tout cas, faire ça t’a plu, c’est évident, et les photos sont super sexy. Rassure-toi, tu vas bientôt devoir relever un autre défi. Bises, mon amour de coquine ! »
Diffuse en direct !
Regarder son live