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Au-delà de l'interdit

Chapitre 1

Trash
Magda passa sa main sur son visage, et finit par un lissage de ses cheveux qui se voulait naturel, mais cachait désespérément une tension importante. Bien qu’habituée aux soirées échangistes, certaines propositions arrivaient toujours à  la surprendre, voire la déstabiliser. Elle sentit la sueur imprégner son dos et la coller au cuir du canapé. Vêtue simplement d’un soutien-gorge turquoise et d’un string assorti, un malaise s’emparait d’elle. Son mari la regarda d’un air interrogateur, tout en passant affectueusement un doigt sur sa joue. Son regard ne pouvait dissimuler le plaisir qu’il avait gardé toutes ces années à  admirer sa femme, et elle le ressentait. Malgré ses quarante-six ans, elle se portait physiquement bien. Le visage fin, ses cheveux noirs tombaient raides sur des épaules. Son corps svelte - fruit d’un entraînement sportif régulier - mettait en valeur sa poitrine ferme et bombée. Elle savait plaire, donner du plaisir et en prendre, mais la proposition présente la tentait autant qu’elle l’inquiétait.
Elle respira profondément et pris un instant pour réfléchir, son sourire donnant le change. Assise dans le fauteuil face à elle, Sophie attendait sa réponse. Magda admirait l’audace de la jeune femme. Du haut de ses vingt-quatre ans, son aplomb l’impressionnait. Sa chevelure rousse et bouclée encadrait un visage dont les pommettes arboraient d’innombrables taches de rousseur. Son corps mince et sa petite poitrine parachevaient son aspect juvénile. Mais c’était surtout son regard, vert, profond et audacieux qui impressionnait Magda. Sophie semblait autant l’implorer que lui ordonner d’accepter. Accepter quoi déjà  ? Magda fouilla son esprit pour être certaine qu’elle avait bien entendu. Oui, aucun doute, Sophie lui proposait une séance d’uro et scato.
En temps normal, Magda se serait sans doute levée et aurait enjoint son mari de quitter la soirée immédiatement. Pourtant, à  cet instant, l’envie d’une folie avec cette jeune femme si séduisante dépassait ses interdits.Le compagnon de Sophie pénétra dans le salon, apportant une nouvelle bouteille de champagne qu’il s’ingénia à  ouvrir en faisant sauter le bouchon. Cet intermède détendit l’atmosphère et donna à  Magda un instant de répit salvateur. Tentant de se convaincre de refuser, elle savait au fond d’elle-même qu’elle mourrait d’envie de répondre positivement. Chacun prit une flûte pour trinquer à  nouveau. Le mari de Magda se pencha vers elle.— Alors, que décides-tu ?   Elle avala une gorgée du breuvage pétillant.— Je ne peux pas devant vous... devant toi. Enfin, c’est un peu trop humiliant devant témoins.Un sourire gêné appuya son propos. Sophie se pencha en sa direction.— Si ces messieurs sont d’accord, ça peut se passer entre nous.La moue désappointée des hommes traduisit un profond regret, presque synonyme de rejet. Les yeux de Sophie pétillèrent.— Entre nous, mais on se filme. L’idée était intéressante et semblait soudain convenir aux désirs de tous. Les regards se tournèrent vers Magda. Elle hésita encore quelques secondes, puis accepta. Sophie s’adressa à son compagnon et lui demanda d’aller chercher la caméra et de l’installer. Puis elle se leva et vint prendre la main de Magda pour l’entraîner dans la salle de bains, lieu de prédilection de ses petites déviances.
La pièce était étonnamment spacieuse. Comprenant une vasque sur meuble surplombée d’un vaste miroir et d’une baignoire de grande taille, son carrelage clair brillait sous un éclairage imposant. La caméra était installée sur un pied, dans un coin.Avec un petit rire coquin, Sophie mit les hommes dehors et ferma la porte, verrouillant consciencieusement la serrure. — Voilà , dit-elle avec un clin d’oeil complice, ça évitera la curiosité mal contrôlée.Croisant les bras, Magda ne put réprimer un tremblement de nervosité.— Vous avez une très belle salle de bains.Phrase banale qu’elle ne prononçait que pour tromper son propre trouble et donner l’illusion d’un détachement certain. Mais son inquiétude montait autant que sa gêne. Elle ne pouvait accepter qu’avec ses années d’expériences dans le milieu libertin, sa partenaire, bien plus jeune, puisse être plus ouverte, expérimentée et à l’aise dans ces pratiques. Instinctivement, son regard se posa sur la caméra. Sophie s’en approcha et appuya sur quelques boutons. A la surprise de Magda, elle reposa l’obturateur sur l’objectif. — Voilà , ça ne les regarde pas, c’est notre moment à nous.Ce simple geste soulagea Magda et lui insuffla une confiance qu’elle n’imaginait pas en Sophie. Quoi qu’il se passe, rien n’en témoignerait, ni de ses envies trop osées, ni de ses éventuels refus dont elle pourrait avoir honte. Son mari n’en saurait rien.
Sophie se saisit du tapis de bain étalé au sol et le roula consciencieusement pour le ranger.— Ce serait dommage de le salir. Tu devrais d’ailleurs retirer tes dessous.Magda s’exécuta sans un mot, ses mains tremblant de nouveau. Sophie lui sourit et vint se coller contre elle, l’embrassant tendrement. — Détends-toi, lui dit-elle, tout va se passer merveilleusement.
Elle caressa délicatement la poitrine de Magda et laissa ses mains glisser le long de son corps nu. Magda rougissait pour le plus grand plaisir de Sophie qui la regardait d’un air coquin ;— Ca t’excites n’est-ce pas ?Magda se contenta de sourire sans répondre. Sophie prit une voix douce et s’approcha de son oreille.— Tu n’a jamais vu ça ? Une femme devant toi qui urine, qui fait... sa crotte.A ces derniers mots, Magda frissonna de désir. Sophie se serra plus fort contre elle.— Hein, tu as envie de ça, de voir ta petite Sophie faire sa crotte. Tu veux regarder mon anus s’ouvrir, me voir pousser ?Incontrôlable, Magda trembla de plus belle. Sophie lui lécha sensuellement la joue et l’embrassa. S’écartant, elle ouvrit le meuble et, étonnamment, en tira un verre à whisky en cristal qu’elle fit glisser dans sa main.— On va commercer par le début tout de même. Assieds-toi.Elle désigna à Magda le rebord de la baignoire où cette dernière s’installa, s’appuyant nerveusement sur ses mains avec ne sourire de façade masquant mal son stress.Sophie s’accroupit et posa le verre devant elle. D’une main, elle écarta ses lèvres intimes et ferma les yeux un court instant. Un petit bruit de ruissellement survint tandis qu’elle approcha le verre et urina dedans. Attentive, Magda n’en perdait pas une miette. Le verre rapidement rempli aux deux-tiers, Sophie l’écarta et finit de se soulager sur le sol, créant une mare colorée qui se répandait sur le carrelage brillant. Cela terminé, elle s’assit en arrière, les jambes écartées.— Approche, dit-elle.Magda hésita un instant puis se leva et contourna prudemment la flaque.— Tu triches !— Magda sourit.— Non allez, vas-y.Tendant la jambe, Magda posa délicatement un orteil dans le liquide et replia la jambe, ce qui eut pour effet de faire rire Sophie.— Allons, regarde.Avançant le bras, Sophie plaqua sa main dans le liquide, et la releva dégoulinante.— Tu vois, ce n’est pas bien difficile.S’enhardissant, Magda avança et posa les pieds dedans. Reculant prestement, elle s’assit à côté de Sophie.— Je ne suis pas encore habituée, tu comprends, c’est nouveau pour moi.— Et tu veux vraiment aller jusqu’au bout ?— Oui, sincèrement. Mais toi, comment as-tu pu...— Arriver à être aussi sale ?Magda hocha la tête en signe d’assentiment.— Regarde.Sophie se saisit du verre et le porta à ses lèvres. Sous les yeux étonnés de sa partenaire, elle but plusieurs gorgées du liquide doré. Sa langue claqua de satisfaction.— C’est bon, et ça m’excites. Leurs regards se croisèrent.— Crache dans ma main, dit-elle en tendant sa paume.Sans réfléchit, Magda s’exécuta. Sophie lécha la salive et l’avala avec une expression de profonde satisfaction.— Tu n’imagines pas jusqu’où j’aime aller. Je bafoue les interdits, j’exècre la morale puritaine que l’on essaye de nous imposer tout en acceptant que, sous le manteau, le contraire se fasse. Je revendique ma sexualité totalement débridée et sans limite, elle me permet de vivre comme je veux.Magda s’étonnait de ce discours si mature dans la bouche d’une jeune femme. Une pointe de jalousie la piqua en constatant qu’elle-même, bien que libertine et fière de l’être, se laissait tout de même enfermer dans certains carcans imposés par des bien-pensant. A son âge, comment Sophie avait-elle réussi déjà  à dépasser tout cela ? Elle plongea son regard dans les yeux verts de sa maîtresse et y lut de l’audace. Elle était indomptable comme sa chevelure rousse. Fermement décidée, elle tendit la main vers le verre en cristal dont Sophie se laissa dessaisir. Toujours les yeux dans les yeux, elle le porta à ses lèvres et s’abreuva du liquide de sa compagne.Sophie exultait. Elle lui reprit le verre des mains et en versa le reste au sol.— A toi maintenant.Sans réfléchir, Magda s’accroupit devant elle et ferma les yeux tandis que Sophie glissait le verre sous sa vulve. Maintenant le silence, elle attendit que Magda se détende. Quelques longues secondes plus tard, cette dernière se vidait doucement dans le verre. Suffisamment rempli, Sophie l’écarta et laissa Magda finir de se soulager sur le sol, mêlant son urine à la sienne dans une grande flaque lisse. Magda se laissa glisser à genoux face à Sophie. Celle-ci porta le verre à ses lèvres et but. — Délicieux dit-elle, tu as très bon goût.Elle lui tendit le reste que Magda s’empressa d’ingurgiter avec allégresse.Une crampe lui traversant la jambe, elle se releva. Sophie l’imita pour venir l’embrasser.— Comment te sens-tu ?— Libre. C’est insensé !— Pourquoi est-ce insensé ? Parce que tu as dépassé un de tes tabous ? Notre avis vaut-il moins que celui qui a dressé ces barrières morales ?Un déclic se fit dans l’esprit de Magda. Elle serra Sophie dans ses bras.— On continue... mon amour ?Ce dernier mot fut prononcé après une brève hésitation. Son coeur parlait, mais elle savait que cela ne devait jamais arriver dans le libertinage. Comment Sophie allait elle réagit ? Tout simplement par un sourire complice.— Enfin, répondit-elle, tu te lâches. Oui ma chérie, viens découvrir un autre monde.
Surexcitée, Sophie s’installa en levrette et, penchant ses fesses en arrière, les écarta d’une main sure pour offrir à Magda la vue parfaite de son anus. Souriant à sa partenaire, elle se contracta pour pousser. Quelques instants plus tard, Magda admirait l’étron marron qui pointait doucement à l’ouverture de son anus. Sophie força un peu plus et le chaud serpentin sortit de son intimité rectale pour venir s’enrouler sur le carrelage. Le souffle court, Magda profitait pleinement du spectacle. Sophie se retourna et toutes deux accroupies observèrent le résultat de son oeuvre. De sa main droite, elle glissa entre ses fesses et s’essuya, ramenant des doigts couverts de matière, qu’elle étala sans attendre sur sa poitrine en stries marron et épaisses. Saisissant un morceau de son étron, elle avança la main vers Magda qui eut un petit recul.— Allez, laisse-toi faire.Magda fixait la main et émis un profond soupir, ne sachant que dire.— C’est...— C’est dégueulasse ? fit Sophie. A toi de le décider, mais selon tes principes et pas selon les soi disant bonnes manières. De quoi as-tu réellement envie ? Ne laisse pas passer ta chance d’essayer.Convaincue, elle s’avança. Sophie roula le morceau entres ses doigts et le positionna entre les seins de Magda qui, de ses mains, le resserra dans un mouvement de va-et-vient vertical. Continuant, Sophie pris soins d’étaler copieusement sur les seins sa production. Ainsi fait, elle se pencha et lécha goulument la poitrine de sa compagne, sous les murmures de satisfaction de celle-ci. Elle redressa la tête, les lèvres et le contour de sa bouche souillés de marron, mais souriante comme jamais. Magda ne résista pas et l’embrassa avec fougue. Se penchant en arrière, posée sur les mains, elle se mit à pousser. A son grand désespoir, son corps ne répondait pas comme elle l’attendait. Pourtant, son désir de suivre sa partenaire était fort. Saisissant la situation, Sophie alla fouiller de nouveau dans le meuble et en revint sous le regard interrogatif de Magda, en brandissant une plaquette plastique. Elle en extrait un suppositoire.— Avec ça, dit-elle, tout va bien aller.Se penchant, elle l’introduit dans l’anus de Magda, y enfonçant également son majeur.Elle releva Magda et se lova contre elle.— Juste quelques minutes à attendre. Elles restèrent ainsi serrées l’une contre l’autre, savourant calmement la douceur de leur étreinte. Soudain Magda se crispa légèrement.— Retiens-toi encore un peu.De ses mains, elle lui serra les fesses. Magda respirait fortement.— Vas-y maintenant.Magda se positionna de nouveau et, poussant à peine, sentit son intérieur se vider sur le sol. Déchargée, elle se laissa tomber en arrière, assise. Sophie s’approcha pour admirer. Souriante, elle tendit la main et en détacha une partie quelle porta à sa bouche. Mâchant quelques instants, elle avala sous le regard stupéfait de sa partenaire.
Magda en resta interdite quelques instants. Quelle folie ! Mais justement, cette folie la tenta. Elle s’avança vers l’étron de Sophie et l’imita. Ses doigts approchant de sa bouche, une hésitation se fit. Oserait-elle ? Irait-elle jusqu’au bout de son audace ? Combien d’interdit avait-elle déjà bravé depuis qu’elle avait franchi le seuil de cette salle de bains ?Toute à ses réflexions, elle n’avait pas réalisé que Sophie s’était glissée contre elle. Les deux femmes se regardèrent dans les yeux. Sophie sourit.— Vas-y, dit-elle, lance-toi. C’est l’ultime frontière, la dernière barrière, le tabou suprême. Tu dois tenter. Je sais que tu as peur, c’est la première fois et c’est normal. Mais fais-le pour toi, pour moi, pour la relation que nous avons en ce moment. Regardes-nous, où nous sommes, ce que nous avons déjà  accompli.Magda balaya du regard la salle de bains, le sol jonché de leur production, leurs corps partiellement couverts de marron. Une grande réflexion, le choix de tout repousser soudain ou plonger entièrement dans cet ultime fantasme. Pourrait-elle revenir en arrière, vivre à nouveau l’intensité de tels moments ? Peu importait au fond, seul comptait l’instant présent et la volonté d’aller jusqu’au bout de ses désirs. Elle était allée bien trop loin pour renoncer. Se tournant vers Sophie, elle ouvrit les lèvres et enfourna ses doigts. Le goût acre emplit sa bouche et elle mâcha quelques instants avant d’avaler dans un effort non dissimulé. Ouvrant sa bouche vide, elle tira une langue encore marron en signe de victoire face à sa partenaire. Sophie l’embrassa avec exaltation.— Tu es si forte ma chérie. Je n’aurais pas imaginé. Tu vois, tu craignais d’être humiliée par tout ça, mais c’est ta détermination qui en ressort. A ces mots, Magda s’enthousiasma pour la jeune femme, dont elle reluqua le corps ostensiblement. Sophie racla le sol de sa main et l’apposa sur sa poitrine et son ventre. Magda pris soin de l’étaler, allant et revenant sur ce corps lubrifié de leurs déjections. Saisissant l’un des petits seins de Sophie, elle commença à le lécher, s’attardant su le téton qu’elle suça puissamment déclenchant de petits gémissements de sa partenaire. Sophie l’attira et les deux femmes se roulèrent au sol, jouant de leurs caresses pour étaler sur leurs corps l’objet de leur délit.
Sophie s’extirpa de leur enlacement et se saisit d’un long et souple godemichet. Quelques coups de langue bien appliqués le lubrifièrent, et elle s’approcha de Magda d’un air avide. Celle-ci lui sourit et écarta suggestivement les cuisses. Mais Sophie hocha la tête.— Non, non, on va jusqu’au bout.Et, retournant sa partenaire, elle présenta l’objet au bord de son anus et commença à l’enfoncer. Magda sursauta et gémit, mais se soumis. Relevant ses fesses, elle sentit les allers-retours que sa compagne imprimait. A chaque mouvement, le gode s’enfonçait plus profondément. Elle-même n’y croyait pas, mais Sophie insistait. La douleur et la surprise passées, elle commençait à savourer cette pénétration hors norme, le plaisir montant progressivement.Dans un dernier mouvement, Sophie extrait la gode et lui tendit.— A moi d’en profiter maintenant.Magda saisit l’objet, couvert de marron et le lécha à son tour. Sophie en position, elle lui imprima les mêmes caresses. Plus habituée, sa partenaire approchait de l’orgasme. Excitée par cette vision, Magda glissa une main entre ses cuisses et se masturba violemment. Les gémissements des deux femmes montaient crescendo avec leur plaisir. Simultanément, une vague de jouissance les submergea tandis qu’elles criaient leur bonheur.
Le dos appuyé contre la baignoire, Magda respirait profondément pour reprendre ses esprits, tandis que Sophie haletait sur le sol. Quel orgasme, jamais elle n’en avait connu de tel. D’ailleurs, elle n’avait jamais rien connu de tel. Se relevant péniblement, Sophie l’embrassa et se pencha sur la baignoire pour ouvrir le robinet. Rapidement, une eau chaude et bienfaisante s’écoula. Les deux femmes s’installèrent dans la baignoire et, saisissant la pomme de douche, s’arrosèrent mutuellement pour faire disparaître les traces de leur plaisir coupable. La vapeur d’eau les enveloppait, tandis qu’elles-mêmes ne savaient si leurs mains couraient sur les corps pour les nettoyer ou pour profiter encore quelques instants de caresses. Terminant leurs ablutions, Magda glissa un regard interrogatif vers Sophie quant à l’état du sol.— Ne gâchons pas ce moment, répondit-elle, je m’occuperais de ça plus tard.
Elle déverrouilla la porte et toutes deux sortirent vêtues d’un drap de bain, rejoignant main dans la main les hommes au salon, les yeux encore emplis d’étoiles.
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