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Delphine en Bretagne

Chapitre 1

Quimper, en voiture !

Erotique
QUIMPER… En voiture !J’aurai tout aussi bien pu partir demain matin ! Non ! Mon père, qui n’aime pas qu’on modifie un tant soit peu ce qu’il a prévu, a insisté pour que je prenne le train de dix-sept heures seize. Tout ça pour que je débarrasse le plancher ! Mes parents partent demain dans un club à Madagascar pour quinze jours. Quand j’ai demandé si je venais avec eux, il m’a répondu que les jeune filles de mon âge n’étaient pas admises dans ce genre de club. Je n’ai pas insisté ! Il doit s’agir d’un de ces établissements où il ne vaut mieux pas savoir ce qui se passe à l’intérieur ! Après tout, si ça les amuse, ce genre de truc, c’est leur problème ! Seulement, moi, en attendant, je suis expédiée à la campagne, dans la famille ! Ils ne m’ont pas demandé si cela me faisait plaisir ! Or, j’ai horreur de la campagne ! C’est plein de bêtes et ça pue ! Et puis, que vais-je faire quinze jours à Quimper ! Mes copains et mes copines vont drôlement me manquer ! Il y a trois jours, j’ai eu dix-huit ans et j’avais tout prévu pour fêter cet événement avec eux !
En guise de fête, je vais m’en… quiquiner en Bretagne, sous la pluie, toute seule ! Sans compter que je n’y ai pas que de bon souvenirs… quoique !Il y a cinq heures de voyage… si tout va bien ! Cela fait que je n’arriverai pas avant dix heures, dix heure et demie ! Et, si je me souviens bien pour y être allée gamine, la ferme est à une demie heure de la gare ! Je ne suis pas couchée !Je ne savais pas qu’il y avait encore des trains avec des compartiments, comme dans le temps ! Je croyais qu’ils étaient tous maintenant comme les TGV. Je ne sais pas si c’est mieux en tout cas, si la banquette n’est pas très confortable, il y a plus de place pour s’asseoir et pour tendre les jambes.Dans le compartiment (où nous ne sommes que six au lieu de huit), il y a un couple de gens âgés, certainement des bretons de la campagne. Ça se voit rien que de la manière dont ils sont fringués ! Il se sont blottis côté couloir comme s’ils avaient peur de ne pas pouvoir sortir ! Ils ne doivent pas prendre le train souvent. Au milieu, face à face, il y a un couple dans la quarantaine. Ils ont l’air de se faire la gueule ! Elle regarde ses pompes et lui, quand il la regarde, la mitraille des yeux. La place est vide à ma gauche. J’avais réservé pour avoir une place dans le sens de la marche et côté fenêtre. Devant moi, il y a un type qui bouquine. Il est bien habillé, pas mal de sa personne. Je pense que c’est un voyageur de commerce. Il doit être dans la trentaine. Il n’a qu’une petite valise et un attaché-case qui garde entre ses jambes. Il a posé son PC à côté de lui.Ça ne fait pas une demie heure qu’on est parti et déjà, je m’ennuie !Le mec qui fait la tronche à sa bonne femme est sorti. Du coup,elle a changé de tête. Elle est presque jolie. Elle m’a fait un petit sourire gêné, comme pour s’excuser de l’impression qu’ils donnent tous les deux. Les bretons ont sorti le pâté et le saucisson ! Rien qu’à l’odeur, je commence à ne pas me sentir bien. Le type en face doit pensé comme moi. Il m’a lancé un regard complice, s’est levé pour entrebâiller la fenêtre. Ça fait du bruit mais au moins on respire !
Il me regarde furtivement en abaissant imperceptiblement son bouquin. Il croit que je ne m’en suis pas aperçue. D’ailleurs, je fais celle qui n’a rien vu ! Vu que je me barbe, je décide de m’amuser un peu avec mon admirateur discret, du moins le pense-t-il. Avec les garçons, ce n’est pas compliqué ! Pour attirer leur attention, rien de tel que de découvrir un peu de peau nue ! Tous les mêmes ! Ça tombe bien, je suis en jupe, en kilt même !Comme l’exige ce genre de vêtement, une petite patte empêche que le tissu s’écarte et il de bon ton de même une épingle à mi-hauteur. Seulement moi, je ne mets jamais d’épingle et je veux qu’il s’écarte ! Pour cela, j’ai fait semblant d’avoir à prendre quelque chose dans mon sac au-dessus de moi. Pendant que je lui tournais le dos, j’en ai profité pour libérer la lanière de cuir et la sortir de la boucle de métal. Quand je vais me rasseoir, il ne me faudra pas faire grand chose pour dénuder un genou… un genou, pour commencer !Voilà, c’est fait ! Comme prévu en reprenant ma place, j’ai négligemment écarté une seconde mes jambes avant de les resserrer comme le doit une jeune fille bien élevée. Le tissu plissé a joué le rôle que j’entendais de lui ! J’ai pris une position comme pour me préparer un piquer un petit somme en croisant mes jambes l’une au-dessus de l’autre. Immanquablement, le plan le plus étroit n’a pas pu rester en place. En glissant, il m’a largement découvert la jambe. De sa place, mon voyageur de commerce devait avoir une vue très agréable sur le côté de ma cuisse nue. J’ai fermé les yeux et j’ai fait semblant de dormir.Quand je disais "tous les mêmes" ! Il a abandonné toutes précautions quand il a vu que j’avais fermé les yeux. Il ne prenait plus soin de se dissimuler derrière son livre, le coquin ! J’ai bougé légèrement comme pour me tasser encore plus dans l’angle du compartiment. Bien évidemment, j’en ai profité pour accentuer le dénuement de ma jambe qui, au ressenti de l’air sur ma peau devait être cette fois très découverte !
Entre mes cils, que je m’efforçais de garder le plus immobiles possible, je voyais toute l’attention qu’il portait à mater ma cuisse presque entièrement découverte.Soudain, le mari grognon est revenu et s’est assis en face de sa nana. Il ne rentrait pas dans mes intentions de lui faire profiter du spectacle. Non ! Il n’était pas du tout à mon goût celui-là ! J’ai donc mis fin à la séance en me redressant tout en décroisant mes jambes. Mon admirateur s’est empressé de replonger le nez dans son livre !Pendant une fraction de seconde nos regards se sont croisés. J’y ai lu toute l’émotion, le désir que ce bref interlude avait allumé en lui.Je me suis promis de recommencer à la première occasion. C’était trop drôle ! Je me suis immédiatement préoccupée de savoir comment j’allais pouvoir lui présenter la suite du programme.
En attendant qu’une idée me vienne, je me suis remise sagement dans la peau d’une jeune fille bien comme il faut.
Ça faisait maintenant bien deux heures que nous étions partis. Les bretons avaient avalé leurs sandwichs. Monsieur roupillait. Madame tricotait. Le grognon était reparti. A mon avis, il aurait dû réserver sa place au wagon restaurant. C’est certainement là qu’il s’était installé pour ne pas avoir sa moitié en face de lui. Sa moitié justement, commençait à s’agiter. Peut être bien qu’ils allaient descendre à Rennes, le prochain arrêt. Quant à mon voisin d’en-face, il travaillait sur son ordinateur.Un peu plus tôt, j’étais allée aux toilettes. C’est à ce moment là que j’ai eu l’idée que je n’avais pas réussi à avoir assise sur la banquette.Mais bien sûr ! C’était l’évidence même ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ?Mon corsage blanc, parfaitement assorti à l’écossais de ma jupe, était bien suffisant ! Pourquoi donc m’encombrer d’un soutien-gorge ? Mes seins, libres sous le satin brillant et soyeux, animés aux moindres mouvements que je ferai, ne manqueront pas d’attirer de nouveau l’attention de mon vis à vis. Fort heureusement j’avais gardé avec moi mon sac à main. En un tour de main, ma fine lingerie était soigneusement rangée et j’ai pu devant la glace juger du bien fondé de mon éclair de génie. La nature, que je remercie en passant, m’avait généreusement dotée d’une poitrine ferme et orgueilleuse ni plate ni grosse, 85B pour les connaisseurs. Pas si mal pour mes dix-huit ans, non ? Mes tétons pointaient en repoussant le fin textile d’autant plus que tout cela commençait à m’exciter un brin. Sûr que mon voisin d’en-face allait avoir bien du mal à garder son attention sur l’écran de son PC !A peine avais-je repris ma place que l’appât tendu avait déjà attiré l’attention. J’étais victime de mon succès ! Le hasard avait fait que les hommes étaient tous les trois sur la banquette me faisant face. Tous les trois, y compris le papy à l’autre bout du compartiment, n’avaient d’yeux que pour les protubérances nettement mises en valeurs par l’absence de soutien. Les femmes, elles-aussi, n’avaient pas pu ignorer l’attraction soudaine que mes seins provoquaient sur leur conjoint. Je pense même qu’elles avaient toutes les trois notées la soudaine différence entre avant et après mon passage au toilettes.La bretonne ne s’est pas gênée pour balancer un méchant coup de pied dans les tibias de son dévergondé de mari. Ma voisine immédiate, déjà en froid avec sa moitié, a coupé court à toute poursuite de la contemplation de mes avantages en obligeant monsieur à prendre sa valise, précisant d’un ton peu amène qu’ils allaient descendre très bientôt.
Finalement, restait mon voyageur de commerce ! Volontaire ou non de sa part, il ne se cachait plus et manifestait par un sourire au coin des lèvres, tout le plaisir qu’il avait de la vision nouvelle de ma poitrine !Mieux encore ! Son regard est venu se planter dans le mien. Un regard hypnotisant. Un regard qui m’a troublé bien plus que je ne l’aurais souhaité. Un regard qui, j’en suis certaine, me déshabillait, me caressait, me pelotait. J’avais tout fait pour et j’étais en train de le regretter. S’il m’avait demandé, là, maintenant, devant tout le monde, de déboutonner mon corsage, de le retirer même, je crois bien que j’aurai obéi sans avoir la volonté de m’y opposer. Un onde de chaleur venait de m’envahir. C’était épouvantable ! Il me semblait que mes seins prenaient du volume, qu’il se tendaient, qu’il allaient finir par faire sauter les boutons-pressions de mon corsage pour jaillir en pleine lumière !
 - C’est Rennes maintenant ! Demanda la bretonne à ma voisine, debout dans l’allée. - Oui ! Nous entrons en gare ! Répondit-elle. - Aller, Pépé ! On y va ! C’est là qu’on descend j’te rappelle !
Cette agitation spontanée n’avait pas suffit à faire cesser l’émotion qui m’avait brutalement étreint la poitrine. Cependant, elle me permettait de tenter de reprendre mes esprits en faisant diversion.En fait, (et ça, c’est tout à fait moi), je me suis enfoncée encore un peu plus en demandant au type :
 - Finalement, nous sommes les deux à ne pas descendre, n’est-ce pas ? - Oui ! Et vous m’en voyez ravi ! M’a-t-il répondu avec un grand sourire !
Le train s’est immobilisé en nous faisant faire un sursaut ce qui a eu pour principal effet de river de nouveau le regard appuyé de mon vis-à-vis sur ma poitrine, celle-ci ayant accompagnée les mouvements du wagon d’une manière très plaisante à ses yeux.Le compartiment s’est vidé des deux couples, nous laissant seuls tous les deux.J’ai prié, imploré tous les saints pour que d’autres voyageurs s’installent. Hélas, aucun n’est venu s’asseoir. Le train s’est ébranlé dans un fracas de grincements aigus. Le dodelinement régulier a reprit sa place dans l’univers habituel du transport ferroviaire, ponctué des inévitables tac-tac, tac-tac, quand les roues passaient sur les jonctions entre les rails.Je me suis rendu compte seulement à ce moment qu’il faisait déjà nuit. Le compartiment s’était considérablement assombri.
 - Je m’appelle William ! Et vous ?
L’homme en face de moi avait posé livre et ordinateur sur la banquette à côté de lui. Il me tendait sa main.
 - Euh … moi … Moi, je m’appelle Delphine ! - Delphine ? C’est joli et ce n’est pas courant comme prénom. - Ah …? - Oui ! Je ne connais aucune autre Delphine ! - Ah …!
Je me sentais idiote et complètement déstabilisée. Il tenait ma main que j’avais tendue machinalement. Il n’avait pas l’air d’avoir l’intention de la lâcher ! Au contraire. Il l’avait emprisonnée entre les deux siennes et la serrait avec délicatesse mais fermeté.Mon petit jeu tournait à la catastrophe !Le contrôleur est passé dans le couloir sans s’arrêter. Dommage ! C’était la seule planche de salut qui me restait et elle venait de s’envoler !Ah ! Je m’étais bien amusée à le provoquer !Oui ! J’avais parfaitement réussi à le désintéresser de son bouquin !
Certes, il m’avait trouvée sexy, attirante, séduisante !Seulement, maintenant, je me trouvais au pied du mur ! C’est bien beau d’exciter un mec à condition de vouloir aller jusqu’au bout ou bien d’avoir une porte de sortie ! Seulement, présentement, des portes de sortie, je n’en voyais aucune ! Ou plutôt, si, une et une seule ! La même que lui, probablement !
 - Vous allez où ? Ai-je demandé pour essayer de faire redescendre la tension que je sentais palpable entre nous deux. - Je crois que j’irai là où vous irez, même si c’est au bout du monde !
Ça avait le mérite d’être clair ! J’étais dans ses filets et je ne voyais pas comment j’allais pouvoir en sortir !
 - William ! Je peux …
J’ai essayé de retirer ma main mais la pression s’est faite plus forte.
 - Pour cela … Delphine, il faudrait que vous trouviez le moyen de la faire libérer.
On peut dire que le gars n’y allait pas par quatre chemins !A l’évidence, des gamines dans mon genre, de celles qui se croient intouchables, il avait dû en renverser quelque unes. Il devait avoir la trentaine. J’imagine son tableau de chasse, beau comme il est ! Si je dois avoir un jour un numéro dans sa collection (ce qui, en fonction des circonstance actuelle, me semble inévitable) je parie que cela sera un nombre à trois chiffres !J’ai bredouillé en essayant de paraître sûre de moi :
 - Et…, vous suggérer quoi ? - C’est à vous de voir, ma chère ! Ce n’est pas ma main qui est prisonnière !
Et, en plus, il veut que ce soit moi qui me soumette, que je dise ce qu’il veut entendre.
 - Je pourrais crier ! - Si vous pensez que ça marchera, criez !
Le salaud ! Il me tient, au sens propre comme au sens figuré ! Il sait très bien que je ne vais pas le faire.
 - Un baiser peut être ? C’est ça que vous voulez ? - C’est une possibilité mais j’en vois une autre que vous avez amorcée et qui mériterait d’aller à son terme ! - … ? - Mais si ! Réfléchissez !
Je ne voyais pas du tout à quoi il faisait allusion (ou j’essayais de m’en persuader).
 - Allez ! Assumez jusqu’au bout ! Ils ne demandent qu’à se montrer depuis que vous les avez libérés !
Mes seins ! C’est ça qu’il veut ! Que je lui montre mes seins !Delphine, ma fille, ça t’apprendra à faire l’idiote ! Te voilà dans un beau merdier ! Je sentais le rouge me monter aux joues en même temps d’un impression bizarre dans mon ventre, une trouille qui ressemblait à une soudaine envie de pipi.
 - Vous ne croyez pas que vous en demandez un peu trop ? - Si vous préférez, laisser votre main comme ça !  - Justement, il faudrait me la rendre si vous voulez que… - Je crois que vous y parviendrez très bien d’une seule main !
Ma vieille, tu n’as pas le choix alors, quand il faut y aller …Un a un, j’ai défait les boutons-pressions et cela jusqu’en bas, sous le regard attentif de William.
 - Bien ! Très bien ! Maintenant, soyez assez aimable jeune fille pour découvrir votre épaule gauche… s’il vous plaît !
De toute évidence, le fait que mon chemisier se soit ouvert en découvrant partiellement ma poitrine ne lui suffisait pas.Avec le satin, c’est simple. Où bien il tient, ou bien il glisse ! Mon épaule à peine dévoilée, la partie gauche du chemisier s’est affalée sur mon avant-bras.
 - S’il-vous plaît !
J’ai bien compris qu’il souhaitait que je retire mon bras de la manche, ce que j’ai fait. Mon coeur battait à tout rompre. William devait prendre un pied pas possible à me voir totalement à sa merci. Un cobra devant une petite souris, voilà à quoi nous resemblions, tous les deux. Devinez qui était la souris !
 - Je peux vous demandez votre autre main ?
Point n’était besoin d’avoir fait les grandes écoles pour voir où il voulait en venir. De toutes les façons, j’étais condamnée à en passer par où il voudrait me faire aller !Deux minutes plus tard, les deux mains libres, j’étais poitrine nue devant lui, assise, les bras ballants, mon chemisier en boule sur la banquette avec dans ma tête une ritournelle qui m’obsédait.Combien tu paries qu’il ne va pas s’en tenir là ? Combien ????William n’avait pas bougé d’un pouce. Il s’était juste rassis confortablement, le dos appuyé sur le dosseret de la banquette. En dehors d’un discret sourire, il n’affichait pas outrageusement la victoire qu’il venait de remporter.
 - Delphine, vous êtes magnifique ! Je peux abuser et vous demander de mettre vos mains sur la tête ?
Au point où j’en étais, je pouvais bien faire cela. Au moins, aura-t-il la vision la plus parfaite de mes seins !
 - Merveilleux ! Sensationnel ! Ma chère, je dois dire que vous avez les plus beaux seins qu’il m’ait été donné l’occasion de voir et, croyez-moi sur parole, j’en ai vu beaucoup ! - C’est gentil, Merci ! Je peut baisser les bras ? - Avant cela, ne m’aviez-vous pas proposé un baiser tout à l’heure ? - Mais, c’était pour que … - Je sais ! Je sais, mais, voyez-vous, après ce que je viens de voir, un baiser me rendrais tout à fait heureux ! Allez ! Soyez bonne joueuse ! Vous avez tenté le diable. Il est normal qu’il réclame son dû !
Quand je disais qu’il en voudrait plus !Lui ne bougeant pas le petit doigt, j’ai dû me lever… et me pencher vers lui, les bras toujours levés au-dessus de ma tête.Si j’avais parié, j’aurais gagné ! Mon visage ne s’était pas encore approché du sien que ses mains enveloppaient mes seins, que mes tétons étaient pris entre ses doigts, qu’il m’était désormais impossible de me redresser.C’était pourtant évident qu’il ferait cela ! L’impression bizarre dans mon ventre avait pris de l’ampleur. Elle m’envahissait d’une douce chaleur qui me poussait à accepter tout et n’importe quoi pourvu que cela me comble de bonheur. Et c’est bien ce qui était en train de se passer. Je suis tombée sur sa bouche. Nos lèvres se sont unies, nos langues se sont emmêlées, j’ai fermé les yeux, prise d’un vertige délicieux. C’est à cet instant que j’ai compris que ce voyage ne serait pas comme les autres, que j’en garderai le souvenir toute ma vie.
Ce n’était quand même pas la première fois qu’un gars me pelotait les nichons cependant, aucun garçon n’avait réussi en quelques minutes à faire naître en moi un trouble aussi profond rien qu’en me caressant les seins. J’étais en train de découvrir des sensations que j’ignorais totalement. Comment parvenait-il à provoquer en moi ces frissons qui couraient de haut en bas de mon dos, tournaient dans mon ventre, remontaient dans ma gorge, étourdissaient ma tête. J’en voulais encore plus ! J’étais sous son emprise, prête à tout, offerte, soumise, du moment qu’il continuait à me rendre heureuse comme cela.J’ai senti sa main caresser ma cuisse. Après tout, c’est bien moi qui avait ouvert mon kilt, non ! C’était bon ! Pour l’encourager à poursuivre dans cette voie, j’ai même posé mon pied sur la banquette, ouvrant ainsi mes jambes, mes cuisses, donnant libre court à sa main de me caresser là où bon lui semblerait. C’est très vite devenu insupportable ! Non pas que c’était désagréable, ô que non ! C’est plutôt que j’aspirais à d’autres caresses, encore plus intimes.Ma bouche ne m’obéissait plus. Elle disait des mots sans que je lui en donne l’ordre, des mots comme "Oh oui !", "Encore", "C’est bon", "Oui, comme ça !". Et puis, comme dans un cri, j’ai prononcé une phrase que je n’avais jamais dite, et surtout pas comme ça, debout, dans un train, à un mec que je ne connaissais que par son prénom.
 - "William, fais-moi l’amour mais soi gentil, c’est la première fois !"
Je ne sais pas s’il n’attendait plus que cela et s’il a été surpris de la révélaton que je venais de lui faire mais je n’ai pas été déçue !Il m’a fait faire volte-face sans brutalité, m’a fait prendre appui sur la banquette là où j’étais assise. Il a relevé mon kilt sur mon dos, baissé ma culotte jusqu’aux genoux puis l’a fait descendre jusqu’au sol avec son pied.J’ai entendu le cliquetis de la boucle de sa ceinture.J’ai marché sur ma culotte pour m’en débarrasser et j’ai écarté mes jambes en creusant mes reins. Je m’offrais, sans aucune pudeur et même sans aucune appréhension.Si ça c’est pas une invitation à me prendre comme une chienne !
Presque aussitôt, un contact doux et chaud est venu se poser sur mes lèvres intimes, les a écartées, agacées, caressées. Ne t’inquiète pas, ma jolie ! C’est plus agréable que douloureux. Puis il a pris mes seins à pleines mains et, d’un coup d’un seul, m’a pénétrée profondément !S’en était fini de ma virginité ! Oh le cri que j’ai poussé ! Un cri comme un appel au secours bientôt suivi d’un second. Celui-là aurait plutôt demandé à ce que nous laisse tranquille, qu’on ne vienne surtout pas interrompre ce moment délicieux !William savait y faire, ça c’est sûr ! Après l’épisode "levrette" où il s’est montré très attentionné et très doux, je me suis retrouvée les pattes en l’air, maintenue par les chevilles, tassée dans le coin entièrement ouverte et heureuse de l’être. Quelques minutes dans cette position et il m’en a fait prendre une autre, allongée de tout mon long sur la banquette, la jambe droite dressée à la verticale emprisonnée dans son bras replié. Quelque soit la façon dont il me baisait, je n’aspirais qu’à une chose. Que cela ne finisse jamais !
William, non pas à court d’idée mais ayant besoin d’un peu de réconfort, m’a chargée d’y pourvoir à sa façon. J’ai pu ainsi apprécier la taille de son organe avant qu’il me le glisse dans ma bouche que j’avais ouverte en grand sans qu’il ne me demande rien. Mazette ! J’en avais jamais vu de pareille ! J’avais d’un coup l’explication du grand bonheur qu’il m’avait donné en me baisant avec un tel outil !Tout en bas de sa tige et un peu sur quelque uns de ses poils, du sang, mon sang, repoussé par ses profondes pénétrations attestait de mon changement définitif de qualité passant de fillette à femme.Ayant retrouvé assez de raideur et craignant peut être qu’à force de me régaler de sa bite j’en arrive à le faire jouir, j’ai eu le droit à une nouvelle séance de positions, toutes autant efficaces qu’inattendues. Il paraissait inépuisable. Et moi, j’étais aux anges !J’ai soudain pressenti le moment où William arrivait au bout de sa résistance. Je n’ai pas trop d’expérience mais ça, je l’ai compris assez vite grâce à un certain Gérard que je ne risque pas d’oublier et que je devrais retrouver dans quelques heures. Les mecs, quand ils commencent à grogner, qu’ils retiennent leur respiration, se crispent, cela veut dire que ça va gicler dans pas longtemps !Je n’ai pas fait cela souvent de mon plein gré, mais là, j’en mourrais d’envie. J’ai pris les choses en main ! Enfin, "LA" chose ! William s’est laissé faire. Je crois même qu’il n’en espérait pas tant !Je me suis appliquée, tout en le branlant vivement, à garder l’extrémité de son sexe sur ma langue, mes lèvres en anneau autour de son gland, mes yeux plantés dans les siens.
Le flot m’a envahi la bouche avec le bonheur que j’en attendais. C’était divin. Je n’ai cessé de le masturber que quand j’ai eu la certitude de l’inutilité de poursuivre. Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai avalé le sperme que j’avais conservé bien soigneusement dans ma bouche !
 - Wouaahh ! Tu es une sacrée affaire, ma jolie ! Ça fait bien longtemps que je n’ai pas pris un tel pied !
Ça fait toujours plaisir à entendre même si le terme "d’affaire" n’est pas celui que j’aurais choisi !
 - Pas mal non plus, Monsieur ! Je crois que je garderai un excellent souvenir de ce voyage en Bretagne ! Ai-je répondu en faisant la fille qui en a vu d’autres, oubliant au passage qu’il venait de me dépuceler…
Peut être en raison de son prénom, William s’est comporté en gentleman. Prévenant, doux, attentif, il m’a aidée à retrouver ma dignité, m’aidant à renfiler mon chemisier, me montrant sans y toucher, ma culotte bouchonnée sur le sol avec juste un petit sourire amusé.Il nous restait environs une demie-heure avant d’arriver à Quimper. Je l’ai passée dans ses bras. Nous parlions de choses sans importance sans oublier de nous embrasser voluptueusement toutes les deux ou trois phrases. Je n’ai pas vu le temps passer ! Sûr que si le voyage avait dû se poursuivre une heure de plus, je me serai volontiers donnée une nouvelle fois à lui. Hélas, nos chemins allaient se séparer sur le quai de la gare.Je l’ai regardé partir avec un brin d’émotion. Je ne suis pas prête de l’oublier !En marchant vers la sortie, je me suis soudain rendu compte que je n’avais pas remis mon soutien-gorge. Mes seins encore gonflés de désir ballottaient agréablement dans mon chemisier et le frottement du tissu soyeux entretenait la sensation des caresses de William.Je ne pouvais décemment restée ainsi. Cousin Georges qui m’attendait certainement trouverait ma tenue pour le moins choquante. Pour autant, comme tous les hommes, deviner mes seins libres sous mon corsage ne pouvait faire autre chose que de l’exciter ! Cette fois, loin de moi l’intention de récidiver avec un membre de la famille l’épisode du train ! J’ai appris à mes dépends, même si j’en garde un fabuleux souvenir, qu’il y a des jeux auxquels il ne faut pas jouer si on ne veut pas avoir à en assumer les conséquences ! J’ai donc fait un passage dans les toilettes de la gare pour retrouver un aspect beaucoup plus sage et je suis sortie.
J’ai tout de suite vu sa voiture. Cela ne pouvait être qu’elle ! Une Peugeot camionnette des années 70 grise avec l’arrière bâchée.Je ne m’étais pas trompée !
 - Bonsoir cousin Georges ! - Delphine !!!! C’est bien toi ! Bon sang de bois ! J’m’attendais à trouver une gamine ! Dis donc ! T’as drôlement poussé depuis la dernière fois qu’on s’est vus ! - C’était il y a deux ans mon cousin ! J’avais seize ans ! - Ça fait rien ! T’es une sacrée belle jeune fille maintenant ! T’as donc que dix-huit ans ? J’t’en aurait bin donné cinq de plus ! - Oh ! Mon cousin ! T’es gentil mais t’es pas sérieux ! - Quand t’auras fini me sortir du "cousin" à tout bout champ ! Appelle-moi Georges, comme tout le monde ! - Va pour Georges si tu m’appelle Delphine ! - Pardi ! Comment veux-tu que t’appelle d’autre ? Aglaé ?
Nous avons bien ri pendant que le véhicule bringuebalant prenait la direction de la campagne.(à suivre… si vous le souhaitez)
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