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Denis Couillemolle

Chapitre 4

De fille à maîtresse

Inceste
Assis autour de leur table, Denis et Isabelle attendaient le retour de Lisa avec un mélange d’impatience et d’appréhension. Les deux époux se demandaient quand et comment ils pouvaient aborder le sujet délicat de la nouvelle orientation sexuelle de Denis. 
— Comment est-ce qu’on peut lui annoncer ça, Isabelle ? De but en blanc ? Ou de manière plus subtile en attendant une porte d’entrée ?— Je pense qu’il nous faut attendre le bon moment. Mettre Lisa devant le fait accompli risquerait de nous la mettre à dos. — Oui, tu as raison. 
Denis et Isabelle se plongèrent dans leurs réflexions sans s’échanger un mot. Ils furent d’autant plus surpris lorsqu’ils entendirent la porte de leur appartement s’ouvrir et la voix de leur fille les saluer. 
— Bonsoir, Papa. Bonsoir, Maman. 
Lisa alla embrasser ses parents et posa nonchalamment son sac sur la table.  — Bonsoir, ma chérie. Ta journée s’est bien passée ?— Oui, ça va. Ça aurait pu être mieux mais ça aurait aussi pu être pire. — Tu veux qu’on en parle ?— Non, pas maintenant. Je suis un peu fatiguée. — Pas de problème. Repose-toi bien. 
Lisa reprit ses affaires et s’enferma dans sa chambre. Cette attitude surprit beaucoup Denis et Isabelle. 
— Apparemment, ça m’a l’air plutôt grave pour qu’elle réagisse comme ça.— Mais non, mon chéri. Elle veut juste s’assurer d’avoir un peu de tranquillité. 
Sur ces mots, Denis et Isabelle décidèrent de regarder la télévision en attendant l’arrivée de Paul et Stéphane. En faisant défiler les chaînes, ils tombèrent sur un film policier sur lequel ils jetèrent leur dévolu. 
Le couple eut droit à trois quarts d’heure de film avant d’être interrompu par la publicité. Détestant les spots promotionnels, Isabelle mit la télévision sur muet en attendant la reprise du film. 
Denis et Isabelle en profitèrent pour échanger sur leurs journées respectives. L’époux raconta avec une joie certaine la relation qu’il avait eue avec Frank tandis que la femme cachait à grand-peine le plaisir qu’elle avait eu à copuler avec Marc. 
Au moment où la discussion allait dériver sur leur premier trio, Denis et Isabelle entendirent des bruits provenant de la chambre de Lisa. D’abord inquiets, ils s’approchèrent discrètement de la porte et tendirent l’oreille. 
La respiration haletante de leur fille, ponctuée par des gémissements, ne laissa pas longtemps le doute planer dans l’esprit de Denis et Isabelle. 
— Voilà l’occasion qu’il nous fallait, mon chéri. Notre fille est sûrement en train de se faire du bien avec un gode ou quelque chose de ce genre. C’est le moment rêvé pour lui parler. — Tu en es sûre ? Ce qu’elle en train de faire est plutôt intime. Elle se confierait donc plus facilement à toi puisque tu es sa mère. — Pas si sûr. Tu sais, il y a parfois des périodes où mère et fille sont rivales. Tente ta chance. — Bon... D’accord. 
Bien que peu convaincu par les arguments de sa femme, Denis frappa trois coups et entra dans la chambre de sa fille. Paniquée, Lisa s’empressa de rabattre les couvertures de son lit sur elle afin de dissimuler son corps nu aux yeux de son père. 
— Oh... Pardonne-moi, ma chérie. J’ai entendu des bruits. Je suis donc venu voir si tout allait bien. — Oui, tout va bien, Papa. 
Un moment de gêne s’installa entre Denis et Lisa. Ni l’un ni l’autre n’osa rompre le silence. Le père jetait un regard honteux vers le sol tandis que les yeux de la fille se baladaient entre son père et la porte. 
Ce silence pesant fut tout de même brisé par Denis. En fixant le sol, il vit que Lisa avait fait tomber son gode dans sa hâte de se cacher. Il le prit en main et fit mine de l’examiner d’un air expert. 
— Il est plutôt impressionnant, cet engin. Tu ne te fais pas mal avec un truc pareil ?— Mais non. Il y a bien plus gros que ça. Et depuis quand tu t’y connais en godes ?— Depuis peu, à vrai dire. 
Cette réponse de son père eut pour effet de surprendre Lisa. 
— Pourquoi est-ce que tu aurais un intérêt pour ce genre de choses ?— Tu sais, ma chérie, pour pouvoir être bien avec soi-même, il faut faire des expériences et voir ce qui nous plaît le mieux. — Donc, si je comprends bien, tu as déjà essayé un gode ?— Oui. 
Denis sortit de la pièce en faisant signe à sa fille qu’il allait revenir. Il alla prendre son gode dans la chambre conjugale et le montra à Lisa. 
— Sérieusement, Papa ?! Tu as commencé avec ça ? Il est immense. — Le tien me semble plus gros. — Oui, mais...
Lisa s’interrompit, gênée de dévoiler un détail aussi intime sur sa vie sexuelle. 
— Mais quoi ?— Moi, ce n’est pas la première fois que je me gode. J’ai commencé avec bien plus petit que le tien. — Chacun va à son rythme. Moi, j’ai voulu démarrer fort. — Ça, pour un démarrage en trombe, c’est un démarrage en trombe. — Et tu ne connais pas encore le meilleur. — Le meilleur ? Je t’écoute. — Ta mère m’a pris avec son gode-ceinture qui est encore plus gros que le gode que tu vois là. 
Lisa fut stupéfaite d’apprendre une telle nouvelle. 
— Effectivement, tu es le champion du démarrage en force, Papa. 
Lisa se retourna dans son lit, faisant comprendre à Denis qu’elle ne désirait plus poursuivre la conversation. 
— Je sais que ce que je t’ai dit t’a fait un choc mais ta mère voulait que tu le saches. 
Lisa se retourna à nouveau vers son père. 
— Et pourquoi ?— Parce que bientôt, il n’y aura qu’elle pour prendre les décisions. — Comment ça ? Tu es en train de me dire que tu veux être le soumis de Maman ?— Pas seulement de ta mère. De tout le monde. Des hommes, des femmes... Tout le monde. — Comment ça se fait ? Je ne t’ai jamais connu comme ça. Explique-moi. 
Denis raconta à sa fille les questionnements qu’il se faisait et sa première soirée de soumis avec ses amis en passant par l’acquisition de son gode. Il termina finalement par l’infidélité d’Isabelle et Marc et l’humiliation qu’il avait subie. 
Lisa ressentit un mélange d’intérêt et de surprise. 
— C’est plutôt rapide comme changement. Tu es sûr que tu ne t’es pas monté la tête inutilement avec cette histoire de bite ?— Non. Et on me l’a bien fait remarquer.— Fais-moi voir. Peut-être que je pourrai te remonter le moral. 
Denis fut surpris de la demande abrupte de sa fille. Il fit cependant mine de ne pas comprendre. 
— Qu’est-ce que je dois te faire voir ?— Ben... Ta queue. — Tu n’es pas sérieuse ?— Mais si, Papa ! Tu m’apprends que tu as un complexe à propos de ta bite et que Maman t’a trompé avec l’un de tes potes. Je veux donc savoir si cela est justifié ou pas. 
Surpris de voir une telle détermination chez Lisa, Denis se sentit obligé de se mettre à nu. Lorsqu’il eut retiré la totalité de ses vêtements et sous-vêtements, il constata avec honte que son sexe avait durci. 
— Tu bandes, là, Papa ?— Oui, comme tu peux le voir, ma chérie. — Eh ben...
Lisa ne put finir sa phrase, interrompue par un gloussement moqueur. 
— Quoi, Lisa ?— C’est vrai que tu n’es pas très bien monté. Je comprends mieux la décision de Maman. En plus, je suis navrée de devoir te dire ça, mais la seule chose que tu puisses encore faire niveau sexe au vu de ton matériel, c’est bien de te faire enculer. 
Denis n’en revenait pas. Il n’avait jamais entendu sa fille s’adresser à lui de manière aussi odieuse. Il voulut la gronder mais le coeur n’y était pas. En effet, Lisa n’avait fait que lui confirmer ce qu’il savait déjà lui-même. 
— Tu comprends mieux ce que je ressens, maintenant ?— Bien sûr. Et je soutiendrai Maman dans ses décisions à cent pour cent.— Tu fais bien, Lisa, parce que je compte devenir un objet de plaisir pour tout le monde. — Ça, tu l’as déjà dit, Papa. Mais tu entends quoi par tout le monde ?— Eh bien, ma famille, mes amis, mes collègues... Tout mon entourage. — Ta famille ? Ça veut dire que...— Oui, Lisa. Je veux devenir votre esclave à plein temps à ta mère, tes frères et toi. 
Lisa ne répondit rien mais Denis put lire le choc sur son visage. 
— Papa... Ça va trop vite. — Comment ça ? Tu as bien agi comme une dominatrice en te moquant de ma queue tout à l’heure. — Oui, je sais. Mais te voir soumis à Maman, c’est une chose mais te dominer moi-même en est une autre. Je ne sais pas si je suis prête à entamer une telle relation avec toi. — Je comprends tes réserves, Lisa. N’oublie pas que quoi que tu décides, je t’aimerai toujours. Si tu le souhaites, on peut commencer doucement pour mieux nous aider à franchir le pas de l’inceste.
Lisa eut les larmes aux yeux. 
— Je t’aime aussi, Papa, et je veux ton bonheur. Alors, si ça doit passer par une relation de domination incestueuse, ça ne fait rien. L’important, c’est que tu sois heureux. 
Denis et Lisa échangèrent une tendre étreinte puis s’allongèrent côte à côte sur le lit de la jeune femme. Ils partirent chacun à la découverte du corps de l’autre, empreints d’un sentiment de gêne. 
Le père caressa longuement la chevelure brune de sa fille tandis que celle-ci appuyait ses caresses sur sa poitrine musclée. Denis fut le premier à se risquer à un baiser sur la joue de sa fille. Lisa y ayant été plutôt réceptive selon lui, il décida de lui lécher les mamelons. La jeune femme savoura ce contact empreint de douceur paternelle en lui caressant le crâne. 
Denis libéra ensuite les seins de Lisa de ses lèvres et s’allongea à nouveau à ses côtés. Il lui fit ensuite signe de se positionner à califourchon sur lui et la guida progressivement et avec douceur vers son visage de manière à ce que son sexe pût se trouver en contact avec sa langue. 
Lisa profita des légers coups de langue de son père sur ses chairs intimes en poussant quelques gémissements d’aise. Encouragé par cette réaction, Denis accéléra le rythme de son mouvement. 
Au bout de quelques instants, il décida de changer de position et invita sa fille à se mettre à quatre pattes sur le lit en ayant les fesses tournées vers lui. Lisa adopta la position demandée par son père et Denis s’empressa de lui lécher le petit trou en caressant avec assiduité ses globes jumeaux. 
Estimant que les préliminaires avaient assez duré, Denis tendit son gode à Lisa et prit la même position qu’elle quelques instants auparavant. Il lui demanda de lui enfoncer le sextoy aussi profondément et aussi fort qu’elle le pouvait. 
Denis ressentit d’abord une poussée lente et un peu mal assurée, sans doute liée à la peur de sa fille de lui faire mal. Puis, l’entrée en cul gagna en vitesse et en assurance, Lisa ayant compris que son père supportait l’engin. 
La jeune femme lima ainsi le petit trou de Denis jusqu’à ce qu’ils décidassent tous deux de la fin de leur rapport. 
— Comment ça a été pour toi, ma chérie ?— Plutôt bien. Tu as été très doux avec moi et tu m’as montré la voie à suivre pour que je puisse te dominer au mieux. Je t’aime, Papa. Ne l’oublie pas, quelles que soient les choses qui t’arriveront. — Je t’aime aussi, ma chérie. 
Père et fille échangèrent une nouvelle étreinte mais furent interrompus par l’arrivée d’Isabelle dans la chambre. 
— Je vois que tu as plutôt bien pris la nouvelle, Lisa. — Oui, Maman. J’ai eu un peu de mal au début mais Papa a été très convaincant et il m’a montré ce qu’il attendait de moi. — Parfait. Il ne nous reste donc plus qu’à l’annoncer à Paul et Stéphane. — Oui, mais Papa veut avoir des maîtres et des maîtresses. Donc, si Paul et Stéphane sont aussi peu équipés que lui, ils ne pourraient rien faire d’autre que de le rejoindre dans sa soumission. — Oui, c’est vrai, tu as raison, ma chérie. On va leur dire mais d’abord, je veux que tu les observes discrètement et que tu essaies de découvrir quelles sont leurs tendances au niveau sexuel. Une fois que nous aurons assez d’informations, nous aviserons sur leur sort. 
Denis et Lisa hochèrent la tête en signe d’acquiescement et se rhabillèrent afin d’être prêts pour l’arrivée de Paul et Stéphane. 
[ à suivre ]
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