J’ai 33 ans, et ma fille 17. Eh oui, je l’ai eue alors que je n’avais que 16 ans ! Tout a commencé lorsque ma femme nous a abandonnés ; j’ai donc obtenu la garde de ma fille, mais hier précisément, alors que nous étions assis sur le canapé, la télévision diffusa un film porno. Moi, je l’avais déjà vu, mais ma fille non. C’est vrai : elle n’a que 17 ans, mais je la laisse regarder les films qui relatent les choses de la vie. Elle a commencé à me dire qu’elle aimerait bien un jour connaître pareils fantasmes. Je ne sais pas pourquoi, mais ma main a glissé sur sa cuisse, puis elle est remontée vers son sexe ; elle ne bougea pas. Lorsque ma main s’infiltra dans sa culotte, elle écarta les cuisses et mon index vint se placer sur sa fente.– Oh, papa… tu n’as pas le droit de faire ça !– Je sais, ma fille : mais tu ouvres les cuisses, alors... Tu me dis que tu veux connaître le plaisir, et moi je dois te dire que j’ai envie de toi depuis tes 10 ans ! Tu es trop belle, ma fille, et tu es en âge de prendre du plaisir.– Oui ; mais tu es mon père !– Cela ne change rien, ma chérie ; il y a plein d’avantages : tu me connais, tu sais que je n’ai pas de maladie vénérienne, ni bénigne ni grave, tu sais aussi que je suis propre et que j’ai aussi de l’expérience ; de plus, j’ai pour toi un véritable amour, paternel d’abord et amoureux de toi, ensuite. Tu n’es pas obligée de le dire à tout le monde. Cela dit, je ne te force pas ; mais si tu en as envie...– Bon. Alors juste des caresses ; je ne veux pas que tu me violes.– Bien sûr que non… qu’est ce que tu es bête, ma fille ! Comment peux-tu penser une chose pareille ??? Je veux juste faire l’amour à tes seins de reine et t’embrasser, ma petite salope : juste ça, et pas plus. Elle ouvrit la bouche, et je posai mes lèvres sur les siennes. Nos langues se rencontrèrent, et malgré une légère hésitation, elle enroula la sienne autour de la mienne. Ce baiser passionné, fusionnel, dura deux bonnes minutes. Lorsque nos lèvres se séparèrent, elle ne put dire que :– Waouh… C’est trop bon, un vrai baiser ! Je lui ai léché le visage, la gorge, les épaules ; d’une main, je lui caressais aussi les cuisses alors que l’autre était posée sur ses seins. Sa respiration se fit bruyante et saccadée ; elle soupirait… Elle commençait à apprécier ! Ses seins ont durci ; mes coups de langue et mes léchages divins y étaient sûrement pour quelque chose : je titillais, je mordillais, je suçais ses pointes roses. Mes baisers dévastateurs et jouissifs la faisaient mouiller ; mes doigts étaient recouverts de cette mouille encore innocente, mais odorante… Elle jouissait vraiment, la salope ! Je portai mon doigt à ma bouche et goûtai son liquide : très bon ! Il faut savoir que le jus de pucelle est encore meilleur que celui d’une femme, même n’ayant eu qu’un seul rapport : c’est un peu pour cette raison que je ne dépucelle pas une fille tant que je ne me suis pas gavé pendant plusieurs jours de sa mouille de jouissance, de sa cyprine de pucelle !!! Ma fille était enfin prête à recevoir mon phallus, celui qui allait lui ôter son pucelage. Je plaçai mon gland à l’entrée de sa grotte intime et, la regardant droit dans les yeux, je la pénétrai doucement. Je sentis bientôt la résistance de son hymen ; un petit coup de reins pour le déchirer, en l’embrassant à pleine bouche pour étouffer son petit cri de douleur, puis ce léger désagrément se transforma en un plaisir encore méconnu. Je l’ai limée pendant vingt minutes, jouissant deux fois assez fort. Elle se laissait aller à la découverte de ce plaisir ; ses petits gémissements devinrent des cris de jouissance, en demandant encore et encore, jouissant sans arrêt… Je venais de transformer ma fille en véritable salope, en déesse du sexe ! Depuis, elle a fait beaucoup de progrès, et nous continuons nos ébats sexuels librement. Ma femme nous rejoint souvent pour baiser en trio ; je m’occupe aussi de ma femme de la même manière.
