« Mais pourquoi je suis venu ? » La question résonne dans ma tête depuis cinq bonnes minutes. Face à la sortie du métro, j’attends patiemment de retrouver Max, un jeune homme marié de 29 ans. La peur se mêle à une excitation énorme. J’ai envie de partir, mais mes envies prennent le pas quand je semble reconnaitre mon futur amant. Je fonce vers lui sans avoir le contrôle sur ce que je fais et je monte dans sa voiture.Du haut de mes 18 ans, je n’en menais pas large. Je portais une tenue plutôt décontractée. Je suis plutôt mince et je voulais le mettre en avant. À l’époque, j’étais en couple avec une fille et je vivais ma vie d’hétéro. Mais je voulais autre chose. Je voulais une expérience sérieuse avec un mec mais purement sexuelle. J’avais déjà sucé un ami quelques années plus tôt mais rien de sérieux. Maintenant je voulais du concret. C’est comme ça que j’ai été amené à rencontrer Max. Max est un bel homme. Jeune et plutôt sportif, il est très galant. Une petite barbe du lendemain et des yeux d’un bleu presque transparent. Il était visiblement tout aussi stressé que moi. Comme moi, c’est sa première expérience homosexuelle. On est tous deux hétéros « curieux ». Je l’ai rencontré après avoir posté une annonce en ligne, et nous avons échangé des messages pendant une semaine avant de se voir. Au début, c’était assez soft mais les conversations avaient vite pris un autre ton, sur ce qu’on aimerait se faire etc. Je me souviens d’un message qu’il m’avait envoyé qui m’avait rendu fou : « Si tu veux je te ferai un truc divin après que tu m’aies sodomisé :Je te mettrai un œuf vibrant dans le cul et te sucerai... Je me branle souvent avec l’œuf vibrant de ma meuf dans le cul et en fait ça titille la prostate et donne un orgasme démultiplié ;-) » J’attendais ce moment avec une impatience énorme, même si j’ai eu envie d’annuler à chaque fois que je me masturbais, comme calmé par l’idée de me faire réellement baiser par un inconnu.Je me retrouve à côté de lui, on a plus de 10 ans de différence et on est tous les deux très excités. Au détour d’une conversation, il me le fait remarquer, et je me mets à doucement lui caresser sa bosse qui déforme son pantalon. Personne ne parle, et je rêve de lui déboutonner le pantalon pour le sucer pendant qu’il conduit. La voiture entre dans l’allée directement après et je me dis que ce n’est qu’une question de temps. On entre dans sa grande maison et il m’indique sa chambre à l’étage. On monte ensemble, l’excitation est à son apogée et j’ai tout autant envie de partir en courant. Il me fait me mettre à l’aise sur le lit. Pour calmer l’ambiance, on décide de mater un film qu’il a réalisé avec sa femme. Le film commence et on le voit attacher son épouse et lui mettre un bandeau sur les yeux. Attachée et soumise, il lui amène sa bite qu’elle gobe d’un coup. Comme je m’en doutais, elle a l’air impressionnante. On va plus loin dans le film pour découvrir le moment où il la pénètre. Elle hurle de tout son corps et a l’air de prendre beaucoup de plaisir. « Ça te dérange si je me masturbe ? », me dit-il en me regardant dans les yeux. « Bien sûr que non » lui répondis-je avec un regard coquin. On sort tous les deux nos bites. Ça tombe bien, l’érection me faisait presque mal serrée dans mon pantalon. Sa bite est impressionnante, elle atteint facilement 19 cm. La vision me trouble et je n’ose rien faire. Puis d’un coup, j’ai une pulsion énorme. Je me jette sur sa bite et avale d’un coup. Je m’étouffe presque en tentant de l’avaler en entier. Je reprends un mouvement plus contrôlé mais assez rapide. J’en rêvais, et mon instinct de salope remonte d’un coup. Je fais des grands mouvements, joue avec ma langue et lui avale les couilles. La fellation me rend fou, je bande comme un âne. Je continue de le sucer pendant deux bonnes minutes. J’étais déchaîné. Il me prévient qu’il va éjaculer et je calme le mouvement. Je lui lance : « Je veux que tu me prennes ! »
Je ne me reconnais même pas. Je suis juste une pute qui veut absolument de la bite. Il me propose de me sucer le temps qu’il se calme pour ne pas cracher directement. Il y va doucement, suce avec délicatesse, presque timide. Il glisse sa main sous mes couilles et je lève naturellement le bassin. Son doigt caresse ma raie et joue avec. Il sort du lubrifiant et met un doigt dans mon anus, puis deux. Je m’étais déjà apprêté à cette rencontre en me doigtant régulièrement, mais la sensation est complètement différente. Je suis sa chose, sa pute. Je le regarde dans les yeux et le supplie de me prendre directement. Je me mets à quatre pattes pour me faire prendre et il sort une capote. Je la mets avec la bouche en me mettant deux doigts. Il vient derrière moi, met beaucoup de lubrifiant et essaye de rentrer. Il force l’entrée de mon anus bien serré. Petit à petit, il rentre son sexe en entier. J’ai la bouche grande ouverte et je ne dis rien, la douleur me paralyse. Il reste sans bouger dans mon anus pour que je m’habitue. Je commence à me détendre et la douleur est moins forte, et il reprend les va-et-vient. Il prend de la vitesse et commence à littéralement me limer l’anus. J’ai envie de hurler de douleur mais je n’y arrive pas. Petit à petit, je ressens un plaisir, celui d’être une chienne. J’aime me faire prendre sans avoir rien à dire et les coups de butoir commencent à me rendre dingue. Je commence à gueuler. Sa bite rentre maintenant bien au fond et il me défonce littéralement. Je suis complètement à sa merci et il en profite bien. Alors que je commençais à y prendre goût, Max me dit qu’il va éjaculer. J’adore la sensation d’avoir sa bite dans mon cul mais je veux avaler son sperme. Je me retire, et je me retourne pour enfoncer sa queue dans ma bouche, toujours à quatre pattes. Il ne tarde pas et un flot de sperme se déverse dans ma gorge. J’avale tout, j’adore ce goût. On est restés trois minutes comme ça, je continuais de lui nettoyer la bite doucement. Après, il m’a raccompagné, et la chienne au fond de moi en veut toujours plus.
