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Des anciens amis

Chapitre 1

Zoophilie
J’ai retrouvé Christine bien des années après, nous étions ami quand nos parents habitaient la même commune, nous avions un peu flirté, mais sans plus.
Le hasard a voulu que nous habitions la même commune de nouveau, mais cette fois-ci mariée tous les deux. Je ne me rappelle plus très bien comment nous avons repris contact.Bref de discussion en discussion, nous sommes devenus amant. Son mari quittant le domicile très tôt je m’arrêtais sur le chemin du bureau et nous faisions l’amour.Nous nous retrouvions le soir dans de petites rues pour quelques bisous et caresses. Il y avait aussi des escapades sur 2 ou 3 jours profitant de déplacement professionnel.
Nous étions tous les deux très amoureux et surtout très attirés l’un par l’autre. Nos conversations, nos SMS étaient très souvent orientés pour ne pas dire explicite.Je lui demandais de ne pas porter de culotte lors de nos rencontres du soir ce qu’elle faisait bien volontiers. Je lui demandais de s’épiler intégralement ce qui la première fois l’étonna et puis elle le fit naturellement très excité.
Un matin comme un autre je me suis arrêté pas très loin de chez elle, j’ai fini le trajet à pied et suis rentré par le jardin comme à mon habitude. Le cocker de Christine me connaissait bien et à part me montrer sa joie il ne faisait pas un bruit.
Je suis descendu la rejoindre dans sa chambre située dans le sous-sol aménagé. Je me suis glissé doucement dans les draps pour enlacer ma belle entièrement nue et toute chaude de la nuit passée.
Comme nos derniers jeux nous avaient conduits sur le chemin de la soumission, j’avais avec moi nos derniers gadgets.
Un bandeau de soie noire, un petit plumeau, des entraves de poignets et un ruban de bondage. Je commençais par réveiller ma belle en laissant le plumeau parcourir sa peau, virevolter entre ses seins, déambuler sur son petit ventre et effleurer le début de ses lèvres.
Puis je lui ai glissé à l’oreille en même temps que je bandais ses yeux que le moment était venu de montrer combien elle était soumise. Je la sentais vibrer, frémir, elle savait ce que j’allais faire, enfin pas tout !
Je prends les bracelets et les fixe délicatement à ses poignets avant de les relier entre eux, puis ce fut au tour du ruban de bondage que je fixe à chaque cheville et a un montant du lit. En quelques minutes ma belle était attachée nue sur le ventre au milieu de son lit. Je glissais un petit coussin sous son pubis afin de faire ressortir son très beau petit cul.
Je passe au-dessus d’elle, l’effleure, lui parle à l’oreille, elle devient folle d’excitation. Je me penche vers elle et lui dit que j’ai oublié dans ma voiture le dernier petit gadget-surprise. Tellement excité elle me dit que ce sera pour la prochaine fois et me demande de la prendre de suite. Je lui dis que non elle va patienter comme cela, offerte le temps que je revienne.
Un peu affolée, à l’idée de sa position pendant mon absence elle me rappelle, de surtout bien fermer la porte de communication avec l’étage.
Je remonte l’escalier ouvre la porte, la referme et sort de ma poche le nouveau petit sex-toy qui ne l’avait jamais quitté ! Je suis maintenant au comble de mon excitation, je m’approche de K le cocker et sais qu’en entrebâillant la porte il va se préciser dans la partie du sous-sol.
Ce que je fais immédiatement en prenant soin de ne pas faire de bruit, je le vois dévaler l’escalier et se rapprocher de la chambre de sa maîtresse. Je suis derrière pied nu je sais que je n’ai pas plus de 10 minutes pour que cela soit plausible. Je le vois pousser du museau la porte de la chambre et j’entends Christine « K ? K ? Remonte, remonte à ton panier mon chien ».
Mais K monte plutôt sur le lit comme il le fait sur le canapé, il s’arrête deux secondes se demande certainement ce qui se passe. Christine lui parle, essaie de le faire descendre, mais dans sa position ce n’est pas simple. Il commence par lui renifler le visage la gratifie d’un beau coup de langue et part vers le bout du lit. Une fois là il renifle de nouveau le lit et remonte doucement vers le petit cul relevé de ma belle. Christine essaye de le faire descendre de nouveau, s’agite pour faire bouger le lit, mais K interprète cela comme un jeu.
Le moment est venu, il pose délicatement sa truffe sur le sexe de Christine qui se raidit, « arrête K, arrête descend s’il te plaît », mais K a compris et commence minutieusement à la lécher, à lui entrouvre les lèvres avec sa langue, il s’allonge derrière sa maîtresse et visiblement il a trouvé sa femelle.Sa langue parcourt son sexe et son anus de plus en plus vite et de plus en plus frénétiquement. Christine à beau se débattre K ne lâche pas l’affaire.
Je fais mon apparition à ce moment-là, claque la porte et entends Christine dans une moitié de gémissement me dire « viens vite mon cœur ».
Je m’approche d’elle je lui prends la main, K lèche toujours précisément le sexe de sa maîtresse et je lui dis « tu as un nouvel ami ? » elle me répond entrecoupée de gémissement « je t’ai dit de fermer la porte, fais le remonter ».
Je sens sa main serrer la mienne à chaque coup de langue plus précis, chaque coup de langue qui lui ouvre le sexe et fouille de plus en plus loin, et je lui dis « tu es sûre ? Laisse-le faire, détends-toi, présente-lui tes fesses ». Je lui retire le bandeau de ses yeux et la regarde ne plus être très sûre de sa réponse. Tu voulais être soumise tu me la demander, alors sois « SA » soumise et tu seras la mienne !Elle me serre la main très forte et je la vois remonter son petit cul bien haut pour s’offrir davantage à K. Elle est maintenant offerte, K lui lèche le sexe et ne va pas tarder à la faire jouir…
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