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Des blondes à la pelle

Chapitre 1

Lesbienne
Des blondes à la pelle Cette histoire est une fiction et donc purement imaginaire.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.Toute apparence de similitude avec des faits existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.
Nat blonde comme une Lara et les blés de l’Ukraine est une véritable icône de beauté. La nature l’a aussi dotée, derrière ses grands yeux bleus, d’une intelligence et d’un étonnant sens artistique. : Elle peint, elle sculpte. Malgré sa simplicité et sa gentillesse naturelle elle est tout bonnement affolante et … irrésistible.

Andrée était arrivée en début d’après midi chez Nat. Elle l’avait appelé pour passer la voir.« J’ai un truc important à te demander » …..Cela faisait presque une heure qu’elles parlaient, elles en arrivaient à l’essentiel.« C’est chaud ce que tu me racontes, mais ça t’a pris quand ?, Ca a jamais été ton truc les filles… »-Ca ne m’a pas pris, comme ça, il faut que je t’en dise plus de ma relation avec Roger …— Roger, ce vieux pigeon, qu’est-ce qu’il a à y voir, je croyais que tu le gardais simplement pour le fric, les cadeaux, les voyages. -Oui Roger il banque, mais il faut de temps en temps lui donner ce qu’il veut et des fois… j’y trouve aussi mon compte.— Ha oui …— Oui une nuit, il m’a dit , en me baisant, que si je lui donnais «ma perle » ,entend mon cul, il m’offrirait un diamant, je lui avais répondu, d’abord le diamant et après ma perle, il avait dit ok. -Ton Saphir ? -Oui il a en a eu pour plus de sept mille euro, quand on est allé à Paris il m’a amené faubourg saint Honoré , on est entré chez Vhernier, j’ai craqué pour mon saphir bleu , il a payé sans sourciller . En sortant il m’a dit, « j’ai tenu ma promesse » … Je lui ai répondu : — Ce soir je tiens la mienne…. -Nous avons continué à faire des courses, des fringues, des sous fringues, et puis nous sommes arrivés dans le Marais où il y avait une ‘ Love boutique ‘. Nous sommes entrés, non seulement je n’avais aucune honte, mais l’incognito Parisien me donnait des ailes. Avec un certain sourire , Il a choisi un vibro doré et un gros pot de crème « dilatante ». Nous sommes rentrés à l’hôtel San Bégio. Sous la douche, il a voulu que je le suce, il devait s’être chargé, je ne l’avais jamais vu bander comme ça ! -Viagra ?
 -Surement ou l’autre, tu sais comme il est toubib, il n’avait pas du se gêner… il m’a baisé la bouche avant de descendre manger au resto de l’hôtel en prenant bien soin de m’offrir du Champagne, avec toujours son petit sourire qui semblait vouloir dire : « comme ça, avant de manger tu pourras te rincer le gosier » Enfin…C’était très fin et très bon, du caviar et du poisson avec du Bourgogne et une charlotte chocolat praliné avec encore du Champagne. En remontant dans l’ascenseur j’étais chaude, juste pompette comme il faut quant on veut faire des conneries. Dans la chambre j’ai entamé un strip- tease jusqu’à me retrouver nue dans mes escarpins. Roger m’a dit, « tu es vraiment une merveille en me caressant les fesses », il m’a mis deux doigts à la bouche puis ils sont descendus et j’ai senti qu’ils faisaient le tour de mon petit trou. D’habitude je l’arrêtais dans ces investigations mais là je le laissais faire. Il s’arrêta à nouveau pour ouvrir le pot de crème et les deux doigts revinrent pour me pénétrer cette fois en étirant les parois pour y préparer un passage. En vrillant ils allèrent plus au fond en me lubrifiant à chaque fois un peu plus .  Il me demanda si j’avais mal je lui dis que non. Il se mit alors en face moi, il m’embrassa longuement puis descendit en suçant la pointe de mes seins, l e nombril pour arriver à mon clitoris. Une langue sur mon clito me fait toujours basculer dans le plaisir. Là bien chaude je m’abandonnais à cette caresse. Je ressentis une vibration qui effleurait mon anus. Lentement cette vibration me pénétra, m’envahit pendant que la langue de Roger déclenchait des sursauts dans mon bas ventre. Très vite un profond orgasme monta en moi, me secouant de spasmes et de tremblements. Roger se releva pour me tenir, se plaça derrière moi. Les vibrations cessèrent mais je sentis sa grosse queue chaude appuyer sur l’anneau de mon petit trou et lentement m’envahir. J’étais remplie, bourrée même. Peu à peu il avait réussi à me pénétrer complètement, toute sa queue était dans mon cul. IL entama de lents vas et vient et me dit à l’oreille « allez donne le moi ». Je poussais et l’accompagnais, imprimant un mouvement circulaire à mes hanches comme si j’avais voulu lui sucer la queue avec mon cul. J’adorais ! Et dire que je m’en étais privé jusque là ! Le vibro doré avait ouvert une voie je n’imaginais pas aussi jouissive et agréable depuis que ce jeune con de Paul m’avait fait si mal en voulant me faire gouter à la sodomie.— J’ai eu plus de chance que toi dit Nat tu te souviens de Vincent, il m’avait initiée tout en douceur. Mais ça ne m’explique toujours pas pour quoi tu me demandes ça !— Je veux avoir confiance, ça me fait peur, je ne veux pas tomber sur une dingue, le monde des goudous c’est un monde que j’ignore.— Mais, moi non plus je n’ai jamais fait ça avec une fille  !— Oui mais avec Cloé c’est un milieu que tu connais, tu as l’habitude de voir ta sœur embrasser d’autres filles, tu manges, parles, et bois avec. — Oui mais ça n’est jamais allé plus loin que ça, Cloé c’est Cloé et moi c’est moi, même si on est très proches et parfois un peu les mêmes. Et ça ne me dit toujours pas ce que Roger à a voir avec ça.— C’est Roger qui m’a mit ça dans la tête, un collier de perle si je baisais devant lui avec une fille.— Et en plus tu voudrais qu’il y ait Roger ! tu es folle ? — Mais non je veux que tu me … « dépucelles », je veux que ce sois toi qui me le fasse pour que je puisse ensuite me lâcher, avec une autre, sans avoir peur.— Tu veux que je demande à Cloé ?— Surtout pas, tu sais qu’on ne peut pas s’encadrer et qu’on s’est même battues.— Depuis s le temps !— Ha non, je ne veux pas qu’après m’avoir pris ce morveux de Pierre, elle ait le plaisir de me baiser ! Non je veux que ce soit toi. Toi tu sais tout de moi et je sais que ça tu ne le diras à personne, même pas à Cloé, si je te le demande. On a toujours tout fait ensemble même les pires bêtises et ça a toujours été …motus.
— Mais tu t’es demandé si j’en avais envie ?...— Arrêtes tu avais envie du premier pétard qu’on a fumé ?— C’est vrai… je voulais simplement essayer, mais je ne me vois pas en train de te rouler une pelle, même pour essayer, ça va me faire rire et… rigoler, tu le sais, c’est après pas avant…— Et bien on se roulera pas de patin !— Ha ! et comment on ferait alors. — Ecoute je vais te dire comment Roger m’a dit ça. Il m’a appris à me caresser pendant la sodomie, il veut que ce soit moi qui déclenche mon orgasme. Que lui il n’est là que pour me guider vers le plaisir et amplifier le bien que je suis capable de me faire. Au début il a guidé ma main et il a tiré sur mes hanches mais maintenant c’est moi qui me fait monter le vibro doré pendant la sodo et c’est moi qui pousse de toutes mes forces pour bien me faire défoncer.— Il est gros comment ton vibro doré ?— Tu vas voir, et elle prit son sac besace pour en sortir le petit god de 25 cm de long et de trois de diamètre.Nat le lui prit des mains et le porta à sa bouche et le fit pénétrer au trois- quart une dizaine de secondes.— Un peu fin… dit- elle en le rendant à Andrée, médusée.— Tu sais quand je l’ai choisi, je savais à quoi il allait servir et je n’ai pas voulu le prendre trop gros. Mais c’est vrai que s’il n’avait pas été vibrant, j’aurais peut être pris la taille au dessus.— Attend je vais te montrer ce que ma sœur et ses copines m’ont offert pour mes 30 ans.Et elle revint en tenant un god en ivoire qui semblait faire le double du vibro doré. Au moins 35 centimètres et 4 à 5 de diamètre. Nat le tendit aux lèvres d’Andrée qui en louchant dessus sortit sa langue pour le titiller, elle mit ensuite sa bouche en cul de poule pour le sucer doucement. Elle s’arrêta net et dit avec un petit fou rire.— Ha oui c’est la pointure au dessus ! il n’est pas vibrant, mais vu la taille pas besoin. Tu aimes ? — Ca rend fous les fous les mecs, c’est sûr, mais je m’en sers surtout quand je suis seule, les jours où il pleut, sous la couette.— Comme moi … mais comme Roger, comme la première fois, me le met derrière et me suce, j’y ai vraiment pris goût. Mais c’est surtout quand il est en moi et que je sens sa queue au fond de mon cul et que je me masturbe pour que ce soit encore plus fort que je fantasme. Pendant qu’il me sodomise Il me dit que je jouirais comme une folle si c’était une fille qui me suçait.. Rien que le fait qu’il me le dise à ce moment là, déclenche en moi un violent et profond orgasme .— Alors ?— Alors …il faut que j’essaye, tu as jamais de fantasmes comme ça toi ?Moi mon fantasme, c’était de me faire prendre par deux mecs mais ça m’a passé depuis que ça m’est arrivé. La réalité n’a pas été à la hauteur de la fiction j’en avais trop rêvé… — Mais tu ne m’as rein dit !— C’était il y a pas longtemps en Italie et … depuis on s’est pas vues. L’alcool, l’été la magie de Rome, ils étaient beaux, gentils, je les ai excités et je me suis laissé faire mais c’es maudits préservatifs et le fait qu’ils étaient eux aussi un peu bourrés ça a tourné à la cata, j’ai eu très mal, vraiment pas le pied espéré. Un mauvais coup mal tiré même si le fusil avait deux canons ! Alors tu sais les fantasmes, j’ai compris que si on veut les réaliser, c’est comme le dépucelage, il ne faut pas attendre que ça arrive par hasard, la surprise est rarement divine.— Tu n’essayeras plus ?— Peut -être mais je m’arrangerai pour être sûre que ça ne vire pas au désastre.— C’est vrai il ne doit pas falloir se louper, c’est pour ça que je veux que ce soit toi qui me le fasse.— Tu ne veux pas que je te roule une pelle mais tu veux que je te suce !— Te moques pas de moi …c’est comme ça il ya des nuits où j’en rêve si fort …— Tant que ça !— Oui tu me demanderais de faire un strip et de m’enfiler devant toi avec ton gros god, je le ferais illico…— Houlà un strip-tease rien que ça !— Oui et tu verras je suis lisse comme ma main !— Tu es complètement épilée ?— Complètement !— Alors ça je voudrais voir !— Tu voudrais voir… alors …je te le fais ce strip ? — Heu, chaud, je vais nous faire un café.— Nat se leva, mais avant d’aller à la cuisine, elle tira les tentures sur les rideaux de la pièce, comme pour préparer un spectacle. On entendit le bruit du percolateur et elle revint avec un plateau où fumaient deux tasses. Une fois bues et ayant mis une petite musique d’ambiance, Nat donna le signal en disant :— Allez montre.— Andrée se leva elle avait un tailleur gris, assorti à ses yeux, très classe, jeta vite la veste et commença a dégrafer son chemisier de soie blanche. Elle tira dans son dos sur la petite fermeture éclair de sa jupe, défit un bouton, la laissa tomber à ses pieds et s’en dégagea. En string et le chemisier ouvert qui laissait deviner sa lourde poitrine elle commença à se déhancher et à onduler pour que son corps suive la musique qui la guidait. Elle mit ses mains dans le dos, dégrafa son soutien gorge, déboutonna les poignets, en regardant intensément Nat dans les yeux et se tourna brusquement pour retirer son chemisier et jeter le soutien gorge vers l’avant. Maintenant Nat la voyait de dos perchée dans ses talons Louboutin avec le tissu de son string comme ultime rempart à sa nudité. Quel cul ! Elle est magnifique pensait Nat quand Andrée fit volte face en croisant les bras sur sa poitrine et baissant la tête pour laisser tomber le carré blond de ses cheveux bouclés sur son regard qui semblait vouloir hypnotiser .Elle décroisa et étendit ses bras libérant deux seins en poire superbes. Elle fit enfin glisser ses pouces à l’intérieur de l’élastique de son string, pour le faire descendre doucement, en laissant apparaitre le dernier secret de son intimité. Elle plia un genou, puis l’autre pour dégager son string et le jeta comme le gant d’un défi. Elle vint langoureusement s’assoir à l’autre bout du sofa en face de Nat qui tout en se demandant jusqu’où elle irait n’en était pas moins abasourdie mais charmée et excitée par le spectacle. Elle n’en avait vu que le début puisque, déjà, Andrée avait appuyé une jambe sur un coussin et que sa main allait vers son sexe pour commencer une lente et suggestive caresse .Son autre main effleurait la pointe d’un sein et son regard semblait vouloir se perdre dans un ailleurs de volupté. — Elle s’arrêta, se redressa, à deux mains prit la main de Nat. Nat senti un doigt qui insistait sur la courbure de la paume de sa main, comme s’li avait voulu la masturber. Ce majeur explicite s’arrêta quand Andrée tira la main de Nat en disant : «Touche comme c’est lisse » Nat tendit le dos de sa main et le laissa descendre le long du sexe d’Andrée qui se cambra pour mieux se montrer.— C’est vrai c’est doux on ne sent plus rien, tu t’es faite épiler ?— Andrée ferma les yeux pour dire oui et appuya sur la main qui la découvrait. Elle la retourna et lentement commença a se masturber avec.Nat doucement retira sa main mais elle vit Andrée, après une moue désapprobatrice, se saisir de son god en ivoire et commencer à le sucer de manière démonstrative. Elle bava un peu dessus avant de le porter à son petit trou et d’en faire le tour pour le faire pénétrer.— Tu ne vas pas… !          Elle ne répondit pas et continua à introduire le god qui était déjà à moitié en elle. Son autre main alla sur son clitoris et elle recommença à se masturber en fermant les yeux. Nat était subjuguée devant tant d’audace, de folie et…. tant de merveille. C’était un spectacle irréel que de voir cette beauté Marilynienne offrir son désir comme une provocation. Tout appelait à l’amour dans ce corps aux formes courbes comme celle des Vénus antiques. Une Vénus se pénétrant et se masturbant comme la putain d’un lupanar de Rome ou de Pompéi. Le bassin d’Andrée commença à se soulever et elle expirait de petits gémissements. Elle semblait partir vers la jouissance, quand elle s’arrêta, se redressa, se hissa sur ses talons, pour venir se planter devant Nat et, en prenant doucement sa tête entre s ses mains, dire :«Bien léché, bien vu » Nat fixait le morceau de chair lisse juste en face de ses yeux. Andrée avait visé juste puisque c’était elle qui faisait de la sculpture et qui disait que pour connaitre intimement une chose, il fallait se servir de sa langue, il fallait la lécher. Elle ferma donc les yeux et sortit un bout de langue pointu, avança son visage contre ce bas ventre qui l’obligeait et très lentement commença à l’investiguer comme pour y découvrir un mystère.Le «Oui, comme ça » d’Andrée lui rappela qu’elle était en train de jouer avec de la dynamite. Elle s’écarta et dit « c’est vraiment lisse, on ne sent plus un poil. » Andrée ne répondit pas mais reprit le god, et en faisant basculer ses hanches, se le refit pénétrer en tirant de l’autre main sur la nuque de Nat .Nat ne réagit pas mais elle sentit, plaquée contre ses lèvres, une petite bosse qui devait être ,le clitoris d’Andrée. Celle-ci se frottait de plus en plus fort. Sur son visage et elle pouvait percevoir maintenant la chaleur et l’odeur de ce sexe poussé par le désir. Elle ressortit un petit bout de langue pour briser l’attaque. Mais ce fut le contraire qui se passa .L’effet fut instantané, le rythme de la danse augmenta. « Tiens moi le Toy – tiens le » répéta Andrée. Et Nat tendit une main pour soutenir le god. Visiblement la sodomie n’était plus que plaisir pour elle et elle semblait bien décidée à en découvrir d’autres tant elle tirait sur la nuque de Nat .Et Nat commença à sucer ce bouton qui lui collait aux lèvres.« Oui, oui, oui, suce moi, continue, continue, oui là »Nat la léchait l’aspirait et agitait sa langue. Andrée avait fait pénétrer plus de la moitié du god d’ivoire dans son cul et laissait échapper de petits cris, des mots, des soupirs .Quand Nat accéléra le mouvement de sa langue, elle sentit un tremblement grandir dans le ventre d’Andrée qui se mit à râler et à serrer sa tête jusqu’à l’étouffer avant d’exploser dans une longue plainte rauque.«Comme tu m’as fait jouir… comme tu m’as fait jouir ! C’était fort, c’était autre chose, je ne peux pas expliquer » — Au lieu d’essayer d’expliquer tu devrais plutôt ….. me sucer !— Quoi …toi tu veux toi aussi tu veux passer à la casserole !— Je veux, qu’au moins, moi aussi, j’en profite !— Comme moi ?— Oui comme toi !
Nat ramassa le vibro doré et prit la main d’Andrée et la tira vers la chambre. Elle écarta la couette qui couvrait le très grand lit. Très vite elle ôta tee-shirt, sous tif, chaussures jean et string pour s’allonger nue. La main droite posée derrière la tête, elle commença, de la gauche, à caresser le petit triangle de poils blonds ras qui restaient au dessus de l’ouverture d son sexe.Andrée vit le petit tatouage un peu plus haut à gauche et demanda en pointant du doigt «c’est quoi ? » Une tête de Bouc étrusque, …un cadeau de Gino. ..viens la voir de plus près…… — Laisse-moi un peu profiter de la vue, pour le reste tu ne perds rien à attendre ! — Nat , en se caressant ,se fit plus langoureuse et laissa enfin descendre deux doigts sur son clito comme une ultime invitation. Andrée, assise au bord du lit, se pencha pour poser un baiser sur la pointe d’un sein, puis un autre plus insistant dans le cou. Elle entama une descente ponctuée de bisous vers le nombril, pour s’arrêter au niveau du tatouage et commença à lécher la petite tête de bouc comme pour signifier qu’elle prenait possession de ce dernier morceau d’intimité. Nat écarta plus les jambes et dit : « viens » La bouche d’Andrée se posa sur un sexe parfumé. La pointe de sa langue montait et descendait le long de cette fente humide entre ces lèvres qui exhalaient le musc. Elle poussa plus avant et s’introduisit. Elle pensa au gout des bites , à l’odeur de ses doigts quand elle se masturbait mais elle se dit que c’était vraiment autre chose et qu’il fallait essayer . Elle avait déjà pratiquement oublié que c’était la première fois tant la chose lui paraissait désormais simple et presque familière. Maintenant elle voulait faire jouir Nat. Et Nat commençait à se tordre sous les caresses, à exhaler de petits soupirs qui voulaient dire qu’elle cherchait aussi un chemin vers le plaisir. Que ce soit sa meilleure amie qui l’y conduise semblait ajouter à son envie. Quand les boucles blondes d’Andrée commencèrent à s’agiter de manière saccadée par-dessus la fine toison blonde, Nat commença à secouer la tête de gauche à droite et de droite à gauche de plus en plus violemment jusqu’à ce que ses longs cheveux d’or viennent se poser comme un rideau de fin sur la sueur qui avait envahi son visage rougit par le plaisir. Andrée remonta sur elle et écarta ses cheveux pour poser ses lèvres sur cette bouche brulante dont la langue, déjà, cherchait la sienne. Et la bouche de Nat s’ouvrit grand comme quand elle avalait une queue.Elles se soudèrent l’une à l’autre en se roulant la plus intense et la plus profonde des pelles de leur carrière amoureuse.



 
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